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BIENTÔT, DJIBOUTI AUSSI DIRA "NON" AU NÉPOTISME DE L’ADMINISTRATION INDIRECTE DU PRÊTE-NOM.
"LA LIBERTÉ N'EST JAMAIS ACCORDÉE DE BON GRÉ PAR L’OPPRESSEUR ; ELLE DOIT ÊTRE EXIGÉE PAR L'OPPRIMÉ." -- MLK
DJIBOUTI : REFORMONS L'OPPOSITION AFIN DE POUVOIR UN JOUR REFORMER L'ÉTAT
NOUS CONVIONS CET ÉTÉ 2014, TOUTE L'OPPOSITION À DES ÉTATS GÉNÉRAUX

29 septembre 2012

Robert MUGABE spoke his spirited guts : “For how long, Mr President, will the international community continue to ignore the aspirations of a whole continent of 54 countries?”

"It behooves us all, therefore, to take the necessary steps to ensure that the United Nations is not marginalized on international issues. Equally important, the United Nations must in future never allow itself to be abused by any member state or group of States that seeks to achieve parochial partisan goals.  The Charter of the United Nations clearly stipulates it as an international body that should work for the good of all the peoples of the world.

The increasing trend by the NATO States inspired by the arrogant belief that they are the most powerful among us, which has demonstrated itself through their recent resort to unilateralism and military hegemony in Libya, is the very antithesis of the basic principles of the United Nations. In that case, of Libya, the African Union and its peace-making role was defied, ignored and humiliated. May we urge the international community to collectively rip this dangerous and unwelcome aggressive development before it festers.

We have been seized with the debate on the reform of the Security Council for far too long (...) Zimbabwe stands by Africa's demand for two permanent seats complete with a veto, if the veto is to be retained, plus two additional non-permanent seats, as clearly articulated in the Ezulwini Consensus and the Sirte Declaration. For how long, Mr President, will the international community continue to ignore the aspirations of a whole continent of 54 countries? We shall not be bought-off with empty promises, nor shall we accept some cosmetic tinkering of the Security Council disguised as reform. It is indeed a travesty of justice that the African continent, which accounts for almost a third of the membership represented in this august Assembly, has no permanent representation in the Security Council. Is this good governance? Is this democracy? And, is this justice?"

Full statement transcript, by his Excellency the President of the Republic of Zimbabwe comrade Robert Gabriel Mugabe during the general debate of the 67th session of the united nations general assembly in New York, September 26, 2012.

Julian Assange : “Credit should be given where it is due, but it should be withheld where it is not”

At the 67th General Assembly, Thursday 27 September 2012, Julian Assange addressed the representatives of the United Nations member countries on Human Rights via satellite and blasts “absurd McCartyhism”.

Fine words languish without commensurate actions. President Obama spoke out strongly in favor of the freedom of expression : "Those in power," he said, "have to resist the temptation to crack down on dissent”
He could not be more spot-on, as Obama's empty promises in Ghana, Cairo and in the white house to young African entrepreneurs. Support for dictators reaches heights.
Julian Assange : "There are times for words and there are times for action. The time for words has run out".

Made his address from the Ecuadorian Embassy in London, where he took shelter in June after losing a court battle to avoid extradition to Sweden. The WikiLeaks founder fears that Sweden, which wants him for questioning over allegations of sexual assault, will extradite him to the US for his role in leaking thousands of secret diplomatic and military cables.

Highly critical of US involvement in the Arab Spring, denounced Obama as audacious for exploiting it, adding that it is "disrespectful of the dead" to claim that the US has supported forces of change : "Was it not audacious for the US President to say that his country supported the forces of change in the Arab Spring?”

“Tunisian history did not begin in December 2010, and Mohamed Bouazizi did not set himself on fire so that Barack Obama could be re-elected," he told the panel.

