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BIENTÔT, DJIBOUTI AUSSI DIRA "NON" AU NÉPOTISME DE L’ADMINISTRATION INDIRECTE DU PRÊTE-NOM.
"LA LIBERTÉ N'EST JAMAIS ACCORDÉE DE BON GRÉ PAR L’OPPRESSEUR ; ELLE DOIT ÊTRE EXIGÉE PAR L'OPPRIMÉ." -- MLK
DJIBOUTI : REFORMONS L'OPPOSITION AFIN DE POUVOIR UN JOUR REFORMER L'ÉTAT
NOUS CONVIONS CET ÉTÉ 2014, TOUTE L'OPPOSITION À DES ÉTATS GÉNÉRAUX

30 décembre 2013

DJIBOUTI - 30 DÉCEMBRE 2012-2013 : JE ME SOUVIENS D’UN SAFARI À OBOCK OU :

L’ancien secrétaire Djama Elmi Okieh, promu depuis, malgré toutes nos objections au rang de ministre selon les normes de la méritocratie en vigueur, faisait tirer à balles réelles sur des étudiants À Obock-Djibouti.

En semant encore la mort au sein de cette communauté cible de la répression, depuis plus d’un siècle, comme dans la mafia, la nouvelle recrue et protégé du génocidaire IGH, devait démontrer être digne du clan.

La patience, la plus noble des vertus nous enseigne elle, que même en brousse, selon nos traditions ancestrales, tôt ou tard, tout se paye.
Entre temps Okieh, profitez de la protection que procure le parrain en chef du crime, sans oublier un seul instant que, la mort du jeune Hafez ne restera jamais impunie comme tous les crimes de ce régime. – Bourhan Bey (Abou Amin)

2014 EST À NOS PORTES. LES VŒUX DU PRIDE POUR CE NOUVEL AN S'INSPIRE D'UN EXTRAIT DE RECUEIL DE DISCOURS PUBLIÉ SOUS LE TITRE :

AFRICA THE TIME HAS COME -- "VERS LA RENAISSANCE PANAFRICAINE -  UN CHANGEMENT DE PARADIGME"

"" En Afrique la pauvreté criante des masses populaires côtoie une richesse inouie, paisible, le lit sur lequel dorment de  nouveaux parvenus qui comptent s'enrichir par tous les moyens, légaux et illégaux.
C'est cette situation de putréfaction où se mêlent cupidité, pauvreté, richesse, corruption qui fait le lit des coups d'Etat, des guerres civiles et de l'instabilité générale en Afrique.
Il est alors temps de dire : Ça suffit, halte à la honte, l'Afrique doit renaître ! Pour ce faire, il faut rompre avec le culte de l'argent, les abus de pouvoir ; il faut que les élites prennent en compte les préoccupations de la majorité.
Et en cela les intellectuels doivent renouer avec le talent de leurs ancêtres qui, comme Sadi au Moyen Age, faisaient la fierté de l'Université de Toubouctou dans les domaines du droit, de la logique, de la dialectique, de la grammaire et de la rhétorique ; ils doivent s'inspirer de leurs ancêtres qui en Egypte pharaonique, étaient dans certains domaines scientifiques en avance sur les Européens en général, les Grecs en particulier.
Ce passé de créativité est attesté par les pyramides et les sphynx d'Egypte, les stèles d'Axoum, les ruines de Carthage et de Zimbabwé, les peintures rupestres des San, les bronzes du Bénin, les masques africains, les sculptures makonde,  la statuaire shona etc. Il faut mener et gagner le combat idéologique, rejeter les thèses racistes et colonialistes qui refusaient aux Africains l'intelligence, la créativité ; on leur concédait juste la force de leurs muscles, comme aujourd'hui des mysogynes concédent aux femmes la capacité de procréation. L'appel est donc lancé pour mettre fin à la fuite des cerveaux et prôner le retour sur la terre d'Afrique de ses mathématiciens, ingénieurs, physiciens, ingénieurs, docteurs, managers, économistes. Alors pourront être relevés les défis qui ont pour noms : ouverture au monde du savoir, intégration dans l'univers de la recherche sur les nouvelles technologies, éducation et information, lutte contre la pauvreté, l'ignorance, les maladies, l'arriération sous toutes ses formes.

La Géopolitique et le "Développement" comme discours d'aliénation des élites africaines

Le PRIDE recommande l'écoute et l'étude attentive de cet exposé d'environ 2heures, sur la Géopolitique et le "Développement" comme discours d'aliénation des élites africaines, plus spécifiquement par la relève africaine d'aujourd'hui et demain, les étudiants de quelques filières ou domaines de spécialisations que ça soit... (Compléments d'infos en résumé, entrevue sur Talk-Africa24)

26 décembre 2013

Mandela n’est pas mon héros, 2ème partie

Julius Nyerere (Tanzanie) & Kwame Nkuruma (Ghana)
Avant de commencer la leçon d'aujourd'hui, une mise au point s'avère nécessaire :

MISE AU POINT :

Je n'avais pas prévu cette deuxième partie, mais ce sont les très nombreuses réactions, surtout les insultes et même les menaces de la part de personnes m'accusant d'avoir sali l'honorabilité de "Saint Mandela" qui m'a fait comprendre à quel point même certains intellectuels africains, les mieux avertis et les plus critiques sont manipulables et manipulés. Et donc, ont encore plus besoin d'être désintoxiqués, désaliénés pour être capables de se mettre résolument en marche vers leur propre libération mentale à travers la pensée critique. Et par définition, cette dernière ne peut débuter que par le doute, le doute raisonnable en toute chose, même si c'est le monde entier qui insisterait pour les pousser et les orienter vers une direction bien définie.

Je suis un penseur, je ne suis qu'un penseur. Je n'écris que ce que je pense. Et plutôt que de vouloir lire de moi ce que vous pensez, vous feriez mieux de nous dire aussi ce que vous pensez. Car l'objectivité n'existant nulle part, c'est en mettant ensemble nos différentes pensées, même contradictoires entre elles, que nous ferons avancer notre société. Chacun de nous ne voit le monde et ne le raconte que depuis l'angle de vision qui est le sien. Je suis un pousseur et comme je l'ai écrit dans la signature de cette leçon 69, je suis un ex-coupeur de canne à sucre. Mon appréciation de Nelson Mandela est celle d'un coupeur de cannes à sucre, ou celle d'un pousseur. Ce que je raconte est le monde tel que je le vois, nourri de mes propres expériences et influencé surtout par la rage de cette misère extrême que j'ai connue. Ne me demandez pas d'être vous, plutôt que moi-même, et si vous y tenez, cherchez d'abord à être moi, commencez par partager toute la souffrance que j'ai connue et qui malheureusement n'est pas celle d'une seule personne, mais le quotidien de millions d'Africains pour qui j'écris, et nous en reparlerons. D'ici là, si mes textes vous énervent, c'est tout simplement la preuve que vous n'en êtes pas les destinataires. Je vous prie donc de m'ignorer, d'ignorer ce que j'écris et continuer votre route. Ne vous occupez pas de moi, parce que je ne m'occupe pas de vous. Je ne sais même pas ce que vous écrivez encore moins qui vous êtes.

Certains m'ont traité de populiste démontrant par là même qu'ils ne savent pas de quoi ils parlent. Un populiste, par définition dit ce que tout le monde a envie d'entendre. Alors que tout le monde est pour béatifier Mandela, dire qu'il n'est pas mon héros est tout sauf du populisme, au contraire, on risque même le lynchage de ce peuple suffisamment abruti par les média-mensonge. Ce qui me vaut cette mise au point de ce matin.

20 décembre 2013

Droit de Réponse à Marion Maréchal Le Pen

"Dans nos colonies, nous n'avons jamais appliqué l'Apartheid. On peut en faire une fierté " Marion Maréchal Le Pen

Mlle Marion Le Pen, je souhaiterais avant tout vous informer que la France ne possède plus de colonies à moins que vous ne désigniez par-là la Corse ; ce dont je doute.
Depuis de nombreuses années que je tombe à chaque fois par hasard sur les déclarations des membres de votre parti le Front National, et plus précisément de ceux de votre famille à savoir votre grand-père Jean-Marie Le Pen et votre tante Marine Le Pen, je n’ai jamais jugé bon de répondre aux multiples inepties que vos proches ont tendance à pondre. Mais cette fois, suite à votre déclaration incongrue qui sans nul doute affiche votre ignorance béante de ce pays que vous prétendez représenter à l’Assemblée Nationale, j’ai décidé de vous répondre car je n’ose pas croire que vous êtes une imbécile pour vous répondre par mon silence comme j’en ai pris l’habitude avec votre tante Marine.

Mlle Marion Le Pen, par cette déclaration "Dans nos colonies, nous n'avons jamais appliqué l'Apartheid. On peut en faire une fierté » que vous aviez faite sur BFM TV le 16 Décembre dernier lors d’une émission au cours de laquelle vous sembliez rendre hommage à Nelson Mandela, ce monsieur que votre « papy Jean Marie » traitait affectueusement de «terroriste » dans les 80, vous ne m’avez point choqué car je sais que la France dans laquelle vous aviez grandi ne vous a jamais apprise dans ses écoles, les horreurs qu’elle a commises dans ses anciennes colonies. Vous êtes de cette génération à qui la France ment et à qui la France cache son linge sale que vous avez pourtant le devoir de laver afin de réduire le degré de haine et de dégout que ressentent ceux-là que votre pays dont vous êtes si fière a humiliés, déshumanisés, torturés, exploités, opprimés, réprimés et continue de martyriser. Comment pouvez-vous laver le linge sale de votre chère France si durant toute votre vie, les gens comme votre grand-père qui avaientt soutenu l’Apartheid ont passé leur temps à vous faire croire que la France n’a fait qu’aider les « autres » à se « civiliser ». Oui, la civilisation de la sauvagerie et de l’avilissement !

Mlle Le Pen, à 24 ans, vous êtes la plus jeune député de la France et étant votre cadette de quelques mois seulement, je peux donc conclure que vous et moi sommes de la même génération et pourrai alors dire qu’à cet âge et avec le poste que vous occupez, vous devriez connaitre la vraie histoire de votre pays la France si et seulement si vous eûtes fait preuve de moins de paresse intellectuelle en ne vous contentant pas que des histoires que vous racontent « Papy Jean-Marie » mais hélas ! Je vais donc vous rendre un très petit service en parcourant avec vous quelques-unes des politiques de la France dans ses anciennes colonies qui étaient pies que l’Apartheid en Afrique du Sud.

19 décembre 2013

Djibouti : Rendez-vous avec les membres et militants du PRIDE.

La date du 1er Congrès du PRIDE est arrêtée au 18 Décembre 2014 à Djibouti-Ville, de 2H à 9H le soir.

La stratégie de la résistance anonyme prendra terme dans un an à partir d’aujourd’hui, à l'aune du 1er Congrès du PRIDE qui se tiendra à Djibouti-ville en fin de mon unique et seul mandat comme secrétaire général de ce parti.

