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BIENTÔT, DJIBOUTI AUSSI DIRA "NON" AU NÉPOTISME DE L’ADMINISTRATION INDIRECTE DU PRÊTE-NOM.
"LA LIBERTÉ N'EST JAMAIS ACCORDÉE DE BON GRÉ PAR L’OPPRESSEUR ; ELLE DOIT ÊTRE EXIGÉE PAR L'OPPRIMÉ." -- MLK
DJIBOUTI : REFORMONS L'OPPOSITION AFIN DE POUVOIR UN JOUR REFORMER L'ÉTAT
NOUS CONVIONS CET ÉTÉ 2014, TOUTE L'OPPOSITION À DES ÉTATS GÉNÉRAUX

30 novembre 2011

Refoulé en Libye, Ocampo veut sauver sa peau avec Gbagbo

Le monde entier a été surpris d’entendre le procureur Luis Moreno Ocampo déclarer à Tripoli que la Cour pénale internationale renoncerait à juger le fils de Kadhafi relativement au traité de Rome qui accordait la priorité de poursuite aux juridictions nationales. Qu’en sera-t-il du cas du président Laurent Gbagbo dont la justice de son pays est actuellement mieux organisée que celle de la Libye ?

1- La Lybie, un pays détruit, une justice inexistante

La guerre de Libye a duré plus de dix mois au cours desquels toutes les administrations ont été détruites et particulièrement l’administration judiciaire : les locaux qui abritaient jadis les tribunaux sont en ruines ; les magistrats dont les plus gradés ont servi le régime du guide pendant quarante ans sont tous en exil ; le barreau n’existe que de nom parce que les avocats ont fui la guerre pour chercher des clients à l’extérieur.

C’est dans ces conditions marquées par une absence notoire de justice que la Cour pénale internationale (CPI) avait lancé au début de la répression contre les populations civiles, des mandats d’arrêts internationaux contre certaines autorités libyennes parmi lesquels Saif-al-islam, le fils de Kadhafi. Cette décision de la juridiction internationale avait été saluée en son temps par l’Union européenne, le Canada, les États-Unis et les rebelles libyens regroupés au sein d’un Conseil national de transition (CNT).

Dix mois après, le constat est que le guide libyen a été atrocement tué par les rebelles dans des conditions troubles qui ont émues tous les fils du continent africain mais qui ont paradoxalement enchanté les chefs d’Etats des pays occidentaux, à la grande indifférence des juges de la Cour pénale internationale. Le fils de Kadhafi vient d’être arrêté et, le procureur de la CPI parti à Tripoli dans le but de négocier les conditions de transfert du prisonnier à la Haye a essuyé le refus catégorique des nouvelles autorités libyennes qui ne sont autres que celles qui avaient applaudi l’émission du mandat d’arrêt quelques mois plus tôt.

COMPRENDRE L’INCULPATION DU PRESIDENT LAURENT GBAGBO PAR LA CPI ; de Jean-Paul Pougala

Comment comprendre l'inculpation du Président Laurent Gbagbo de Côte d'Ivoire par la Cour Pénale internationale ? Je vous mets ce petit passage extrait du nouveau livre en préparation qui reprend tous les articles et Editoriaux que je publie régulièrement et qui sera dans vos librairies en Français et en Anglais dès le début d'année :

"Dans l'empire Romain, le mot "Dictateur" désignait un Magistrat souverain qu'on nommait dans des circonstances critiques pour rétablir la paix. Aujourd'hui, ce mot désigne un chef qui exerce un pouvoir absolu et de façon arbitraire. Dans les deux cas, que ce soit dans la période de l'empire romain que de nos jours, il y a une condition commune, c'est que le "dictateur" a un pouvoir souverain et ensuite qu'il a la liberté de l'exercer. Le vrai dictateur a un cahier de charges, il a une vision qu'on peut partager ou non, mais il a un idéal de société et c'est pour atteindre cet idéal qu'il est certainement obligé de passer par des raccourcis détestables. On l’a vu en Russie avec Staline, en Chine avec Mao.

