Djibouti : Une pseudo-revendication de l'attentat suicide du 24 Mai à Djibouti par Al-Shabab

Le site Somalimemo vient de mettre en ligne cette audio accompagnée de l’image d'une conférence de presse tenue par le fameux Ali Dheere ; porte-parole des Shababs.

Oui, une conférence de presse d'un terroriste assis à une table devant les micros d'au moins 5 chaînes. La prochaine fois, ils l'inviteront en direct sur le plateau de CNN.
C’est comme même déroutant, cette facilité d’accès aux médias de tous ces soi-disant apôtres de la terreur universelle, qu’ils soient des Shebabs, d’Aqmi, de Boko-Haram, et tutti quanti, alors qu'ils prétendent les rechercher.

Ceci dit - et sans compter les erreurs se réfèrent à un hôtel comme lieu de l’attentat, plutôt qu’à un resto-bar, citant des américains parmi les victimes alors qu’il y’en a aucun - nous invitons nos compatriotes à faire une recherche sur youtube, d'écouter quelques entrevues de ce pseudo porte-parole des Shebabs, puis à comparer la voix, l'accent et le style du discours, avec ce dernier enregistrement. À moins de vouloir nous faire prendre des vessies pour des lanternes, cet homme n'a aucun accent somalien, malgré tous ses efforts, la contrefaçon ne passe pas.
Croyez moi monsieur le ministre, j'ai passé la nuit à écouter quasiment tous les entrevues de cet homme, mais rien n'y fait, cet enregistrement n'est pas de Ali Dheere.

Autrement dit et jusqu'à preuve du contraire, ce faux et usage de faux n’est qu’un simulacre de revendication entretenant la théorie du coupable anticipé par le ministre de l’intérieur lors de sa conférence de presse, ou, sans aucun élément de preuve précisait lui-même que le procureur de la République assis à ses côtés allait prochainement mener l’enquête.
Par conséquent sommes-nous pas en droit de réclamer la vérité sur les vrais coupables de ce crime odieux et en quoi cette parodie préviendra-t-elle d’autres drames de ce type ?
Le faux, n’avance en rien la sécurité du pays, ni inquiètera les vrais coupables du crime.

N’EST-IL PAS UTILE QU’ON NOUS EXPLIQUE PAR AILLEURS :

Djibouti : Saura-t-on un jour la vérité sur l'attentat suicide du 24 mai 2014 si les enquêteurs djiboutiens sont menés à la baguette par le politique ?

Restaurant La Chaumière Djibouti

L'avocat Franco-Djiboutien Me Mohamed Aref déclarait : « La France est responsable de l’assassinat de Ghislaine Dupont et Claude Verlon au Mali. (...) A chaque fois que la France ouvre une enquête hors de son territoire, nous n’avons jamais la vérité ! ». Il craint qu’avec l’enquête lancée par le parquet antiterroriste de Paris en partenariat avec les services de renseignement français, la vérité n’aboutisse jamais, « comme ce fut le cas pour la Libye ».

Je reprends ce soir ces déclarations de Me Aref, datant de nov 2013, pour exprimer mes inquiétudes sur l'enquête de l'attentat suicide de ce samedi 24 mai 2014 à Djibouti. Saura-t-on un jour la vérité sur cette barbarie si les enquêteurs djiboutiens sont menés à la baguette par le politique !!!

Pour étayer les déclarations de Me Aref, faut-il rappeler la mort du professeur français Raymond Philip tué à Yamoussoukro (Côte d’ Ivoire) en avril 2011, la semaine de l'assaut final des mercenaires sur Abidjan, le seul civil français ayant perdu la vie lors de ce chaos contrôlé.
Un hasard qui n'en est pas un. Version officielle de sa mort ; balle perdue.
Jamais une enquête ne fut diligentée par la France ou le préfet Ouattara.
Les crimes de lèse majesté du Prof Raymond Philip sont pourtant connus par tous grâce à l'internet, suffit d'écouter sa vidéo sur YouTube ou il dénonce le massacre d'ivoirien le 9 Nov 2004 devant l'hôtel Ivoire comme ayant été commis par l'armée française et non les gendarmes ivoiriens selon la désinformation du 4ème pouvoir. Ou encore sa déclaration au tél à sa mère de 81ans, ancienne adjudante de l'armée de l'air que « Chirac a déclaré la guerre à la Côte d'Ivoire » et la pauvre conditionnée aux mensonges TV, le traite de malade. Oui sa propre mère.

On sait aussi comment l'enquête sur l'attaque de la base de Bouaké (Côte d'Ivoire) ayant mis fin à la vie de 9 soldats français, à été étouffée. Suffit d’écouter les confessions sur Youtube de plusieurs juristes dans l'affaire.

Djibouti : Premier attentat suicide en plus de 2 décennies.

Nos pensées émues vont naturellement aux victimes, leurs familles et proches.

La terreur comme arme de dissuasion politique se transporte chez nous. Le Restaurant la Chaumière sur la Place Ménélik, cible d'un attentat suicide ce samedi 24 mai 2014 ayant fait au moins 5 morts et une dizaine de blessés, selon nos sources.

- Ais-je parlé trop vite ou est-ce l'expertise et la compréhension des enjeux politiques du PRIDE qui sont aiguisées. Voir le denier article du 24 mai et celui du 14 mai intitulé : « Le rapport de force et luttes d'influences entre puissances militaires dans les pré-carrés français, se transportent à Djibouti. »
Le PRIDE exprime en ces moments de turpitude tout son soutien au peuple de Djibouti ; nous condamnons avec force et fermeté cet acte gravissime de violence gratuite.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)

Djibouti : Le PRIDE appelle les dirigeants du FRUD à la vigilance

Le 14 mai dans la chronique intitulée " Le rapport de force et luttes d'influences entre puissances militaires dans les pré-carrés français, se transportent à Djibouti.", nous avancions la prémonition suivante : " Si ce jeu d'influences à Djibouti entre la France et les USA était faussé ou feutré à ce jour, rassurez-vous, il l'est plus depuis le 5 mai 2014. (...) Bientôt nous verrons la France faire bouger ses pions parmi ses affidés de l'opposition. Une reconnaissance accrue et de plus en plus de visibilité à toutes leurs revendications et messages leur sera accordé à travers ses médias de la propagande, juste le temps de trouver un terrain d’entente avec ceux qui ne cessent de l’enfariner d’un pré-carré à l’autre."