"The world knew after reading WikiLeaks that Ben Ali and his government had for long years enjoyed the indifference, if not the support, of the US, in full knowledge of its excesses and its crimes. So it must come as a surprise to the Tunisians that the US supported the forces of change in their country, and it must come as a surprise to the Egyptian teenagers who washed American tear gas out of their eyes, that the US administration supported change in Egypt", he added

The Ecuador FM : “Assange's right to freedom must be respected, I don’t know any case in history where diplomatic asylum did not end in freedom for the person. I hope this will not be an exception in history. Every country must respect the right of the country granting asylum and the person who was granted it."

21 septembre 2012

Djibouti : Quel scénario de sortie de crise ? Chaos ou alternance démocratique ?" - Par Pierre Sidy

" L’Appel du Mans à l’unité de l’opposition lancé le 7 mai 2011 par l’ensemble des forces de l’opposition et de la société civile djiboutienne en France sera-t-il entendu ? L’opposition sera-t-elle capable de rompre avec son mauvais génie de la division et rassembler ses forces éparses, pour tracer un nouvel horizon et proposer un récit qui parle à tous. La responsabilité de l’opposition est tellement importante dans cette étape de sortie de crise face aux agissements de Guelleh qui veut privilégier le chaos ou le scénario à la Bahrein en sollicitant l’intervention éthiopienne."

A l’heure où la Corne d’Afrique est frappée de plein fouet de la pire sécheresse depuis 60 ans où 12 millions de personnes sont menacées de mort, Djibouti n’a rien perdu de sa superbe stratégique où se bousculent les soldats américains, français, depuis peu japonais et de navires de guerre de plusieurs autres États qui participent à la lutte contre la piraterie sur les côtes somaliennes.

Si toutes ces présences paient rubis sur l’ongle au président Guelleh qui a aménagé les caisses du Trésor dans sa résidence de Haramous, elles restent coupables de non assistance à une population en danger, parce qu’incapables d’enrayer la mort à petit feu qui frappe des habitants du Nord et du Sud-Ouest, sous embargo alimentaire et sanitaire draconien par le régime de Djibouti.

Ces habitants laissés pour compte entendent les vacarmes assourdissants des canons qu’utilisent les militaires américains et français pour leur service. Ces présences étrangères, peuvent-elles cependant sauver le régime de Djibouti de l’implosion à cause de ses démons internes, de ses turpitudes, de ses dérives ?

Force est de constater, que si le soutien des puissances étrangères, peut ralentir momentanément la chute du régime (comme cela a été le cas lors de l’interposition française en 1992 qui a empêché la déroute militaire djiboutienne face à l’avancée du FRUD – Front pour la Restauration de l’Unité et la Démocratie), elle ne peut assurer la pérennité d’un groupe au pouvoir si ce dernier est profondément atteint.

17 septembre 2012

Côte d'Ivoire : Un contentieux électoral créé entièrement pour justifier le coup d'État, le viol de la souveraineté et les institutions de ce pays, des milliers de morts au nom de duplicités d'intérêts

La télévision publique italienne dénonce, preuves et témoins oculaires à l'appui, les crimes odieux de la France et l'ONUCI, en côte d'ivoire, sans que cette pièce à conviction ne soit reprise par les médias ou n'interpelle cette justice sélective !!!.

Les ivoiriens étaient conscients de ce complot ourdi contre leur pays, dès le début de 2002, et malgré cette brutalité de l’intervention étrangère, ont soutenu la résistance et leur gouvernement, jusqu'au bout.
Une justice ou les responsables de tous les crimes répertoriés, accusent et poursuivent sans appels, en toute impunité, les victimes. Notre impuissance à confronter les vrais coupables de ces crimes d'États, fait qu'ils se répètent dans le temps, de la Côte d'Ivoire à la Libye, de la Syrie et bientôt sans doute l'Iran.

13 septembre 2012

Le plus fort n’est jamais assez fort pour être toujours le maître d’ou l’évidence manifeste d’un nouveau paradigme dans la politique et les relations internationales

L’urgence de l’absolue nécessité du retour au droit naturel et droit humain versus ce principe non-écrit de la loi du plus fort, la redéfinition du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, le sens sacré de la souveraineté des États, notion occultée bien qu’au cœur du système des Nations unies, destinée à protéger les États d’interventions extérieures et, ainsi sauvegarder la paix, versus, cette vilenie du droit d’ingérence du R2P (Responsability To Protect), prostituant le droit international.