Ceux qu'on désigne pour "dictateur" en Afrique ne correspondent jamais à ce cas de figure, puisqu'il ne bénéficie de cette dénomination que le jour où il décide finalement de cesser de s'occuper des lobbys occidentaux pour s'occuper de son peuple; que lorsqu'il décide de remettre en question le statu quo des contrats injustes d'exploitation des ressources minières de son pays.

En Afrique, les présidents décrits comme démocrates et aimés par l'Occident sont ceux qui baissent leur culotte à cet Occident, comme l'a dit l'ancien Président Lula aux Chefs d'etat Africains lors du sommet de l'Union Africaine a Malabo, en Guinée équatoriale en Juillet 2011. Tant qu'un Président Africain baisse son pantalon et laisse l'occident faire tout ce qu'il veut, il peut faire 100 ans de pouvoir, jusqu'à ce que l'Alzheimer l'immobilise et ensuite il cède sa place à son fils, l'Occident continuera à applaudir à dix doigts.

23 novembre 2011

"Printemps arabe" : Un succès, de nombreux échecs ? -- Par Tariq Ramadan

23 Nov 2011 - Tariq Ramadan : ""Nul ne peut le nier : la Tunisie s’achemine vers un meilleur avenir. Après le soulèvement et le rejet par le peuple de tout compromis avec l’ancien régime, on a organisé des élections particulièrement transparentes. Le parti islamiste a gagné en remportant plus de 40% des suffrages et est maintenant prêt à jouer un rôle de premier plan dans le nouveau gouvernement. Le résultat - que nous partagions la vision politique des islamistes ou non - prouve que le pays s’est libéré et que l’Occident ne contrôle plus les dynamiques de la politique nationale tunisienne. Nous assistons à la réalisation pleine et entière du premier soulèvement arabe : la dictature est révolue ; nous ne reviendrons jamais en arrière ; la Tunisie est libre. Un succès - et une invitation à célébrer ce que de nombreuses personnes appellent le “printemps arabe”.

La Tunisie est le premier pays - et pourrait bien demeurer le seul. Où que l’on se tourne au Moyen Orient et en Afrique du Nord, les choses semblent moins claires, et moins accomplies. En Egypte, l’armée est toujours aux commandes ; malgré les élections à venir, ce à quoi nous assistons ressemble chaque jour davantage à un coup d’Etat militaire. Des officiels américains ont évoqué cette possibilité au mois de février lorsque Moubarak quitta le pouvoir ; ils semblent qu’ils avaient raison. Les Américains ont peut-être bien laissé tomber Moubarak, mais ils n’ont jamais été bien loin des officiers et de leur nouveau pouvoir. Le peuple rassemblé sur la place Tahrir appelait à davantage de justice et de liberté. Moubarak est parti alors que le régime militaire commençait à montrer des signes de faiblesse. Dix mois plus tard, il est loin d’être renversé. Le pays est sous contrôle et le Conseil Suprême des Forces Armées (CSFA) a la main mise sur le destin de l’Egypte. L’influence et la présence américaines s’avèrent décisives. Même si, à la fin du processus, un civil tel que Mohammed el Baradei pouvait être élu, l’appareil militaire ne permettrait jamais au régime d’aller trop loin dans le sens de la transparence, de la liberté et de la démocratie (essayez donc d’imaginer où l’Armée se tiendrait au sein de la nouvelle structure politique !). Il n’y a pas eu de révolution en Egypte.

15 novembre 2011

Djibouti : Les indignés du PRIDE exposent l'insolence de l'imposture et les propos outrageux envers des citoyens d'une République devenu la propriété privée du népotisme.


Ce soir en finalisant la rédaction de l'article ci-dessous, j’ai été invité à prendre connaissance d’un document anonyme sur le parcours politique d'IOG, cette description de l’homme explique ma foi, son comportement d’insignifiant, rongé par ce complexe d’infériorité et je cite : "" Il voulait la fonction dans le seul but de s’élever au dessus des responsables de son sentiment d’infériorité. C’est ce sentiment, en règle générale, qui inspire son caractère et sa propension à dévaloriser les autres y compris les siens pour rehausser sa propre valeur...(...)...Avant d'accéder au pouvoir, IOG était qualifié par l'occident de "totalement corrompu, affairiste, ambitieux, sans aucun scrupule morale ou humaine"" --- QUEL BEAU TABLEAU, ET DIRE QUE CETTE ÉTROITESSE D'ESPRIT À OCCUPÉ LA MAISON BLANCHE DURANT 35 ANS !!!