Depuis, la géopolitique et les luttes d'influences se mettent en place doucement mais surement. D’abord les déclarations du Commissaire Barroso et les vérités de Louis Michel, puis la publication de l'accord militaire Djibouti-France et cette semaine la LOI du 23 Mai (Lettre de l'Océan Indien) qui comme on le sait tous, tire ses infos des dépêches en provenance des ambassades françaises dans le monde, nous dit que : " Les diplomates et militaires américains à Djibouti s'intéresse au FRUD cherchant à évaluer le nombre des combattants du FRUD, le soutien dont le mouvement dispose parmi les Afar de Djibouti, d’Érythrée et d’Éthiopie, mais aussi son influence auprès des notables afar, et tout particulièrement ses liens avec le sultan de Rahaita, Abdoulkader Daoud, qui est interdit de séjour à Djibouti. Autre point que les responsables américains ont essayé d'élucider : les relations entre l’USN et ce mouvement armé."(Article dépêche LOI)

Afin de rehausser son rapport de force à Djibouti face à la nouvelle donne du 5 mai et les velléités américaines dans ce pré-carré, la France qui dans les années 90 a détruit le FRUD après avoir arrêté sa progression vers la capitale et sauver Gouled, tente de remettre le FRUD en selle. S’ils l’annoncent c’est que l’action et les contacts ont déjà été engagés.

Financeront et armeront la rébellion, récolteront toute information militaire sensible sur le groupe ; leurs effectifs, l’armement, les localisations géographiques, les stratégies de combat…etc

Les encourageront à des actions de guérilla semant l’insécurité dans tout le nord et le Sud, juste le temps de négocier et signer avec l’oncle Sam, une nouvelle entente de partage des influences à Djibouti. Ceci fait, dans le souci de démontrer aux américains leurs capacités à manipuler et broyer du nègre - avec les données cumulées sur la rébellion - la France viendra raser les repères des forces du FRUD, sans compter les dégâts et dommages collatéraux que les américains auront déjà occasionné avec les drones dans ces régions, au nom du terrorisme.

LA JUMELLE DE DJIBOUTI SUR LE GOLFE DE GUINÉE : LA GUINÉE ÉQUATORIALE

Le "Royaume" de Djibouti de la famille Gouled/Guelleh. Deux mots pour décrire mon pays : Le Chaos Social.

• 23 000 km2 et 820 000 habs,
• Une famille au Pouvoir depuis 37ans. Jamais citée par les médias merde mainstream et les officines français de la chasse au nègre récalcitrant au chapitre des BIENS MAL ACQUIS, pourtant cette famille et ces affidés investissent l'argent du peuple en Éthiopie, au Somaliland, au Kenya, en Afrique du Sud, au Yémen et les Paradis Fiscaux,
• Des richesses minières et surtout Pétrolières inexploitées peur que l'Arabie Saoudite se fasse la peau du dirigeant,
• Corruption - Détournement de fonds public - Népotisme - Incompétence généralisée chronique à tous les niveaux de la gestion d'État,
• Résultats de ce gâchis : 80% de chômeurs - 20% connectés au réseau électrique d'un autre âge - Famine - Soif - Réseau routier inexistant - Système de Santé Mouroir,
• Et Selon la dernière confession du dirigeant à la RTD ; l'Éducation serait incapable de produire jusqu'à des simples certificats de spécialisation selon la demande du marché de l'emploi de la seule base militaire et Cie US employant plus de 4000 étrangers.

La Guinée équatoriale d'Obiang Nguema. Un pays très loin de l'autonomie que Kadhafi avait procuré à la Lybie, mais tout de même sur la bonne voie.

• 28 000 km2 et 800 000 habs,
• Une famille au Pouvoir depuis certes 35ans et avant lui son oncle, mais celle-ci comparée à celle de Djibouti s'occupe du peuple, développe et investie dans le pays. Chose inacceptable aux yeux des rapaces "démoncratiques", d'où leur 1er rang de la liste du chantage politique des BIENS MAL ACQUIS, enfin c'est tout ce qu'ils purent leur reprocher à date, mais ils y travaillent, bientôt nous diront qu'il boirait du sang humain guinéen pour rester jeune,
• Un des rares pays des plus prospères du continent africain qui attise les intérêts loin au-delà de ses frontières et ou les richesses du pays profitent aux guinéens contrairement à d'autres,
• Un des plus importants revenus par habitant, classé tout simplement premier en Afrique au niveau du PIB nominal par habitant,
• L’un des plus grands receveurs d’investissements étrangers sur le continent.

Bourhan Bey (Abou Amin)

Djibouti : Aucune opposition digne de ce nom, que des mercenaires de la pensée unique et pirates de la chose publique.

Nous avons une terre à labourer, un vieux monstre cornu inutile au travail des champs et un village jamais capable de nourrir ses familles de plus en plus nombreuses. Cette population cherchant à sortir de cette impasse et tragédie récurrente, un petit groupe dénommé UAD puis USN, composé d'autistes, d'aveugles, d'opportunistes, de criminels et bandits de grands chemins notoires - qui n'ont rien pour soutenir leur thèse - se proposent de nous aider par le faux-choix suivant : « SOIT VOUS GARDEZ VOTRE MONSTRE QUI, NON SEULEMENT DÉTRUIT OU S'ACCAPARE LES PETITES RÉCOLTES MAIS QUI EN PLUS TERRORISE LE VILLAGE, SOIT VOUS FAITES CONFIANCE À NOTRE GROUPE USN ET ON VOUS TROUVERA LES SOLUTIONS. »
Nous leur demandons de faire part de leur projet : Comment ils comptaient s'y prendre, quels outils et quelles stratégies comptent-ils mettre en œuvre ?

Refus catégorique suivi encore, de : « FAITES FUIR CE MONSTRE ET TOUT IRA MIEUX. FAITES NOUS CONFIANCE ON CHANGERA. ET PUIS DE TOUTE FAÇON VOUS N'AVEZ PAS LE CHOIX, SOIT C'EST NOUS, SOIT LE MONSTRE. »

- D'autant plus qu'ici, le « NOUS » reste encore une inconnue, une surprise de dernière minute, une vision ou navigation à vue mère de toutes les dérives. Mais s'obstinent comme même à nous faire croire qu'ils maitriseront tout chaos éventuel, alors qu'ils sont déjà dépassés par les évènements actuels !!!