Un congrès qui aura pour objectifs :
-- D’informer les militants sur le travail accompli,
-- De valider et voter la constitution et les règlements internes du parti,
-- D’élire le prochain Secrétaire général et Président administratif du parti,
-- D’élaborer sur le programme, vision et mode de financement du PRIDE
-- Légaliser le PRIDE auprès des instances de la République,
-- Établir les annexes et directions dans chaque circonscription électorale
J’invite les membres du comité à prendre toutes les dispositions au bon déroulement de ce meeting.
Bien à vous tous,
La lutte continue.

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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)

18 décembre 2013

Non, Mandela n’est pas mon héros

Mandela a été inhumé avant hier 15/12/2013 selon le rite de la spiritualité africaine non-déiste : un bœuf a été sacrifié pour l'accompagner dans le monde des ancêtres, ce qui est très bien, dans une Afrique où les intellectuels se bousculent pour se faire enterrer selon les rites chrétiens ou musulmans des oppresseurs. Contrairement à la culture islamo-judéo-chrétienne de la hiérarchisation de la société jusqu'aux défunts, le partage, l’égalité entre les êtres humains et le culte/la place accordée à nos morts constituent la base de la société traditionnelle africaine. Alors que certains occidentaux auraient voulu faire un pèlerinage sur la tombe de Mandela, la culture africaine ne le leur a pas permis. Cela n’a pas été possible parce que dans cette culture, chaque mort est égal à un autre et chacun a son propre ancêtre, qui est son parent, son familier immédiat. Mandela devient l'ancêtre de ses enfants, de ses petits enfants, de ses cousins, de ses neveux etc. Mais pas l'ancêtre suprême des Sud-Africains. Chaque personne ayant son propre ancêtre, de même que Steve Biko est l'ancêtre de ses propres familiers à est à égalité avec Mandela. Et c'est cette conception du monde du partage comme base de la cohésion sociétale qui est à l'origine de la lutte qu'a mené Mandela pendant 27 ans derrière les barreaux. Ceux qui ont traité Mandela de communiste n'ont tout simplement pas compris que la tradition africaine n'a pas eu besoin de lire Karl Marx, pour comprendre que l'injustice sociale est le pire ennemi de toute société, loin de tout éventuel ennemi extérieur. Et c'est pour avoir trahi ce principe africain de la lutte pour le partage des ressources sud-africaines que Mandela a failli à sa mission. Tout s'est passé comme s'il était entré en prison parce que son peuple brûlait d'envie d'avoir un Européen comme ami, ou comme voisin. Non, ces Européens se sont illustrés en voleurs, en truands, en braqueurs des richesses de l'Afrique du Sud. Sorti de prison, Mandela a donné l'impression qu'il suffisait de dire au braqueur de nous laisser dormir en paix dans les toilettes et non plus de nous restituer un minimum de nos propres richesses.

Il n'est pas très important de savoir si Nelson Mandela est un héro pour Pougala ou non. Il est plus intéressant de se demander s'il était un héro pour son propre peuple. Comment son peuple a-t-il vécu ces écarts de comportement entre sa misère quotidienne et l'image que les populations d'origine européenne projetaient de lui?

Pour le comprendre, retour au jour de la cérémonie officielle dans le stade de Soweto. Ce stade qui était désespérément vide. Lorsqu'en plus on enlève les 90 chefs d'Etat et leur délégation, certains sont même venus avec 2 avions comme le chef d'Etat français. Lorsqu'on y ajoute les nombreux journalistes qui faisaient 8 heures de queue pour avoir l'accréditation, on constate l'ampleur du désintérêt de la population noire sud-africaine pour cet homme. Mais ce qui m'a le plus marqué, n'est pas ce qui se passait au stade principal. C'est plutôt ce qui se passait à l'autre stade Orlando, et pire, ce qui ne se passait pas. Dans ce stade, on avait érigé des écrans géants pour accueillir les nombreux Sud-Africains qui ne trouveraient pas la place au stade principale et ce stade est resté tout aussi vide, avec le gène de tous ces journalistes occidentaux à qui la rédaction donnait l'antenne pour raconter l'ambiance du stade et étaient tous obligés d'inventer des romans de leur propre imagination, car il n'y avait pas d'acteur pour leur film, la population avait tout simplement déserté. On peut donc dire que Mandela est plus un héro pour les Blancs et non pour les Noirs, mais pourquoi ?
« L'arme la plus puissante entre les mains de l'oppresseur est l'esprit de l'opprimé.  » -- Steve Biko

Centrafrique : les raisons cachées de l’intervention française

Contrairement à l’« impératif humanitaire » agité par le président François Hollande, l’ « Opération Sanguiris » menée par 1 200 soldats français vise à contrer l’arrivée des Chinois et surtout à contrôler les réserves d’or, de diamant et d’uranium présentes dans le sous sol de la Centrafrique. Un pays plus grand que la France et Belgique réunies et où Areva, Total, Bolloré, France Télécom… dictent déjà la loi, malgré les atrocités.

Après la Côte-d’Ivoire de Laurent Gbagbo, la Libye de Kadhafi et le Mali en Afrique de l’Ouest (Opération Serval), la France a décidé le 3 décembre dernier d’intervenir militairement en République centrafricaine (RCA), un pays situé justement au centre de l’Afrique. François Hollande et ses officiers ont attribué le nom d’un papillon aux ailes rouge sang à cette opération militaire : le « Sanguiris ». Cette « Opération Sanguiris » est entrée dans sa phase opérationnelle le 8 décembre, date à laquelle 800 soldats sortis des casernes hexagonales 72 heures avant, ont rejoint leurs collègues à Bangui, capitale de la RCA. Ce ralliement porte à 1 600 le nombre de militaires français dans ce pays étendu sur 622 980 km2 et peuplé de cinq millions d’âmes damnées par un demi-siècle de guerre et de misère tous azimuts. Avant l’ « Opération Sanguiris », l’armée française disposait déjà des troupes suréquipées en Centrafrique. Elles sont stationnées à l’aéroport de Bangui-Mpoko.

Officiellement, l’ « Opération Sanguiris » est la réponse à une « situation catastrophique ». Une réaction « humanitaire », pour sauver « un peuple qui souffre et nous appelle », a déclaré François Hollande le 6 décembre lors du Sommet Afrique-France qui se tenait à l’Elysée. « Les Français doivent être fiers d’intervenir quelque part sans intérêts », a ajouté le « socialiste  » Hollande. Le même jour et au même endroit, le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies (ONU), s’était joint au président français au grand cœur pour saluer la décision ainsi prise par le successeur de Nicolas Sarkozy. Ban Ki Moon avait personnellement fait le déplacement de Paris pour participer à la grand’messe françafricaine organisée et présidée par M. Hollande avec pour thème officiel : « Paix et sécurité en Afrique ». Avant Ban Ki Moon, d’autres fonctionnaires de l’ONU comme Navi Pillay et Jan Eliasson avaient, à tour de rôle, agité le spectre d’un « conflit ethnique et religieux » qui « paralyse la Centrafrique  ». Finalement, l’ONU a voté la résolution 2127 qui autorise une intervention militaire africaine avec l’appui des forces françaises. Quelle suite logique !

 La France n’a pas d’intérêts en République centrafricaine : Vrai ou faux ?

DJIBOUTI : LE 18 DÉCEMBRE 1991 À 7H AM -- JE ME SOUVIENS

12 décembre 2013

Djibouti : « Il est plus facile de construire des enfants forts que de réparer des hommes cassés. » -- Dixit, Frederick Douglass

La guéguerre au sein du Machin Club Privé USN et la prise en otage de la Nation par des brigands - 1ère et 2ème partie

3 NOMINATIONS PAR DÉCRET DIVIN, D’UN TARTUFFE  AFFUBLÉ D’UN « HAUT CONSEIL POLITIQUE » IMAGINAIRE ET QUI SE PREND DÉJÀ POUR LE PRÉSIDENT DE LA 2ÈME RÉPUBLIQUE.

(5ème pièce à conviction du Vide Légalisé entretenu par le Machin Club Privé USN, face à IOG, après celle de la distraction à Paris d’AYH, le 11ème anniversaire du parti d'IGH devant 30 proches, la déportation et NON catégorique du gouvernement Éthiopien, et le vide de militants au meeting dédié à Nelson Mandela)

Devant toutes ces évidences, le doute est-il permis, la confiance est-elle méritée, les mises en gardes du PRIDE sont-elles exagérées, peut-on oser soutenir cette complicité criminelle à moins d’êtres du même moule ???
-- C’est au peuple des Braves, de réfléchir à ces questions et d’agir en conséquence.

Un militant du PRIDE pose la question suivante : "Monsieur le Secrétaire General, dans votre dernier article vous mentionnez l'existence de guéguerre au sein de l'USN, de quoi s'agit il, on veut savoir"

Une des questions que posent les militants du PRIDE depuis la publication de l'article : Même pour un petit meeting à la mémoire de Nelson Mandela, le machin club privé USN n'a pu réunir qu'une 100ène de compatriotes dans la capitale. Une indigence qui en dit long sur ces saboteurs de la réelle opposition politique.

Si je commençais à répondre en détail, à la question posée, faudrait que je reprenne toutes les publications du PRIDE qui traitent de la question, de quoi écrire quasiment un livre.

Prenons dans les circonstances le dernier « DÉCRET À LA MODE IOG » du cancre en Chef du Machin Club Privé USN, et ses nominations partisanes. Des promotions, sans consultation aucune de la direction ou les militants de l'ARD ou encore les directions et les membres des autres partis légalisés.

Le doute n’est plus permis, les qualifier de petits dictateurs en gestation serait insulter l’intelligence des Braves, cette direction a le talent de faire rougir de honte IOG !

Qui sont-ils et en quoi ces nominations découlent-elles de la guéguerre entre irresponsables, dont certains, ne sont que des traitres ayant pris la Nation djiboutienne en otage, sans le moindre scrupule ?

1- M Mahdi Ibrahim God, un militant de longue date à qui je reproche personnellement cette quiétude complice de ces dernières années, vient d'être nommé ADJOINT au représentant itinérant du Club USN à l'étranger, nul autre que la grande canaille ; Abdourahman Boreh qui, vida nos caisses sous la tutelle d'IOG.

10 décembre 2013

La France en voulant singer l'Amérique dans l'art d'inventer les crises se prend pieds joints dans sa propre intox et ce n'est qu'un début.

"" Centrafrique: Paris vend très mal son intervention malgré l’AFP

 La France, en voulant singer une intervention à l’américaine et en inventant difficilement un ennemi qu’elle apparente tantôt au chaos, tantôt à des "militants" extrémistes au sein de la SELEKA (bizarre pour une ex-rébellion hétéroclite soutenue par la France en mars 2013…), Paris défend mal son intervention et ce, malgré un apport de poids puisque l’agence "officielle"  AFP y met les bouchées doubles en transformant des affrontements tribaux en massacres. Le plus amusant est que personne n’est en mesure de vérifier ce qui s’y passe sur place.

Cependant, au sein des milieux diplomatiques, ça ne passe pas. On continue à sourire. Et ce sourire devient jaune en entendant le très prolixe Souleymane Diabaté, le représentant de l’UNICEF à Bangui qui parle de 480 000 déplacés en Centrafrique! C’est pousser le bouchon un peu trop loin…Dans ce cas, les 1600 militaires de Sangaris ne suffiront jamais même pour une distribution de rations.