Jour de l’Eid Al Adha du 5 nov 2011,

La fête la plus importante de l’Islam, symbole de la soumission totale du Prophète Ibrahim (AS) ; une journée de culture de la compassion, l’espoir, et le pardon. C’est cette journée bénie du ciel, dans la peau d’une victime innocente, que le satrape IOG choisit de rafraichir son teint.
Juste le temps d’un discours à la Nation, débarrassé de la cagoule du bourreau, crédité par la présence des corps diplomatiques et ses applaudimètres, exposant sa caricature devant des versets du Saint Coran dans un cadre à ses dimensions, transfuse ses aversions sur une soi-disant méchanceté de l’opposition politique à son régime.
Sans une once de scrupule, diffame sans retenu les dirigeants de l’opposition en exile dont il emprisonne, torture et massacre les militants depuis des mois, une relève à qui il attribut le blâme du refus de participer à la vie politique selon ses directives et sa camisole du terrorisme d’État.

13 novembre 2011

Somalie : Comment les puissances coloniales maintiennent la Somalie dans le chaos - Entrevue de Mohamed Hassan

La Somalie avait tout pour réussir : une situation géographique avantageuse, du pétrole, des minerais et, fait plutôt rare en Afrique, une seule religion et une seule langue pour tout le territoire. La Somalie aurait pu être une grande puissance de la région. Mais la réalité est toute différente : famine, guerres, pillages, pirates, attentats… Comment ce pays a-t-il sombré? Pourquoi n’y a-t-il pas de gouvernement somalien depuis presque vingt ans? Quels scandales se cachent derrière ces pirates qui détournent nos navires? Dans ce nouveau chapitre de notre série « Comprendre le monde musulman », Mohamed Hassan nous explique pourquoi et comment les puissances impérialistes ont appliqué en Somalie une théorie du chaos.

Comment la piraterie s’est-elle développée en Somalie? Qui sont ces pirates?

Depuis 1990, il n’y a plus de gouvernement en Somalie. Le pays est aux mains de seigneurs de guerre. Des navires européens et asiatiques ont profité de cette situation chaotique pour pêcher le long des côtes somaliennes sans aucune licence et sans respecter des règles élémentaires. Ils n’ont pas respecté les quotas en vigueur dans leurs propres pays pour préserver les espèces et ont employé des techniques de pêche – notamment des bombes! – qui ont créé d’énormes dégâts aux richesses des mers somaliennes. Ce n’est pas tout ! Profitant également de cette absence d’autorité politique, des compagnies européennes, avec l’aide de la mafia, ont déversé des déchets nucléaires aux larges des côtes somaliennes. L’Europe était au courant, mais a fermé les yeux car cette solution présentait un avantage pratique et économique pour le traitement des déchets nucléaires. Or, le tsunami de 2005 a déposé une grande partie de ces déchets jusqu’aux terres somaliennes. Et d’étranges maladies sont apparues pour la première fois au sein de la population. Voilà le contexte dans lequel la piraterie s’est principalement développée. Les pêcheurs somaliens, qui disposent de techniques rudimentaires, n’étaient plus en mesure de travailler. Ils ont donc décidé de se protéger ainsi que leurs mers. C’est exactement ce que les Etats-Unis ont fait durant la guerre civile contre les Britanniques (1756 – 1763): ne disposant pas de forces navales, le président Georges Washington passa un accord avec des pirates pour protéger les richesses des mers américaines.