À la recherche d’un nouveau rapport des forces dans le style colonial du dominant et dominé, malgré le constat proéminent de cette politique dévastatrice et inhumaine, de gouvernements claustrés entre, hautes murailles et barbelés, isolés du peuple mais encensés hors frontières, on persiste et signe et continu à appliquer la même potion, encore et toujours dans l’espoir peut être qu’à chaque nouvelle tentative, le poison accouche d’un miracle inédit.

Les exemples de contournements ou la prise en otage de la diplomatie et la dérive du système actuel d’un autre ère, sont patents, de la Yougoslavie à l’Afghanistan puis l’Irak, de la Côte d’Ivoire à la Libye, de la Tunisie à l’Égypte, du Yémen à la Syrie et la Somalie, pour ne citer que ceux-là.

Au moment ou certains autocrates tolérés foulent les tapis rouges avec les honneurs, ou le soutien politique et la pérennité à ces régimes des plus décadents sont, sans opprobre assurés, le népotisme et son cortège d'injustices et d'immoralités sont plus, mis à jour à travers les nouveaux outils de l’information, au nom de la terre entière et l’humanitaire à géométrie variable, choisis selon les critères et intérêts extérieurs, d’où le chaos étatique dans chacun de ces pays, ci haut cités ; toutes ses interventions politico militaires ont tous accouché de souris clonées, de gouvernants d’une nuisance abyssale et contestés par chaque peuple.

Prenons les 2 exemples suivants et constatons ce désordre normalisé, déguisé en démocratie.

12 septembre 2012

Détenu à La Haye depuis décembre 2011 Laurent Gbagbo sera libéré, par Augustin Kouyo

Abou Amin : ""Si cette source est crédible que ce désespoir muet depuis le début Août, du machin CPI, est basé sur l'incapacité de ne pouvoir juger le Président Laurent Gbagbo, faute de preuve, en train d’étudier les modalités de libération de l'élu du peuple Ivoirien, sans même se prononcer sur le contentieux des élections :
  • Qu'adviendra-t-il dans se litige de taille que cette libération aura confirmé comme le plus grand dilemme judiciaire du siècle né de cette politique de l'ingérence foulant aux pieds les institutions et la souveraineté des peuples en Côte d'ivoire comme ailleurs  ?
  • Et quel serra le sort de tous ceux accusés au même chapitre par ces mêmes fausses allégations, dont certains ont été exécutés et d'autres incarcérés à ce jour sans inculpation ni procès au mépris des normes in­ternationales relatives aux droits humains aux mains du Préfet Ouattara ?
  • Qu'elle sera cette fois le stratagème pour maintenir l'imposture du pouvoir, installée par la seule volonté de la force militaire de l'ONUCI et la France ?""
Détenu à La Haye depuis décembre 2011 Laurent Gbagbo sera libéré

Il ne s’agit nullement d’une prophétie, mais d’une révélation de source crédible. Laurent Gbagbo, le plus célèbre des détenus de La Haye pourrait retrouver l’air libre…très bientôt.
Deux reports et puis, plus rien du tout. Initialement prévue le 18 juin 2012, l’audience de confirmation ou d’infirmation des charges de Laurent Gbagbo à la cour pénale internationale (CPI) a été reportée une première fois au 13 août dernier. Raison avancée par la chambre préliminaire 1 de la Cpi, donner du temps à la défense de mieux utiliser les fonds additionnels qui venaient à peine de lui être accordé dans le cadre de l’aide judiciaire pour la défense de son client.