C’est l’art d’inventer des crises. A noter la reprise d’éléments constitutifs d’autres conflits récents: dichotomie ou clivage musulmans-chrétiens lequel n’est pas sans similitude avec le clivage inventé de toutes pièces entre Sunnites et Chiites en Syrie; le mythe de l’exode avec ce chiffre impossible à vérifier au Sahel d’un demi million de déplacés comme s’il s’agissait d’un conflit de grande intensité; déclarations mensongères de représentants d’Organisations internationales surtout s’ils sont connus pour leur proximité avec la FranceAfrique…Ne manque plus qu’un Gaddafi local et ses fameuses troupes nourries exclusivement au Viagra et le tableau serait complet!

La réalité en est toute autre. Oubliez les mensonges soutenus d’un Fabius. Ou encore les déclarations intéressées d’un Diabaté. Que’est-ce qui se passe vraiment en Centrafrique? Un désordre crée par Paris. Existe-il une force organisée contre laquelle les soldats de l’opération Sangaris vont se battre? Non. Il s’agit au mieux d’une petite opération de police ou de force anti-émeute. La menace islamiste? Peu de chance, la Centrafrique n’est pas le Nord Mali et encore moins le Nigeria septentrional.

Revenons aux fondamentaux. La France agit en Centrafrique pour la défense de sa zone d’influence exclusive et intervient dans le cadre d’une stratégie plus globale relevant de Washington visant à évincer la Chine de la région. Tout le reste n’est qu’un casting de conjoncture. Très mal fagoté au demeurant. Peut être parce que la France agit trop tard et qu’on a été habitués aux grands castings US…""

9 décembre 2013

Djibouti : Même pour un petit meeting à la mémoire de Nelson Mandela, le machin club privé USN n'a pu réunir qu'une 100ène de compatriotes dans la capitale.

Une indigence qui en dit long sur ces saboteurs de la réelle opposition politique.
Un grand bravo aux braves, un peuple dorénavant bien conscient des enjeux politiques, refusant de se faire rouler dans la farine une énième fois par les sosies d’IOG.

À peine mentionna-t-il quelques mots en début de discours sur Mandela, que le naturel revint au galop, l'agité clanique du machin USN au micro, tombe par routine dans le piège béant de la répression du régime en détournant la cause du meeting en slogan politique maison, invitant ainsi la police stationnée en retrait à intervenir et disperser la 100ène de participants. (VIDEO)

Ma question : La 30ène de policiers en arrière des partisans avec juste 2 véhicules 4X4, auraient-ils  risqué cette dispersion, si la foule était composée de 5 ou 10 000 participants ou plus comme lors des meetings des législatives de Février ?

- La réponse est bien sur non, c’est pourquoi le régime agit à sa guise depuis le 25 Fév 2013, sous le regard bienveillant de ses soutiens étrangers aussi bien informés que le régime à travers leur représentation diplomatiques et sécurités militaires à l’écoute de toutes nos communications, sur les guéguerres de tranchées entre les califes du club et leur isolement politique sur tout le territoire national.

Pour réunir le peuple sans qui aucun changement n’est possible, il faut que règne la confiance, des dispositions inexistantes aujourd’hui, entre une relève politique de patriotes unifiées et une population parfaitement informée du projet de société dont ils sont porteurs, ainsi que des hommes et femmes qui leur aspirent confiance et non des criminels et des clanistes déguisés en opposants le temps d’une coalition électorale, pour tromper encore une fois la vigilance de cette majorité pour le changement, qui n'ont que trop souffert de 37 ans de néocolonialisme de naturalisés à la solde de l’étranger.

Lorsqu’à la base un problème est mal formulé et qu’on occulte la correction, la résolution en reste toujours erronée et la solution à nos dépens truquée.

4 décembre 2013

COUACS EN CENTRAFRIQUE ET EN SYRIE : LES POLITICIENS OCCIDENTAUX SONT-ILS DES AMATEURS OU JUSTE A VENDRE ?

Leçon de Géostratégie Africaine n° 68, de Jean-Paul Pougala

" L'Afrique a besoin d'un nouveau type de citoyen, dévoué, modeste, et bien informé qui renonce à lui pour servir l'Afrique et l'humanité, un homme dont la force soit l'humanité, et sa grandeur l'intégrité" -- Kwame N'krumah.

Cette citation du premier président Ghanéen nous montre qu'avant de poser la question du modèle de gestion de la chose publique que ce soit en Afrique ou n'importe où dans le monde, il y a tout d'abord la nécessité de définir quel type d'homme doit l'incarner. Ce problème ne date pas d’aujourd’hui, mais se pose depuis toujours, et en Afrique depuis au moins 50 ans. Dans la leçon n° 47, nous avions évoqué des conditions pour qu'on parle et espère l'avènement d'une probable renaissance africaine. Aujourd'hui, nous allons parler des faiblesses des modèles que l'Afrique a naïvement copiés et surtout montrer pourquoi de toutes les façons, là où l'original n'a pas marché, ce n'est certainement pas en Afrique que la copie fera des miracles. Nous allons voir ensuite à travers la crise centrafricaine, comment l'Afrique est flouée par ceux-là mêmes qui organisent des conférences pour soi-disant assurer sa sécurité. Et pour finir, nous verrons la fin tragique prochaine de l’’auto-proclamée plus grande démocratie du monde’ à commencer par sa monnaie, que son plus grand soutien la Chine, a tout simplement décidé de laisser couler.

A- UN MINI-SOMMET LE 7/12/2013 A PARIS POUR LA SECURITE EN CENTRAFRIQUE

L'UE a fait 26 sommets en 2 ans sur la crise économique en Europe sans jamais réussir à résoudre le moindre problème que ce soit en Grèce, au Portugal ou en Espagne. Ce ne sera pas un mini-sommet sur la sécurité en Afrique ou sur la Centrafrique qui fera des miracles.

Depuis son arrivée au pouvoir en 2012, le président français Hollande fait tout pour être au centre de l'attention de l'Afrique. Ce qu'il ne sait pas, c'est qu'avec le Sommet annuel de Pékin et d'Addis-Abeba, entre l'Union Africaine et la Chine, l’Empire du Milieu a déjà monté les enchères. Et désormais, si un pays n'a pas d'argent avant d'inviter les Africains pour de l'enfumage, tout ce qu'il pourra dire, sera sans objet et nul et non avenu.

Donc, je ne m'inquiète pas de l'inutilité de ce sommet, parce qu'il accouchera d'une toute petite souris : la déclaration finale de bonnes intentions, pas plus.
Après quoi, chacun rentrera chez lui comme il est venu, et restera à l'état où on l'avait laissé avant le sommet. Il ne faut jamais oublier qu'en Côte-d'Ivoire, la France avait un accord de défense militaire avec le pays qu'elle n'a pas appliqué lors de la rébellion de 2000 et qu'elle a plutôt activement financé. Et si tout ce bruit ne servait qu'à préparer la carrière africaine du président français après son mandat à la tête de l'état français ? Avant de voir comment et pourquoi, avec l'exemple de l'ancien premier ministre Britannique et son fameux plan pour l'Afrique, examinons dans les détails pourquoi la seule idée d'aller à Paris parler de la sécurité en Afrique ou tout simplement en Centrafrique n'est que de l'enfumage et rien de plus.

Djibouti : Les chèques en blanc ne nous ont rien rapporté en 37ans, il est temps de diversifier nos placements que d'investir dans le même filet à crabes

"No Retreat, No Surrender, and No Political Shortcut till Justice is Served".
Pas de Repli, Ni Reddition, et Pas de Raccourci Politique jusqu'à Justice soit Rendue.

Avis à tous les Militants du PRIDE : Voici le message que je reçois sous la plus part des posts Facebook des rapaces du Machin Club d’Intérêts USN depuis 2 jours :
« Pièce jointe non-disponible ». Ça veut dire quoi ?

*** Tout simplement une censure de la dite démocratie à la mode IOG, ses sosies n'ont malheureusement pas encore compris, qu’il n’y a jamais de vent favorable pour ceux qui ne savent pas où ils vont.
Après :
  1. Le boycott des Braves, qui leurs tournent le dos depuis le 25 Fév 2013,
  2. IOG qui leur botte le derrière à sa guise,
  3. La sourde oreille de l'Union Européenne sidérée devant la cécité intellectuelle hors pair dont ils font montre, alors qu’elle a été la 1ère à certifier chaque fraude électorale du régime IOGien,
  4. L'Union Africaine confondue devant l’ignorance de sa Charte fondatrice par une dite relève politique,
  5. Enfin et non des moindres, notre principal partenaire économique, le gouvernement Éthiopien qui les déporta comme des vulgaires bandits.
La bête immonde est aux abois, tremble à l’idée que nous lui portions le coup de grâce.
Tout ce qu’ils ont trouvé d’intelligent à tirer de la lampe d’Aladin, est de se cacher de la critique, nous empêcher d’être à l’écoute des gémissements de la bête, en m’ajoutant à la liste Facebook « Ne pas ouvrir à : ».
Par conséquent comme je ne peux lire ni aider les patriotes à dératiser ses égouts, je vous prie de bien vouloir me faire une copie courriel de tout ce qui mérite mon attention. Merci d’avance.

La lutte continue jusqu’au VRAI changement.

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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)

28 novembre 2013

Djibouti - Mali : Dileita Mohamed Dileita, ancien ambassadeur et 12ans Premier Ministre djiboutien, donne des leçons de démocratie au Malien, que Dieu soit loué et à moi la papauté

Dileita Mohamed, ancien
Premier Ministre djiboutien
et Chef de la Mission d'observation
de l'Union Africaine pour les législatives
Abou Amin : "" Après l'Égypte, il fût diligenté au Mali au nom cette fois-ci de l'Union-Africaine à titre de chef de la Mission d'observation de l'Union Africaine, et on se demandera ce qui va de travers dans nos institutions. Ainsi, le système vautour remercie ses moutons ; une mission en appelle une autre, une vraie parodie médiatique pour se foutre de la gueule du monde ou au pire, ils sont en train de lui FABRIQUER UN CV DE HÉROS dans le style MARZOUKI DE LA TUNISIE, pour nous L’IMPOSER EN SAUVEUR DE LA NATION, À LA PLACE DE SON ANCIEN MAÎTRE, le moment venu.
Si c’était le cas, IOG nous aura pour une fois révélé un scoop dans sa confession de Jeune Afrique, lorsqu’il nous disait qu’il connaissait son successeur mais qu’il terrait son nom, car trop fragile pour être la cible de la critique politique venant de la vraie relève du changement.

L’aura, le mérite, les compétences, les exploits ou les réalisations humaines ne comptent guère à ce stade de l’imposture, sinon je serai curieux d’entendre sa défense, nous exposer les talents de diplomate, de médiateur d’État ou de visionnaire que cet homme pouvait offrir aux peuples des Pharaons ou à ceux de l’Empire de Soundiata Keita, qu’il n'eut pu démontrer ou offrir aux Braves de Djibouti, en 20ans de carrière. Je suis tout ouïe, contribuez à mon ignorance.""