11 novembre 2011

DJIBOUTI : La France amputera de 6,5 millions d'euros la subvention initiale de 30 millions versés en termes de loyer des bases militaires françaises en République de Djibouti

La 13ème DBLE ayant déménagé aux EAU, raison suffisante pour couper dans une subvention déjà dérisoire d'un contingent français numériquement le plus important d'Afrique.
Comparativement à d’autres comme l’entente avec la base US de 2000 soldats, la moitié du contingent français, avec un loyer de 70 millions US$, et considérant les tergiversations et l’inaction de la France dans le dossier du Ras Doumeira, cet accord avec la France n'a jamais été négocié à sa juste valeur en termes :
  • D’influences politiques et d’apports stratégiques et commerciaux que tire la France de sa présence à Djibouti dont la sauvegarde d’abord et avant tout, de ses intérêts dans la région avant les nôtres.
  • Pour le manque à gagner de l’État djiboutien en termes de valeurs des cites occupés, ainsi que les cites d’entrainements et de tirs.
  • Et tous les avantages dont l'armée française bénéficie à Djibouti, allant de la sécurité qu'offre le pays, au quai militaire portuaire jusqu'à l'eau potable denrée rare à Djibouti et dont sont privées les citoyens à la satisfaction des coopérants, les militaires et leurs familles.
À la source, ce loyer a déjà été amputé comme on le sait, de 5 millions d'Euros pour les couts de l’équipement militaire français que Djibouti est forcé de se fournir hors concurrences chez nos locataires, en somme un troc au bénéfice de la France sur tous les plans et un tout petit pays surexploité militairement par les forces étrangères en présence, dont la population dans son ensemble ne tire aucun intérêt sur le moyen ou long termes.

7 novembre 2011

DAHER AHMED FARAH DU MRD, UN HOMME PRÊT À TOUT POUR SUCCÉDER À SON COUSIN DICTATEUR, AU POUVOIR À DJIBOUTI DEPUIS 1977

N’est ce pas pitoyable et accablant ce lourd destin de l'Afrique ou le Panafricanisme peine à se débarrasser des vestiges du colonialisme.

Au moment ou les indignés montent aux barricades un peu partout dans le monde, ou la sensibilisation au génocide libyen est entrain d'atteindre l'Amérique dont des membres du congrès commencent à exiger des comptes à l’administration Obama (voir vidéo au pied de cet article), des opportunistes africains ont l'audace et l'indécence de piétiner les morts et le sang d'autres africains, se faire du crédit politique pour avoir soutenu la croisade de la France et l'OTAN.

Coincé dans le passé, refusant le changement même à la tête de son propre parti après 20 ans en solo d’une politique de l’improvisation, en manque de conviction et de vision d'avenir, DAF se sent obligé de faire les courbettes, encore et toujours, devant les mêmes, dont on se dit libéré...
Peut être, dans l'espoir de se faire attribuer par Sarkozy, le titre de ""CNT"" de Djibouti, se voyant bien sûr dans la continuité du régime actuel de son cousin, assumer le même rôle qu'Abdeljalil l'ancien ministre de kadhafi, DAF fait l'apogée du massacre de la France et l'OTAN en Libye, nul part ailleurs que dans son message de la fête religieuse de l'Eid. C’est dire que ses priorités sont à la bonne place !

Extrait de son dernier message :
""Le dictateur Mouammar Kadhadi de Libye a définitivement cessé de nuire le 20 octobre 2011, emporté par une mort malheureusement violente. Les Libyens ont largement communié dans la joie et la liberté retrouvée. En mettant fin à 42 ans de dictature féroce, certes avec l'aide cruciale de la communauté internationale, le peuple de Libye a écrit une belle page de son histoire. Il peut désormais s'atteler à l'édification d'une société juste et démocratique.""

6 novembre 2011

Ce que la Libye menaçait de dévoiler sur Sarkozy.

Ce document top secret nous révèle, combien le droit et la politique internationale ne sont juste que des armes de persuasions et de subversions au mépris des normes, conventions et règles préétablies.

Des moyens de contournement des lois en toute impunité, manipulant l'opinion publique, un faux semblant de justice et de bienséance au service des élites, jamais dans l'intérêt des masses ou de la paix et l'harmonie entre les peuples.
Ils ont pris la Libye en otage avec leurs sanctions économiques, puis obligent le leadeur à fournir le produit de ce commerce et c’est lui, le diabolique qu’ils feront assassiner.

