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BIENTÔT, DJIBOUTI AUSSI DIRA "NON" AU NÉPOTISME DE L’ADMINISTRATION INDIRECTE DU PRÊTE-NOM.
"LA LIBERTÉ N'EST JAMAIS ACCORDÉE DE BON GRÉ PAR L’OPPRESSEUR ; ELLE DOIT ÊTRE EXIGÉE PAR L'OPPRIMÉ." -- MLK
DJIBOUTI : REFORMONS L'OPPOSITION AFIN DE POUVOIR UN JOUR REFORMER L'ÉTAT
NOUS CONVIONS CET ÉTÉ 2014, TOUTE L'OPPOSITION À DES ÉTATS GÉNÉRAUX

30 mai 2013

Djibouti : Lorsqu’on fait référence à l’escroquerie USN, faut bien appeler le chien par son nom, en voici un exemple :

« Le journaliste Maydaneh Abdallah Okieh a été incarcéré », nous dit-on !!!

Incarcéré OUI, donc réclamer sa libération est un droit, mais l’accréditer JOURNALISTE est d’abord une fraude et de la fausse représentation nuisant à la légitimité de tout journaliste de formation.
Qui veut ne devient pas journaliste dans le seul but de manipuler les ONG internationales et avoir leur soutien.
Ces derniers sont en passe de devenir des boîtes de répercussions qui font écho à du n’importe quoi, sans en vérifier le bien-fondé.
Monsieur cité ci-haut n’a selon nos infos, ni la formation, ni l’accréditation à Djibouti, comme au UK pays dont il détient la citoyenneté, ni d’aucune autre institution internationale reconnue.

Qui est-il, est-il djiboutien tout d’abord, si oui est-il un natif ?
La question est pertinente si on se réfère au dernier représentant au UK, du porte-parole de l’USN et sa récente déclaration sulfureuse, depuis Hargueissa.

Si je résume en quelques mots cette vérité que les charlatans de la politique évitent pour se donner la fausse image de l'expérience ; l'USN s'est mutée en une lutte pour le pouvoir entre les clans Issa, ce que nous appelions précédemment "la rétention du pouvoir au sein de la même tribu", les électrons libres des autres communautés ne sont là que pour la même représentativité de façade de ceux, au sein de l'UMP.

Ce Meydaneh est un cousin proche de Boreh Madoff qui n'est là que pour surveiller le Cheval de Troie et les sous qu'envoie Madoff. Et ce n’est pas un natif de Djibouti, comme celui qu'il surveille d'ailleurs.

Ceux qui sont venu hier à Djibouti et à qui nous avons donné l'asile, se battent pour le pouvoir chez nous, ils sont ou les natifs de ce pays !!!

Ce n’est pas NORMAL et nous comptons mettre un terme à cette situation grotesque, en attendant que la Somalie, la Samaliland et l'Éthiopie signent avec les natifs de Djibouti un protocole d'accord nous permettons de gouverner leur pays, comme eux gouvernent le nôtre depuis 1977.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)

Djibouti : 3 mois après les législatives et une communication agressive dénonçant cet agenda, le PRIDE n’est plus seul à poser des questions et à remettre en cause la légitimité de la direction actuelle de l’USN

Le vent commence à tourner, les skippers se font nombreux et le bateau remet le cap sur le réel changement mobilisateur de février 2013.
Le boycotte de l'agenda USN, lancé par le PRIDE dès le 25 fév, a largement été suivi par les Braves. Les 6 partis imaginaires, des sigles vides de toutes structures et membres, sont toujours incapables de faire bouger les 5 régions et la capitale comme lors des meetings des législatives. Même les fiefs d'IGH et Aden Robleh, Arta et Ali-Sabieh ont suivi le mot d’ordre : UN PLAN DE MATCH AVANT ET NON APRÈS LE MATCH

Ça n’a rien d’un changement, l’actuelle direction, les mêmes anciens disciples du boycotte inutile de la défunte UAD, a prise en otage et détourné l’USN de l’objectif initial. 10 ans assis sur le derrière, le nez dans les nuages et le cœur au sabotage de l’Union de l’opposition se prêtèrent depuis février aux mêmes exercices qu’IOG ; le favoritisme clanique et recrutement de proches familles sur la liste USN, recyclage de criminels de guerre, de bandits et de manipulateurs.
Il nous faut libérer l’USN et reprendre le combat avant qu’ils nous condamnent au même immobilisme des 10 dernières années, en perpétuant la tyrannie.

Nous sollicitons de nos membres et tous nos compatriotes sur le terrain d’accentuer les pressions ; on ne peut plus se permettre le luxe de ménager l’égocentrisme, les caprices et ambitions d’une poignée d’hommes au nom d’une coalition chimérique. L’intérêt national avant l’égo.

Voici ce que pensent des djiboutiens(nes) de la même médecine qu’appliquent à l’USN, les mêmes anciens dirigeants de l’UAD ?
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)

29 mai 2013

Ahmed Youssouf à l’USN -- JOUE LE MÊME RÔLE QUE -- Hassan Omar GAQANLO à l’UMP



LE PRESIDENT DE L'ARD ET DU MACHIN USN, QUALIFIE DE Démocrate UN CRIMINEL DE GUERRE NOTOIRE AHMED HOCHE GUEDI DIT "HOUDEYDI"...-- ELLE EST BELLE CETTE CONCEPTION DE LA DÉMOCRATIE AU SEIN DU MACHIN USN !!!

