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BIENTÔT, DJIBOUTI AUSSI DIRA "NON" AU NÉPOTISME DE L’ADMINISTRATION INDIRECTE DU PRÊTE-NOM.
"LA LIBERTÉ N'EST JAMAIS ACCORDÉE DE BON GRÉ PAR L’OPPRESSEUR ; ELLE DOIT ÊTRE EXIGÉE PAR L'OPPRIMÉ." -- MLK
DJIBOUTI : REFORMONS L'OPPOSITION AFIN DE POUVOIR UN JOUR REFORMER L'ÉTAT
NOUS CONVIONS CET ÉTÉ 2014, TOUTE L'OPPOSITION À DES ÉTATS GÉNÉRAUX

21 septembre 2014

Djibouti : Oui à un pacte de partenariat fédéral négocié, partageant les compétences constitutionnelles avec les États membres souverains. Et NON, aucune amitié ne justifie une perte de souveraineté favorisant une seule partie.

Le panafricanisme comme vision sociale, culturelle, économique et politique d'émancipation des africains, est aujourd'hui une nécessité face aux vautours et le terrorisme d'État, mais de là, à plagier le mondialisme sauvage de la servitude au seul profit des intérêts des plus grands, pour certains y a qu’un pas.

«J'AI UNE TACHE Â ACHEVER» dixit IOG : En 2010, j'analysais ce thème de campagne du 3ème mandat d'IOG, comme celui qui instituerait Djibouti telle la 10ème région de l'Éthiopie. Voilà 6 mois je complétais cette analyse par des faits dont, «l'accès aux services essentiels».

L'approche d'une politique nationale visant à assujettir les droits humains indispensables au développement économique et social d'un peuple à un autre, sans consultation de l'un et l'autre, est ma foi, un crime de haute trahison. Une extrême déloyauté à l'égard du pays, de ses institutions, sa constitution et sa population. C’est ce que, étape par étape, les dirigeants de Djibouti ont accompli depuis 77, abrogeant de facto la souveraineté de ce pays.

37ans d'immobilisme et absence totale de politique nationale, de lutte contre la pauvreté et de développement durable de ce pays, mais :
  • Vous diront qu’ils ont agrandi l’ancien port et construit un autre à cout de 100ènes de millions US qu’il reviendra aux djiboutiens de payer, les 50 à 70ans à venir. Jamais ne présenteront les statistiques et les chiffres démontrant à qui profitent exclusivement ces 2 ports, sans retombés significatifs à l’État et la population de Djibouti. Moins d’un million d’habitant dont plus de 50% vivent sous le seuil de la pauvreté, desservant près de 94 millions et un pays avec une croissance à 2 chiffres depuis 10ans. N’importe quel économiste consciencieux, notera l’incongruité de cette situation.
  • S’appliqueront à nous distraire en disculpant les 1ers responsables de ce désastre, attribuant le manque d’eau potable au seul dessèchement de la nappe phréatique tout en dissimulant l’existence d’une autre sous la plaine de Hanleh (Dikhil). Omettant volontairement de souligner qu’il ne peut y avoir d’eau ni de développement, qu'il soit économique, social ou environnemental, sans accès à l'énergie ; préalable à l'accès à l'eau potable. Problème de taille que les patriotes éthiopiens ont résolu.

17 septembre 2014

VOICI VENU LE TOUR DE DJIBOUTI.

APRÈS LES CÔTES SOMALIENNES TRANSFORMÉES EN DÉPOTOIRS DE PRODUITS HAUTEMENT TOXIQUES DEPUIS QU'ILS Y ENTRETIENNENT LE CHAOS.
En lisant cet article d'Afrique7, comment ne pas faire le lien avec ceux dans lesquels nous dénoncions, les tonnes de crabes échouant sur la plage du Héron à Djibouti fin 2013 ou encore avec l'article édifiant de notre frère Pougala dont voici copie. À lire sans façon.
Les maffieux qui ont détruit leurs propres côtes, épargneront-ils celles des préfets d'Afrique ?
Bourhan Bey (Abou Amin)
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VOICI COMMENT LES PAYS DITS « DÉMOCRATIQUES » EMPOISONNENT LEUR PROPRE POPULATION, de Jean-Paul Pougala

Leçon de Géostratégie africaine n° 75 -- Partie 1/2 (10 septembre 2014)

A- L’EUROPE, UNE VRAIE POUBELLE RADIOACTIVE

Il existe une histoire terriblement triste qu’on a cachée à des générations d’Européens. Ils sont donc nés, ont grandi et sont morts restant complètement idiots, ignares de tout ce qui les entourait. Ils sont morts idiots car ils n’ont jamais pu se poser une question qui pourtant était tellement élémentaire : Depuis la révolution industrielle au 19ème siècle, qu’a-t-on fait de tous les déchets toxiques résultats des erreurs et tâtonnements du début de l’industrialisation ?

La vérité tenue secrète est que l’Europe, toute l’Europe est une sorte de poubelle radioactive. En Europe s’est passé quelque chose de très préoccupant. C’est que chaque pays cherchant à faire le malin a en toute confidentialité enfoui ses déchets radioactifs chez le voisin. Et ce voisin, ignare de ce que l’autre était venu enterré chez lui, est aussi allé enterrer ses propres déchets chez un autre voisin encore. Des années ont passé. Et la facture se présente très lourde à supporter et se traduit en prolifération des cancers dans toute l’Europe.

Djibouti en 37ans de dépendance : Arta à inauguré en octobre 2012 notre seul hôpital régional grâce à la Chine qui s'apprête à construire son 2ème, cette fois à Tadjourah

Ce nouveau complexe hospitalier, nous dit-on, comprendra des pavillons de pédiatrie et de radiologie, une maternité, un bloc de chirurgie, des services d'urgences et de soins dentaires pour une capacité de 100 lits. Ce projet rendra effective une décentralisation des services hospitaliers dans cette région et contribuera à l'amélioration de la situation sanitaire de la population de toute la région du nord de Djibouti, plus particulièrement celle des femmes et des enfants qui constituent le groupe le plus vulnérable, précise le communiqué.

Alors même que le régime diversifie ses partenaires économiques, comment expliquer cette hostilité envers la Chine venant d'un natif de cette région et membre de la dite opposition légalisée, en l'occurrence Kassim Ali Dini : « La Chine autrefois amie des peuples opprimés serait-elle devenue complice des dictatures africaines corrompues ? »

Fait incontestable en Afrique depuis 2000, la croissance économique de ces 2 dernières décennies tient à la stratégie active adoptée par la Chine vis-à-vis de l'Afrique. Le FOCAC
(Acronyme anglais du Forum de coopération sino-africain) constitue depuis 2000 la plate-forme diplomatique à travers laquelle ces investissements à grande échelle ont été facilités. Le cumul des investissements directs vers l'Afrique représenteraient selon la fondation Heritage, 15% de l'ensemble des investissements directs chinois de 2005 à 2011. Djibouti n'est pas la première bénéficiaire de ces IDs, loin derrière l'Afrique du Sud, le Nigéria, la Zambie, la RDC, le Niger, l'Égypte, le Soudan et l'Angola qui totalisent à eux seuls 78% des flux recensés.