- La même mentalité coloniale : des laquais convaincus d’êtres les borgnes indispensables du royaume, ou nous serions selon eux, tous aveugles, ou des taureaux d’une corrida qui ne verraient que le rouge.

Un membre du village se clamant du PRIDE, la génération ayant le plus souffert des raccourcis, la piraterie et la traitrise de certains, rappelle à l'audience qu'en 1977 l'oncle du monstre actuel comme ce dernier en 1999, avaient tous tenu le même beau discours et qu'une 3ème naïveté de ce cru, ne serait plus une erreur ou de l'ignorance mais un choix auquel nous nous condamnerions tous et pour longtemps.
Exige donc, non pas de le croire sur parole ou de lui faire juste confiance, mais de faire appel à la mémoire collective et de nous comporter tous pour une fois comme des responsables, TELS LES ANCIENS AUTOUR DE L'ARBRE À PALABRE,

Djibouti : Pourquoi sceller uniquement les sièges de l’ARD et interdire ses réunions ?

Au risque de décevoir le génie de la lampe magique, je suis tenté de répondre à la question suivante sans le siphon émotionnel : Pourquoi sceller uniquement les sièges de l’ARD et interdire ses réunions ?

Si on y mêle l’émotionnel et les souvenirs macabres passés, certainement chacun pourrait se concocter une vérité à sa convenance, mais si on aborde l’équation par le seul calcul politique, une autre vérité émerge du lot, celle-ci plus urgente à la survie de ce régime donc forcément celle qui serait à la source de cette décision.

Débutons tout d’abord par l’évidence sans laquelle, tout ce qui suit serait sans fondement ou incompréhensible aux uns ou aux autres : L’ARD aujourd’hui se résume à une poignée d’électrons libres coupés de la base dissidente, par conséquent un parti sans militant ne peut en aucun cas nuire au rouleau compresseur d’un régime policier vieux de 37ans qui vient de recevoir le feu vert de l’oncle Sam pour mener sa répression tout azimut en toute quiétude. Donc, IOG ne craint ni l’ARD et encore moins l’USN.
Ce sont là des faits contestables que par ceux qui se plaisent dans la posture de l'autruche.

Le régime n'est pas aussi sans savoir que, sans l'ARD ; y a plus d'USN et la caution démocratique de façade part en fumée.
Sans Ahmed Youssouf et l'ARD que ce dernier a pris en otage, qu'est ce qui resterait du machin USN selon vous ?
En toute objectivité, hors de la complaisance et le carcan de la partisanerie : RIEN !!!

• Un parti dirigé par un criminel vomi par tous et qui à sa dernière célébration du clan, réunissait à peine 30 militants et encore....
• Un autre banni.
• Un autre pleinement fonctionnel au niveau municipal mais dont juste 2 dissidents usurpent le titre de propriété. Un clonage à la PND ou ces dissidents continuent de s'identifier comme les fondés de pouvoir d'un parti qu'ils ont quitté pour rejoindre l'opposition. L'incohérence rend fort à Djibouti !!!
• Un autre non légalisé à ce jour
• Et enfin le dernier une création d'IOG.

Y a rien là, empêchant Haramous de dormir en paix. Ce machin USN, étant en soi une coalition électorale passée date,

Djibouti : Le problème de fond du marasme politique dans ce pays

Le problème de fond du marasme politique dans ce pays n’est point la critique, ni la tyrannie fidèle à ses usages, mais ceux qui empêchent l’évènement d’une réelle relève politique basée sur des consensus et un projet de société viable et unificateur.

Ali Aras de l'ARD n'est que le Chihuahua de service a qui, ceux au sein de l'USN, dont la crédibilité et la sincérité mises à rude épreuve, n'osent plus s'exprimer en leur propre nom sur les sites sociaux, qu'à travers des proxys ou l'anonymat ; lui dictent ces slogans d'un manichéisme abscons.

Si pour Ali Aras, signer le même chèque en blanc qu'en 1977 est la seule SINCÉRITÉ acceptable devant soutenir aveuglement les pirates de la pensée unique, je m'y oppose catégoriquement par devoir, convictions et ma vision d’un réel changement de système de gouvernance au service de toute la nation et non juste d'une élite.
J'ai été contre le vide politique de l'UAD, Je suis aujourd'hui opposé au même ensemble vide et la même recette sous ce nouveau sigle USN.

Une erreur répétée n'est plus une horreur mais un choix. Nous refusons d'oublier l'histoire et ainsi condamner les Braves à revivre éternellement les mêmes erreurs pour faire plaisir à des aliénés de la politique coloniale.

Blâmer la critique et la liberté d’expression de ceux refusant de vous suivre dans la chute est en soi Aliyow ; un aveu flagrant de vos penchants pour le césarisme.

La répression et l'arbitraire servis à votre club USN, sont les fruits de vos choix politiques stériles, isolationnistes et l'imposture s'autoproclamant seul représentant de tout Djibouti, pour ainsi éclipser et dépouiller la vraie relève générationnelle de ses droits des plus fondamentaux à choisir ses représentants et faire valoir ses choix politiques.

Djibouti : TRAITÉ MILITAIRE FRANCE DJIBOUTI publié le 16 mai 2014

Le PRIDE publiait ce 8 Mai 2014 le document suivant, exigeant : Réforme de la Constitution et Divulgation de tout Accord entre Djibouti et tout pays tiers ayant une ou des bases militaires à Djibouti (Voir lien)

À ma connaissance, c'est le 1er accord militaire entre la France et un pays du continent rendu public, corrigez-moi si je me trompe amis Panafricain, mais c'est en tout cas mon 1er.

Est-ce un hasard ou encore nos prédictions qui se révèlent juste lorsque dans la chronique du 14 Mai 2014 nous affirmions : Le rapport de force et luttes d'influences entre puissances militaires dans les pré-carrés français, se transportent à Djibouti. Bientôt nous verrons la France faire bouger ses pions parmi ses affidés de l'opposition. Une reconnaissance accrue et de plus en plus de visibilité à toutes leurs revendications et messages leur sera accordé. (Voir lien)
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Décret no 2014-484 du 14 mai 2014 portant publication du traité de coopération en matière de défense entre la République française et la République de Djibouti (ensemble trois annexes), signé à Paris le 21 décembre 2011.
Publié ce 16 mai 2014 au JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE.

Quoiqu'il en soit, cette transparence ne peut que renforcer la confiance et la coopération. Nous étudions le document avant de commenter le contenu.