CET ÉVÈNEMENT COMME LA PRÉSENCE D'IGH AU SEIN DE L'USN N'EST PAS UNE ERREUR POLITIQUE, MAIS UNE PARTIE INTÉGRANTE DE L'AGENDA CACHÉ DE L'USN :
  • EN AYANT DES ANCIENS CRIMINELS, COMPLICES D'IOG DANS TOUT LES CRIMES, ÉVITERONT À CE DERNIER TOUTE POURSUITE FUTURE EN JUSTICE. LE JUGER SERAIT AUSSI UN PROCÈS CONTRE LES MEMBRES DE L’USN…
UNE IMMUNITÉ TOTALE POUR LAQUELLE LES CINQ DIRIGEANTS AURONT DES BEAUX CHÈQUES ET UNE PASSATION DU POUVOIR À LA MODE CHILIENNE TEL AU DÉPART D'AUGUSTO PINOCHET;  EN SOMME L'USN NOUS PRÉPARE DOUCEMENT MAIS SUREMENT, À UN « CHANGEMENT » SUBSTITUANT IOG PAR SON COUSIN, LE CHEVAL DE TROIE, PAR TRACTATION DE COULISSES OU SOUS TUTELLE SANS REMISE EN CAUSE DE LA LÉGITIMITÉ DE L’HÉRITAGE DICTATORIAL...

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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)

Djibouti : La vérité n’a aucune importance. La seule chose qui malheureusement importe chez les agités claniques à la direction de l’USN, c’est ce que les gens doivent croire être la vérité -- 5 Réactions d'intervenants politiques sur le sujet

Les djiboutiens(nes) ont compris le sens de notre combat et la vision que nous asseyons d’inculquer. Le boycotte de l'agenda USN, lancé par le PRIDE dès le 25 fév, a largement été suivi par les Braves. Trois mois plus tard, les 6 partis imaginaires, des sigles vides de toutes structures et membres, sont toujours incapables de faire bouger les 5 régions et la capitale comme lors des meetings des législatives. Même les fiefs d'IGH et Aden Robleh, Arta et Ali-Sabieh ont suivi le mot d’ordre : UN PLAN DE MATCH AVANT ET NON APRÈS LE MATCH.
Selon l’USN, préparer la transition politique par une ouverture au dialoguer, la négociation et le large consensus durant l’actuelle stabilité politique,  avant tout vide à la tête d’un régime totalitaire vieux de 40 ans, ou les institutions de la République sont phagocytées à tous les niveaux par le cancer du népotisme claniques, est inopportun, inutile d’aborder ces « détails » maintenant et je cite un membre de la direction :
« La première urgence aujourd'hui c'est d'abord de dégager la voie pour la démocratie en abattant le régime RPP. La question de la recomposition politique et de la modernisation des institutions sera bien entendu abordée et examinée avec soin en temps opportun et fera l'objet d'un large débat et consensus. »

Ceux  s’aliénant à ces idioties, condamneront tout le pays à la soumission pour un autre 10 ou 20 ans. Nous ne pouvons permettre à un autre groupe de charlatans claniques de nous rouler dans la farine, ensorceler notre perception et notre compréhension des enjeux politiques, avec de telles promesses absurdes.

Pourquoi à votre avis, une telle hostilité à des principes à la base de la démocratie ?

La seule explication rationnel ; l’actuelle direction, a détourné l’USN de l’objectif initial pour lequel le PRIDE exigeait la participation aux dernières législatives, prise en otage par les mêmes anciens disciples du boycotte inutile de la défunte UAD. Après 10 ans assis sur le derrière, le nez dans les nuages et le cœur au sabotage de l’Union de l’opposition se prêtèrent début février au même exercice qu’IOG ; favoritisme clanique et proches familles sur la liste USN.
Ils savent pertinemment que s’ils acceptaient les conditions du PRIDE d’une réforme de nos institutions durant une transition politique responsable, avant toute élection juste et équitable, ils ne pourront plus mettre en application l’agenda caché des 5 dirigeants actuels de l’USN ; substitutions claniques à tous les postes de l’État.
Ça n’a rien d’un changement, Il nous faut libérer l’USN et reprendre le combat avant qu’ils nous condamnent au même immobilisme des 10 dernières années, perpétuant la tyrannie.

Que pensent les djiboutiens(nes) de cette même médecine qu’appliquent à l’USN, les mêmes anciens dirigeants de l’UAD ? (À lire, cliquez sur suite)

27 mai 2013

DJIBOUTI : SIGNIFIONS EXPRESSÉMENT LE REJET DE L’AGENDA CACHÉ DE L'USN, CONCOCTÉ ENTRE LES MÊMES MANIPULATEURS DE L'UAD

SI LA GRANDE MAJORITÉ DE LA POPULATION PARTAGE LES 3 CONDITIONS DE BASE DE CETTE ILLUSTRATION :
  • IL EST DE NOTRE DEVOIR À TOUS, D’EMPÊCHER CES CARRIÉRISTES DU VENTRE DE DÉTOURNER LA PROCHAINE RÉVOLUTION ET NOUS ROULER TOUS DANS LA FARINE,
  • ASSURONS-NOUS QUE LE PROCESSUS DE LA TRANSITION DE L'APRÈS IOG, EN SOIT UN, TRANSPARENT, CRÉDIBLE ET RESPECTÉ DANS L’APPLICATION.
ON INVITE LA POPULATION À EXPRIMER LEURS VOLONTÉS, NON PAS SUR LE WEB, MAIS SUR LE TERRAIN :
  • SIGNIFIONS TOUS, EXPRESSÉMENT NOTRE REJET DE L’ACTUEL AGENDA CACHÉ CONCOCTÉ ENTRE LES MÊMES 5 MANIPULATEURS DE LA SCÈNE POLITIQUE DES 20 DERNIÈRES ANNÉES, DONT L'UN DEPUIS L'INDÉPENDANCE.
COMMENT ?
  • UTILISONS NOTRE MILITANTISME ET NOTRE IMAGINATION, À CHACUNE DE LEUR APPARITION, SANS VIOLENCE…
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)

26 mai 2013

Dr Abbate, le "TBIB CHALOM" de Djibouti et cancre de la politique, s’apprête à la récidive, diligenté par les chacals de l’USN à vendre leur agenda qui se résume à remuer le couteau dans la plaie, à juste décrire aux victimes la nature de leurs douleurs

« The greatest risk we can take is to try the same old politics with the same old players and expect a different result.» - B.H.Obama