En quête d'investissement étrangers, il est plus qu'évident ne serait-ce que dans le cas de Djibouti, la Chine semble répondre plus à nos besoins immédiats dans les investissements indispensables au développement durable, que toutes les fausses promesses de nos donneurs de leçons traditionnels.

5 septembre 2014

Lettre anonyme aux africains et africaines sur le continent. (Ça peut fâcher, mais force comme même la réflexion)

LE DERNIER PARAGRAPHE DE CETTE ANALYSE, À LUI SEUL, RÉSUME NOS ÉCHECS DEPUIS LES INDÉPENDANCES DE FAÇADES À CE JOUR. NOTRE IMPUISSANCE RÉSIDE DANS LA STRATÉGIE ADOPTÉE : NOUS SOMMES DISTRAITS PAR LES FEUILLES QUI CACHENT LA FORÊT -- Bourhan Bey (Abou amin)
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Dans mes multiples débats avec des africains concernant la situation de notre continent et notre peuple, certains africains argumentent que les africains sont responsables de leurs malheurs, parce que leurs "dirigeants" sont corrompus, égoïstes, dictateurs et que c'est à eux et eux seuls qu'il faut remettre la responsabilité des malheurs de l’Afrique. Certains vont plus loin en affirmant que le problème africain est le manque de démocratie, et que si les "dirigeants" africains devenaient des démocrates (en admettant que cela soit possible compte tenu de la structure socio-économique des sociétés africaines), alors l’Afrique émergerait.

J'ai déjà répondu à cette thèse en argumentant qu'elle n'est pas recevable, car elle est fondée sur une fausse hypothèse que les "dirigeants" africains sont libres d'agir dans l'intérêt de leurs peuples, s’ils le souhaitent. Je vais essayer de renforcer mon argumentaire à travers un exercice simple: faire le rapprochement de la situation africaine avec une autre situation similaire, mais mieux lisible et mieux compréhensible: le fonctionnement dans les plantations pendant l'esclavage des noirs.

A l'époque de l'esclavage des noirs, dans une plantation, il y avait initialement deux acteurs: l'esclave (noir) qui vivait et travaillait dans les champs, et le maître (blanc) qui possédait et administrait la ferme. Au début de l'esclavage, le maître était lui-même présent (ou embauchait un contremaitre blanc) tous les jours dans les champs, pour surveiller que les esclaves travaillaient jusqu'au bout de leurs forces pour enrichir le maître, et aussi punir et tuer si nécessaire les esclaves rebelles. Avec le temps, le maître est devenu plus ingénieux. Au lieu de passer son temps dans les champs, il a pensé qu'il pourrait coopter un esclave et lui confier cette tâche, sous sa supervision, mais à distance. Ce qui lui permettrait de continuer à s'enrichir, tout en ménageant ses efforts. Mais avant de coopter un esclave, pour minimiser les risques que ce dernier se mette plus tard avec les autres esclaves contre le maître, ce dernier a appliqué une stratégie édictée par le célèbre Machiavel, dans son livre intitulé Le Prince. Cette stratégie consistait à monter l'esclave coopté contre les autres esclaves, de sorte qu'entre les deux il y ait suffisamment de haine pour que l'esclave coopté sache que son seul soutien dans la ferme est le maître blanc, et que le jour où il perdrait la confiance du maître il se ferait massacrer par les autres esclaves. Pour y arriver les maitres avaient recours à des stratégies consistant à semer la discorde entre les esclaves en leur disant que certains esclaves étaient plus évolués et plus "civilisés" que d'autres.

3 septembre 2014

La présence des russes à leurs frontières est inacceptable, celle des putschistes et leurs nazillons assistés par des mercenaires de l’ombre, qui bombardent des villes et massacrent la population est, elle, acceptable !!!

Sur quoi peut bien ce baser ce rituel à géométrie variable et de qui tiennent-ils cette exclusivité de la rectitude morale justifiant les coups d'États et l’ingérence dans les affaires d’un pays au crime d’avoir refusé de s’associer à l’U.E ?
Toutes ces destructions et interventions armées au mépris du droit international, la Charte des Nations-Unies, les conventions et traités internationaux.

La cause principale ayant rendu possible toutes ces guerres et ingérences tous azimuts, réside dans les violations répétées des règles du droit international, sans conséquence aucune. Fruit du perfectionnement de la propagande abrutissants les masses à travers, mensonges médias et les complicités des institutions d'après-guerre, ce, depuis la chute de l’URSS. L'arbitraire devenu la norme, force est de constater les 2 poids 2 mesures du cas Libyen et Ukrainien.
  • Dans le 1er cas on nous fait croire à un massacre des libyens par le dirigeant, fallait donc selon les donneurs de leçons, intervenir quitte à violer jusqu’à la résolution du Conseil de l’Insécurité, dont le texte ne prévoyait ni bombardement, ni invasion. Cette humanitaire a fait plus de 160 000 morts civils et détruit tout un pays qui à ce jour git dans un chaos politico-social sans précédent.
  • Dans le 2ème cas, un coup d'État à Kiev, renverse un élu et met un terme à l'ordre constitutionnel. Les putschistes et nazillons démocrates applaudis et promus au pouvoir, sont eux, autorisés à bombarder les villes et à massacrer les populations refusant de se soumettre à cette piraterie.
Sans internet et médias alternatifs ; si dans les années 80, lors de la création du Proxy Al-Qaida afin d’affaiblir et éventuellement battre les Russes en Afghanistan sans se salir les mains, le monde baignait dans la désinformation, aujourd'hui il n’est étranger à personne que le chant du cygne " guerre au terrorisme" de l'internationale terroriste, n'est rien d'autre qu'une guerre ouverte dirigée contre toute nation souveraine opposée à l'hégémonie d'un empire en panique, qui, sans déclaration ni engagement militaire couteux, inutile et politiquement risqué, par proxy interposés changeant de nom d'oiseau au gré des enjeux, met en péril l'humanité toute entière.(Le tout en Vidéo)

29 août 2014

Ebola : L’Afrique des « nouveaux pestiférés ! » par Roger Picon

Ecrits inspirés par le contenu de la Lettre Santé Nature Innovation de Jean-Marc Dupuis qui est un service d'information gratuit sur la santé, la nutrition et le bien-être.