Bourhan Bey (Abou Amin)

Djibouti : « Soyons réalistes, exigeons la répression ! » ; Le nouveau raccourci USN. Provoquer le régime, faire couler le sang, semer la mort et Sésame s’ouvrira !

« Comme il n’est pas concevable de faire des omelettes, sans casser des oeux, on ne peut pas prétendre renverser une dictature sans effusion de sang. Dès lors, il en va de l’intérêt de l’opposition de provoquer le régime en appelant à descendre tous dans la rue pour le contraindre à déclencher une répression sanglante. Une telle stratégie sera gagnante dans les cas.» -- dixit Mohamed Isse, un des génies et conseillés du Club USN.

La nouvelle vocation du racolage trouve ;  faire des omelettes ou couler le sang et semer la mort, revient au même !!!

Essayons de rafraîchir la mémoire de nos amnésiques, affairistes et apprentis sorciers de la politique.

2 cas ou y a eu destitution du dirigeant :

En Égypte 2011 : 1146 morts dont 26 policiers et 9000 blessés. Moubarak est parti certes, mais l’Égypte est toujours en eau trouble. Une élection fraudée propulse Morsi au pouvoir, encore plus dangereux que Moubarak, finit lui aussi en prison et retour de l’armée. Un pat en avant et 2 en arrière.

En Tunisie 2011 : 338 morts et 2174 blessés. Ben Ali est parti certes, mais les islamistes de Londres y font toujours régner la terreur et le médecin Marzouki y protège les intérêts français.

2 cas ou malgré les morts, les dirigeants sont toujours en poste et roulent sur tapis rouge :

Au Gabon en 2009 : Élection présidentielle, bourrages d’urnes, répression, une 30ène de morts, Bongo fils succède au père avec la bénédiction de la France et règne toujours en maître absolu.

Togo en 2005 : Élection Présidentielle, bourrages d'urnes, des bulletins brûlés par l'armée, les togolais descendent dans la rue, résultats ; 21 morts et 163 blessés avant la campagne contre le coup d’État contournant l’article 65 de la Constitution pour permettre au fils Eyadema de succéder au père. 790 morts et 4 345 blessés entre le début de celle-ci et le 5 mai, sans oublier les 26 000 réfugiés fuyant cette répression. Eyadema fils est toujours au pouvoir avec la bénédiction de la France et règne toujours en maître absolu.

Le coup d'État en Ukraine : Un autre coup de force classique de l'OTAN ou l'ultime "piège de Thucydide" Sino-Russe, hostiles au statuquo ?

L'Art de concéder une bataille à ses frontières, pour gagner sans combattre la guerre universelle contre la Démon-Cratie du « Regime Change »

Stricto sensu, les Maîtres de Zhongnanhai et du Kremlin, espéraient-ils ce dernier rituel de l’impunité atlantiste et s’y sont-ils préparés, prévoyant jusqu’aux moindre détails les étapes graduelles bien réfléchies de leur stratégie, jusqu'à laisser-faire ou même faciliter le coup d'État à Kiev ; invitant Ianoukovitch à la fuite et l’armée à ne pas quitter casernes, ainsi mieux exposer cette malfaisance planétaire ?

Au-delà du tintamarre médiatique avec un peu de recul, la manière dont ce débâtent les maîtres de la terreur brute dans l’eau bénite russophone, malgré leur expérience en la matière et les fonds alloués, laisse penser que l'occident s'est pris les pieds dans un engrenage dépassant sa routine et son savoir-faire. Certains faits posent questions et nous interpellent à la réflexion.

• La facilité avec laquelle fut entrepris ce coup d'État dans un pré-carré à la frontière Russe malgré la signature d'un accord de partage du pouvoir la veille entre Ianoukovitch et les putschistes pro-OTAN,
• L'isolement dans le pays de ces derniers à l'Est comme à l'Ouest,
• Le silence des institutions de ce pays,
• Une armée de 150 000 militaires et 1 Million de réservistes aux abonnés absents avant/après le coup d'État,
• L'efficacité organisationnelle de la résistance civile pro-Russe dans l'EST et la neutralité de l'Ouest,
• La facilité déconcertante avec laquelle sont menés les référendums (3 en moins de 2 mois), récupérant la Crimée et ses gisements gaziers (Plus de 2 Milliards de M3) sans tirer une seule balle,
• En laissant chuter le Rouble ; des gains de 20 Milliards de dollars en quelques jours par l’État Russe récupérant au passage une grande partie des actions de grandes entreprises énergétiques russes qui étaient aux mains d’investisseurs étrangers dont des américains.
• Sur un investissement prévu de 40 Milliards dans le projet du gazoduc South Stream, en récupérant la Crimée, la Russie réduit le tracé de ce  gazoduc, économisant ainsi 20 Milliards sur 40.

Cette liste non-exhaustive n’est que la partie apparente de l’iceberg, et nous avons éventuellement

Djibouti : Le rapport de force et luttes d'influences entre puissances militaires dans les pré-carrés français, se transportent à Djibouti

Avec la mondialisation de la terreur et la redistribution des cartes dans la géopolitique mondiale, aucune Nation et domaine n'échappent aux stratégies des influences consistant à promouvoir et utiliser tout potentiel diplomatique, économique, informationnelle, militaire, jusqu'à l'emploi de groupes paramilitaires, forces obscures et néfastes, le tout au service d'intérêts étatiques incluant bien sûr, ceux des multinationales.

Cette lutte d'influence fait partie de notre environnement quotidien que nous le percevions ou pas dépend de nos facultés de compréhension et d’analyse des enjeux. Cette réalité permanente est véhiculée à travers multiples supports et modes d’actions, l’apanage d’une communauté restreinte de penseurs, stratèges et lobbys sans lesquels tout décideur sans cette vision complète des enjeux ne peut que naviguer à vue et devient dès lors une proie facile.

Si ce jeu d'influences à Djibouti entre la France et les USA était faussé ou feutré à ce jour, rassurez-vous, il l'est plus depuis le 5 mai 2014. L'accueil en grande pompe d'IOG à Washington, les présentations d'armes et étendards, visite et dépôt de fleurs sur la tombe du soldat inconnu à Arlington, réception au pentagone par le secrétaire à la Défense des Etats-Unis et le Chef d'État-Major de l'armée américaine, puis signature d'un bail à $63M ouvrant la voie à l'ajustement des autres loyer des bases étrangères à Djibouti ; cette rare mise en scène de haute voltige diplomatique, vient de changer la donne.