Par quel rationnel, un membre d’une communauté peut-il oser ne serait-ce qu’indirectement, contribuer à l’organisation d’un soulèvement populaire, culpabilisant sa communauté et plus spécifiquement celle d’Arhiba, pour soutenir politiquement un groupe de 5 dirigeants dont :
  • L’un, ancien bourreau du cabinet Gouled, co-ordonnateur du massacre dans ce même ghetto le 18 déc 1991 (65 morts et 300 blessés, tirés comme des pigeons avec des 10ènes de disparus). Une tragédie à ce jour sans dénouement, classé dans la longue liste des non-lieux du régime. -- Je ne suis pas médecin mais clamer héros et applaudir un bourreau, n'est-ce pas ce que les psychiatres diagnostiquent comme le « syndrome de Stockholm », corrigez moi, Dr Abbate ?
  • Un autre ayant publié à la Nation une chronique justifiant le massacre de ce 18 déc 1991, comme un devoir relevant de la sécurité d’État.
  • Et un 3ème, actuel président du groupe qui depuis 10ans, retarde pour ne pas dire sabote, la déposition des témoins et la poursuite des commanditaires ainsi que les exécutants du massacre d’Harhiba, à l’initiative d’une association des parents des victimes.
  • Un 4ème qui tout en endettant exponentiellement le pays, roulait son mépris en voiture blindée, traitait les djiboutiens de fainéants incapables de travailler au même rythme d’esclaves qu’il affectionne, importait par milliers sa main d’œuvre bon marché asiatique pour la construction de l’Hôtel Kempinski, le port de Doraleh et ses 4 entreprises locales, alors que Djibouti croule sous 80% de chômages. Celui qui doit à ce jour à des centaines de djiboutiens des arriérés de salaires, privant ce pays en 2007, de 2000 nouveaux emplois hautement rémunérés en subtilisant le projet de la Cie Américaine Ronco Risk Management.
Durant mon dernier séjour au bled de 2004 à 2008, à ce jour, à travers nos militants sur le terrain, nous sûmes que Dr Abbaté avait conquis les cœurs de nombreux djiboutiens(nes) par son dévouement à mettre son talent premier, la médecine, au service et à la portée de tous. Soulage la douleur des plus nécessiteux au point de s’attirer à maintes reprises, l’ire du régime. Jusqu’à récemment, cette aura et la respectabilité que l’homme s’est mérité par la force de la persévérance, je le voyais personnellement en Tbib Chalom, le docteur des pauvres de Tunis. Médecin et sage, consulté par les grands et les humbles, qui passa toute sa vie dans la tradition de la charité et la tolérance qui caractérisent les grands hommes, mort en 1966 après 86ans d’une vie entièrement consacrée aux pauvres de la Hara, surnommé par ses malades juifs et arabes "Le médecin du ghetto" "TBIB CHALOM".

La perfection n’étant pas humaine, il y a que les sots pour prétendre détenir le savoir et tout maitriser. Force est de constater, la politique n’a pas trop sourie à notre chère Dr Abbaté. Un des fondateurs du FRUD en 1990, y milita jusqu’au découragement, roulé dans la farine ainsi que d’autres par le petit gars de Aycheqa, non pas faute d’avoir ménagé ses efforts ou n’avoir pas tout tenté à le combattre, mais tout simplement, comme souligner par  Stendhal ; la vocation se nourrit jamais de grands rêves, mais d'avoir pour métier sa passion. Pour IOG, la politique est plus qu’une passion, c’est une règle de survie dont il s’est convaincu, seule la mort peut l’en dépouiller, jusqu’à ce qu’on lui prouve le contraire. Pour cela il faudra sans doute un miracle, car la bête n’est pas si géante qu’on le pense, mais tire sa puissance des seules frasques de l’opposition phagocytée par des hommes au service de la même bête.
Mobilisé par ces charognards d’une espèce en voie de disparition, afin d’exploiter son aura au près des couches défavorisés de la société, malheureusement toujours dépourvu de génie politique, poussé par ce goût amère des défaites passées et sa volonté de défier le sort, Dr Abbaté s’apprête encore une fois à forcer son handicape politique, cette fois sur le dos de sa communauté.

22 mai 2013

DJIBOUTI : TOUT FUTUR PRÉSIDENT ET MINISTRE DOIT DORÉNAVANT ÊTRE UN NATIF DU PAYS, POINT BARRE

LE MACHIN USN, DANS LA FORME, LES VALEURS, LES OBJECTIFS ET LES MANIPULATIONS ACTUELS, N’A RIEN D’UN CONCEPT DÉMOCRATIQUE.

Le PRIDE DIT HAUT ET FORT :
NON À LA DUPERIE USN !!!
NOUS APPELONS NOS COMPATRIOTES, À REJETER LE DISCOURS INFANTILISANT, DU DIRIGEANT DU MACHIN USN, DILIGENTÉ RÉCEMMENT, À TITRE DE MEILLEUR HOMME DE L’OPPOSITION PAR LE MANIPULATEUR EN CHEF IGH, À FAIRE LA MORALE À LA GRANDE COMMUNAUTÉ AFAR, PAR UN CHANTAGE DES PLUS VILS ; LES INVITANT SOIT À SUPPORTER LE MACHIN USN ET SON 3ÈME HOLD-UP DE LA VOLONTÉ DES BRAVES, SOIT NOUS SERIONS SELON EUX, TOUS SUR LA TOUCHE DE L’HISTOIRE.
MALHEUREUSEMENT, MÉDECIN DE FORMATION, IL A DÛ S’IMMUNISER CONTRE LA FOUDRE DE LA HONTE, AVANT DE SE PRÊTER À L'ENTREVUE DE RADIO-LIBRE.