Revenons aux faits : "Il faut renforcer le débat démocratique au Mali",
( ORDONNA-T-IL SANS VERGOGNE AUX MALIENS ; L'A-T-IL RENFORCÉ OU DU MOINS CHERCHA-T-IL CE DÉBAT, À DJIBOUTI ? )

Pour le chef de la Mission d'observation de l'Union Africaine, la faiblesse du taux de participation du premier tour des législatives, doit interpeller les partis politiques maliens. 
( NON SANS BLAGUE, QUEL MAGNANIMITÉ DE NOTRE CHER ANCIEN PRÉMATURÉ !!! – COMBIEN DE FOIS A-T-IL INTERPELÉ L’OPPOSITION CHEZ LUI, À UNE PARTICIPATION MASSIVE ???)

Comprendre la vraie nature et comportements des dirigeants de ce monde : Présidents, Ministres, Députés, Directeurs, Conseillers… et tout valet gravitant autour de ce troupeau

Un sujet qui enchaîne bien sur les commentaires suite aux articles précédents sur la désobéissance civile et les infos de Leuren Moret : celui des MOUTONS, ceux qui ne veulent pas voir ce qui se passe autour d’eux pour conserver leur minable sécurité.
Le troupeau se porte bien, grâce aux efforts de qui vous savez. On appelle aussi cette population les mougeons (mouton-pigeon) ou les moutruches (mouton-autruche). Voici une description qui vous permettra de bien cerner les membres de ce troupeau. Faut-il en avoir pitié ?

Les moutons : pourquoi vous devriez les prendre en pitié

On dit souvent qu’il existe deux sortes de gens dans ce monde : ceux qui savent, et ceux qui ne savent pas. J’étendrais cette notion en disant qu’il y a en fait trois sortes de gens : ceux qui savent, ceux qui ne savent pas et ceux qui se fichent de savoir. Les membres du dernier groupe appartiennent au type de gens que j’appelle les "moutons".

Les moutons font partie d’une culture ou d’une société pas nécessairement déconnectée de la réalité de leur environnement ; ils peuvent avoir été face à des vérités de valeur à de nombreuses occasions. Cependant, une fois confrontés à des faits contraires à leur point de vue conditionné, leur comportement devient agressif et hostile, cherchant à rejeter la vérité et à l’attaquer en critiquant le messager et en dépit de tout bon sens. On trouve les moutons parmi les deux bords du faux paradigme politique de l’Amérique et dans toutes les "classes" sociales. En fait, la "classe professionnelle" et la hiérarchie du monde universitaire sont des terrains propices aux moutons ; je les nomme parfois les "intellectuels idiots". Médecins, avocats, scientifiques et hommes politiques sont tout autant sujets à l’épidémie "moutonnière" que quiconque ; la seule différence est qu’ils ont derrière eux un appareil bureaucratique qui leur donne un sentiment trompeur d’importance. Tout ce qu’ils ont à faire est de suivre le sillage de l’establishment et d’encourager sa vision.

L’argument courant, bien sûr, trouvé par les moutons est que CHACUN pense que tous les autres sont aveugles à la vérité, ce qui justifie quelque peu leur comportement. Cependant la caractéristique qui définit dans l’absolu un mouton n’est pas forcément un manque de connaissance, mais le refus d’envisager ou d’accepter une logique ou une vérité évidente afin d’empêcher tout risque préjudiciable à leur ego et à leur préjugés. La mentalité mouton est actionnée par des motifs égotistes.

Les médias dominants font beaucoup d’efforts pour renforcer cette mentalité agressive en créant l’illusion que les moutons sont une "majorité" et que la perception de la majorité (fabriquée par les médias) est la seule perception acceptable.

27 novembre 2013

Le problème, selon Howard Zinn, c’est l’obéissance civile

Abou Amin : ""Alors que nous en 2013 on cherche toujours, Howard Zinn en 1970, comme d'autres bien avant lui, avaient déjà identifié le problème et résolu l’équation.""

Matt Damon lit un discours d’Howard Zinn sur la désobéissance civile : Quenelle dans l’oeil du système

Décidément, j’ai comme l’impression qu’Hollywood héberge le pire comme le meilleur… En l’occurrence, il s’agit du meilleur : des extraits d’un discours écrit en 1970 par Howard Zinn à propos de la désobéissance civile, et lu par un acteur à la renommée internationale. Howard Zinn était un historien et un politologue américain, très engagé dan le mouvement des droits civiques et du courant pacifiste aux États-Unis.
Matt Damon, ami de longue date d’Howard Zinn, a donc lu des extraits de ce discours le 31 Janvier 2012 dans le cadre d’un événement appelé « The People Speak, Live ! », qui donne la parole aux rebelles, aux dissidents, et aux visionnaires d’hier et d’aujourd’hui."" -- Raphaël Berland

Fin mai 1970, une centaine d’opposants à la guerre du Vietnam décident de bloquer par un sit-in la route empruntée par les cars transportant des conscrits depuis la Base de l’Armée de Boston. Un acte symbolique.

Tous les manifestants sont arrêtés et inculpés pour obstruction à la circulation. Huit d’entre eux refusent de plaider coupable, et demandent à être jugés par un jury, dans l’espoir de parvenir à convaincre le jury du bien-fondé de cet acte de désobéissance civile. En vain : ils sont reconnus coupables, et choisissent la prison plutôt que de payer une amende ; le juge leur accorde un délai de 48 heures pour leur permettre de changer d’avis, après quoi ils doivent se présenter au tribunal, pour payer l’amende ou être emprisonné.

Pami eux, l’historien Howard Zinn avait été invité à participer à un débat avec le philosophe Charles Frankel sur la question de la désobéissance civile, à l’université Johns Hopkins de Baltimore. L’historien décide de profiter de l’occasion pour parler de désobéissance civile à des centaines d’étudiants, plutôt que de se soumettre docilement au tribunal. A la suite de quoi il est traîné devant le tribunal et passe quelques jours en prison.

Ci-dessous, la transcription de l’introduction au débat à l’université Johns Hopkins prononcée par Howard Zinn [1] dans une traduction de Emcee.

"" Le problème c’est l’obéissance civile

Je pars de l’hypothèse que le monde est sens dessus-dessous, que les choses vont mal, que ceux qui ne devraient pas être en prison le sont et ceux qui le devraient ne le sont pas, que ceux qui ne devraient pas être au pouvoir le sont et ceux qui devraient avoir plus de pouvoir n’en ont pas, que les richesses, non seulement dans ce pays, mais dans le monde entier, sont distribuées de telle façon qu’il ne s’agit pas de faire une petite réforme, mais une refonte totale du système de redistribution des richesses. Je pars de l’hypothèse que nous n’avons pas grand-chose à dire là-dessus : il nous suffit de nous pencher sur l’état du monde actuel pour réaliser que c’est le chaos.

26 novembre 2013

Djibouti : À défaut de quoi, ce président de l'ARD aura le mérite de convaincre les derniers sceptiques

Cette vielle branche gangrénée par l’égo démesuré, obnubilée par ses fantasmes d’occuper un jour la primature, accusait dernièrement sur « Radio Libre » l’opposition politique de la diaspora d’être des agents d’IOG, au point que personnellement, j’en ai eu des sueurs froides dans le dos, que ce dernier le prenne au sérieux et m’expédie un gros chèque « Halal »…

Selon nos sources et les accusations de militants de son propre parti, ma suggestion à celui qui détient en otage le parti du défunt Dini :

-- Si vous n’êtes pas au cœur de ce complot légalisé, du maintien au pouvoir d’IOG afin de sauver le système néocolonial, et si ce n’est pas vous le saboteur en chef de toute déposition de plainte contre ce régime, je vous mets au défi de joindre officiellement à la plainte déposée auprès de la CPI et qui bientôt sera aussi déposée auprès de la cour africaine des droits de l'homme et des peuples ainsi que la cour internationale de justice : votre voix, celle de l’ARD et celle du Machin-Club Privé USN dont vous signez les communiqués, à titre de président.

Au nombre de communiqués insignifiants, publiés par semaine, RÉDIGEZ S’EN AU MOINS UN, ne serait-ce qu’à démentir la forfaiture dont vous accusent vos membres, et qui très bientôt, nous souhaitons tous, viendrons vous montrez la porte.

À défaut de quoi, vous aurez le mérite de convaincre les derniers sceptiques et il reviendra aux braves, victimes de vos bassesses, de décider de votre sort.

Sinon sur le fond et en attendant, je peux vous assurer, les jeux sont faits, vos ambitions des bas étages sont mis à jour et vos états d'âme ne comptent pas plus au PRIDE que chez les militants de l’ARD et aucun prêcheur ne viendra vous payer une quelconque crédibilité malgré votre dernier beau striptease à nu, au siège du Model.

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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin : bourhanb@gmail.com)

25 novembre 2013

Djibouti : Le poids de la complicité du silence est trop lourd à porter face aux martyrs et leurs proches

Tout d'abord un grand bravo et tous nos encouragements à l'émission "Compte à Rebours" animé par notre amie et militante pour un Togo libre au service des togolais, la grande Farida Nabourema qui, dans ce survol très avisé sur Djibouti, vient non seulement d’étaler son savoir-faire communicationnel et ses compétences en relation internationale, mais en filigrane, ma sœur Farida s’est aussi appliquée à nous transmettre un message : Avant d’être togolaise ou djiboutienne, nous sommes tous africains, raisonnons et agissons comme tel.

Je devais faire partie des invités - mais ce n'est que partie remise - en compagnie de notre ami Houssein Ibrahim Houmed, à cette chronique consacrée au chaos politique et social entretenu à Djibouti par un régime exclusivement dirigé par des élus de la France, d'un oncle à son neveu, depuis l'indépendance,  sous le regard bienveillant, des nombreuses ambassades en présence et les 5 puissances militaires qui y ont élu domiciles, prétendument chargées de lutter contre la piraterie au large de la Somalie, dont ; la France (depuis 1894), les Américains (en 2003), ensuite vinrent les Japonais, les Allemands et les Italiens.

Situé sur le détroit de Bab El Mandeb, large d’à peine 30 kms, reliant l’Océan Indien à la Mer Rouge, elle-même reliée à la Méditerranée par le canal de Suez, contrôler militairement ce passage, traversé par les principales routes pétrolières et commerciales entre l’Asie et l’Europe, équivaut à contrôler le canal de Suez. Par conséquent, Djibouti est victime de ses propres atouts au bénéfice d'autrui. La mort qui rode et la terreur qui sévie dans ce petit pays sert aussi la cause des humanitaires de la mort, et ce n’est pas demain qu’ils la dénonceront ou y mettront terme, au risque de perdre les mêmes privilèges qu’à Saïgon, consentis par le régime actuel pour son seul maintien au pouvoir aux détriments d’un peuple et ses cultures ancestrales laminés.