Pendant que le Conseil de Sécurité, l'Agence Internationale de l'Énergie Atomique (AIEA) et les chefs d'États des soi disant pays du droit, n’ont de cesse décrié le danger que représente le nucléaire militaire aux mains de la Corée du Nord et l'Iran, selon ce document, Sarkozy a vendu à ces mêmes pays du YellowCake, un concentré d'uranium, extrait à Arlit au Niger et enrichi à Sebha en Libye, finançant ainsi en 2007, sa campagne présidentielle à l'américaine à coup d'argent sale en provenance de la Libye.

En abandonnant son projet du nucléaire et en acceptant ce commerce mafieux, le Colonel Kadhafi a acheté la levée des sanctions qui étouffaient et pesaient sur l'économie de son pays depuis des décennies et rentra ainsi dans les bonnes grâces du club des intouchables jusqu'à ce qu'ils en décidèrent autrement fin 2010.
Sans doute, sous-estimé, même après sa mort, le Colonel à l'air de hanter ses bourreaux.
Ce trafic d'uranium, à lui tout seul, doit avoir violé entre autres une série de résolutions du Conseil de Sécurité, et aurait soulevé le tollé si c'était un pays du tiers monde ou ceux dont on cherche toujours, à s'aborder le développement, déstabilisés et recaler, subissent sans termes et sans fondement juridique, les sanctions drastiques des plus forts.

5 novembre 2011

Les dessous du complot : Président Gbagbo, un Leader africain qui faisait peur à l'occident et à ses réseaux financiers. La France réduite au rôle de sous-fifre de l’empire

En cette occasion le PRIDE-Djibouti réitère son souhait de voir Son Excellence le Président Laurent Gbagbo libéré sur le champ, sans délai et sans condition, en respect de ses droits de par la constitution Ivoirienne et en application de la Charte africaine des droits de l'homme et des peuples ratifiée le 6 janvier 1992 par l’État Ivoirien.

Amajaro et AIG Fund : Qui sont-ils et en quoi sont-ils concernés dans le drame Ivoirien ?
La 1ère est une société de négoce, dont les bureaux sont à Londres, mais dont le siège social est basé dans un paradis fiscal – les îles Vierges britanniques et dispose d'un agrément d'exportateur de cacao en Côte d'Ivoire depuis peu.
Et la 2ème un fond d'investissement, filiale du premier assureur américain, AIG

Un Courriel datant du 24 Octobre 2002 de Source Libre et qui vient d’être publié (Copie au pied de cet article), révèle les noms ci-haut cités, d’au moins 2 financiers de la déstabilisation de la Côte d’Ivoire, de la guerre du cacao de 1988-1991 sous Houphouët-Boigny, au financement de la rébellion, dès l'arrivée au pouvoir de Gbagbo jusqu'au coup d'État contre ce dernier sous le fallacieux prétexte, l’accusant de refuser la voix des urnes, tout en rejetant l’offre de Gbagbo d’un ré-comptage des votes sous la supervision de l’UA.

Les Médias de services nous servent à chaque fois l’éthique de la prostitution journalistique.
L’ONU nous a fait part de sa cécité sur les crimes des rebelles et son parti pris en leur faveur en Côte d’Ivoire comme en Libye, tout en médiatisant les crimes imaginaires attribués au Président Gbagbo et au Leadeur Kadhafi.

L’arsenal des inepties et de l’abject a été exploité sans scrupule, à perfusion, afin de diaboliser ces Leadeurs, on n’en soulignera seulement 2 afin de rafraichir les mémoires :

La Grèce face à un dilemme : Référendum d’un peuple, seul maître de son avenir VERSUS Finocratie et Debtocratie imposées par les 1% de ce monde

Les Grecs pionniers de la démocratie se font imposer la finocratie et la debtocratie, par les oligarques de l'ombre qui n'hésitent plus guère, à commettre les pires crimes afin d'arriver à leur but ultime de mondialiser leurs revenus au dépends du bien être de la terre entière.
LE RÉVEIL DE L'EUROPE SERA DUR, PERSUADÉ À CE JOUR, QUE LA MISE SOUS TUTELLE DU FMI ET LA BANQUE MONDIALE N'ÉTAIT RÉSERVÉE QU'AUX AFRICAINS.