Chers compatriotes, imaginez ne serait ce qu'un instant, un natif d’Ali-Sabieh ou Tadjourah, aille s’installer à Mogadisho, Hargeisa, ou encore à Diré-Dawa ou Addis-Abeba, quelques temps et quelques raccourcis plus tard, notre frère ou sœur de Djibouti ayant obtenu sa naturalisation dans ces pays, au lieu de faire comme tout le monde, s’intégrer dans la société d’accueil, chercher du travail ou créer leur propre entreprise, investir dans le pays en signe de gratitude, créer de l'emploi, acheter leur terre, maison et voiture, tout en contribuant à aider leur milieu social, notre djiboutien ne serait intéressé qu’à devenir Président, Ministre, Député, Directeur, Officier en uniformes ou le plus Riche de la Somaliland, la Somalie ou l’Éthiopie en un rien de temps : La tension et la concurrence entre les natifs même de ces pays étant déjà au zénith, de quel œil verraient-ils cette imposture abjecte, qu’elle serait la réaction de ces populations ??? – Je vous laisserai deviner la réponse !!!

Ainsi partout sur terre, les 196 pays membres des Nations-Unies sont administrés par des natifs.
Pourquoi dès lors, forcerait-on les djiboutiens(nes) à accepter l'absurde depuis l’évènement de l’indépendance de façade ?

C'est ce message patriotique clair et sans ambiguïté des membres du PRIDE qui m’attire toute la haine des bébés alligators qui, comme leurs ainés, souhaitent eux aussi maintenir ce système de spoliation de Djibouti, vivre à nos dépens dans le faste et l’illicite, en militant par la propagande de l’anonymat Facebook, distraire le peuple de l’essentiel par la victimisation d’un homme, exposer en épouvantail d’un héros sauveur des pauvres djiboutiens(nes), incapables de gouverner leur pays qu’à travers les nouveaux arrivants.

Heureusement, le peuple lui, a saisi la nature de notre combat, d’où son soutien à la résistance du PRIDE.
La seule voie juste, selon le droit international, la Charte africaine des droits et selon la morale que nous enseigne la foi :
Le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, au droit à l’autodétermination, est le principe issu du droit international selon lequel chaque peuple dispose d'un choix libre et souverain de déterminer la forme de son régime politique, indépendamment de toute influence étrangère.
Ainsi la Charte africaine renforce cet idéal et contribue aujourd’hui à faire progresser l’Afrique de la période de la méconnaissance à celle de la reconnaissance des droits de l’homme et la souveraineté de chaque peuple à vivre libre.

21 mai 2013

UMP & USN, 2 FACES DE LA MÊME MÉDAILLE, AVEC LES MÊMES VICES, ÉGOS ET AMBITIONS

19 mai 2013

Djibouti : le machin USN ne sait plus à quel saint se vouer

Un militantisme politique réduit à la simple formule de la victimisation, le refus de l’engagement et une expression sectaire manipulatrice des jeunes ; les plus vulnérables de la société et les moins en mesure de discerner la malhonnêteté intellectuelle que dissimule les discours faussaires d'arrières cours auxquels, s'est condamnée la stérilité politique de ceux ambitionnant gouverner ce pays. Si IOG ressentait une quelconque honte, le voici rassuré !!!

La facilité, les raccourcis et l’immobilisme comme devise, prient le ciel pour un soulèvement populaire salvateur. Des innocents qui verseraient leur sang et donneraient leur vie, pour un changement de façade, dans la même continuité, au profit d’un autre petit groupe de chacals affamés, profondément hostile à tout débat, dialogue, et consensus démocratiques.
Se clament d’une opposition politique, tout en tournant le dos à tout devoir et responsabilités de la fonction à laquelle ils postulent.

À Djibouti, l’opposition politique a confirmé depuis l’arrestation des prêcheurs le 25 février 2013, les propos qu’IOG martelait sans cesse ; ils n’existent que dans l’imaginaire et à travers la propagande de quelques activistes claniques. Dans les faits, les partis politiques ne sont que des sigles vides de toute structure et d’organisations dignes de ce nom, aucun repère idéologique et vision nationale.
En somme une poignée de caméléons, unis par une seule et unique motivation ; remplacer le calife.

Face à cette situation des plus embarrassantes, lorsque ça fait leur affaire, le dédain et l’effronterie du machin USN s’octroient toujours le meilleur rôle ; concédant une pluie de félicitations à l’activisme de la diaspora, sans qui notant le bien, on aurait jamais entendu parler d’USN, mais bof ce n’est juste qu’un détail !!!
Par contre, si cette même diaspora rejette la complaisance et se fait critique, le naturel revient au galop ; nous sommes tous une bande d’imbéciles sur une chaise derrière un écran selon le Dr Abbatté, tandis qu’eux les héros du terrain, même si l’isolement de ce groupe sur la scène nationale est plus qu’évident aujourd’hui, enfermé dans une logique de parlement fantôme et rencontre de garage, incapable d’organiser un seul meeting digne des dernières législatives depuis 3 mois. La preuve que la ferveur de février 2013, n’a jamais été l’œuvre du machin USN.

La même recette, les mêmes acteurs refusant l’alternance et la relève générationnelle depuis des décennies au sein même de leurs groupes, et l’insignifiance des mêmes 5 saboteurs auto-proclamés représentants de toute l’opposition, de l’UAD à l’USN, source principale du maintien au pouvoir de l’actuel régime, et à chaque échéance se trouvent un bouc émissaire à blâmer, se faire valoir et maintenir le statuquo.

14 mai 2013

Djibouti : Un vrai patriote investit dans son peuple et non hors frontières, il est temps qu'on en est un, à Djibouti.

-- Hugo Chavez, le militaire à rendu la fierté à son peuple en mettant fin à des siècles de Hold-Up du pays par les faux présidents à la solde de l’empire colonial. Mit un terme à l’hémorragie en réinvestissant plus de 500 Milliards de dollars dans le développement, la santé, l’éducation, le logement, la jeunesse, le génie…etc

-- Le Président Lula Da Silva du Brésil, de cireur de chaussures, à vendeur de cacahuètes, tourneur dans une usine automobile à 14 ans, tribun et négociateur hors paires devint président de syndicat, passe à la politique et devint Président du 5ème plus grand pays au monde et le plus grand d'Amérique du Sud, et en juste 2 mandats de 4 ans hissa son pays natal de la faillite à une puissance économique.