EBOLA : LE MENSONGE GÉNÉRALISÉ

Alors que le journal Le Monde parle quotidiennement de « ravages » et de « catastrophe »  au point que l’on serait presque tenté de creuser notre tombe et de préparer la cérémonie d’enterrement, la réalité est que l'épidémie de virus Ebola reste d'ampleur très modeste.
La presse parle de 1229 morts entre mars et août 2014 sur l'ensemble de l'Afrique, et encore ce chiffre n'est-il pas exact.
Mais si vous vous rendez sur la page du site de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) traitant du sujet, vous vous rendez compte qu'il y a en fait 788 décès pour l’ensemble de l’Afrique qui sont formellement identifiés comme étant causés par le virus Ebola.
Les autres sont des cas « suspects » ou « probables »

Par évidence, ce sont bien sûr 788 morts de trop mais il faut comparer ce chiffre aux 1,2 million de morts causés annuellement par le paludisme, ou aux 2000 morts causés chaque année en France par la grippe saisonnière.

EBOLA - TRÈS PEU DE CONTAGION

Les images de soignants portant des masques et des combinaisons intégrales pour s'approcher des malades suspectés sont insensées et dignes d'un mauvais film de science-fiction.

CAR LE VIRUS EBOLA NE SE TRANSMET ABSOLUMENT PAS SI FACILEMENT :

« Il faut un contact direct avec un liquide biologique comme le sang, les selles, les vomissures. Il n'y a aucune transmission par voie aérienne. C'est-à-dire que, lorsqu'une personne parle ou tousse, elle ne répand pas le virus Ebola dans l'air ambiant. » explique le Pr Bruno Marchou, chef de service des maladies infectieuses et tropicales de l'hôpital de Purpan, à Toulouse.

27 août 2014

Djibouti : Ali Abdallah Hassanlé, le héros dont il faut taire le nom, au même registre que le criminel qui a ouvert le feu.

Ali Abdallah Hassanlé
Nos prières et vœux de prompt rétablissement au LT Col Medecin Idriss Abdi Galab et le garde du corps Ali Abdallah Hassanlé victimes collatéraux d'une tentative d'assassinat du dirigeant djiboutien.

Ali Abdallah Hassanlé, est ce garde du corps qui vient de sauver la vie à IOG en s'interposant entre lui et le tireur.
La table est mise : Un mercenaire Mamassan (Bas Fourlaba) adepte de la « Terre à nous » tente d'enterrer son cousin, alors que l'Afar le sauve du trépas, étrange farce du destin n'est-ce pas ?
-- Le prologue, de la lutte des clans à la succession du pouvoir, est lancé.
Sauf qu'encore, le nom de ce garde du corps n'est mentionné nulle part sur la toile. Chassez le naturel, il revient au galop, dit-on !!!

Ali Abdallah Hassanlé qui s’est sacrifié en prenant 3 balles au corps, épargnant par ce geste la vie du dirigeant,  devient une honte dont il faut taire le nom, enfuis sous un silence humiliant sans aucun égard à sa famille.
Le porte-parole du gouvernement dont le devoir premier était de rendre hommage à cet exceptionnel courage et présenter publiquement ses sympathies à la famille Hassanlé, le dénigra en omettant de souligner jusqu’à son nom : « 2 BLESSÉS ».

Depuis, d’un Ministre à l’autre, le rouleau compresseur de la désinformation, convaincu de noyer le poisson, tourne autour de cette phrase magique : « BIEN APRÈS LE DÉPART DU PRÉSIDENT ET DE SON CORTÈGE ». Une stratégie politique qui consiste à passer sous silence la tentative d’assassinat contre le dirigeant, diluée sans scrupule aucun, dans une affaire de règlement de compte à l’encontre du malheureux Lt Col Medecin Idriss Abdi Galab ; un autre blessé grave qui lutte pour sa vie.

Hier soir c’était la vidéo d’un piètre montage, publiée par un certain Waiss, identifié clairement sur son profile, comme étant (Militants & Sympathisants du RPP ; au pouvoir), insistant sur le même DÉTAIL et dont je soulignais le ridicule par le fait avéré que depuis 2010 l'avion présidentiel est un Boeing 767-216 ER de 181 places, qui selon le FMI a été racheté à Paul Biya du Cameroun et non ce Falcon 7X de la vidéo.

11 août 2014

Djibouti : Rappeler que, ces délires de conquêtes tous azimuts mirent fin à des grands empires, est un devoir de mémoire.

J’ouvre cette rubrique sur « Le nouvel État Issa » que souhaite proclamer un certain Hassan Cher Hared et ses sponsors, avec l'extrait d'un document de notre compatriote Ali Coubba (Article en question).

Ali Coubba :
« Un officier Français, Edouard Chèdeville, grand spécialiste de la société afar, ayant administré la région de Dikhil/Ali-Sabieh pendant les débuts des années 40, et à qui nous devons la généalogie des tribus somalis à Djibouti, m’a fait une confidence écrite en 1990[2], au sujet de la mentalité issa. En mettant en avant son expérience personnelle, il m’a affirmé qu’Hassan Gouled, président de la République à l’époque, ou n’importe quel autre président d’origine issa, ne pourra jamais établir des relations de bon voisinage avec les Afars. « Il faudra plus d’un siècle pour en arriver à des changements de mentalités chez eux. Leur culture, soutenait-il, ne les a pas préparés à la gestion d’une société pacifique et, encore moins à celle d’une société pluriethnique ».

Son raisonnement partait du constat suivant :

« Les Afars donnent en général l’hospitalité (eau et pâturage) aux nomades issa fuyant la sécheresse et la mort. La première saison passe sans heurts. Lorsqu’arrive la saison suivante, les réfugiés issa vont essayer de chasser de leur terre les Afars qui leur ont donné l’hospitalité. Les nomades issa ne connaissent pas la cohabitation avec des étrangers, la notion de paix avec leurs voisins n’a pas cours chez eux, parce que leur histoire ne les y a pas préparé. Leurs frères issak et gadaboursi n’ont jamais pu vivre en paix avec eux ». (Cf. Confidence écrite de M.Chèdeville en 1990). » ------------------

Cette confidence écrite de l'officier Edouard Chèdeville sur les Issas semble correspondre et même confirmerait en tout point l’expérience des Somalis avec la tribu Issa par ce dicton : « Ciisé, intu Nabad galiyo kugu yeelo, Colaad kugu ma yeeli karo ».
Traduction de ce proverbe : « Un Issa, te fera plus de mal en temps de paix, qu’en temps de guerre », c’est-à-dire, lorsque tu t’y attendras le moins et que t’aura baissé ta garde en pensant être en bonne compagnie, c’est là qu’il t’achève.

Djibouti : les Afars selon les prétendants au pouvoir, « seraient potentiellement des dictateurs en puissance », parole des envoyés spéciaux natifs de Diré-Dawa du machin USN « IGA DURUG »

L’histoire se répète chez les mêmes victimes, qui par négligence des priorités et le laxisme rampant envers les charlatans carriéristes, s’obstinent dans le suicide de l'absence totale de consensus et stratégie politique, laissant le champ libre -- à une espèce sans scrupule aucun à notre hospitalité légendaire -- risquant de souiller cette quiétude et culture du vivre ensemble du pays des Braves.