L'usage de milice contre l'opposition, ayant fait plusieurs blessés à Djibouti depuis le 3 mai, la veille de cette visite à Washington du dirigeant, n'est point anodin ni un hasard, mais plutôt la marque d'un mode opératoire, pour ceux qui suivent les évènements dans le monde, hors du prisme de l'info casher TV. La terreur des printemps Arabes ou celle dans le style de Kiev a été autorisée et bénite à Djibouti. « En politique, rien n'arrive par hasard. Chaque fois qu'un évènement survient, on peut être certain qu'il avait été prévu pour se dérouler ainsi. » - disait Franklin Roosevelt, Président US.

Djibouti : Le hasard agence tellement bien les intérêts entre le régime et le Club des légalisés

Le 12 Mai, jour où les dissidents de l'ARD comptaient profiter de la commémoration d'un accord jamais entré en vigueur, pour lancer la procédure d’élection d’un nouveau Président à la place de l’autoproclamé sans mandat ; le régime vient à son secours  en dispersant les militants.

Combien de meeting l’USN a tenu depuis février 2013, des 10ènes mais sans conséquence aucune, alors que cette fois l’édifice du mensonge et la manipulation des masses risquait de s’écrouler avec la destitution d’Ahmed Youssouf - le collabo et apôtre de l'administration indirecte du prête-nom – si remplacé par un, qui commencerait à poser trop de questions et demander des comptes au Club des laquais du changement dans la continuité, dont le programme débute ainsi par l'Article 1er : « Mettre l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. Ainsi l’égalité des chances est garantie.» :-)
Le genre de génie en conformité avec les valeurs et critères du profil de l'emploi dans les colonies.

• Hier, ils voulaient reformer la constitution passoire, aujourd’hui veulent la distribuer et la faire apprendre par cœur aux jeunes.
• Hier et durant plus d’une décennie ont boycotté toutes les élections faisant le vide face à IOG, au nom du non-respect de 9 conditions qui aujourd’hui ne sont plus d’actualité.

Non seulement aucun d'eux ne souhaite changer un iota au système actuel mais en plus ils nous prennent tous pour des idiots qui s'en apercevront jamais.

Par conséquent, soulever un peuple, les envoyer à la mort pour en bout de compte substituer le mal dont ils souffrent par un autre - la peste par le choléra - n’est aucunement dans mes ambitions ni mes valeurs.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)

Djibouti : Après la stratégie du victimaire, celle de la Terreur pointe son nez. L’ARD mandaté à briser le champagne du nouveau navire de la Piraterie USN.

Ce parti étale sa devise au grand jour : « VOUS ÊTES AVEC NOUS, SOIT VOUS ÊTES PASSIBLE DE CRIME CONTRE L’HUMANITÉ » et si dorénavant les militants de l’ARD osaient remettre en question l’illégitimité d’Ahmed Youssouf, son excellence président sans mandat, sa sera « LE PAS RUINANT TOUTE CHANCE DE RÉCONCILIATION NATIONALE,  UNE OUVERTURE VERS L’ANARCHIE TOTALE»…Tremblez militants ingrats, fossoyeurs du culte du sauveur de la nation et l’homme providence !!!

Tout compte de la crédibilité vidé, ceux de la légalité bafoués, Ahmed Youssouf LE PRÉSIDENT SANS MANDAT DE L’ARD, se paye un nouveau porte-parole plénipotentiaire en la personne de Ali Arass - l’agité du Club USN – qui vient confirmer aux militants de ce parti, la vraie nature  totalitaire de la troupe autoproclamée représentant de tout Djibouti.
Au sein d’une sphère vaccinée contre toute vision nationale et intelligence constructrice, le manichéisme ne pouvait que, s’ériger en seul maître de cette espace aseptisé vers la seule succession d’IOG. Personne par conséquent, n’a le droit ni l’autorité de les forcer à réfléchir ou consulter qui que ça soit, au risque de se faire traiter de tous les crimes de la terre.

Écouter  les doléances des militants d’un parti, dont la très très grande majorité dénonce les dérives de la direction actuelle, demande la tenue d'un congrès reporté depuis la mi-2000, exige qu'on fasse la lumière sur le sabotage d'une procédure en justice dans le massacre d’Harhiba, selon ce nouveau porte-parole  ; REVIENDRAIT À « VOULOIR LA DESTRUCTION DE L'ARD » et donc précise-t-il « UN CRIME CONTRE L’HUMANITÉ, UN PAS RUINANT TOUTE CHANCE DE RÉCONCILIATION NATIONALE,  UNE OUVERTURE VERS L’ANARCHIE TOTALE». Je ne savais pas que les Braves étaient en guerre pour que l’ARD cherche à les réconcilier, si j’ai raté un épisode, de grâce contribuez à ma culture.

Non c’est pas tout, reste la cerise sur le gâteau validant cette nouvelle stratégie de la manipulation étudiée en long et en large en psychologie, consistant à culpabiliser, déstabiliser et subjuguer les victimes. Ces pirates vont jusqu’à hisser le pavillon de la peur en nous rappelant les dégâts causés  par le conflit de 91, comme si nous en étions tous responsables.
Et si ce rouleau compresseur de la manipulation et la terreur ne suffisait pas, qu’on doutait encore des motivations d’Ahmed Youssouf, le collabo du colonialisme et du changement dans la continuité, ou même de sa légitimité à vie, alors nous font-ils savoir sournoisement, qu’ils n’hésiteront pas à aller chercher le défunt Ahmed Dini dans sa tombe.

Djibouti : Doucement mais surement, le mouvement du PRIDE pose ses jalons et sa vision politique

Document du 26 mars 2014

“ Under the new agreement, Washington would pay $63m annually for Camp Lemonier. The deal represents a major increase in rent, as the US reportedly pays $38m a year under the current lease.”

D'abord une précision loin d’être anodine, produite par IOG dans sa dernière entrevue avec J.A, ou il déclare :
J.A : Susan Rice, est venue vous rendre visite début mars. Avez-vous négocié avec elle une augmentation du loyer de la base américaine ?
IOG : « (...) En ce qui concerne le loyer, nous sommes déjà passés de 30 à 38 millions de dollars pour 2014.»
Question pertinente du PRIDE : Si au 1er avril 2014, date de l’annonce, IOG avait déjà son augmentation de 2014, pourquoi une 2ème, 5 semaines plus tard ?