10 septembre 2012

"L’Afrique n’a pas besoin d’aide mais plutôt de justice économique et, surtout, d’indépendance économique, financière et monétaire"

Ahoua DON MELLO : CÔTE D’IVOIRE, PPTE, BCEAO : LA FACE ÉCONOMIQUE DE LA GUERRE

Le désir de souveraineté politique, économique, monétaire et financière incarné par Laurent GBAGBO et devant être mise en œuvre par le gouvernement AKE NGBO était donc jugé criminel pour les françafricains. La guerre contre la Côte d’ivoire avait pour but de mettre fin à ce désir et à dépouiller la Côte d’Ivoire de son moyen de résistance : sa souveraineté politique. L’expropriation de l’armée régulière au profit de « tirailleurs françafricains » par la France et l’ONUCI, la destruction des archives de l’Etat et de l’université pour faire oublier les années d’indépendance et réécrire une autre histoire et éditer d’autres documents, le mépris des prescriptions constitutionnelles, ont pour objectif la restauration de la françafrique et la fin de cette souveraineté. Il ne faut donc pas chercher loin, le vrai « crime » économique dont on accuse le Président GBAGBO et son gouvernement est donc le désir de mettre fin à 50 ans de biens mal acquis.

Tant que le système françafricain restera en l'état, la reconstitution de la dette sera pour "bientôt", car dans les conditions actuelles, l’épargne est impossible à constituer et la mendicité financière est l’unique solution. Or une croissance dont les facteurs sont essentiellement étrangers n’engendre des revenus que pour l’extérieur. Dans ce cas, la lutte contre la pauvreté se transformera en guerre contre les pauvres pour leur arracher la vie, la parole et la terre, seuls biens restants.

A la lumière de l’expérience ivoirienne, il apparaît clairement que l’aide coûte toujours plus cher que sa valeur monétaire. La quête de l’indépendance économique, financière et monétaire est criminalisée. Or, l’Afrique n’a pas besoin d’aide mais plutôt de justice économique et, surtout, d’indépendance économique, financière et monétaire.
La question que nous sommes en droit de nous poser aujourd'hui, est de savoir s'il n'y a pas d'autres formes de partenariat avec la France qui puisse permettre une sortie de crise mutuelle puisqu’un seul pauvre en Afrique ou ailleurs est une opportunité de croissance en moins donc un emploi en moins en occident. La pauvreté de l’Afrique restreint donc la consommation et a un impact certain sur la croissance de l’occident.

5 septembre 2012

UNE LEÇON DE CIVISME AUX INDIGNÉS DE TADJOURAH

LE SULTAN A PARLÉ, ON RENTRE CHEZ NOUS ET ON ATTEND QUE LE PIRATE IOG, NOUS RENDE NOS EMPLOIS ET RESPECTE LES REVENDICATIONS LÉGITIMES D'UNE POPULATION, RELÈVE DE LA NAÏVETÉ ET UNE MÉCONNAISSANCE DE LA LOGIQUE DES RAPPORTS DE FORCES.

UNE IGNORANCE QUE NOUS REGRETTERONS TÔT OU TARD, JAMAIS UN DESPOTE NE FAIT DE CONCESSIONS OU N'ACCORDE DES DROITS QUE S'IL EN EST CONTRAINT.

Nouvelle manifestation pacifique des grévistes de Marikana en Afrique du Sud, tout en négociant à une 30ène de Km de là entre la direction, les syndicats et leur délégation, sous l'égide du ministère du Travail.
( C'EST LE SEUL MOYEN PAR LEQUEL DES PEUPLES AVANT NOUS, ONT RÉUSSI À ARRACHER DES DROITS ET NON EN SE CACHANT DERRIÈRE DES TRADITIONS ET DES TABOUS À LA VUE D'UNE LETTRE.)

Après avoir enterré les 44 VICTIMES des leurs, suite à la 1ère manifestation, les GRÉVISTES, acclamés par la population retrouve un nouveau courage et tiennent en ce moment même, un Sit-in devant la mine, plus résolut que jamais d'en découdre avec l'exploitation : 1.250 euros de salaire par mois ou la fermeture de la mine !
( LES SUD-AFRICAINS ONT COMPRIS CHERS COMPATRIOTES DE TADJOURAH QUE LA NAÏVETÉ N'IMPOSE JAMAIS LA JUSTICE ET ENCORE MOINS LE RESPECT D'UN DESPOTE.)