Ce soir la direction du PRIDE se veut forcer la réflexion par cette question aussi pertinente qu’embarrassante, face à tous ceux de la dite opposition du ventre qui pérorent à nous distraire de l’essentiel :

22 novembre 2013

Djibouti : Plainte pour crimes de guerre, génocide et crimes contre l’humanité à l’encontre du Président de la République de Djibouti, M. Ismaël Omar Guelleh : Commis entre juillet 1977 et novembre 2013

Par son Secrétaire Général Mr Bourhan Mohamed Ali ; le PRIDE (Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie), soutien avec force et conviction, le bien-fondé de la plainte ci-dessous, déposée auprès de la CPI, pour les motifs suivants :
  1. Rendre Justice aux familles de tous les martyrs nommés dans cette plainte et permettre enfin à leurs proches de faire leur deuil ;
  2. Mettre devant leurs responsabilités, les puissances militaires soutenant politiquement, moralement et financièrement, sur le continent africain, tout système politique et régime totalitaire, coercitif, asservissant les peuples par l’arbitraire et menaces anxiogènes humiliant et détruisant l’être dans sa dignité humaine ;
  3. Dénoncer, la complicité criminelle par la mise en place et le maintien aux pouvoirs, d’un système mondial de dissimulation des crimes,  soustrayant à la justice les commanditaires et les exécutants de ces crimes, ouvrant ainsi la voie à la répétition de ces horreurs.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin) ( bourhanb@gmail.com)
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Houssein IBRAHIM HOUMED                                                Rennes, le 22/11/2013
Professeur de Philosophie à l’Université de Paul Verlaine
Diplômé de l’Université de Paris-IV-Sorbonne
Mail : housseinphilo@gmail.com

A
Monsieur le Procureur de la Cour Pénale Internationale
Cabinet du Procureur
Unité des informations et des éléments de preuve
Boîte postale 19519
2500 CM La Haye-Pays-Bas/Fax: +31 70 5158555
mail: otp.informationdesk@icc-cpi.int

Objet : Plainte pour crimes de guerre, génocide et crimes contre l’humanité à l’encontre du Président de la République de Djibouti, M. Ismaël Omar Guelleh : Commis entre juillet 1977 et novembre 2013

Pièces jointes : Listes des victimes civiles. Listes non exhaustives, susceptibles d’être complétées en fonction des enquêtes que nous menons auprès de la population ; souvent maintenue dans le silence par la terreur imposée.

Monsieur le Procureur,

Par la présente, c’est contraint et forcé par l’impunité qui y règne et par l’aggravation de la situation à Djibouti, que j’ai l’insigne honneur de déposer plainte auprès de la Cour Pénale Internationale de Justice à l’encontre de Monsieur Ismaël Omar Guelleh, actuel Président de la République de Djibouti, aux motifs suivants :

- génocide, crimes de guerres et crimes contre l’humanité perpétrés contre
des civils Afars d’Arhiba, de Gourabous, de Hanlé, d’Obock, de Day et de
Randa et de Dorra.

21 novembre 2013

APE-CAMEROUN : VOICI POURQUOI LE CAMEROUN NE DOIT PAS SIGNER L'APE FINAL ( Il n'ya que les enfants de la maternelle pour croire qu'un prédateur donnera à sa proie les moyens pour lui résister )

Leçon de Géostratégie Africaine n° 67 - par Jean-Paul Pougala (*)
Un Traité pour détruire ce Paradis

POUR TELECHARGER OU IMPRIMER CETTE LECON DE 8 PAGES, CLIQUEZ ICI

Les vrais enjeux caches de ce traite que les négociateurs européens se gardent bien de communiquer à la contrepartie camerounaise

En ce moment, se trouve à Yaoundé, une délégation de l'Union Européenne pour convaincre les autorités camerounaises à signer l'accord définitif de libre échange entre le Cameroun et les 28 pays de l'Union Européenne. Le journal en ligne Médiapart rapporte les propos d'un membre de cette délégation qui donne pour acquis cette signature.

C'est la troisième fois en moins d'un mois que je reviens sur le sujet pour demander aux autorités camerounaises de ne pas commettre l'erreur mortelle de signer un tel accord.

Plusieurs spécialistes camerounais ont déjà fait de très bonnes analyses pour aller dans le même sens de supplier, d'implorer les autorités camerounaises à avoir le courage de résister à la pression que l'Union Européenne, telle un mafieux qui rançonne sa proie, pousse le Cameroun à la faute historique de perdre complètement toute sa souveraineté en signant un document qui ne présente  aucun intérêt pour le peuple camerounais.

Voici quelques raisons :

1- POUR S'INDUSTRIALISER IL FAUT S'ENFERMER

Dans l'histoire, il n'existe pas de pays qui ait réussi le pari de l'industrialisation sans au préalable s'enfermer sur lui-même. Des USA, à la Chine en passant par la Suisse ou la Corée du Sud où le seul fait d'acheter une berline Allemande déclenche net un contrôle fiscal. Histoire de rappeler s'il en était encore besoin qu'il faut d'abord consommer coréen. Mais pour notre analyse, c'est peut-être pus utile, le cas qu'on attend le moins en matière d'autarcie : Les États-Unis d'Amérique.

Non à une loi de programmation militaire qui consacre l’ingérence, l’opacité et l’impunité, par Survie

La loi de programmation militaire pour la période 2014-2019, qui sera étudiée à l’Assemblée Nationale à partir du 26 novembre, réaffirme dangereusement les visées néocoloniales de la politique étrangère française, qui s’exercera prioritairement, selon le Livre Blanc, à l’encontre des pays d’Afrique subsaharienne.

La volonté de Jean Yves Le Drian, le ministre de la Défense, de consolider la présence militaire française dans la région est un retour en arrière extrêmement inquiétant pour la souveraineté des peuples africains concernés. Les déclaration de Jean-Yves Le Drian lors de son audition au Sénat sont édifiante en ce sens : "Ces décisions seront ensuite expliquées aux chefs d’États africains concernés. Le sommet France-Afrique relatif aux questions de sécurité qui se tiendra à la fin de l’année en sera l’épilogue." [1]

De la même façon, le projet d’augmenter les troupes à la disposition du Commandement des Opérations Spéciales de 1000 personnels fait craindre un renforcement de l’opacité entourant les activités des forces armées françaises en Afrique.

De plus, le projet de loi inclut une partie juridique comprenant des évolutions hautement inquiétantes. Ainsi l’article 18 prévoit de donner au parquet le monopole de la mise en action de poursuite pénale à l’encontre des militaires pour des faits commis lors de leur mission en opération extérieure. Cela supprime de fait le droit de constitution de partie civile et réduit dramatiquement les possibilités de porter devant la justice des faits répréhensibles de façon indépendante du pouvoir politique, le parquet lui étant assujetti. [2]

Enfin, on déplorera le manque de volonté politique d’un véritable contrôle des activités des services de renseignement alors même que leurs moyens d’action sont étendus. Le projet de loi prévoit ainsi d’autoriser l’accès à certains fichiers administratifs du ministère de l’Intérieur [3] à l’intégralité des structures de la communauté du renseignement. De plus, la consultation de ces bases de données ne sera plus désormais limitée aux seuls cas de lutte contre le terrorisme mais étendue aux cas d’atteintes potentielles aux intérêts fondamentaux de la Nation. Une notion bien plus vague qui augmente considérablement les possibilités de surveillance des citoyens et réduit par là même leur liberté. [4]

20 novembre 2013

Djibouti : Nos voisins éthiopiens expédient en cargo, un mois avant les fêtes, le cadeau de Noel d'IOG

La stratégie d’IOG, ses soutiens étrangers et son club des Dalton, qui ne sont que des coquilles vides légalisées pour se maintenir au pouvoir et s’assurer le moment venu, d’un changement dans la continuité du système colonial actuel, est :
  • Isoler sur le plan national et institutionnel, la vraie relève démocratique, en refusant la légalisation de ces partis,
  • Assurer l’exclusivité du combat politique par la seule victimisation, aux seuls légalisés, sur le plan national, régional et international.
Malheureusement pour eux, le monde est en plein changement de cap :
  • Le PRIDE ainsi que la majorité de l’opposition de la diaspora djiboutienne et la population à Djibouti disent non à cette stratégie coloniale,
  • Nos voisins éthiopiens et  plus gros partenaire économique de Djibouti, vient aussi de signifier son rejet de cette politique du néant et la culotte baissée,
  • L’Union Africaine, elle les a juste ignoré, n’ayant pas pour vocation d’endosser les partis dits de l’opposition, des pays membres de l’organisation.
  • Les adeptes de la politique de la chaise vide, sont bien trop en détresse pour lâcher prise, les voici demandant la suspension de la république de Djibouti de l'assemblée parlementaire paritaire ACP-UE.
À quel titre et de qui ont-ils reçu le mandat d'exiger le retrait de Djibouti de l’ACP-UE, ou l’Union Africaine ou encore d’empoisonner nos relations avec le voisin Éthiopien ?
Pour des gens qui n’ont jamais tenté de comprendre la stratégie d’IOG de dissocier les natifs de la gouvernance de leur pays par la loi contre la double nationalité, alors qu’IOG, lui-même en détient 3 ; n’est pas important ce que les djiboutiens(nes) ou toutes ces institutions pensent, aussi longtemps qu’ils ne seront pas remis à leur place, au milieu de la poussière des archives d’un passé révolu.

18 novembre 2013

Djibouti : La cour !!! - Accusés levez-vous -- La sentence est cruelle et sans appel : Emprisonnement, interrogatoire et déportation vers Djibouti

(3ème pièce à conviction du Vide Légalisé entretenu face à IOG, après celle de la distraction à Paris d’AYH et le 11ème anniversaire du parti d'IGH devant 30 proches)

Y’avait un temps oui la politique attirait les meilleurs et les plus brillants porteurs de projet, aujourd’hui les prostituées sont de loin plus digne. Elles au moins sont conscientes d'agir par nécessité.

À vrai dire, j’ai été informé de cette tragédie politique le 17 au soir, mais je n’osais porter ce fardeau, de celui qui asséna le coup fatal. Les agités du machin USN viennent de se porter eux-mêmes, l’estocade. Jamais, il ne m’est venu à l’esprit qu’il signerait une telle honte sous forme d’un communiqué, mais ils l’ont fait, désormais, le doute n’est plus permis.
Embourbés dans la sémantique des lamentations pathologiques, ont omis de comprendre la portée d’une telle confession,  qui met à nu l’incompétence décriée par le PRIDE.

Une autre preuve que cette bande d’amateurs autoproclamés représentants sans le peuple, ne sont nullement au fait des enjeux politico-économiques de la région et encore moins considérés par le grand voisin Éthiopien et l’Union africaine comme des interlocuteurs politiques fiables.

Ma question pour alimenter la réflexion : Sachant que leur boum économique, des 15 dernières années, dépendait des 2 ports de Djibouti et les bonnes relations entre les 2 pays, le gouvernement Éthiopien encore mieux informé que nous à travers son ambassade à Djibouti, aurait-il traité ainsi une opposition politique digne, unie, solidaire, porteuse d'un projet et soutenue par la majorité des djiboutiens, avec qui, ils pensent avoir à négocier un jour ?
– La réponse est NON. Y’a pas d’amitié en politique, que des intérêts, le 1er Ministre éthiopien a évalué le risque et il est arrivé à la même conclusion que le PRIDE. Nous n'approuvons ni condamnerons ce geste qui selon nous était prévisible et mon entourage sont là pour confirmer mes propos ; dès l'annonce de cette visite en Éthiopie j'avais déjà prédit cette issue comme une éventualité. Une grosse machine comme l’Union africaine, n’endosse aucune opposition politique d’un pays membre, ni reçoit n’importe qui, juste parce qu’ils veulent être reçu. Y’a des organes à contacter et des procédures à suivre, que tout amateurisme ignore.