Selon nos sources, 2 facteurs sont à la base de ce virage, dans cet article, nous attirerons l’attention de nos militants et lecteurs sur l'un des 2 facteurs et le montant de $63m.

Dans l'armée américaine, on dit qu' : « Une fois, c'est un hasard. Deux fois, c'est une coïncidence. Trois fois, c'est un complot.»
À la 3ème nos détracteurs du Club USN vont éventuellement nous accuser de connivence avec IOG, à défaut de dévoiler leurs propres visions.

• Le hasard fut ; le décret présidentiel, portant nomination des membres de la commission nationale indépendante pour la prévention et la lutte contre la corruption, inspiré de la proposition du PRIDE en date du 31 fév 2013.
• La coïncidence cette fois ; l’augmentation du loyer de la plus grande base militaire étrangère à Djibouti, inspirée encore sans doute, des questions et comparaison du PRIDE, avec le loyer de la base américaine de Bishkek, document en date du 26 mars 2014 en image.
• Nous attendrons celle du complot…

Entre temps, le seul problème de ce nouveau loyer, selon le PRIDE est que les américains ont juste égalé le loyer de la base de Bishkek, qui elle ne couvre qu'une superficie de 37 acres, alors que celle de Djibouti est 14 fois plus grande avec 500 acres. À moins qu’IOG ait négocié d’autres dispositions compensatoires, d’où l’intérêt exprimé dans l’article de ce matin, appelant à rendre public tout accord militaire ratifié.

Djibouti : Réforme de la Constitution et Divulgation de tout Accord entre Djibouti et tout pays tiers ayant une ou des bases militaires à Djibouti

Nous sollicitons tous les braves à s'engager et promouvoir cette initiative si conforme à leurs convictions.
La politique est l'affaire de tous chers compatriotes.
Lorsque le citoyen confie aveuglement son destin aux soins d'une élite politique autoproclamée représentant de tous, se réveille tôt ou tard pris en otage.

A - Réforme de la Constitution de 92 et tout amendement ultérieur (Suivant les propositions du PRIDE en date du 31 mars 2014)

En vertu de l'Article 91 du Titre XII de la Constitution révisée : L'initiative de la révision de la Constitution appartient concurremment au président de la République et aux députés.
Pour être discutée, toute proposition parlementaire de révision doit être signée par un tiers au moins des membres de l'Assemblée nationale.(...)

Le PRIDE demande aux membres (UMP & USN) de l'Assemblée Nationale à soumettre une proposition parlementaire de réforme de la Constitution de 92 avec tous ses amendements ultérieurs à cette date. Cette proposition de réforme acceptée, de procéder à la formation d'une commission autonome et indépendante de l'exécutif dont :
- Les membres composés à parité égale entre l’UMP au pouvoir et les leaders de l’opposition politique, légalisés ou pas,
- Le président de cette commission doit être le reflet du réel changement auquel nous aspirons tous, un candidat du consensus membre de l’opposition,
- La version finale de la nouvelle constitution, présentée avant la fin 2014 ; à l’assemblée Nationale, au conseil constitutionnel et à l’exécutif,
- Ratification de la nouvelle constitution selon les futures dispositions prévues en son sein.

B- Divulgation de tout accord entre Djibouti et tout pays tiers ayant une ou des bases militaires à Djibouti, en vertu de l’article 70, 61, 63 et aux noms des droits et devoirs de tout citoyen édictés ci-dessous.

LES DROGUES ET L’ÉTAT COUCHENT OFFICIELLEMENT DANS LE MÊME LIT

Y a un temps l’alcool et le tabac étaient interdit, puis trouvèrent un moyen de les légaliser, renflouèrent exponentiellement les caisses de l’État et les comptes des gros producteurs malgré les chiffres officiels suivants :

• Le tabac est l'une des causes les plus importantes de décès dans le monde ; Ce fléau tue une personne à toutes les 6 secondes (compteur : http://goo.gl/NIhaZG) et environ 6 millions par an. Si le niveau de tabagisme actuel persiste, ce sera 10 millions de morts par an à partir de 2020. Le tabac, qui a fait 100 millions de morts au XXe siècle, pourrait en faire 1 milliard au XXIe siècle. Les décès dus au tabac pourraient atteindre 8 millions par an en 2030.
• 4% à 9% des décès dans le monde sont dus à l’alcool. Ce fléau tue plus que le sida, que la tuberculose ou encore que la violence, avec 2,5 millions de décès chaque année, surtout chez les jeunes de 15 à 29 ans. Ce taux grimperait à 9% selon le récent rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) intitulé « Global Status Report on Alcohol and Health ».

Aujourd’hui c’est le tour des autres drogues à commencer par le cannabis, ceux interdits à ce jour, non pour préserver la santé des contribuables, mais plutôt :

1. D’abord, ils n’arrivaient à ce jour à endiguer les gros cartels privés de ces drogues, aujourd’hui on s’est donné les moyens. Les gros bonnets de ces cartels, du moins les plus connus, sont soit assassinés ou détenus, soit en fuite et fichés « Terroristes », leurs circuits démantelés ; le tout géré soit directement par des organisations charitables sous contrôle de l’État soit quasiment sous tutelle des services secrets. La chasse aux petits dealers et revendeurs sera dorénavant sans merci.
2. Ensuite, ils manquaient d’un moyen efficace rentabilisant en toute légalité ces drogues dures. Aujourd’hui c’est fait, on achètera le cannabis chez le détaillant certifié du coin, soit directement à une machine dans le style distributrice de boissons ou de condoms et le tour est joué. Un autre robinet de Milliards s’ouvre aux oligarques et les lobbys des guerres. Comme tout chaos est toujours profitable à quelqu’un quelque part, les Médias ne sont pas en reste, auront plus d’horreurs à diffuser, nous distraire sur les drames sociétales de ce nouveau fléau légalisé et nous soustraire quelques larmes d’impuissance, à chaque info du soir.

Bourhan Bey (Abou Amin)

Odessa des dizaines de civils enfermés et brulés vifs dans la maison des syndicats, et ceux qui tentaient de fuir les flammes aux fenêtres, tombaient, tirés comme des pigeons à balles réelles

L’ancien Président Ianoukovytch, oui, l’infâme dictateur selon l'OTAN, mais n’empêche l'élu de ceux qu'on massacre au nom du terrorisme, celui qui refusait de signer le diktat de l’UE, lui n'avait jamais osé lancer l'armée sur les paramilitaires et snipers qui tuaient et brulaient la capitale Kiev.