Le message adressé à Papandréou a été extrêmement clair et brutal. Convoqué comme un délinquant, sermonné et humilié par ses partenaires européens pour avoir osé soumettre leurs décisions à un référendum du peuple, un processus élémentaire de la démocratie.

Un plan d'austérité Européen décidé par la France, l'Allemagne et les banques, consistant à réduire la Grèce et son histoire à un État soumis aux banques, par des plans de restructurations drastiques, privatisant tous les services sociaux et obligeant les grecques à se serrer encore plus la ceinture déjà étouffante.
Le Premier ministre, de retour à Athènes, est en grande difficulté. Son gouvernement pourrait tomber. George Papandréou vit les heures les plus dures et les plus humiliantes de sa carrière sous le rouleau compresseur des "1% de ce monde" ; les Rothschild et leurs paires, les prédateurs qui ont pris toute démocratie en otage en manipulant les élus des peuples.

Who's next : L’Italie se retrouve dans la ligne de mire, l'Europe l'a mis sous surveillance à l'issue du sommet du G20 de Cannes

2 novembre 2011

IRAK : Les États-Unis laissent derrière eux un pays dévasté. (WHY / POURQUOI ?)

Bientôt 9 ans, d'une guerre injustifiée dont les coupables courent toujours, courtisés au prix fort des conférences, un constat d'échec de l'humanité toute entière, sans aucune alternative, un pays et un peuple condamnés à la souffrance.
La même recette qu'en Afghanistan ; un gouvernement de supplétifs barricadés derrière de hautes et larges murailles en béton armé, décorées aux barbelés (Green Zone - Zone Verte), en claustration de la société qu'ils sont supposés gouverner.

Des centaines de milliers d’Irakiens ont été tués (entre 500 000 et 1,4 Millions selon les évaluations), entre 1 et 2 millions ont fui à l’étranger, notamment en Syrie et en Jordanie (parmi eux, nombre de chrétiens dont les médias français se désolent régulièrement qu’ils soient chassés du Proche-Orient).

Mais aussi un État détruit et un territoire contaminé à l'uranium appauvrit qui continuera à décimer cette population durant des siècles, un pays fractionné, des divisions profondes entre chiites et sunnites, un pouvoir autoritaire (aussi bien à Bagdad qu’à Erbil, capitale du Kurdistan), un usage banalisé de la torture, des arrestations arbitraires, etc.

Reconstruire un État et une société après un tel désastre, nécessitera des décennies et il est juste qu’Amnesty International ait demandé l’inculpation de l’ancien président George W. Bush, même si ce n’est que pour sa responsabilité dans les actes de torture. Plus que d’autres, M. Bush mériterait un procès devant la Cour pénale internationale, mais nous savons que celui-ci n’aura jamais lieu : on ne juge devant cette cour que des chefs d’Etat africains.

Abou Amin

1 novembre 2011

Comment peut-on passer en 2 mois, d'honorable Chef d'État avec ce bilan enviable, à dictateur bombardé, pourchassé et assassiné ?

Le Conseil des droits de l'homme des Nations unies, créé en 2005, suite aux réformes de façade des Nations unies initiées par le Secrétaire général Kofi Annan au cours des années 1997 à 2005, est depuis 2006 l'organe intergouvernemental principal des Nations unies sur toutes les questions relatives aux droits de l'homme, composé de 47/192 États élus par l'Assemblée générale à la majorité absolue pour une période de trois ans. Son siège est à Genève, en Suisse.
L'objectif premier du Conseil était d'analyser la situation des droits de l'homme dans les 192 États membres des Nations entre 2008 à 2011.
Le secrétariat du Conseil est assuré par le Haut-commissariat des Nations unies aux droits de l'homme et la présidente du Conseil est l'Uruguayenne Laura Dupuy Lasserre, première femme à présider ce Conseil.