À titre de rappel du danger que représente ces genres de discours ; à son 2ème mandat en 2005, IOG chantait ce refrain à Ali-Sabieh : « Si je ne suis pas réélu, les richesses sous vos pieds iront ailleurs », aujourd'hui, les vizirs Iznogoud de la mouvance la « terre à nous », s'animent à diaboliser les victimes de plus d’un siècle de génocide, par des raccourcis dignes de l'immoralité se voulant toujours gouverner les hôtes.

- Ceux que les français effacèrent de la démographie du territoire de 1896 à 1967 (71ans) par le dénominatif « Côte Française des Somalis », eux plus familier avec « Territoire d’Obock et Dépendance » ; sans zigouiller un seul français -- lorsque et sans état d'âme, nos anges de lumière accusateurs -- entre autres innommables actes de bravoures, prenaient en otage un bus d’écoliers français en 1976 et massacraient des civils désarmés à Arhiba en 1991, tuant 65 et en blessant des 100ènes. Ceux-là sont des héros démocrates tandis que les Afars, les plus à craindre.

- Ceux dont les Sultans et leurs collaborateurs ont été à maintes reprises emprisonnés et déportés à Madagascar pour avoir résisté aux expulsions massives vers l’Éthiopie, de leurs populations hostiles à la barbarie coloniale ; sans lyncher un seul français. Voir extrait d'un document d’archive en anglais: « Afar sultans imprisoned by French colonial rulers and deported to Madagascar are the following: Wizir Houmed Mohamed Mandaytou arrested in July 1928 and after five years of imprisonment in Madagascar, he came back in Tağura in 1933.Sultan Laoyta Houmed together with his brother and his assistant Ali Houmed dit Hajji Ali from Gobaad were arrested in March 1930 and they were deported to five years of internment in Madagascar in May 13th 1931. Sultan Laoyta Houmed died in prison in July 9, 1931 while the other two came back in Djibouti in 1937. Chief of Namm’Ad’ali confederation, Houmed Mohamed, arrested in 1943, condemned to five years of internment in Madagascar. He came back in Tadjourah. In addition to this chief, many other chieftains of various Afar clans had also be deported and imprisoned in Madagascar. (Information received from Aramis Humad, an Afar historian and whose father [Houmed Mohamed-Soule Aramis] was among those Afar chieftains deported to Madagascar.) »

8 août 2014

DJIBOUTI : PARIS – BELGIQUE – ÉTATS-UNIS LA MÊME DUPLICITÉ

Comment nos experts de la politique interprèteront cette énième exhibition d’IOG, à nos portes ?

De grâce, surtout pas le même refrain stérile et enfantin :
-    « IL LES A TOUS PAYÉ ET AVEC L’ARGENT DU PEUPLE DE SURCROIT ». Omettant volontairement de mentionner, l’hôte du sommet lui-même, qui pourtant se dit démocrate, dupe l’Amérique par le même stratagème lors des campagnes politiques, en forçant tout employé fédéral de chaque district à remplir les gradins et surtout, en déplaçant les fidèles partisans par avions nolisés - hôtels, nourriture et frais de déplacement payés - d’où les dépenses faramineuses selon les valeurs démocratique de l’oncle Sam (Exemple pour vous donner une idée, les dépenses du dernier cycle électoral de 2012 aux USA étaient de 6 Milliards $, soient 4 fois et demi le Budget annuel 2012 de Djibouti et un milliard de plus que le budget de fonctionnement de la Ville de Montréal).

-    « SE SONT CEUX QUI TOUCHENT DES SALAIRES DE DJIBOUTI TOUT EN ÉTANT DANS LA DIASPORA » - Puis !!! – Aussi illicite et dommageable soit-elle, pour le trésor public djiboutien dont le peuple souffre de tous les maux de la mal gouvernance, cette pratique est courante, dans certains cas légalisée chez l’hôte comme tous les prétendus démocratiques en occident.

-    « SE SONT LES OPPORTUNISTES NATURALISÉS DE (LA TERRE À NOUS) » - Puis !!! – On fait quoi nous, les natifs de ce pays, depuis 37ans ? – On se complait dans un nombrilisme abscons. Incapables d’instaurer un dialogue sain et unificateur de nos forces vers ce même destin qui est le nôtre. Donc, pourquoi les blâmerions-nous pour nos propres tares ?

Bourhan Bey (Abou Amin)
Du PRIDE

Djibouti : Rééquilibrage ethnique en faveur de la communauté afar : une option légitime, par Gifta Mohamed Issé

Résumé : Depuis 1977, date de l’indépendance de la République de Djibouti, les Afars, remplacés systématiquement par des Issas importés d’Ethipie, sont expurgés des institutions de l’Etat et des entreprises semi-publiques. Trois autres communautés (Issas de Djibouti, Gadaboursis et Arabes) ont vécu, dans une proportion moindre, le même processus de marginalisation. C’est pourquoi,  dans l’état actuel des choses, avant de parler de la démocratie et d’élections libres (un homme, une voix), il faudrait mener une politique de rééqulibrage politique, économique et démographique, en faveur des Afars. Notre camarade, Mohamed Issé, explique dans le texte ci-dessous quelques pistes de réflexion pour que les Afars – et forcément les autres groupes marginalisés – recouvrent leurs droits politiques et économiques, tenant compte de leur poids légitime dans le pays. Il est vrai qu’un véritable dialogue, à la fois sincère et constructif, ne peut s’instaurer qu’entre des partis politiques de force équivalente et soucieux, avant tout, d’œuvrer pour l’intérêt général. Depuis février 2013, avec le vaste rejet de la dictature au sien de la communauté issa, les négociations fondées sur le rapport de force sont vouées à l’échec. (Uguta-Toosa)

Mise au point préalable : les Afars sont une ethnie, les Issas une tribu ; je dis cela non pas dans la volonté de rabaisser nos homologues issa, mais c’est un fait. Ensuite, lorsque nous évoquons ici la nécessité d’un rééquilibrage ethnique en faveur de la communauté afar, ce rééquilibrage s’entend entre l’ethnie afar et l’ethnie somali.
Ensuite, permettez-moi d’apporter des informations essentielles, importantes, par rapport à l’article controversé écrit par un des membres de l’USN/MRD, contestant à la communauté afar le droit d’exprimer ses critiques par rapport à la dictature en place. C’est en tant que démocrate pacifique que j’expose mon point de vue, persuadé que les Djiboutiens et Djiboutiennes sont en mesure de résoudre leurs différends par la négociation et non en cherchant des situations de rapport de force qui annihilerait toute possibilité d’une cohabitation pacifique.

REFUS D’ADMETTRE L’INÉGALITÉ EXISTANT ENTRE AFARS ET SOMALIS

4 août 2014

Djibouti : Je partage la justesse de l’analogie des évènements que tire dans ses conclusions, notre ami et compatriote, son excellence l’historien et auteur d’ « Une Nation en Otage »

Il me plait de souligner et commenter un aspect de cette analyse, celle ou Ali Coubba de ( Uguta Toosa ) note :
"" Les élites politiques afar observent, impuissants, l’agonie inéluctable d’une société dans laquelle elles ne se reconnaissent pas et, maigre consolation, en rejetant toute responsabilité sur leurs compatriotes somali-issa dans le délitement de la république.""