17 novembre 2013

Djibouti – Afrique : Du 5 au 7 décembre 2013, les exécutants de la Françafrique, se font inviter à l’Élysée par le dernier pyromane de service ; Monsieur 15%...

La voix d’un indigné qui n’a rien à perdre que nous n’ayons tous, déjà perdu :

Il importe, plus que jamais, que la clarté soit faite sur tout ce qui peut paraître obscur sur les vrais commanditaires de toutes nos souffrances. Citoyens africains et français dignes, arrive le temps d’assumer face à l’histoire, nos obligations et le devoir d’agir à l’unisson afin de mettre un terme à la cabale de cette classe politique de paille sans humanité aucune, déguisée d’oripeaux de la justice et la démocrate.

En quête de sondage favorable et une once de crédit politique pour écraser dans l’œuf la colère des bonnets rouges et le ras-le bol d’une France « soldée » aux intérêts étrangers, solidarité de la fratrie oblige, Mr 15% de l’Élysée souhaite soigner les apparences de la bête immonde démasquée dans toute son immoralité, en s’entourant d’une dizaine de préfets.
Aussi infréquentable qu’en panique que lui, mallettes à fric Bourgi livrées à domicile, chacun au nom de millions d’africains retenus en otage depuis les indépendances et du chaos sociaux qu’ils entretiennent, contribuera à la distraction médias sur une pseudo-réflexion sur les questions de l’insécurité et la paix en Afrique, alors qu’ils sont à la base les instigateurs de cette instabilité.

Invitons et sensibilisons nos amis de la toile, signons tous de grâce cette pétition, pour dire haut et fort : Ça suffit – la récréation est terminée, il faut que ça change !!!

Dénonçons ensemble et faisons annuler cette ultime distraction de Mr 15%, qui hué de tout bord, pressé d’extirper sa cote en chute libre du fond des abysses, se prête encore à la fausse impression d’être le pilote du « drone France », lorsqu’on sait tous et Danielle Mitterrand a pris soin avant son départ de nous le rappeler  lors des festivités du bicentenaire des droits de l'Homme en 1989 : « En France,  on élit et les élus font des lois qu'ils n'ont jamais proposé et dont nous n'avons jamais voulu. La France est-elle une démocratie, une puissance mondiale? Je le dis en tant que française, cela ne veut rien dire.»
Et dans ses confidences sur le POUVOIR ou elle posait cette question à son époux Président : «Pourquoi maintenant que tu en as le pouvoir ne fais-tu pas ce que tu avais promis ? ». Sa réponse fût, qu’il n’avait pas le pouvoir d’affronter la Banque mondiale, le capitalisme, le néolibéralisme. Qu’il avait gagné un gouvernement mais non pas le pouvoir. J’appris ainsi dit-elle, qu’être le gouvernement, être président, ne sert pas à grand-chose dans ces sociétés sujettes, soumises au capitalisme. J’ai vécu l’expérience directement durant quatorze ans. Même s’il essayait d’éviter le côté le plus négatif du capitalisme, les rêves ont commencé à se briser très rapidement.

5 novembre 2013

Parlement européen : le bal des faux-culs, par Jocelyne De Ruytter et Mohsen Abdelmoumen

De quoi je me mêle ! L’arrogance occidentale ne connaît décidément aucune limite quand les parlementaires européens s’immiscent dans les affaires internes de la République algérienne, en demandant entre autres le fichier électoral et en faisant des recommandations concernant les règles démocratiques.

Il faudrait peut-être rappeler à ces donneurs de leçons que des milliers de leurs concitoyens se suicident chaque année, acculés à la misère qui leur est imposée par la perte de leur emploi, par la suppression graduelle de leurs droits sociaux, par le manque de projection dans l’avenir, et tous ces fléaux que les dirigeants européens imposent à leurs populations en pratiquant une politique d’austérité budgétaire visant à renflouer des banques qui jouent au casino avec un argent fictif pendant que les truands responsables de la crise économique continuent à percevoir de plantureux revenus ! Les rues européennes se remplissent d’année en année de nouveaux pauvres, de gens largués qui échouent sur le trottoir, sans autre réconfort que l’alcool ou la drogue.

Faut-il rappeler à ces tartuffes, quand ils parlent de liberté publique, qu’une directive européenne de 2006 oblige tous les pays membres de l’union à mettre en place un vaste programme de surveillance, imposant aux opérateurs de télécommunications et aux fournisseurs d’accès à Internet de conserver les données relatives au trafic et à la localisation des usagers ? Comment se fait-il que nos boîtes e-mail soient régulièrement «visitées» ? Que nos comptes Facebook soient épluchés, voire carrément supprimés lorsque leur contenu dérange nos régimes «démocratiques» occidentaux ?

Concernant les élections «libres», l’hypocrisie de ces fumistes atteint des sommets ! Rappelons-nous le référendum français de 2005 sur le projet de traité constitutionnel européen, où 55% des électeurs avaient voté «non», avec un taux de participation de 70%. Que s’est-il passé ? On n’a pas tenu compte du vote des citoyens.

On comprend très bien pourquoi nos parlementaires tiennent à leur jackpot : une enquête a été faite par le journaliste Thomas Meier, établissant que les parlementaires européens sont très bien rémunérés. Leur salaire de base (qu’ils soient présents ou pas à l’Assemblée) s’élève à 7 339 euros, à cela s’ajoute une indemnité non imposable de 3 980 euros, plus 284 euros par journée de session au parlement (12 en moyenne), soit un total de 14 727 euros nets par mois. Certains parlementaires feraient une brève apparition vers 7h pour s’enregistrer et s’assurer ainsi la paie journalière et disparaître aussitôt. Le reporter Thomas Meier s’est amusé à observer les allées et venues des parlementaires venus s’enregistrer un vendredi matin. Gênés, certains ont pris la fuite à la vue des caméras. Bien entendu, le journaliste a été reconduit à la sortie du parlement manu militari.

La sale guerre des terres rares

Embourbés dans l’accumulation exponentielle du profit, produisent en 1980, sans le lire, le livre d'Alain Peyrette intitulé "" Quand la Chine s'éveillera... le monde tremblera.""

Le Moyen-Orient a le pétrole, la Chine les terres rares. Sans elles, pas de smartphones, de disques durs, de panneaux solaires ou d'écrans plats.

Ce reportage résume sur le fond, les réels défis de notre époque dont les motivations évidentes derrière le recyclage et la folie guerrière des anciennes puissances économiques.
Pris à leur propre piège de la mondialisation du capitalisme sauvage, trop habitué à déstabiliser ou saboter le développement des petits pays africains sans défense par la seule manipulation médias ou à travers les marionnettes au pouvoir et les ONG des droits humains à géométrie variable : L'empire a sous-estimé la Chine, qui n'y est pas allé avec le dos de la cuiller en achetant jusqu'aux brevets et la fine fleur dans toute technologie rentable, transférant les fleurons des usines américaines en Chine.
La détresse est telle, les sites des anciennes usines essaient de survivre, comme cette usine de pièces essentielles équipant l'armée américaine et l’industrie civile, aujourd'hui recyclée en minuscule PME produisant de chemises et champoings pour chiens, avec une immense salle de fête d'anniversaire pour ces animaux de compagnie. C'est dire l'ampleur des dégâts, les donneurs de leçons sur la libéralisation des marchés réduits à ramasser la crotte chez eux. Trop affaiblis pour prétendre arrêter la Chine, l’empire aux abois s’en prend aux plus faibles, en déstabilisant les pays émergents dont l’Afrique, dans l’espoir d’arrêter la Chine et leur descente en enfer.
Au final, nous sommes encore et toujours ; les dommages collatéraux d'une bataille entre titans.

Les terres rares sont des métaux mystérieux: terbium, samarium, cerium, gadolinium… Ils sont peu connus, et pourtant très présents dans notre quotidien : dans nos télévisions, ordinateurs, nos téléphones et même dans nos billets de banque. Les terres rares sont l’eldorado du XXIe siècle, la matière première principale des industries d’aujourd’hui.

Avec l’arrêt de production aux USA, la Chine est devenue le seul producteur de terres rares. Les pays dont les industries utilisent ces métaux se battent contre ce monopole. La guerre des terres rares, c’est une enquête sur un conflit économique aux multiples conséquences pour l’environnement et les hommes qui le compose : une sale guerre.

4 novembre 2013

Le fonctionnement du mode de production capitaliste, par Robert BIBEAU

Accumuler pour réinvestir ou réinvestir pour accumuler ?

Il peut paraître superfétatoire de polémiquer à propos de la finalité du système capitaliste. Pourtant, cette question demeure au cœur de la contradiction fondamentale qui, tel un cancer, ronge le mode de production capitaliste décadent.

Se basant sur une lecture superficielle des classiques un clan d’exégètes soutient que la finalité du capitalisme – y compris à son stade suprême impérialiste – c’est de thésauriser, d’accumuler le plus de capital imaginable. En d’autres termes, ce qui ferait courir les milliardaires ce serait l’accumulation entre leurs mains de la plus grande fortune possible (Bill Gates, 50 milliards de dollars). Selon ces coryphées pseudo socialistes, l’application de cette loi entrainerait la concentration des capitaux entre les mains des privilégiés.

Nul ne peut disconvenir que les 10% les plus riches de la planète détiennent 86% des richesses mondiales. Les 1% les plus fortunés concentrent 46% du patrimoine global. Environ 10 millions de milliardaires dans le monde, représentant à peine 00,15% (soit une fraction de 1% de la population mondiale) possèdent 42,700,000,000,000.$ (42,7 mille milliards de dollars) des richesses totales. Il y a effectivement concentration de la richesse mais y a-t-il valorisation et enrichissement de ce capital et création de plus-value ? [1]

Nous venons d’examiner l’avoir des particuliers, examinons maintenant les statistiques concernant les plus grandes entreprises privées. En France par exemple on observe le même degré de concentration et d’accumulation monopolistique du capital productif : « mille entreprises de plus de mille salariés (3,4 millions de travailleurs) produisent près de 50 % du PIB ; alors qu’en bas de l’échelle industrielle, un million d’entreprises de moins de dix salariés (3,4 millions de travailleurs également) ont une existence précaire. » [2]

Il semblerait que le débat soit clos et que le nœud gordien soit tranché. La finalité du procès de développement économique impérialiste serait bien l’accumulation. Normalement, la contradiction fondamentale du système capitaliste devrait voir s’affronter les forces d’accumulation s’opposant aux différentes forces empêchant l’accumulation du capital. Cette contradiction dialectique fondamentale entraînerait la succession des crises économiques systémiques que l’on connaît présentement et, éventuellement, l’effondrement du mode de production impérialiste incapable de concentrer davantage de capital.