Toujours dans le soucis de remettre les choses a leur juste place, nous exposons ici-bas le rapport publié par ce Conseil des droits de l'homme des Nations unies le 4 janvier 2011 sur la Jamahiriya Arabe Libyenne, juste 2 mois avant l'invasion de ce pays sur des allégations sans fondements, reprises en boucles par les Médias des guerres, accusant le Leadeur de la révolution Libyenne de bombarder son peuple, un acte subversif délibéré donnant naissance à la résolution 1973 du Conseil de Sécurité.

Pourtant, 2 mois plus tôt, cet homme recevait les honneurs comme vous pouvez le constatez sur le document ici-bas.
La délégation a noté que le rapport national avait été élaboré d’une manière transparente et participative suite aux consultations avec tous les secteurs concernés, les organisations de la société civile et les parties prenantes.
Plusieurs délégations ont noté que tous les droits et les libertés étaient inscrits dans un cadre juridique cohérent et intégré, que ces protections portaient non seulement sur les droits politiques, mais aussi sur les droits économiques, sociaux et culturels, déclarant ainsi, satisfaisant l’attachement de la Libye au respect des droits de l’homme.

Djibouti : IOG visite ses exilés, 2 Manifestations pour lui rendre la politesse

Gouverner ; l'art de prévoir le futur d'une Nation, ne rien prévoir c'est courir à sa perte.

« ABDOURAHMANE BACHIR ; JE L'AI FABRIQUÉ DE TOUTES PIÈCES EN CROYANT BIEN FAIRE. », Dixit IOG

« SI DIEU A ACCEPTÉ QU’IL Y AIT LE DIABLE, POURQUOI REFUSERAIS-JE QU’IL Y AIT UNE OPPOSITION » - IOG

Djibouti : L’opposition politique doit prendre acte de sa propre léthargie

DJIBOUTI : EN 37ANS, ONT RIEN NOTÉ DE GROSSIER - AMNÉSIE TOTALE - INVITENT UN 3ème ET REBELOTE

DJIBOUTI : LE RÉGIME DU PRÉFET IOG, TOURNERA ENCORE SON REGARD POUR SAUVER SA TÊTE

DJIBOUTI : UNE PAIX SANS JUSTICE EST ILLUSION, UN PARDON SANS JUSTICE EST UNE BOMBE À RETARDEMENT

DJIB : UN CIRQUE MÉDIA SANS QUE LE PROXY NE DISE MOT, SUR CE QUE LUI ET SES PARRAINS NOUS RÉSERVENT

DJIBOUTI : L'ESCROQUERIE DU MACHIN USN !!!

M. GUELLEH, ÇA COUTERAIT QUOI DE FINANCER L’AVENIR DE CES FUTURS CHAMPIONS DE LA RÉPUBLIQUE ?

DJIBOUTI : L'USN ET SES OPPORTUNISTES, EXIGENT DE NOUS, QU’ON ENTRETIENNE LA MÊME VOYOUCRATIE

PREMIÈRE D'UNE NOUVELLE CHRONIQUE PAR L'IMAGE, INTITULÉE : "" C'EST QUOI ÇA GUELLEH ??? ""