-- Le défunt Meles Zenawi, un grand homme d'État que l'Éthiopie n’est pas près d’oublier et dont les futures générations continueront d’étudier le génie créateur, aimait bien IOG et son régime. Pourquoi en serait-il autrement lorsqu’un pays souverain sans compensation ou accord de réciprocité, telle une province éthiopienne désenclave ce dernier sur la mer, soutien entièrement sa croissance et son boum économique durant 15 ans à travers les 2 ports de Djibouti et déverse à chaque jour une manne en devises étrangères sur l’Éthiopie, en investissements et achats de produits, sans que ce pays n’est à négocier quoique ça soit en échange, ou du moins contribuer au développement des infrastructures inadaptées pour un tel volume !!!

Devant cette désolation, il nous faut en plus endurer, des chacals de la pire espèce, à qui, à une époque pas si lointaine, fuyant la répression et la mort en Éthiopie et la Somalie, Djibouti donna asile et un toit. Certains relocalisés depuis dans la diaspora avec nos passeports, financent à partir de ces contrées lointaines, des projets sociaux de toutes sortes dans leur pays d’origine, tout en militant sur le Web : À Promouvoir un 3ème cousin Immigrant-Pirate, chez nous à Djibouti.
  • La désolation et la misère que les 2 premiers nous ont servi, ne semblent guère les déranger, tant qu’ils gagneront sur les 2 tableaux !!!
  • Tous les investissements qu’IOG, et ses nouveaux arrivants ministres, députés et directeurs ont effectué en Éthiopie, en Somalie et en Somaliland, ce n’est pas assez !!!
Alors qu’à Djibouti, 80% sont au chômage et 65% survivent sur l’aide alimentaire du PAM !!!

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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)

13 mai 2013

Djibouti : En 40 ans, le régime s'est assuré de servir exclusivement le développement du pays natal d'IOG et la plus part de ses Valets - Chaque jour, plus de 4 000 camions côtoient la misère en quittant les ports de Djibouti vers l'Éthiopie

Le contraste est à la hauteur de nos déceptions
Abou Amin : "" Après 4 décennies d'une gouvernance vers le bas, financées et applaudies par la prédation coloniale, le décor de 1977 et les espoirs nés de cette indépendance de façade, n'ont pas évolué d'un iota.
Les parasites du même cercle d'influences des migrants, souhaitent continuer à saigner ce pays par un petit tour de passe-passe du jeu de la chaise musicale, une passation de consigne que le Machin USN est entrain de vendre encore, comme "LE" changement.
IOG, nous avait aussi présenté sa candidature de 1999, sous le même signe du changement, tout en étant le 3ème homme du régime précédant qu’il servit durant 22ans, et tout en omettant de préciser la nature du changement : 15 ans plus tard, on ne peut que constater, on n’est plus à la surface de l’eau au fond du puits, mais enfouis dans la vase.
Seul pays au monde dirigé entièrement par les nouveaux arrivants, depuis l'escroqueries des indépendances africaines.
Résultat : Le contraste est à la hauteur de nos déceptions - Il est temps de mettre les NATIFS à la direction de ce pays.""

Omar Jaga : Une école « du bout de nulle part » à Djibouti.

Chaque jour, plus de 4 000 camions partent des ports de Djibouti vers l’Ouest pour acheminer du fret jusqu'en Éthiopie. Ils empruntent un itinéraire qui traverse un paysage austère et aride, où les températures peuvent atteindre 50 °degrés. La route est mauvaise et le trajet laborieux. Une heure après quitté la capitale environ, après des kilomètres de désolation et de chaleur, une petite école surgit au sortir d’un virage. Il n'y a rien d'autre : ni sortie, ni village, ni curiosité naturelle dans le paysage qui expliquerait pourquoi elle est bâtie là.

Devant la salle de classe, les camions défilent dans un ballet incessant, vers l’Éthiopie. J’essaie d’imaginer ce qu’ils transportent : des réfrigérateurs neufs, des voitures ou des iPad, peut-être. Cette route est une artère économique, moderne et florissante. Un jour, une roue, qui s’était envolée d’une remorque, est venue heurter le mur de l’école, mais c’est tout. Les poids lourds ne s'arrêtent jamais ici. Mon collègue Mourad, qui travaille à la Banque mondiale depuis bien plus longtemps que moi, ne se rappelle pas une telle désolation. Pourtant, il a été nommé dans des pays pauvres comme le Tchad et le Soudan du Sud.

Nous sommes invités à nous rendre dans une classe de CE2 qui nous accueille avec le sourire et avec curiosité. Parmi cette trentaine d’enfants de neuf ans, la plupart sont très petits. Malheureusement, pour nombre d’entre eux, l'absence d’une nutrition appropriée et de stimulation intellectuelle dans la petite enfance leur laissera des séquelles toute leur vie en termes de développement. Il y a par ailleurs dans la classe des élèves plus grands (16 ans pour les plus âgés) qui essaient de maîtriser les éléments fondamentaux du programme de CE2. Ils en imposent par leur taille, mais, manifestement, la majorité d’entre eux n’arrivent pas à suivre parce qu’ils ne comprennent pas le français, la langue utilisée en classe (ils parlent Afar dans leur famille), qu’ils ont parcouru 3 kilomètres sous la chaleur pour arriver à l’école, qu’ils n’ont pas assez mangé ou qu’ils ne parviennent tout simplement pas à se concentrer. Nous demandons à deux d’entre eux de lire une phrase en français ou en arabe, et c’est la déception. (Consulter l'oeuvre d'IOG)

12 mai 2013

Devant l’échec du machin USN, Dieu, la foi et les apparences viennent à la rescousse de l’immoralité, un dernier recours afin de se payer la tête des djiboutiens(nes)