Il faut que chacun de nous, djiboutien(e), comprenne qu'une simple lettre du Sultan à elle seule, ne forcera jamais la main d'un gouvernement démocratique et encore moins celui d'un régime de mercenaires.

4 septembre 2012

Djibouti : Le calvaire des Braves

De l'injustice à la gouvernance familiale et clanique, le favoritisme et la corruption, le détournements des fonds publics et l'endettement exponentiel des générations futures, ainsi que la misère et le chômage endémiques, cesseront le jour ou Djibouti aura de vrais partis politiques avec des hommes et des femmes pourvus de réelles vocations à la chose publique avec des projets de société inclusifs à défendre, à l'image des Togolais unis derrière le Collectif Sauvons le Togo (CST) :
Une coalition de 9 organisations de la société civile et 7 partis et mouvements politiques de l'opposition, afin de se défaire du dernier préfet de la France, de père en fils depuis bientôt 50 ans, de la famille Eyadema.

Actuellement, que sa soit au sein du régime ou la dite opposition, tous composés d'officines de la subversion, sans aucun idéal politique National, dans certains doivent leur existence au régime, dans le seul but de miner et saboter toute union politique de l'opposition ou de la pseudo représentativité ethnique. Des groupes d'intérêts claniques et tribaux et des opportunistes à la quête de la notoriété politique, animés par la seule ambition d'accéder un jour au pouvoir. Ceci est le constat de 35 ans de chimères, le statuquo de la politique du néant, du rien absolu, toléré par tous.

A -- Dans le Club des Mafieux de l’UMP composé que de millionnaires, une confrérie de vampires qu’il fallait bien assouvir par l’argent facile afin de maintenir Dracula au pouvoir, aucune confrontation des idées, aucun parti satellite ou leadeurs interpellant cette coalition d’intérêt à changer de cap, que sa soit le Frud, l’UPR, le PSD, le clone du PDD ou le RPP au pouvoir depuis 1977.

3 septembre 2012

MELES ZENAWI - UN GRAND AFRICAIN PARMI LES RARES DU CONTINENT RETOURNE À LA TERRE.

Un homme d'État d'un courage qui se fait très rare,
Un homme de vision, du progrès pour son peuple et le développement de son pays,
Craint par certains pour sa fermeté et manque de sensibilité aux particularités régionales,
Mais dans l’estime de la plus grande majorité pour cette stabilité politique et la sécuritaire menant vers cette première transition du pouvoir sans effusion de sang, ainsi que pour son virage économique et la croissance annuelle à 2 chiffres des 10 dernières années.

Il a hérité d'un pays en pleine désolation sociaux-économiques et légua à sa patrie en fin de parcours, un boom économique des plus enviables et un peuple mieux préparé aux défis et la géopolitique de son époque.

Certes on trouvera tous, sous l'angle étroit de nos intérêts, des points sombres à son CV, des critiques des plus acerbes envers certaines décisions, mais très rares sont parmi ses pairs qui oseront lui en tenir rigueur et encore moins Susan Rice, la représentante des États-Unis à l’ONU qui en fin de cérémonie, n'a pu s'empêcher d'honorer la traditionnelle arrogance et leur mauvaise foi dans la politique étrangère :
« Si nous étions loin d’être toujours d’accord, notamment sur la démocratie, les droits de l’homme, j’ai toujours été frappée par son jugement rationnel, mûrement réfléchi et jamais motivé par l’idéologie », leur dit-elle, sans aucune honte.

Venant de la représente du pays le plus endetté au monde avec le portfolio le plus sombre en guerres et massacres de masses, en quasi-faillite financier, institutionnelle, sociale et morale, maintenue en survie par l'exploitation sauvage des plus faibles et qui elle, aurait dû être au banc des accusés du CPI pour crime contre l'humanité et crimes de guerres dans le génocide et l'invasion de la Libye comme le coup d'État en Côte d'Ivoire, l'insulte à la mémoire du défunt devant des Millions d'africains en deuil, ne semblait guère trop froisser son actif déjà trop chargé.