Cette regrettable tragédie du sommeil profond et l’impotence de la dite opposition politique djiboutienne, comme je l'ai à maintes reprises décortiqué dans mes analyses et observations, réside dans cette pensée de Ali Coubba.

Un constat et une vérité auxquels il nous faut faire face. Le vide politique à Djibouti et j’insiste sur ce point Ô combien important, n’est imputable qu’à la seule élite Afar, dont un petit groupe s’autoproclamant seules représentants de tous, confisquèrent le débat et le droit à la parole devenant par procuration non signée ; la propriété exclusive de l’imposture.
Marginalisèrent les leurs, au fil du temps et des législatures afin de mieux canaliser et étouffer les revendications légitimes de ce peuple pour des profits éphémères.

Le multipartisme intégrale qu'ils réclamaient à tue-tête, comme témoignage de leur foi en la démocratie afin de mieux soigner leur posture d’escrocs, le calculateur politique au pouvoir y vit en 2002 la bénédiction du ciel de sa longévité au pouvoir et la leur offrit sur un plateau d'argent.

Depuis, la prolifération de sigles de partis vides de membre et de vision politique, entretenant la division au sein de cette communauté au profit des naturalisés héritiers du système colonial, rendu la tâche du dirigeant des plus aisées, pour ne pas dire une promenade de santé. Il s’est même trouvé 2 cautions à sa coalition UMP de la diversité de façade ; L’UPR et le FRUD. 2 sigles et 2 hommes qui ne représentent personnes.

25 juillet 2014

Israël : l’inévitable chute du régime d’apartheid, par André Chamy - Sociologue et Avocat. Vice-président de Réseau Voltaire France.

Cette illustration ne fait pas partie du texte de l'auteur
Analyse de la structure géopolitique et géostratégie, rôle et implications des États-Unis au Moyen-Orient. Le mythe de la terre promise et caractère providentiel d'Israël, contrairement aux légendes urbaines, est une fabrication étasunienne légitimant leur projet de domination du monde. La création d'Israël comme aujourd'hui d’un califat islamique ne servent qu'à instrumentaliser cette aliénation à toujours justifier leur suprématie raciale imaginaire et donc la perpétuation du ségrégationnisme. - Bourhan Bey (Abou Amin)

Extraits : "" En 1912, envahissant le Mexique, le président états-unien William H. Taft déclarait : « Je dois protéger notre peuple et ses propriétés au Mexique jusqu’à ce que le gouvernement mexicain comprenne qu’il y a un Dieu en Israël et que c’est un devoir de lui obéir ». À cette époque l’État d’Israël n’existait pas encore, le président états-unien voulait rappeler le caractère providentiel du rôle de son pays, mais cette phrase annonçait déjà la nécessité d’un lieu saint ayant une portée symbolique pour les activités de son pays à travers le monde.(...)

La stratégie états-unienne vise depuis 60 ans à renforcer l’État hébreu, en le soutenant économiquement, politiquement et militairement. Le nombre de véto utilisés par les États-Unis pour s’opposer à des résolutions contre Israël est impressionnant. En même temps, les États-Unis n’ont jamais rien fait pour qu’Israël applique les résolutions des Nations unies, concernant les territoires occupés et le retour des réfugiés, notamment la résolution 194 de l’Assemblée générale qui prévoit expressément le retour des réfugiés palestiniens dans leurs territoires.

Les rapports dénonçant les exactions commises par l’armée israélienne finissent par être enterrés ou classés dans l’un des nombreux cartons des Nations Unies. Le dernier est celui dénommé Goldstone du nom du président Sud-Africain de cette commission onusienne. Il a fini certainement sur une étagère poussiéreuse, ruinant en même temps la réputation de ce juge particulièrement mise à mal depuis son fameux rapport imputant à Israël des crimes de guerre pendant la recrudescence de la guerre contre Gaza en 2009.

L’idée d’un État palestinien dans les territoires occupés est non seulement non viable, mais elle est surtout absurde. Comment faire relier deux morceaux de territoire séparés de territoires israéliens sans laisser place aux tensions ? Comment faire vivre un État qui ne peut même pas respirer sans passer par les Israéliens et sans compter sur l’étranger, car il est démuni de ressources, et puisque même son eau a été détournée pour irriguer l’agriculture israélienne.

Un seul État sur l’ensemble de la Palestine reste la seule idée juste, viable et raisonnable.

24 juillet 2014

Le 5 Août 2014 - Sommet Afrique-USA. De grâce déclinez l’invitation et épargnez nous cette énième humiliation.

En quoi  ce ballet du nanisme serait-il différent que les précédents ?

Catherine Austin Fitts, cette dame n'est pas n'importe qui et ne passe pas son temps sur du n'importe quoi, par des faits, des vérités crues et des solutions, rapporte et signe : LA GOUVERNANCE DES USA EST BÂTI SUR LE MENSONGE, LES MENACES, L’USAGE DE LA FORCE, LE CRIME ET UN MODÈLE ÉCONOMIQUE BASÉ SUR LA FRAUDE ET LE BLANCHIMENT D'ARGENT. (Écoutez là, pour comprendre et agir dans l'intérêt de notre Afrique)

Cet aveux, certes, ne peut que rassurer certains de nos dinosaures notoirement connus pour étant familier avec ces expertises, mais de là, acquiescer à un défilé de domestiques, d’une 30ène de dirigeants africains, parfaitement au courant des 4C de la politique étrangère américaine ; Corrompre -  Contraindre -  Condamner – Coup d’État....j'en perds le sommeil.

Redorer le blason d’un régime en perte de vitesse avec ses interventions destructrices tout azimut, consentir volontairement et en grande pompe à la soumission et la vassalisation de nos pays, c’est éventuellement, signer par anticipation, sa propre éviction brutale au moindre changement de géostratégie ou lors-qu’arrivera le temps de soigner les apparences par la promotion d’un autre prête-nom plus malléable.

Sans compter que tous ces déplacements inutiles, de Paris à Washington, passent aux frais de la misère des  pays respectif.

À chaque appel du pied accourent redorer le blason des bourreaux. S'ils pouvaient m'écouter, je leur conseillerai d'économiser ces dépenses inutiles pour une consultation chez un spécialiste soignant le syndrome de Stockholm.

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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin )

23 juillet 2014

Djibouti : L’insondable léthargie politique des Afars a un coût auquel nous avons déjà payé un lourd tribut

Les souffrances tout au long de ces derniers siècles sont palpables à tous les niveaux au sein de cette communauté et semblent toutefois vouloir se perpétuer à travers la même espèce. Décennie après l’autre, sans discerner le pourquoi du comment, nous avons failli à notre mission de la transmission de l’héritage, simplifiant l’immensité du royaume de Qadal en blocs de régions divisés en chefferies, de la promotion du seul folklore, indépendants sur papier mais foncièrement politisés à la dépendance coloniale.