Notre sœur, Ifrah Ladyeh Bogorreh :
  • Épouse de Rachid Moussa Dawaleh ; frère de l'actuel ministre des finances, le remplaçant de Boreh au truandage du trésor public et l’endettement exponentiel du pays.
  • Proche cousine de notre ami et nouvel ambassadeur de Djibouti en Belgique.
  • Cousine clanique du porte-parole USN et Cheval de Troie d’IOG, un détail utile dans l’assemblage du Puzzle, au-delà de la victimologie trompeuse des arrestations et défilés en justice, cherchant à donner à la grenouille l’apparence d’un bœuf. C’est ainsi qu’on fabrique les faux-héros en politique.
Après 10 ans de boycottes électoraux inutiles, une nouvelle coalition électorale porteuse d’espoir d’un changement politique, le rétablissement du droit et le respect du citoyen, ne s’envase dans les choix suivants, qu’avec un agenda à contre-courant des vraies aspirations et attentes du peuple :
  • Un porte-parole, qui rentre de 8 ans d’exil, trainant derrière lui une condamnation pour Haute Trahison envers la Nation, 2 poursuites en diffamations aggravées et dont le parti est banni sur la scène nationale,
  • D’un génocidaire vomit par toute la population. Ancien 2ème homme d’un régime totalitaire, recyclé sans jugement tête de liste à la députation et président d’une assemblée fantôme,
  • D’un escroc, ayant contribué largement à l’endettement du pays et dont on vient de découvrir 2 comptes Off-Shore dans un paradis fiscal. Ancien protégé d’IOG, ayant fait largement fortune à Djibouti en moins de 10 ans, s’achète aujourd’hui une nouvelle image d’opposant avec l’argent détourné du peuple. L’opposition n’a rien à dire, si ce n’est l’applaudir et se soumettre jusqu’à lui concéder le titre de représentant de ceux qu’il a dépouillé. Le changement version machin USN.
Ceux qui avaient encore des doutes sur nos recherches et compréhension des enjeux en arrière-plan de l’agenda USN, voici une autre confession révélant les véritables motivations :
  • Du refus de la transparence à laquelle le PRIDE convie toute l’opposition, depuis des années,
  • Le vrai calcul colonial à la base de l’agenda USN et les manipulations postélectorales,
  • Les décisions en circuit fermé entre les 5 dirigeants de l’USN, principaux acteurs de la division et l’immobilisme de l’opposition de l’UAD à l’USN. Au nom de toute une Nation, sans consultation aucune, utilisent aujourd’hui, Mr Beni-Oui-Oui Ahmed Youssouf, au même rôle dédié à Barkhat Gourad, Dileita Med et Abdoulkader Kamil, au nom de la diversité ethnique de façade, ayant maintenu les tyrans Gouled et IOG au pouvoir. Cette fois-ci, la mission est d’assurer et légitimer la succession clanique à la tête de l’État.
Humilier individuellement soit collectivement ses adversaires politiques est un art, qu’on sait tous, IOG affectionne au plus haut degré, allant jusqu’à l’élimination physique si nécessaire, et vient de le démontrer avec mépris et sans gêne, en bouclant sa boucle du 3ÈME Premier Ministre, de la 3ème région d’OBOCK, après TADJOURAH et DIKHIL. Le message politique est clair pour ceux avec la tête hors de la boue, cette communauté n’est à ses yeux qu’un produit facilement manipulable, étiqueté : jetable après usage, tel un préservatif.
Les futurs Pirates de la direction USN, menés par le bout du nez par l’ancien directeur génocidaire du cabinet Gouled, semblent apprécier cette formule. Qui de mieux placé donc, qu’un autre mouton de cette communauté pour vendre et mener à bien le nouvel agenda de la rétention du pouvoir. C’est au Beni-Oui-Oui de l’ARD à qui fut confiée cette mission, il s’est même battu bec et angle pour le poste, tout en empêchant depuis des mois, son propre parti de tenir son congrès annuel, afin d’éviter de rendre des comptes ou se faire montrer la porte.

9 mai 2013

DJIBOUTI : INCITATIONS AU CRIME ET APPELS AU TERRORISME SUR FACEBOOK,

DE LA PART D'UN MERCENAIRE CLANIQUE DU PORTE-PAROLE DU MACHIN USN.
BRÛLER, ABATTRE, DÉTRUIRE ET TUER, N’EST PAS LE CHANGEMENT AUQUEL S’ATTENDAIENT LES BRAVES, DE LA PART D’UNE RELÈVE POLITIQUE ET JE LE CITE
: (Lien aux commentaires sur la page Facebook du PRIDE)

"" Puisqu'il n'y a pas de lois, ni état, qu'attendez vous patiemment, quelle respect, une bande de bandit, ne peut pas nous terroriser chez nous, pourquoi sommes ni si peureux, la mort vaut mieux qu'une vie misérable ou l'on est réduit à l’esclave.
Pourquoi laissez-vous vos honorables Oulémas et Leaders patriotes dans les geôles, brulons ses prisons, nous avons rien à respecter. Les quatre bandits et ses mercenaires doivent être abattu un après un.
Levez vous, faisons tomber le mur de la peur, prenons les et brulons les tous.""
– Pseudo Facebook : Ainan Ainan

IL A DÛ RECEVOIR L’AUMÔNE DE LA MAIN DE L’ESCLAVAGISTE BOREH, POUR PROSTITUER SON ÂME À CE POINT. NOUS DISONS À CET AGITÉ :
« Il y a deux manières de combattre, l'une avec les lois, l'autre avec la force. La première est propre aux hommes, l'autre nous est commune avec les bêtes. » -- N. Machiavel

CHEZ NOUS ON DIT AUSSI EN LANGUE SOMALIE : « Hog ha isku qodine, hadaad qodid’na ha ku deerane, ku dhici doontid’na mooyane »

LE NAVIRE PIRATE DE LA RÉTENTION TRIBALE DU POUVOIR PREND L’EAU, GRÂCE À UN PEUPLE AUJOURD’HUI, MIEUX INFORMÉ ET PLUS AVERTI QU’EN 1977, PAR CONSÉQUENT RÉTICENT À TOUT APPEL DES SIRÈNES DE LA DÉSINFORMATION, LA PROPAGANDE ET LA MANIPULATION POLITIQUE.
  • LE FANTASME DES IMMIGRANTS AYANT PRIS DJIBOUTI POUR UNE MONARCHIE TRIBALE, MIS À NU PAR LES PATRIOTES DU PRIDE,
  • LE COUP D’ÉTAT ET L’INSÉCURITÉ PROGRAMMÉES AYANT SUBI LE VETO DES BRAVES, DEPUIS LE 25 FÉVRIER 2013,
*** DORÉNAVANT C’EST LA POLITIQUE DE LA TERRE BRULÉE, COMME EN SOMALIE, QUE LES PARTISANS CLANIQUE DU PORTE-PAROLE DU MACHIN USN, ENCOURAGENT SUR FACEBOOK.