1 novembre 2013

Djibouti : Dalton William, le chantre de la bêtise politique et la fausse représentation de retour dans la capitale - Voyons l'accueil du "Héros" en images

Y a-t-il pire calamité qu'une bande de septuagénaires en perte de capacités motrices, diligentés à négocier en nom et place des 1er concernés par le changement politique à venir ?
(2ème pièce à conviction du Vide Légalisé et entretenu face à IOG, après celle du 11ème anniversaire d'IGH)

Pour avancer dans leurs plans, le prétexte n’a pas besoin d’être convaincant. Il leur suffit de croire qu’il l’est. Comme si convaincre hors frontières avant les nationaux était la condition sine qua none du changement, l'illusion d'optique coloniale se projette dans un tintamarre en rangs dispersés, un concours médiatique sans substance ne rassurant qu’IOG et ses soutiens étrangers sur l’immuabilité du système actuel.
Ceci dit, cette réaction du PRIDE aux propos malhonnêtes et indignes d'Ahmed Youssouf de l'ARD qui se voulait acerbe, se limitera cette fois, à quelques vérités et notions juridiques, vu que notre ami Ali Coubba y a porté ses correctifs et notre ami et militant de l’ARD Cassim Dini s’est chargé de l’aspect moral dans sa dernière publication. Nous souhaitons au passage à ce dernier, tout le courage politique afin de remettre un peu d'ordre dans ce parti phagocyté à l’os par les suppôts du régime.

ARTICLE 15, Alinea2 de la Constitution de 1992 :
Tous les citoyens ont le droit de constituer librement des associations et syndicats sous réserve de se conformer aux formalités édictées par les lois et règlements.
Ma 1ère remarque de taille concernant le machin Club USN est, d'ordre légal ou juridique ; La raison sociale et cette représentativité Nationale dont-ils se clament sont-elles légales et légitimes ? -- La réponse est NON jusqu'à preuve du contraire.

Cette association était une, électorale, créée à titre provisoire pour l'élection législative de Fév. 2013, en tout cas, là était l'objectif du PRIDE, car faut-il le rappeler encore et encore pour démêler le vrai, du faux auquel nous a habitué cette pseudo opposition politique ; C'EST NOUS QUI INITIÂMES LA PARTICIPATION DE L'OPPOSITION AUX LÉGISLATIVES DE 2013, après 10 ans d'une stratégie UAD de la chaise vide procurant au régime une promenade en solitaire.
Ce que les Dalton ont fait de cette coalition dont, l’élaboration d’une liste à la députation, copies conforment des normes en vigueurs à l’UMP ainsi que la canonisation à la députation, de criminels et Génocidaires notoires, ou encore le virage postélectoral de la déstabilisation du pays sans préparations ni consensus sur l’après IOG, n'étaient pas à l'ordre du jour de nos motivations ou engagements politiques, d'où nos prises de distances dès le 25 février.

De là à se pavaner avec ce titre 9 mois après l'échéance est en soi une fraude, une imposture qui démontre d’abord la complaisance du régime dans ses légalisations sélectives et de l’autre, le manque de scrupule des acteurs du Club USN qui, comme IOG se voient déjà au-dessus des lois de la République.
Si cette coalition électorale s'était entre temps mutée en coalition politique dans le secret des coulisses, il faudrait que le régime, nous en présente le document fondateur ainsi que le contenu de l'agenda politique de même que l'enregistrement de la raison sociale de l'association auprès des instances de la République. En l'absence de ces documents, le Club USN n'a au regard des lois en vigueurs aucune raison d'être ni plus de légitimité juridique que le FRUD armée, le Model, Uguuta Toosa, l'UDDS ou le PRIDE.

30 octobre 2013

Djibouti : Les déboires de Boreh et sa riposte à travers l'USN, par Djib24

Abou Amin : "Je partage l'esprit et le contenu de ce texte, sauf ce passage qui s'apparente à un lapsus sans doute volontaire de l'auteur, lorsqu'il affirme : ( la démonstration de la volonté du chef de l'Etat de se décharger de sa responsabilité morale dans la protection des ressources de la Nation ). Comme toute charité commence par soi même, la pseudo responsabilité morale si elle était à l'ordre du jour de ses préoccupations, devrait s'appliquer à lui, ses proches et tous les valets aux ordres du régime.""

IMAGE DU PRIDE
C'est une première dans son histoire, la cour de justice financière de Dubaï (DFIC) a ordonné un gel des avoirs d'un résidant suivant l'arrêté de la court de Londres de mettre sous scellés une partie de la fortune de l'abominable Boreh pour les impôts impayés à l'Etat Djiboutien de 2003 à 2008. Ce qui donne le vertige c'est l'énormité des sommes spoliées; 111.5 millions de dollars soit 84% des recettes fiscales et douanières de l'Etat en 2013.

Condamner Boreh à la prison ( à défaut de le pendre comme l'exige la Sharia) et l'obliger à restituer son magot digne d'une pétromonarchie serait un acte de justice extrêmement important dans la maturation civique des Djiboutiens. La décision de IOG de mobiliser des ressources importantes pour faire aboutir le dossier des impayés de son ex bras droit est la démonstration de la volonté du chef de l'Etat de se décharger de sa responsabilité morale dans la protection des ressources de la Nation. Cependant la critique demeure.

D'une part, Boreh propriétaire des écurie USN est certes le plus impressionnant et le plus destructeur de ces alligators qui infestent les eaux boueuses de l'establishment mais il n'est pas le seul. On ne peut que se demander à combien d'autre "petits Boreh" peuplent les allées du pouvoir et l'aéropage de l'USN. Et puis à combien s'élève la totalité du magot dérobé sous le régime Guelleh? Enfin à quand les poursuites contre les autres "petits "Boreh" pour donner suite à cette opération main propre?

D'autre part, l'énormité des sommes en jeu est un indice du degré de déliquescence de l'administration publique et de l'étendue des passe droits dont bénéficient les proches du régime. L'ampleur du crime mafieux suppose l'existence de responsabilités au deuxième degré: des administrateurs qui ont failli, des ministres qui ont fermé les yeux, des "parlementaires" qui n'ont pas demandé des comptes et un peuple qui a toléré l'impensable.

29 octobre 2013

Djibouti : Le Club Privé UDJ du Dalton Averell, fête en famille sa 11ème année de sabordage de l'opposition politique et de toute initiative crédible d’union élargie contre le régime IOG

En légalisant ce Club privé, dirigé toujours par IGH son Co-Génocidaire, le Calife de Haramous n’eut aucun problème de conscience, au contraire - connaissant l’indigence intellectuelle de l’homme comme sa poche pour l’avoir côtoyé durant 20ans et mis sur la touche avant l’échéance de 99 - au lieu d’une retraite forcée, préféra user et tirer profit de son égo surdimensionné au bénéfice du maintien du régime au pouvoir.
  • Sans trop de résistance, IOG obtint ensuite en coulisse son intégration à l’ancien Dalton-Club UAD, en fit même le Président, afin de parer à tout dérapage ou surprise.
  • Ces derniers en firent un héros national pour les 10 ans d’absences de la scène politique à coup de boycottes électoraux inutiles. Une stratégie de la chaise vide ayant procuré un sauf-conduit à l’imposture.
  • Tandis que le nouveau Club USN, le hissa en tête de liste de la honte en février 2013 et le décora ; président d’une assemblée fantôme.
Force est de constater, 14ans plus tard, le Calife IOG exploite exclusivement l’égocentrisme et manque de scrupule de cet homme, qui à 75ans - toujours persuadé de marquer des points, intrinsèquement convaincu d’être indispensable et que nous sommes tous conscients de son importance - persiste dans sa vision rose bonbon pour la 11ème année consécutive.

NOSTALGIQUE DE L’ACCOUTREMENT COLONIAL DU COMPLET BLANC « IMMACULÉ » DU SUBALTERNE, JUBILE SUR LA TERRASSE D’UNE RÉSIDENCE, SON ÉLITISME SANS VERGOGNE, DANS UN MONOLOGUE AFFLIGEANT. (Vidéo)
CÉLÈBRE SON 11ÈME ANNIVERSAIRE DE LA TAUPE DE SERVICE, ENTOURÉ TOUT AU PLUS D’UNE 30ÈNE DE FIGURANTS, AUCUN COMITÉ EXÉCUTIF DIGNE DE CE NOM NI D’UN CONSEILLER POLITIQUE COMPÉTENT, QUI AURAIT PU RECOMMANDER DE DÉPLACER CETTE CÉLÉBRATION EN BORD DE MER DE VENISE, DANS UN RESTAURANT OU UN CAFÉ DE DJIBOUTI-VILLE, LÀ, OU IL AURAIT EU CERTES PLUS DE CURIEUX QUE DE MILITANTS, MAIS CEPENDANT AURAIT SAUVER LES APPARENCES.

Cette vidéo est notre 1ère PIÈCE À CONVICTION (la 2ème suivra), de ce que le PRIDE qualifie D’ABSENCE TOTALE DE RAPPORT DE FORCE face à IOG. Une fois n’est pas coutume, Averell est même allé plus loin dans son nombrilisme, démontrant cette fois, comme nous l’avons toujours soutenu, l’UDJ ainsi que tous les clubs légalisés par IOG, ne sont que des coquilles vides, des instruments procurant au régime et ses soutiens étrangers, l’apparence d’une colonie sous contrôle ou, règne l’illusion d’une culture et légitimité démocratiques acceptables d’autant plus rares sur le continent.

24 octobre 2013

Djibouti : Un cirque médiatique sans que le Proxy ne dise mot, sur ce que lui et ses parrains nous réservent, après IOG !!!

Faut pas avoir fait science po’ pour séparer le bon grain de l’ivraie et déceler la nouvelle tentative de fraude.

Le cerveau tel un parachute, s'il part en vrille ou refuse de s'ouvrir, ne sert à rien, atrophié reste stérile, c'est ainsi que le PRIDE visualise la cabale de la direction USN.

« In absentia luci, tenebrae vincunt » : En l'absence de lumière, triomphent les ténèbres, dit-on. Cette suffisance en putréfaction avancée n'a d'égale que celle qu'elle postule réformer ; telles les couches, il nous faut nous en départir, pour les mêmes raisons.

En 1977, le défunt Dini, avait aussi cru à la parole donnée en coulisse, sans accord explicite, avant qu’il ne se réveille aux dures réalités coloniales. Pareil en 2001.

Alors que ce PROXY a muselé son propre parti et réduit au silence son comité exécutif, sans parler des suspensions de ceux qui le rappelaient à l’ordre ; plaça l’agenda caché des agités claniques à la direction USN avant celui de son parti et il nous faut le croire sur parole en ce qui concerne la nation !!!
-- Non merci, sans façons !!!

Au PRIDE, par principe de précaution élémentaire, nous refusons catégoriquement d’entreprendre ce voyage dans le temps, pour condamner la nation à un changement dans la continuité. L'histoire et nos enfants jetteront sur nos épaules, une lourde charge d'opprobres et d'accusations.

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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)

Djibouti : « Il n’existe que deux choses infinies, l’univers et la bêtise humaine… » - Si on se fie à cette pensée d'Einstein ; les limites de la bêtise peuvent toujours être repoussées, l'USN le confirme chaque jour.

Sur le fond, que reproche le PRIDE à ces "négociants" du machin USN ?

En quelques mots : L'absence totale de vision, de projet national et leadeurship politique au sein de ce groupe pour qui le dialogue, le compromis et le consensus politique à la base de tout processus démocratique sont bannis, mais dont les membres persistent à répéter les bêtises de ses 20 dernières années et osent continuellement insulter l'intelligence des uns et des autres, en prétendant négocier avec un régime qu'ils ne tarissent guère de qualifier des plus VOYOUS.