Aujourd’hui la dernière pièce en jeu, menace jusqu’à l’identité et le sentiment d’appartenance, de tous et chacun, à cet espace géographique. Ceux ignorant qu’on défigure à ce jour, les statues des pharaons avant de les exposer dans les musés, leur niant toute négritude, ne pouvons constater ou concevoir que nous puissions être les suivants, ont soit sacrifiés leur propre humanité et dignité, soit ont la mémoire courte ou sélective, manquant de se rappeler les 71ans ou, entourés de barbelés, ils furent étiquetés : « Côte Française de la Somalie » jusqu’à 1967. Dans les 2 cas, la bête immonde compte essentiellement sur notre conformisme singulier les laissant agir à leur guise ; l’histoire est là confirmant ce diagnostic.

Jamais nous ne retrouverons la sortie de ce labyrinthe, à la seule boussole de tout escroc, carriériste, minimaliste et nombriliste confondus, ne sachant conjuguer la politique qu’à la 1ère personne du singulier.

Ce n’est pas parce qu’on n’a pas les réponses à nos questions, qu’elles n’existent pas. Cette léthargie résulte principalement de l’abandon d’un coefficient directeur pourtant reconnu par tout historien et scribe de passage sur les terres des Braves, pour être à la base de nos cultures ancestrales et la cohésion sociale, à savoir ce fameux dialogue à la recherche du juste milieu, vers le seul et unique consensus à la base de tout rapport de forces par la composition de nos forces. La disparition de cette sagesse millénaire a fait de nous, ce que nous sommes : la caution des traitres et charlatans de la politique.

22 juillet 2014

Le Boeing de Malaysia Airlines abattu en Ukraine. Les États-Unis en quête d’un « casus belli » ; Chronique de Richard Le Hir

L’utilité des statistiques et de l’algèbre pour décoder les situations
Les États n’ont aucun scrupule à sacrifier des vies civiles innocentes lorsque leurs intérêts sont en jeu.

Depuis quelques jours, toute l’attention est tournée sur le Boeing 777 de Malaysia Airlines abattu dans le ciel de l’Ukraine orientale, à courte de distance de la Russie.

N’étant expert ni en aéronautique ni en armement, je me garderai bien d’entrer dans le bal des spéculations sur les circonstances matérielles de cette opération qui a fait 298 victimes civiles innocentes.

Il se trouve toutefois que mes expériences professionnelles m’ont amené à évoluer dans le domaine de l’assurance et à fréquenter des actuaires, ces professionnels chargés de l’évaluation des risques pour la tarification des primes facturées aux personnes désireuses d’assurer leurs biens. Or, un avion de ligne est un bien assurable.

Tout le travail des actuaires repose sur le calcul des probabilités qu’un risque survienne. Dans le cas d’un avion de ligne, le risque le plus important est celui d’une chute entraînant sa perte et celle des passagers qu’il transporte, les dommages pouvant s’élever à quelques centaines de millions de dollars, selon le type et la taille de l’appareil, et le nombre de passagers transportés.

Or, de tous les types de transports utilisés, c’est le transport aérien qui est de loin le plus sécuritaire, comme le démontrent les statistiques .

On doit donc comprendre en partant qu’un événement comme celui qui est survenu cette semaine est extrêmement rare, et si l’on se met à examiner tous les facteurs qui contribuent au caractère exceptionnel de son occurrence, on se retrouve presque en face d’une impossibilité statistique, à moins qu’il ne s’agisse d’une opération téléguidée.

En effet, c’est le deuxième Boeing 777 de Malaysia Airlines à disparaître en quelques mois dans des circonstances très particulières, un fait pourtant capital auquel les autorités politiques et les médias ne semblent accorder aucune importance. On a beau comprendre que la conjoncture internationale se prête bien à la récupération de cet événement à des fins de propagande, il n’en reste pas moins que toute analyse sérieuse devrait commencer par un examen approfondi de cette aberration statistique.

13 juillet 2014

Djibouti : Retour sur la situation des employés djiboutiens au Camp Lemonnier – 3ème partie, la CNSS & EAD - Les chiffres comme promis sur les détournements.du denier public par le régime et ses protégés.

Djibouti : Les chiffres comme promis sur les détournements.du denier public par le régime et ses protégés.
Bourhan Bey (Abou Amin)
Du PRIDE.

11 juillet 2014

Djibouti : Procédure de résiliation du contrat de concession du terminal à conteneurs de Doraleh détenu par DP World depuis 2003.

MOTIF : L'opérateur soupçonné d'avoir versé des pots-de-vin au Mafieux Abdourahman Boreh ( Ancien financier et ami d'IOG, aujourd'hui ambassadeur du machin USN : Qui se ressemble s'assemble, dit-on, en voici un spécimen vampire de la pire espèce, prêt à perpétuer ses crimes, cette fois avec la caution et la bannière des imposteurs de l'opposition ).

Résilier un contrat sur une question de corruption à cette échelle, dans le seul souci d’appliquer équitablement la loi est en soi honorable, mais serait par contre scandaleuse si cette procédure aboutit encore au même népotisme du Port de Djibouti ou - DPI mis à la porte - IOG remet la gestion et les rentrées colossales de ce port à ses 2 frères, l’un comme directeur général, l’autre directeur de la sécurité et tout porte à croire qu’on est à la phase finale du quadrillage du pouvoir par les proches avant la fin du dernier mandat en 2016.

La gangrène de ce népotisme s’approche à vitesse grand V de celle de la famille Ben Ali de la Tunisie, avec la fin dramatique connue de tous : Plus de 300 morts et 800 blessés en 3 semaines entre Déc 2010 et Janv 2011, le navire toujours à la dérive. Des tonnes d’ors et fortunes parties en fumée sans que la famille déchue ne puisse les récupérer ou même oser poser question d’où leur silence depuis, au risque de subir les affres d’une poursuite à la CPI ou un lynchage en règle fomenté par leurs amis « démocrates » d’hier.

La complaisance avec le crime n’est guère fortuite mais un piège tendu à dessein dont ils finissent tous par être otages et victimes. La sensation de contrôle et de sécurité s’estompe dès que le vent des intérêts des protecteurs tourne. Ainsi va la piraterie internationale et l’épilogue du pouvoir d’une élite saignant à mort les leurs.

Une chose est sûre, doucement et sans complexe aucun, la monarchie prend racine à Djibouti, suffit pour cela de fouiner dans le labyrinthe des alliances familiales. En voici un bref tableau, aux lecteurs de découvrir le reste :

9 juillet 2014

Djibouti : (AMU) Assurance Maladie Universelle après 37ans d’un règne sans partage.