Djibouti : Soit la génération légitime du vrai changement jette les fondations d’une démocratie basée sur le culte de la responsabilité, soit elle se fera bientôt imposer un autre régime sur l’actuel culte de l’administration indirecte du prête-nom

« Les grands hommes appellent honte le fait de perdre et non celui de tromper pour gagner. » -- Nicolas Machiavel

Avant-propos : Preuve que la raison a encore une chance d’être exploitée à Djibouti ; l’appel du PRIDE pour la libération de notre compatriote Abdourahman God lors des funérailles de sa douce mère, n’a pas été vain. (Lien aux commentaires sur la page Facebook du PRIDE)

Nos membres réitèrent ici et publiquement, auprès du régime et ses décideurs, l’exigence :
  • De mettre un terme à cette panique répressive et chasses aux sorcières, 
  • La libération de tous les prisonniers politiques victimes de ces arbitraires, 
  • La levée de toute interdiction de voyage et circulation imposée aux personnalités politiques, 
Sur la base d’un engagement écrit par tous ceux en prison et la direction politique du machin USN, de mettre un terme à l’amateurisme post-législatives par l’innovation du combat politique. Le dialogue, la négociation, le compromis et la volonté des Braves devenant le siège et la raison d’être de la relève.

Les incitations au crime et appels au terrorisme sur Facebook, d'un mercenaire clanique du porte-parole de l'USN, n’est pas le changement auquel s’attendaient les Braves, de la part d’une relève politique et je le cite :
"" Puisqu'il n'y a pas de lois, ni état, qu'attendez vous patiemment, quelle respect, une bande de bandit, ne peut pas nous terroriser chez nous, pourquoi sommes ni si peureux, la mort vaut mieux qu'une vie misérable ou l'on est réduit à l’esclave.
Pourquoi laissez-vous vos honorables Oulémas et Leaders patriotes dans les geôles, brulons ses prisons, nous avons rien à respecter. Les quatre bandits et ses mercenaires doivent être abattu un après un.
Levez vous, faisons tomber le mur de la peur, prenons les et brulons les tous.""


En général, seuls les poissons morts suivent le sens du courant, les pionniers tracent eux-mêmes leurs voix.

À TOUS LES NOMINÉS À LA DÉPUTATION DE L’USN :
Chers camarades de la résistance,

8 mai 2013

Djibouti24 : L'actualité de Djibouti au quotidien -- A malin, malin et demi !

" La vérité, toute la vérité et rien que la vérité. Sublime dans le genre descriptif de la scène politique des Braves. Un tableau de l'âme humaine de Rembrandt au Renoir, à l'œil de Monet, tout y est, pour ceux qui souhaitent comprendre, pour les autres avec la vérité du temps, ils retrouveront les esprits." - Bourhan Bey (Abou Amin)

Djibouti24 : L'actualité de Djibouti au quotidien
A malin, malin et demi ! (Lien aux commentaires sur la page Facebook du PRIDE)

A observer de très près la composition de l’opposition USN, elle rappelle un vieux film western des années 70 appelé "les douze salopards". Il s’agit d’un film qui relatait l’histoire d’un groupe d’hommes appelés pour une mission difficile à la veille du débarquement en Normandie.

Pour ce faire, le major John Reiman était chargé d'entraîner une douzaine de prisonniers militaires condamnés à des peines capitales. En échange de leur liberté, ces hommes devaient accomplir une mission périlleuse : investir les quartiers généraux nazis en France et tout détruire.

Après un entraînement digne d'un commando, les "Douze Salopards" avec des motivations différentes sont fins prêts au risque de perdre leur vie au combat.

Dans le récit de l’USN seul DAF risque de perdre son activisme au combat contre le régime, les autres membres du commando USN ont atteint leurs objectifs et ne sont pas prêts de mourir en sortant le leadership de DAF du monde virtuel (Facebook et Twitter).

Ahmed Youssouf joue le rôle du major John Reiman en ayant pour mission d’encadrer les combats de l'âme d’un commando constitué avec des dirigeants qui avaient chacun son agenda caché. Son parti ARD n’ayant pas les moyens pour faire de la politique, le vieux Youssouf a accepté la posture d’arbitre et passe son temps à ménager la chèvre et le chou.

Les deux leaders qui n’ont pas été inquiétés, Sougueh et TX sont sous le contrôle politique de paratonnerre.

Djibouti : IOG visite ses exilés, 2 Manifestations pour lui rendre la politesse

Gouverner ; l'art de prévoir le futur d'une Nation, ne rien prévoir c'est courir à sa perte.

« ABDOURAHMANE BACHIR ; JE L'AI FABRIQUÉ DE TOUTES PIÈCES EN CROYANT BIEN FAIRE. », Dixit IOG

« SI DIEU A ACCEPTÉ QU’IL Y AIT LE DIABLE, POURQUOI REFUSERAIS-JE QU’IL Y AIT UNE OPPOSITION » - IOG

Djibouti : L’opposition politique doit prendre acte de sa propre léthargie

DJIBOUTI : EN 37ANS, ONT RIEN NOTÉ DE GROSSIER - AMNÉSIE TOTALE - INVITENT UN 3ème ET REBELOTE

DJIBOUTI : LE RÉGIME DU PRÉFET IOG, TOURNERA ENCORE SON REGARD POUR SAUVER SA TÊTE

DJIBOUTI : UNE PAIX SANS JUSTICE EST ILLUSION, UN PARDON SANS JUSTICE EST UNE BOMBE À RETARDEMENT

DJIB : UN CIRQUE MÉDIA SANS QUE LE PROXY NE DISE MOT, SUR CE QUE LUI ET SES PARRAINS NOUS RÉSERVENT

DJIBOUTI : L'ESCROQUERIE DU MACHIN USN !!!