Tandis que les gentils putschistes qui depuis ont tout naturellement signé cet accord avec l’U.E, sans consulter en passant, ceux qu'ils massacrent, reçoivent la bénédiction de tuer, de la bouche même d’Obama : « Kiev a le droit de maintenir l’ordre dans le pays.»  -- Trouvez l'erreur !!!

Autoriser des tueries par ce cynisme d'une profondeur qui donne froid dans le dos, on peut se demander légitimement si le même ordre ne s’applique aux dirigeants africains, d’où le passage sous silence de la situation chaotique à Djibouti ce 5 mai 2014.

Si NON, alors Obama le constitutionnaliste, qui prônait des institutions fortes plutôt que des hommes forts, devrait donc nous expliquer :

• D'abord, sur quel droit, charte, convention, traité ou même éthique se base-t-il pour valider qu'un gouvernement de putschistes ayant formé un gouvernement "par intérim" sans le consentement du peuple en renversant des élus et un ordre constitutionnel, puisse utiliser les forces armées contre une population traité de terroriste pour avoir refusé de cautionner l'arbitraire et l'illégitimité ?
• Puis par quelle autorité ce régime, qui au plus devrait se limiter à la préparation d'élections libres, peut-il s'adjuger le droit de signer avec qui que ça soit des documents engageant toute la nation, ou bien d'interdire des partis politiques établis et leur choix de se porter candidat à la prochaine élection ?

Par cette locution de César « Veni, Vidi, Vici » au lynchage du Leadeur Libyen, Mme Clinton voulait-elle par le burlesque nous révéler la culture du césarisme à Washington-Dc ?

Djibouti : President Obama's Bilateral Meeting with President Guelleh of Djibouti

La partie publique de l'échange devant la presse entre l’hôte et son invité se résume à la stricte courtoisie diplomatique, le reste entièrement sur les intérêts US dans la région et le faux étendard de la promotion de la sécurité et la démocratie en Afrique, pas un mot ne serait-ce une référence implicite à la crise politique que traverse notre pays.
Amère déception pour ceux qui s’attendaient à un charivari de remontage de bretelles, dans l'état actuel d’insignifiance de la dite opposition.

On n’influence guère une puissance militaire en rangs dispersés qui en plus de sa présence sur le sol djiboutien, est à l’écoute de tous nos échanges, par conséquent au courant des ambitions des uns et des autres, de ces dinosaures autoproclamés représentants de RIEN.
Mais je suis confiant, d'un échec à l’autre, un jour peut-être, on reviendra à la proposition du PRIDE qui traine sur la table depuis des années : ASSEYONS-NOUS ET DISCUTONS TOUS, AUTOUR D’UNE TABLE…

Même après toutes les guerres inutiles, la victoire vers le consensus national n’aboutit qu’autour d’une table, sans les armes.
Le changement radical à Djibouti, devra passer par ce dialogue qui nous fait tant défaut, la concertation et une feuille de route consensuelle sur l’après IOG et non le culte sauveur de la Nation. Ceux qui souhaitent nous bercer avec leur délire de meeting devant une 100ène de mineurs et l’isolement refusant catégoriquement d’élargir le cercle des matières grises, SE TROMPENT ROYALEMENT ET NOUS ONT DÉJÀ FAIT PERDRE UN TEMPS PRÉCIEUX DEPUIS LE 22 FÉV 2013.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)

Djibouti : Subornation de témoins, dissimulation de documents d’une procédure en justice contre le régime, trahison & manigances criminelles et la complicité passive des membres de l’ARD

1 an et 6 mois déjà et aucune clarification produite à ce jour par la direction de l'ARD sur une question aussi grave que la subornation de témoins et dissimulation de document dans une cause criminelle ayant fait 59 morts et 300 blessés.

L’ARD comme parti, semble paralysé devant la déficience du règlement interne n’ayant prévu aucune procédure de règlement d’une telle crise de confiance, d’où l’impunité et le sentiment de quelques individus d’être au-dessus des lois. La même culture chère au régime mais, ils vous diront qu’ils sont porteurs d’une alternative.

Il ne fait aucun doute, si on se fie à la déclaration sur l’honneur de Cassim Dini, datant du 14/12/2012, ou il confirme avoir eu ce document entre les mains dans la voiture du secrétaire général de l’ARD le 18 décembre 2011, la direction de l’ARD a donc bien reçu et ensuite dissimulé ou détruit des documents essentiels à la poursuite en justice du régime IOG.

Si cet acte n’est pas une trahison envers les martyrs et leurs familles d’une part, et tous les membres de l’ARD, je ne saurai dire ce qui l’est. Un crime perpétré aux noms de tous les membres du parti, la culpabilité ne serait-ce qu’au sens moral, est et sera donc, partagée entre tous.

Devant ce risque d’inhaler tout le parti dans ce trou noir de la malfaisance et cette immoralité piétinant les morts pour des considérations politiciennes : J’en appelle à tous les militants de l’ARD -- dont le parti comme tel se résume aujourd’hui aux décisions de coulisse d’une poignée d’hommes déconnectés de leur base militante -- à assumer leurs responsabilités individuelle, comme membre de ce parti en se dissociant de cette direction, à moins de se faire complice de ce crime abject envers la mémoire des martyrs d’Harhiba.

Djibouti : Le vent est en train de tourner et la ferveur des populations pour le changement vire au défaitisme. Remercions le Club USN pour ce génie politique ou l'UMP regagne du terrain

L'UMP REGAGNE DU TERRAIN

Selon un dicton tibétain : « Il n'y pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir».
Pendant que les équilibristes claniques et les indignes de la dite opposition de basse-cour nous bercent d’illusions d’un Obama qui apparemment selon la nullité politique et la démence intellectuelle de ces agités, aurait convoqué IOG à Washington, afin d’encourager un quelconque processus démocratique, une première dans les annales de l’histoire, ou on sait tous la nature des alliés que préfère et soutien l’Amérique, le vent lui, commence à tourner à Djibouti.

Coïncidence vous diront les stratèges sans aucune stratégie, contrairement à tout politique averti : Une journée d'amitié djibouto-américaine du 03 au 05 mai 2014, organisé par le petit Chihuahua Badoul, appelant les soldats US du Camp Lemonnier à y participer, illustre de la complicité et l’entente cordiale entre le régime IOG et les américains. De là à penser qu’Obama à convoquer IOG pour une leçon de démocratie, tient tout juste du délire.