** AMU : Un grand pas dans la bonne direction ou une autre ville lumière avec son pont sur la Mer Rouge ?

Quel que soit la réponse, au PRIDE, les évènements nous rassurent :
  • De la création d'une commission contre la corruption,
  • Au réajustement du loyer d’un camp militaire passant de 38 à 63 Millions US en moins d’un mois, entre le 5 Mai et 5 Juin 2014,
  • De l'annulation, des baisses salariales et licenciements des employés, de cette même base militaire, en 2013,
  • Au dysfonctionnement et détournements des fonds sociaux à la CNSS et j'en passe...
Le PRIDE participe et influence positivement les politiques, contribue à la marche du pays sans être à l'exécutif ou à la chambre des législateurs. Preuve indiscutable qu’on peut changer le monde sans en être Calife ni membre de sa cour. Un petit clin d’œil à nos dictateurs juniors, du machin USN qu’on doit croire sur parole qu’une fois au pouvoir, ils seront meilleurs.

La CNSS dont nous dénonçons la gestion depuis des années, semble elle, avoir été mise sous la tutelle du ministère du budget chargé d'assurer la régularité des paiements des cotisations sociales et programmer les paramètres du système de gestion de la paie en vue de prendre en compte les NOUVELLES cotisations de l'AMU.

Le système d'assurance maladie universelle (AMU) doté d'un montant de 1 Milliard FDJ, est supporté à moitié par le fonds de solidarité nationale administré ENCORE par l'expertise en détournement de fonds de la CNSS et pour l'autre moitié, un fond spécial du "SAUVEUR de la NATION". D'où viennent ses fonds, croyez-moi, pour une fois et en attendant mieux, je ne veux rien savoir, pour autant qu'ils servent à soigner et sauver des vies.

8 juillet 2014

Djibouti : Pourquoi faut-il une énième intégration économique lorsqu’on est déjà membre des mêmes institutions de la COMESA, de sa Zone de Libre-échange, ayant un Tarif Extérieur Commun (accord sur les taxes), une coopération monétaire et fiscale ?

Suffit qu'une officine de l'info sélective sonne l'alarme dans le dortoir des zombies, sur un plan d'intégration économique imaginé par Djibouti et l'Éthiopie, qui à terme nous dit-elle, nous mènerait vers une sorte d'unification politique des deux pays, l'aliénation coloniale crie au scandale.

Lisons entre les lignes…Si je reformule ce gros titre selon les préoccupations de la LOI et ses actionnaires, les nuages se dissipent et accouchent de ceci : La Maison Blanche de Djibouti, dirigées depuis 1977 à partir du bureau Afrique de l'Élysée comme toutes les autres 14 colonies, aura dorénavant sa succursale mère à Addis-Abeba.
L’innovation de l’oncle Sam a de quoi inquiéter la « douce et généreuse » France de la dépendance !!!
Une petite parenthèse, cette semaine, le dernier préfet de la liste fût le fiston héritier du Togo recevant sa mise en demeure signifiée par Robert Whitehead, l’ambassadeur des États-Unis au Togo, exprimant sa déception sur le manque de volonté du président Togolais à opérer des réformes politiques pour la marche du pays. Les américains pour la démocratie !!!
Une farce qui prêterait à rire, si ce n'était aussi tragique, mais, là est le mobile de ces gesticulations ; une guerre secrète entre l’Élysée et Washington sur le dos d’un continent hypnotisé par le petit écran... Bref, revenons à nos moutons.

Lorsqu'en 2010
, voila 4 ans, je m'opposais au 3ème mandat anticonstitutionnel lancé sous le slogan "J'AI UNE TÂCHE À ACCOMPLIR", en organisant avant le dit printemps Arabe de la Tunisie, une manifestation monstre pour Fév 2011 à Djibouti et que je prédisais cette TÂCHE comme étant l’étape rattachant définitivement - institutionnellement et géographiquement - Djibouti à l'Éthiopie comme région soi-disant autonome mais sous tutelle de cette dernière ; pour la dite opposition politique djiboutienne c’était un délire qu’il fallait ignorer. Inconsciemment ou à desseins d’aliénés - afin de plaire ou d’éviter de porter préjudices aux ambitions des Califes de la salle d’attente – tous préférèrent le silence à la réflexion et le consensus.

6 juillet 2014

Djibouti : « J'ai plus peur de nos propres erreurs que des plans de nos ennemis. » - Périclès, Homme politique grec

Confiner la critique au jugement des erreurs politiques commises par nos ainés, sans considération aucune à leurs volontés d’en tirer des leçons et corriger le tir, ce reflet difforme nous condamne à la récidive à l’instar de tous ceux qui - 40ans plus tard et malgré l’échec criant découlant des décisions passées - s’obstinent encore à les répéter.

Feu Ahmed Dini, que Dieu ait son âme, était certes un grand idéaliste qui, bien malgré lui, mal entouré sans doute politiquement et se voyant lui-même tel un pionnier, jamais ne s’est-il préoccupé du devoir de consulter ses paires et les masses, ou l’obligation de rassembler autour de ses idées, aussi nobles soient-elles à la base. Conséquences, son œuvre est jalonnée d’erreurs d’appréciations, de vision et stratégies politiques tronquées défiant ses propres objectifs déclarés et une cour de partisans sans envergure inaptes à pointer l’étroitesse du passage que l'homme comptait emprunter pour atteindre ses objectifs.

Mais c’était comme même un grand de son époque, pour tous ceux qui ont pris le temps de s’intéresser aux détails et non aux étiquettes de ceux qui jouissent à ce jour de ses erreurs.
Car et tout d’abord, par calcul politique l’homme osait défier, trait caractéristique des gens hors de l’ordinaire, et encore plus remarquable chez cet homme, c’est sa volonté - certes sans confession - à vouloir corriger du moins en apparence, ses propres erreurs. Le hic…. entre l’erreur et la correction le géant piétinait  tout sur son passage. Croyez-moi, je sais de quoi je parle, pour avoir été en 1995 une de sa cible et gouté à sa médecine (en ricochet pour régler ses comptes avec ceux qu’il baptisa très affectueusement les «QAGABAS »). Pris au dépourvu, terrassé à mort et à distance s’il vous plaît - du fond de sa loge parisienne de Président du FRUD-Armé et moi à Montréal comme Président d’une association de Djibouto-Canadiens…

3 juillet 2014

Côte d'Ivoire : Entretien avec M. François Mattei (Auteur du livre sur Gbagbo : “Pour la vérité et la justice“)

Extraits : "" Le gouvernement français depuis toujours, ou plutôt depuis ce qu’on appelle l’indépendance des pays francophones d’Afrique, qui est en fait une dépendance organisée, et ce depuis 1960, a été non pas un arbitre mais un acteur principal des crises.(...) Et depuis que Laurent Gbagbo est apparu sur la scène politique africaine, il n’a jamais été accepté à l’Elysée. Pourquoi ? Parce que l’Elysée avait ses favoris et notamment le successeur et héritier de Houphouët-Boigny. (...)