L’expérience est une bougie qui n’éclaire que celui qui la porte et la perfection est nullement un naturel, ni de faire quelque chose de grand et de beau, mais de faire ce que l’on fait avec grandeur et beauté. L'œuvre de l'homme est loin d'avoir été parfaite, vu sous le prisme de l'objectivité du temps et l'analyse des historiens, comparé aux larves à la tête des pays du continent, il restera en mémoire, un grand parmi les plus grands.
Ayant placé la barre très haute, rare sont ceux qui enfileront sa pointure avec la même aisance.

En espérant qu'un jour, la lumière soit faite, sur les véritables causes de votre mort,
L'ÉTHIOPIE VEILLE SUR VOTRE ŒUVRE ET N'ACCEPTERA RIEN DE MOINS,
REPOSEZ EN PAIX MONSIEUR LE PREMIER MINISTRE.

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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le SG : Bourhan Bey (Abou Amin)

Djibouti : IOG visite ses exilés, 2 Manifestations pour lui rendre la politesse

Gouverner ; l'art de prévoir le futur d'une Nation, ne rien prévoir c'est courir à sa perte.

« ABDOURAHMANE BACHIR ; JE L'AI FABRIQUÉ DE TOUTES PIÈCES EN CROYANT BIEN FAIRE. », Dixit IOG

« SI DIEU A ACCEPTÉ QU’IL Y AIT LE DIABLE, POURQUOI REFUSERAIS-JE QU’IL Y AIT UNE OPPOSITION » - IOG

Djibouti : L’opposition politique doit prendre acte de sa propre léthargie

DJIBOUTI : EN 37ANS, ONT RIEN NOTÉ DE GROSSIER - AMNÉSIE TOTALE - INVITENT UN 3ème ET REBELOTE

DJIBOUTI : LE RÉGIME DU PRÉFET IOG, TOURNERA ENCORE SON REGARD POUR SAUVER SA TÊTE

DJIBOUTI : UNE PAIX SANS JUSTICE EST ILLUSION, UN PARDON SANS JUSTICE EST UNE BOMBE À RETARDEMENT

DJIB : UN CIRQUE MÉDIA SANS QUE LE PROXY NE DISE MOT, SUR CE QUE LUI ET SES PARRAINS NOUS RÉSERVENT

DJIBOUTI : L'ESCROQUERIE DU MACHIN USN !!!

M. GUELLEH, ÇA COUTERAIT QUOI DE FINANCER L’AVENIR DE CES FUTURS CHAMPIONS DE LA RÉPUBLIQUE ?

DJIBOUTI : L'USN ET SES OPPORTUNISTES, EXIGENT DE NOUS, QU’ON ENTRETIENNE LA MÊME VOYOUCRATIE

PREMIÈRE D'UNE NOUVELLE CHRONIQUE PAR L'IMAGE, INTITULÉE : "" C'EST QUOI ÇA GUELLEH ??? ""

ASSEMBLÉE DE PAILLE FRUIT DE L’INSUFFISANCE & COMITÉS FANTÔMES, LE MACHIN USN SE VEUT DISTRAIRE

LE PRIDE N’EST PLUS SEUL À POSER DES QUESTIONS & REMETTRE EN CAUSE LA LÉGITIMITÉ DE LA DIRECTION USN

Ahmed Youssouf à l’USN -- JOUE LE MÊME RÔLE QUE -- Hassan Omar GAQANLO à l’UMP

SIGNIFIONS EXPRESSÉMENT LE REJET DE L’AGENDA USN, CONCOCTÉ ENTRE LES MÊMES MANIPULATEURS DE L'UAD

DJIBOUTI : UMP & USN, 2 FACES DE LA MÊME MÉDAILLE, AVEC LES MÊMES VICES, ÉGOS ET AMBITIONS

DJIBOUTI : VICTIMISATION, REFUS DE L’ENGAGEMENT ET UNE EXPRESSION SECTAIRE MANIPULATRICE DES JEUNES

UN PATRIOTE INVESTIT DANS SON PEUPLE, NON HORS FRONTIÈRES, IL EST TEMPS QU'ON EN EST UN, À DJIBOUTI

DJIBOUTI : NOUS CONVIONS CET ÉTÉ 2013, TOUTE L'OPPOSITION À DES ÉTATS GÉNÉRAUX

DJIBOUTI : CITOYENS POUR LE CONSENSUS NATIONAL (CCCN) POUR UN GOUVERNEMENT DE TRANSITION RESPONSABLE

Une Source Infinie de Vidéos sur La Corne.