Face à cette duplicité d'une part et la paralysie du processus démocratique au sein même de l’opposition par les traites légalisés du régime, le momentum des législatives de 2013 et la ferveur des populations pour un changement radical du système est en train de virer, au défaitisme et le retour au bercail vers les mal élus de la République et l’illusion de la paix sociale, faute de réelle alternative concrète et rassurante dans la relève.

JE PERSISTE ET SIGNE JUSQU’À PREUVE DU CONTRAIRE QUE LES ENNEMIS DES BRAVES, SE CACHENT NON PAS À HARAMOUS, QUI LUI NE PROFITE QUE DU VIDE EN FACE, MAIS LES LOUPS DÉGUISÉS EN AGNEAU AU SEIN DU CLUB USN. LE JOUR OU ON AURA RÉGLÉ NOS COMPTES AVEC CETTE DIRECTION DES TRAITRES À LA NATION, IOG ET SES SOUTIENS NOUS PRENDRONT UN PEU PLUS AU SÉRIEUX, ET LA LOCOMOTIVE DU CHANGEMENT SE METTRA EN MARCHE…

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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)

Djibouti : SUITE À L'ARTICLE CI-DESSOUS DU 1 MAI, UN COMPATRIOTE NOUS POSE LA QUESTION SUIVANTE AVEC TOUS SES SOUS-ENTENDUS ET PROCÈS D'INTENTIONS

Mohamed Isse : Le PRIDE serait-il finalement réduit à applaudir les gesticulations de la dictature et à encourager celle-ci à persévérer dans la politique de faire semblant qui a toujours été son sport favori ? Naïveté, erreur politique ou un clin d'œil tout simplement ?

RÉPONSE :

Sur la forme comme le fond votre question cher Mohamed Isse, soulève le vrai malaise du vide politique au sein de cette opposition de pacotille et le nanisme de ses agités.

Pour répondre à votre question : Mon cher compatriote, ce n’est n’y de la naïveté, ni une erreur ou encore moins un clin d’œil à qui que ça soit, mais tout simplement la même cohérence avec le même recul et la hauteur qui vous font tant défaut.
Un réalisme politique en Santé physique et psychologique inspiré du latin « Mens sana in corpore sano » c’est-à-dire la lucidité d’un esprit sain dans un corps sain.

Forcement les dits génies de la politique avec la tête entre les cuisses de Jupiter, trop habitués à se tirer entre les jambes ne peuvent que l’interpréter dans votre sens.

Ceci dit, je suppose que vous allez à votre tour prendre la peine de m’expliquer :

--    Pourquoi l’excellent projet que mon mouvement proposait le 10 Fév 2013 en début de campagne électorale, à la future législature qu’elle soit USN ou UMP, devrait-il devenir mauvais dès qu’il serait mis à l’œuvre par l’un de ceux à qui nous le proposions ? – C’est à quoi il me semble, se résume pour vous, faire de la politique : Saborder votre propre idéal ou tout autre initiative, avec tout le potentiel de faire avancer la société dans son ensemble, aussi longtemps que ce n’est pas vous le maitre d’œuvre…

--    Mais sur le fond, dites-moi cher Mohamed Isse : Est-ce notre soutien à un projet National – dont il est bien mentionné dans l’article que nous nous réservons le droit de regard sur la mise en place, la composition et l’application -- qui vous ulcère au point de me prêter vos titres infâmes et sous-entendus perverses, ou est-ce, votre précarité intellectuelle qui refuse de concevoir un parti politique dont les idées sont reprises par le même régime dont il est l’un des plus virulents critiques depuis des années ? – Dans ce cas, c’est votre propre insécurité dépourvue de toute vision politique, qui posait la question et non le bien fondé de notre soutien au projet.

Cordialement,
Bourhan Bey (Abou Amin)

Djibouti : Projet de Décret portant nomination des membres de la commission nationale indépendante pour la prévention et la lutte contre la corruption

Le PRIDE pose ce soir une question cruciale :

• Après 37ans d'inaction dans ce domaine et juste 1an suivant nos propositions du 10 Février 2013 ; Serions-nous à ce jour, le premier mouvement de l'opposition djiboutienne à inspirer ou même influencer dans le bon sens, une action politique du régime IOG ? (La Nation)

Si Oui, en bons démocrates, tout en restant vigilant dans la mise en place et l’application de cette initiative, en citoyen responsable on se voit dans l’obligation d’appuyer tout progrès et projet politique profitant à la Nation et sa bonne gouvernance.

Le 10 Fév 2013, 2 jours après le lancement de la campagne des législatives, le PRIDE soumettait déjà 4 grands projets à la future législature.
Ce soir nous encourageons ce gouvernement et l'assemblée Nationale à reconsidérer les 3 autres propositions du PRIDE (Extrait) :

Quelle que soit l’issue et la configuration de la future Assemblée Nationale, la direction et tous les militants du PRIDE exigent des futurs députés :

1. De mettre fin à l’insignifiance de cette Chambre et les contraintes de scribouillards auxquelles les précédentes législatures ont été restreintes, en assumant pleinement leur rôle de représentants du peuple.
2. De règlementer, resserrer la méthodologie des contrôles et sévir dans la gestion des fonds publics en conférant plus de pouvoirs aux structures actuelles dont la Cour des Comptes et la création d’une commission interministérielle indépendante et compétente dans les audits.
3. La création d’une brigade anti-corruption et tout crime contre l’État : Sous la tutelle d’une commission d’enquête parlementaire mixte paritaire entre les élus de l’opposition et l'UMP. Cette brigade composée de gendarmes, policiers et inspecteurs sans allégeance politique, efficients dans leurs champs de compétences, des enquêtes aux poursuites en justice, assurera la coordination des actions de prévention et de lutte contre la corruption et les crimes d’État.
4. La suspension immédiate du remboursement de la dette, le gel des intérêts et la réalisation d’un audit de la dette publique de Djibouti. Cet audit doit associer la société civile et tous les partis politiques légalisés afin de comprendre les circonstances entourant la conclusion de ces prêts, leur utilisation, d’identifier les responsabilités et déterminer la part odieuse : celle qui doit être annulée sans condition.

(Détails Voir document : Blog du PRIDE  ---  Article Page du PRIDE )
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)