M. GUELLEH, ÇA COUTERAIT QUOI DE FINANCER L’AVENIR DE CES FUTURS CHAMPIONS DE LA RÉPUBLIQUE ?

DJIBOUTI : L'USN ET SES OPPORTUNISTES, EXIGENT DE NOUS, QU’ON ENTRETIENNE LA MÊME VOYOUCRATIE

PREMIÈRE D'UNE NOUVELLE CHRONIQUE PAR L'IMAGE, INTITULÉE : "" C'EST QUOI ÇA GUELLEH ??? ""

ASSEMBLÉE DE PAILLE FRUIT DE L’INSUFFISANCE & COMITÉS FANTÔMES, LE MACHIN USN SE VEUT DISTRAIRE

LE PRIDE N’EST PLUS SEUL À POSER DES QUESTIONS & REMETTRE EN CAUSE LA LÉGITIMITÉ DE LA DIRECTION USN

Ahmed Youssouf à l’USN -- JOUE LE MÊME RÔLE QUE -- Hassan Omar GAQANLO à l’UMP

SIGNIFIONS EXPRESSÉMENT LE REJET DE L’AGENDA USN, CONCOCTÉ ENTRE LES MÊMES MANIPULATEURS DE L'UAD

DJIBOUTI : UMP & USN, 2 FACES DE LA MÊME MÉDAILLE, AVEC LES MÊMES VICES, ÉGOS ET AMBITIONS

DJIBOUTI : VICTIMISATION, REFUS DE L’ENGAGEMENT ET UNE EXPRESSION SECTAIRE MANIPULATRICE DES JEUNES

UN PATRIOTE INVESTIT DANS SON PEUPLE, NON HORS FRONTIÈRES, IL EST TEMPS QU'ON EN EST UN, À DJIBOUTI

DJIBOUTI : NOUS CONVIONS CET ÉTÉ 2013, TOUTE L'OPPOSITION À DES ÉTATS GÉNÉRAUX

DJIBOUTI : CITOYENS POUR LE CONSENSUS NATIONAL (CCCN) POUR UN GOUVERNEMENT DE TRANSITION RESPONSABLE

Une Source Infinie de Vidéos sur La Corne.

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Djibouti : Le Déni de Justice et la Lutte contre un autre Pirate de la FrancAfrique

MALI : STRATÉGIE INNOVÉE : PROBLÈME - RÉACTION - SOLUTION - PAYEMENT DES COÛTS

LA RECOLONISATION DU 21ème SIÈCLE - FRANCE VS CÔTE D'IVOIRE

LA RECOLONISATION DU 21ème SIÈCLE - FRANCE-OTAN VS LIBYE

Actualités et Évènements dans le Monde

Please Sign Today To Support Those for a Democracy in Djibouti - Africa

Amender une Constitution afin de rester au Pouvoir et Refuser l’Alternance c’est de la Tyrannie..
OBAMA : "Make no mistake: History is on the side of these brave Africans, not with those who use coups or change constitutions to stay in power.......... Africa doesn’t need strongmen, it needs strong institutions."
<= THE PRICE OF SILENCE & INACTION IS MUCH TOO HIGH =>
FaceBook Petition for the benefit of Amnesty International USA, if You Wish to Join Protect The Human

""Il y a un temps pour RÉFLÉCHIR, un temps pour SENSIBILISER, un temps pour ÉPILOGUER et un temps pour AGIR contre le RPP : RASSEMBLEMENT DES PILLARDS DU PEUPLE.""
Téléchargez sur SkyDrive le CONTRAT JURIDIQUE ET MORAL avec le peuple de DE DJIBOUTI, afin de rassurer la population sur les INITIATIVES qui seront mises de l'avant AU DÉPART D'IOG : FEUILLE DE ROUTE (PDF)

UNE OPPOSITION RESPONSABLE ET CRÉDIBLE.

Le parti PRIDE appelle l’opposition à assumer pleinement son rôle. Lançons l’organisation d’un Congrès qui unira nos efforts, nous donnera la crédibilité nécessaire et l’appui de la communauté internationale pour une transition exigeant non seulement le respect de la constitution mais aussi la reforme du scrutin électoral et les dispositions préalables pour en assurer la transparence avant les prochaines élections de 2011.


Le peuple veut voir une opposition responsable autour d’une table ronde ou chaque parti sera représenté par 5 membres de leur direction et d’observateurs Djiboutiens.


Chaque parti tout en gardant ses affiliations, contribuera à édifier un document fort, engageant et prometteur, ralliant la population Djiboutienne toute entière dans sa diversité, contre le ballon vide d’IOG, à la mode Ukrainienne. Le document final signé par les parties, sera soumit aux pays médiateurs choisis au Congrès et aux institutions internationales.


DE LA SAGESSE, UNE VISION ET DU COURAGE, EST-CE TROP DEMANDER?


Le rôle de ces observateurs Djiboutiens comme la préparation du congrès, sera confié à une agence spécialisée dans l’exercice de cette fonction et un comité ou une entité neutre assumera la coordination et la préparation des documents du Congrès, entre cette agence et les parties ayants exprimées leur volonté d’y participer.


Dans un souci de transparence et de tenir le peuple informé, à défaut d’être diffusés en direct sur l’internet, tous les travaux de ce congrès doivent être vidéo-enregistrés.


Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie : PLAN D’ACTION POUR UN FRONT COMMUN.

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CONSTITUTION DE LA RÉPUBLIQUE DE DJIBOUTI : EN FRANÇAIS ENGLISH

Présenté à toutes les Ambassades et Consulats de France dans le monde -- Memorandum du 28 Sept 2010.pdf.