ASSEMBLÉE DE PAILLE FRUIT DE L’INSUFFISANCE & COMITÉS FANTÔMES, LE MACHIN USN SE VEUT DISTRAIRE

LE PRIDE N’EST PLUS SEUL À POSER DES QUESTIONS & REMETTRE EN CAUSE LA LÉGITIMITÉ DE LA DIRECTION USN

Ahmed Youssouf à l’USN -- JOUE LE MÊME RÔLE QUE -- Hassan Omar GAQANLO à l’UMP

SIGNIFIONS EXPRESSÉMENT LE REJET DE L’AGENDA USN, CONCOCTÉ ENTRE LES MÊMES MANIPULATEURS DE L'UAD

DJIBOUTI : UMP & USN, 2 FACES DE LA MÊME MÉDAILLE, AVEC LES MÊMES VICES, ÉGOS ET AMBITIONS

DJIBOUTI : VICTIMISATION, REFUS DE L’ENGAGEMENT ET UNE EXPRESSION SECTAIRE MANIPULATRICE DES JEUNES

UN PATRIOTE INVESTIT DANS SON PEUPLE, NON HORS FRONTIÈRES, IL EST TEMPS QU'ON EN EST UN, À DJIBOUTI

DJIBOUTI : NOUS CONVIONS CET ÉTÉ 2013, TOUTE L'OPPOSITION À DES ÉTATS GÉNÉRAUX

DJIBOUTI : CITOYENS POUR LE CONSENSUS NATIONAL (CCCN) POUR UN GOUVERNEMENT DE TRANSITION RESPONSABLE

Une Source Infinie de Vidéos sur La Corne.

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Djibouti : Le Déni de Justice et la Lutte contre un autre Pirate de la FrancAfrique

MALI : STRATÉGIE INNOVÉE : PROBLÈME - RÉACTION - SOLUTION - PAYEMENT DES COÛTS

LA RECOLONISATION DU 21ème SIÈCLE - FRANCE VS CÔTE D'IVOIRE

LA RECOLONISATION DU 21ème SIÈCLE - FRANCE-OTAN VS LIBYE

Actualités et Évènements dans le Monde

Please Sign Today To Support Those for a Democracy in Djibouti - Africa

Amender une Constitution afin de rester au Pouvoir et Refuser l’Alternance c’est de la Tyrannie..
OBAMA : "Make no mistake: History is on the side of these brave Africans, not with those who use coups or change constitutions to stay in power.......... Africa doesn’t need strongmen, it needs strong institutions."
<= THE PRICE OF SILENCE & INACTION IS MUCH TOO HIGH =>
FaceBook Petition for the benefit of Amnesty International USA, if You Wish to Join Protect The Human

""Il y a un temps pour RÉFLÉCHIR, un temps pour SENSIBILISER, un temps pour ÉPILOGUER et un temps pour AGIR contre le RPP : RASSEMBLEMENT DES PILLARDS DU PEUPLE.""
Téléchargez sur SkyDrive le CONTRAT JURIDIQUE ET MORAL avec le peuple de DE DJIBOUTI, afin de rassurer la population sur les INITIATIVES qui seront mises de l'avant AU DÉPART D'IOG : FEUILLE DE ROUTE (PDF)

UNE OPPOSITION RESPONSABLE ET CRÉDIBLE.

Le parti PRIDE appelle l’opposition à assumer pleinement son rôle. Lançons l’organisation d’un Congrès qui unira nos efforts, nous donnera la crédibilité nécessaire et l’appui de la communauté internationale pour une transition exigeant non seulement le respect de la constitution mais aussi la reforme du scrutin électoral et les dispositions préalables pour en assurer la transparence avant les prochaines élections de 2011.


Le peuple veut voir une opposition responsable autour d’une table ronde ou chaque parti sera représenté par 5 membres de leur direction et d’observateurs Djiboutiens.


Chaque parti tout en gardant ses affiliations, contribuera à édifier un document fort, engageant et prometteur, ralliant la population Djiboutienne toute entière dans sa diversité, contre le ballon vide d’IOG, à la mode Ukrainienne. Le document final signé par les parties, sera soumit aux pays médiateurs choisis au Congrès et aux institutions internationales.


DE LA SAGESSE, UNE VISION ET DU COURAGE, EST-CE TROP DEMANDER?


Le rôle de ces observateurs Djiboutiens comme la préparation du congrès, sera confié à une agence spécialisée dans l’exercice de cette fonction et un comité ou une entité neutre assumera la coordination et la préparation des documents du Congrès, entre cette agence et les parties ayants exprimées leur volonté d’y participer.


Dans un souci de transparence et de tenir le peuple informé, à défaut d’être diffusés en direct sur l’internet, tous les travaux de ce congrès doivent être vidéo-enregistrés.


Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie : PLAN D’ACTION POUR UN FRONT COMMUN.

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CONSTITUTION DE LA RÉPUBLIQUE DE DJIBOUTI : EN FRANÇAIS ENGLISH

Présenté à toutes les Ambassades et Consulats de France dans le monde -- Memorandum du 28 Sept 2010.pdf.