On est face à d’autistes pour qui d’autant plus le 27 juin 1977 n'a aucune signification au-delà des mots, à raison d’ailleurs vu que nous sommes toujours colonisés !!!
Faire de la politique consiste à juste promouvoir leur petite personne, l'élitisme type du complexe que décrivait Alfred Adler, cherchant à s’affirmer aux dépens d’autrui,  au point de saboter toute initiative défiant la leur et tentant de marginaliser tout adversaire progressiste rejetant cette approche de la chose publique, superficielle, individualiste et sectaire, sans contenu politique ou projet social.

le daltonisme politique est actuellement une vraie pandémie de déficience du discernement. Pour ceux qui en doutent, lisez donc la version USN qui n'en est plus à une contradiction près, et je cite ce monologue des plus loufoques, s'il n'était tragique dans le contexte :

"" Plus de sept mois après les élections législatives, le régime d’IOG signe et persiste  dans sa stratégie :
Que peut-faire la coalition de l’opposition (USN) face  à ces méthodes d’un autre âge?
Réponse : le combat  démocratique est l’unique voie possible pour permettre les conditions d’une transition démocratique :

- L’action de terrain et les tournées d’information et de mobilisation
- Les consultations diplomatiques des pays amis du peuple djiboutien
- La mobilisation internationale à travers la diaspora djiboutienne
Mais pour raisonner IOG, l’USN en appelle au peuple djiboutien : Le Peuple doit prendre ses responsabilités. Il est le seul, après Dieu, qui octroie  le pouvoir à un homme.
Winston Churchill disait: « Chaque peuple a le gouvernement qu'il mérite! »
Nous disons que chaque peuple décide de son gouvernement !""

Semer la sauvagerie dans nos pays se retournera contre vous, par Hassan Hamade

6 juillet 2012
C’est avec beaucoup d’assurance et de satisfaction que le président français, François Hollande, a reçu les Amis du Peuple syrien, le 6 juillet 2012. C’est avec orgueil qu’il leur a lu un discours, écrit pour lui par le département d’État et mal traduit en français. En quelques instants, il s’est converti en leader de l’opposition armée syrienne agitant le drapeau vert, blanc, noir de la colonisation française. Depuis, il ne perd aucune occasion de vouloir, d’annoncer, puis de renoncer à la guerre. Hassan Hamadé observe sa triste agitation.

Le 6 juillet 2012, François Hollande présidait un sommet des Amis de la Syrie. Parmi les invités d’honneurs, on comptait (PHOTO) plusieurs criminels contre l’humanité (c’est-à-dire ayant organisé l’exécution massive de personnes au seul motif de leur appartenance religieuse). Douze jours plus tard, il donnait l’ordre d’assassiner les membres du Comité syrien de Sécurité nationale et de donner l’assaut de Damas.

Monsieur le président,

J’ai tenu à vous adresser par la présente une parole vraie, avec l’espoir qu’elle puisse être lue avec attention par votre Excellence. Cette parole émane d’une personne admirative du patrimoine culturel français, attachée à sa diversité et à sa richesse ; un attachement d’autant plus intense que, pour lui, le grand héritage des Lumières subit de nos jours, une véritable persécution. Ses nobles principes sont brutalement écartes de la vie publique, à commencer par ceux contenus dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, énoncée le 26 août 1789, en pleine Révolution.

C’est avant tout un héritage libre de par sa nature. Il forge, immunise et protège des êtres humains libres, tels que Dieu les a crées et voulus. Il porte en lui des valeurs humaines, sociales, qui ne peuvent être ligotées, ni refoulées dans les coulisses de la mémoire, sans que cela constitue un crime culturel contre l’humanité. Des valeurs résumées par le fameux triptyque, Liberté, Égalité, Fraternité, faisant de la Révolution française le flambeau et la boussole pour plusieurs peuples au monde et préparant le terrain à la naissance du système démocratique, en France et dans d’autres pays.

Hélas, ces valeurs sont exclues, remplacées par une culture visant à amadouer les gens, à les priver petit à petit de leurs acquis sociaux, à les porter à accepter l’injustice sociale, voire même l’esclavage masqué, préparant ainsi la naissance d’un homme quasi-robotisé, dépourvu de dignité, de sentiment et d’ambition.

Djibouti : IOG visite ses exilés, 2 Manifestations pour lui rendre la politesse

Gouverner ; l'art de prévoir le futur d'une Nation, ne rien prévoir c'est courir à sa perte.

« ABDOURAHMANE BACHIR ; JE L'AI FABRIQUÉ DE TOUTES PIÈCES EN CROYANT BIEN FAIRE. », Dixit IOG

« SI DIEU A ACCEPTÉ QU’IL Y AIT LE DIABLE, POURQUOI REFUSERAIS-JE QU’IL Y AIT UNE OPPOSITION » - IOG

Djibouti : L’opposition politique doit prendre acte de sa propre léthargie

DJIBOUTI : EN 37ANS, ONT RIEN NOTÉ DE GROSSIER - AMNÉSIE TOTALE - INVITENT UN 3ème ET REBELOTE

DJIBOUTI : LE RÉGIME DU PRÉFET IOG, TOURNERA ENCORE SON REGARD POUR SAUVER SA TÊTE

DJIBOUTI : UNE PAIX SANS JUSTICE EST ILLUSION, UN PARDON SANS JUSTICE EST UNE BOMBE À RETARDEMENT

DJIB : UN CIRQUE MÉDIA SANS QUE LE PROXY NE DISE MOT, SUR CE QUE LUI ET SES PARRAINS NOUS RÉSERVENT

DJIBOUTI : L'ESCROQUERIE DU MACHIN USN !!!

M. GUELLEH, ÇA COUTERAIT QUOI DE FINANCER L’AVENIR DE CES FUTURS CHAMPIONS DE LA RÉPUBLIQUE ?

DJIBOUTI : L'USN ET SES OPPORTUNISTES, EXIGENT DE NOUS, QU’ON ENTRETIENNE LA MÊME VOYOUCRATIE

PREMIÈRE D'UNE NOUVELLE CHRONIQUE PAR L'IMAGE, INTITULÉE : "" C'EST QUOI ÇA GUELLEH ??? ""

ASSEMBLÉE DE PAILLE FRUIT DE L’INSUFFISANCE & COMITÉS FANTÔMES, LE MACHIN USN SE VEUT DISTRAIRE

LE PRIDE N’EST PLUS SEUL À POSER DES QUESTIONS & REMETTRE EN CAUSE LA LÉGITIMITÉ DE LA DIRECTION USN

Ahmed Youssouf à l’USN -- JOUE LE MÊME RÔLE QUE -- Hassan Omar GAQANLO à l’UMP

SIGNIFIONS EXPRESSÉMENT LE REJET DE L’AGENDA USN, CONCOCTÉ ENTRE LES MÊMES MANIPULATEURS DE L'UAD

DJIBOUTI : UMP & USN, 2 FACES DE LA MÊME MÉDAILLE, AVEC LES MÊMES VICES, ÉGOS ET AMBITIONS

DJIBOUTI : VICTIMISATION, REFUS DE L’ENGAGEMENT ET UNE EXPRESSION SECTAIRE MANIPULATRICE DES JEUNES

UN PATRIOTE INVESTIT DANS SON PEUPLE, NON HORS FRONTIÈRES, IL EST TEMPS QU'ON EN EST UN, À DJIBOUTI

DJIBOUTI : NOUS CONVIONS CET ÉTÉ 2013, TOUTE L'OPPOSITION À DES ÉTATS GÉNÉRAUX

DJIBOUTI : CITOYENS POUR LE CONSENSUS NATIONAL (CCCN) POUR UN GOUVERNEMENT DE TRANSITION RESPONSABLE

Une Source Infinie de Vidéos sur La Corne.

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Djibouti : Le Déni de Justice et la Lutte contre un autre Pirate de la FrancAfrique

MALI : STRATÉGIE INNOVÉE : PROBLÈME - RÉACTION - SOLUTION - PAYEMENT DES COÛTS

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LA RECOLONISATION DU 21ème SIÈCLE - FRANCE-OTAN VS LIBYE

Actualités et Évènements dans le Monde

Please Sign Today To Support Those for a Democracy in Djibouti - Africa

Amender une Constitution afin de rester au Pouvoir et Refuser l’Alternance c’est de la Tyrannie..
OBAMA : "Make no mistake: History is on the side of these brave Africans, not with those who use coups or change constitutions to stay in power.......... Africa doesn’t need strongmen, it needs strong institutions."
<= THE PRICE OF SILENCE & INACTION IS MUCH TOO HIGH =>
FaceBook Petition for the benefit of Amnesty International USA, if You Wish to Join Protect The Human

""Il y a un temps pour RÉFLÉCHIR, un temps pour SENSIBILISER, un temps pour ÉPILOGUER et un temps pour AGIR contre le RPP : RASSEMBLEMENT DES PILLARDS DU PEUPLE.""
Téléchargez sur SkyDrive le CONTRAT JURIDIQUE ET MORAL avec le peuple de DE DJIBOUTI, afin de rassurer la population sur les INITIATIVES qui seront mises de l'avant AU DÉPART D'IOG : FEUILLE DE ROUTE (PDF)

UNE OPPOSITION RESPONSABLE ET CRÉDIBLE.

Le parti PRIDE appelle l’opposition à assumer pleinement son rôle. Lançons l’organisation d’un Congrès qui unira nos efforts, nous donnera la crédibilité nécessaire et l’appui de la communauté internationale pour une transition exigeant non seulement le respect de la constitution mais aussi la reforme du scrutin électoral et les dispositions préalables pour en assurer la transparence avant les prochaines élections de 2011.


Le peuple veut voir une opposition responsable autour d’une table ronde ou chaque parti sera représenté par 5 membres de leur direction et d’observateurs Djiboutiens.


Chaque parti tout en gardant ses affiliations, contribuera à édifier un document fort, engageant et prometteur, ralliant la population Djiboutienne toute entière dans sa diversité, contre le ballon vide d’IOG, à la mode Ukrainienne. Le document final signé par les parties, sera soumit aux pays médiateurs choisis au Congrès et aux institutions internationales.


DE LA SAGESSE, UNE VISION ET DU COURAGE, EST-CE TROP DEMANDER?


Le rôle de ces observateurs Djiboutiens comme la préparation du congrès, sera confié à une agence spécialisée dans l’exercice de cette fonction et un comité ou une entité neutre assumera la coordination et la préparation des documents du Congrès, entre cette agence et les parties ayants exprimées leur volonté d’y participer.


Dans un souci de transparence et de tenir le peuple informé, à défaut d’être diffusés en direct sur l’internet, tous les travaux de ce congrès doivent être vidéo-enregistrés.


Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie : PLAN D’ACTION POUR UN FRONT COMMUN.

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CONSTITUTION DE LA RÉPUBLIQUE DE DJIBOUTI : EN FRANÇAIS ENGLISH

Présenté à toutes les Ambassades et Consulats de France dans le monde -- Memorandum du 28 Sept 2010.pdf.