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Djibouti : Le Déni de Justice et la Lutte contre un autre Pirate de la FrancAfrique

MALI : STRATÉGIE INNOVÉE : PROBLÈME - RÉACTION - SOLUTION - PAYEMENT DES COÛTS

LA RECOLONISATION DU 21ème SIÈCLE - FRANCE VS CÔTE D'IVOIRE

LA RECOLONISATION DU 21ème SIÈCLE - FRANCE-OTAN VS LIBYE

Actualités et Évènements dans le Monde

Please Sign Today To Support Those for a Democracy in Djibouti - Africa

Amender une Constitution afin de rester au Pouvoir et Refuser l’Alternance c’est de la Tyrannie..
OBAMA : "Make no mistake: History is on the side of these brave Africans, not with those who use coups or change constitutions to stay in power.......... Africa doesn’t need strongmen, it needs strong institutions."
<= THE PRICE OF SILENCE & INACTION IS MUCH TOO HIGH =>
FaceBook Petition for the benefit of Amnesty International USA, if You Wish to Join Protect The Human

""Il y a un temps pour RÉFLÉCHIR, un temps pour SENSIBILISER, un temps pour ÉPILOGUER et un temps pour AGIR contre le RPP : RASSEMBLEMENT DES PILLARDS DU PEUPLE.""
Téléchargez sur SkyDrive le CONTRAT JURIDIQUE ET MORAL avec le peuple de DE DJIBOUTI, afin de rassurer la population sur les INITIATIVES qui seront mises de l'avant AU DÉPART D'IOG : FEUILLE DE ROUTE (PDF)

UNE OPPOSITION RESPONSABLE ET CRÉDIBLE.

Le parti PRIDE appelle l’opposition à assumer pleinement son rôle. Lançons l’organisation d’un Congrès qui unira nos efforts, nous donnera la crédibilité nécessaire et l’appui de la communauté internationale pour une transition exigeant non seulement le respect de la constitution mais aussi la reforme du scrutin électoral et les dispositions préalables pour en assurer la transparence avant les prochaines élections de 2011.


Le peuple veut voir une opposition responsable autour d’une table ronde ou chaque parti sera représenté par 5 membres de leur direction et d’observateurs Djiboutiens.


Chaque parti tout en gardant ses affiliations, contribuera à édifier un document fort, engageant et prometteur, ralliant la population Djiboutienne toute entière dans sa diversité, contre le ballon vide d’IOG, à la mode Ukrainienne. Le document final signé par les parties, sera soumit aux pays médiateurs choisis au Congrès et aux institutions internationales.


DE LA SAGESSE, UNE VISION ET DU COURAGE, EST-CE TROP DEMANDER?


Le rôle de ces observateurs Djiboutiens comme la préparation du congrès, sera confié à une agence spécialisée dans l’exercice de cette fonction et un comité ou une entité neutre assumera la coordination et la préparation des documents du Congrès, entre cette agence et les parties ayants exprimées leur volonté d’y participer.


Dans un souci de transparence et de tenir le peuple informé, à défaut d’être diffusés en direct sur l’internet, tous les travaux de ce congrès doivent être vidéo-enregistrés.


Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie : PLAN D’ACTION POUR UN FRONT COMMUN.

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CONSTITUTION DE LA RÉPUBLIQUE DE DJIBOUTI : EN FRANÇAIS ENGLISH

Présenté à toutes les Ambassades et Consulats de France dans le monde -- Memorandum du 28 Sept 2010.pdf.