Cela est basé sur des piliers très précis. Après l’indépendance des années 1960, la Françafrique représentait la conservation de la dépendance de ces pays-là vis-à-vis de la France, y compris sur le plan militaire. Des accords de défense ont été conclus permettant à la France d’intervenir à tout moment sous la justification de défense des pays en question. D’autant plus et ce qu’il faut savoir c’est que dans ces accords, il y a également des clauses secrètes, qui garantissent à la France on va dire non pas la propriété du sous-sol mais l’accès prioritaire au sous-sol de tous ces pays. Que ce soit pour l’uranium, or, pétrole, tout ce qui s’y trouve. C’est le premier pilier. Le second étant le Franc CFA. Ce qui signifie que ces pays, 50 ans après leurs indépendances, n’ont pas de monnaie propre. Car la marque de la souveraineté d’un pays, ce n’est pas seulement un drapeau et un territoire, mais c’est également sa monnaie. Et ces pays n’ont pas de monnaie à eux. La monnaie des 14 pays ex-colonies françaises est fabriquée et imprimée en France, à Chamalières, ville d’origine de M. Giscard d’Estaing, mais en plus cette monnaie est garantie par ces pays-là, c’est-à-dire que sur toute leur exportation, que ce soit cacao, pétrole, or, uranium, etc…, on leur prenait 65% des devises qui entraient en Banque de France et aujourd’hui 50% des devises, qui pourtant devraient toutes leur revenir pour leur développement. Ces devises viennent donc en Banque de France et non pas dans leurs pays. Cela est inconnu de l’opinion publique en France aussi. Même chose pour l’or. Plusieurs pays africains étant très riches en or. Il y en a en Côte d’Ivoire mais il y en a encore plus au Mali. Donc pour garantir la monnaie, on prend l’or des pays africains qui se retrouve en Banque de France, à Paris, à quelques kilomètres de chez moi. S’ajoute à cela l’intervention dans les élections, comme on l’a déjà vu en 2010. On peut d’ailleurs prendre le cas assez caricatural du Gabon, qui est on peut dire la propriété privée de France dans le domaine du pétrole. On parle de démocratie en France, c’est très bien.

26 juin 2014

Djibouti : Retour sur la situation des employés djiboutiens au Camp Lemonnier – 2ème partie, la CNSS & EAD

Dans le cas des employés de l’agence EAD pour le Camp Lemonnier ainsi que les dockers des ports de Djibouti, comme soulignés dernièrement dans les colonnes du PRIDE, tous les chemins semblent mener vers la CNSS (Caisse Nationale de Sécurité Sociale).

Le même dénominateur commun qui tient soit de l’incompétence de nos législateurs, soit une intention délibérée de fausser les règles ou contourner des lois, qui serait trop contraignantes protégeant un peu trop les masses aux gouts du mercantilisme de l’élite coloniale. Les textes régulant les activités de ces institutions étatiques datent d’une autre époque dans plusieurs cas inadaptés, opaques, inefficaces, inefficients et déraisonnablement permissifs, au point ou les dépositaires élaborent leurs propres politiques d'application des lois.

La CNSS, établissement public créé en 2007, issue d’une fusion théorique de l'OPS et de la CNR sur demande du dirigeant de Djibouti avec un cahier de charges distinct sous le même arrêté 69 fricoté.
La question que nous posons ici est la suivante :
Cette dite institution est-elle une officine en connivence mafieuse avec les employeurs à Djibouti, dilapidant la sécurité sociale et les impôts des djiboutiens au seul bénéfice d’une élite ?
Nous allons tenter d’y répondre du mieux possible avec les éléments de preuve en notre possession.

Notre enquête commence avec cette lettre adressée le 5 déc 2013 au directeur de la CNSS par des cotisants à cette caisse, demande d’audience jamais honorée à ce jour. Pourquoi en serait-il autrement, lorsque l’élite se considère au-dessus des lois, au service et aux ordres de l’homme : État !!!

Ce siège éjectable à la direction de la CNSS, de l’OPS à la CNR, vu défiler ses directeurs, remerciés tous sur des affaires aussi obscures l’une que l’autre, sans pour autant qu’il y’eut enquête, comparution et sentence, dont entre autres le détournement que nous dénoncions en juin 2011 ou 200 millions de FDJ de l’épargne du peuple partaient en fumée sans qu’à ce jour soit jugé le/les coupables. Le directeur de l’époque Ahmed Keysé n’est plus en fonction certes mais loin d’être inquiété, peur sans doute de l’effet domino.

24 juin 2014

Djibouti : Que devrions-nous donc fêter un 27 juin ? – Dites le moi…

Le 27 Juin 1977, j’avais presque 14ans et malgré ce jeune âge, la conscience politique panafricaine assez lucide mais pleine d’espoir que cette dernière soit différente, ne se doutait point vivre le même méprisant scénario du paternalisme « foccardien » et ses indépendances de façade. Nous étions tous cocus sur ce terrain vague, entre Arhiba et la station Ali Goureye ou au rythme des tambours, les chants et danses sous les feux d’artifice, l’espoir et civisme naissants de cette foule en liesse étaient convaincus de sentir le sens profond de la 1ère levée des couleurs de cette nuit blanche.

Depuis, l’amertume reste là palpable, enfouie sous le poids de la déception et les rêves brisés.

Avec un peu de cohérence, que devrons-nous donc fêter un 27 juin ?
  • La condition d’otages ou d’exilés politiques ayant trouvé asile chez d’autres et dont le pays est gouverné par une élite du style colonial,
  • D’un peuple affamé et assoiffé par la piraterie, sous perfusion du PAM,
  • Le chômage endémique dépassant les 80 % et un dirigeant avouant publiquement à la RTD son incapacité à délivrer des certifications professionnelles après 37ans au pouvoir,
  • L’arbitraire et la torture élevés au rang de gestion d’État,
  • Le banditisme et les détournements des fonds publics,
  • La désintégration de l’éducation et un système de santé condamnant les malades aux seules prières et le secours Divin, alors que l’élite au pouvoir ainsi que leurs familles se soignent et s’éduquent hors frontières aux frais de l’État,
  • Fêtons notre plus haut taux de mortalité infantile d’Afrique, pendant qu’on y est,
  • Ou, le fait que nos dockers comme d’autres n’ont aucune couverture sociale après 37ans de Voyoucratie,
  • Enfin, devrions-nous sans doute fêter la dette astronomique ayant servie sous d’autres cieux mais que nous et nos enfants devrons rembourser les 50ans à venir,
Ensevelies sous la farine de la tromperie, nous devrions peut-être jeter l’éponge et nous soumettre. Suivre le courant des hypocrites et collabos d’un système inhumain.
Chantons, dansons, applaudissons et fêtons alors l’absurde en devenant tous complices par associations. Ainsi seulement, nous disent les fêtards, nous pourrions proclamer notre djiboutienneté.

20 juin 2014

Djibouti : On s'intéresse enfin à la situation des dockers...Allelouya!

Ce mardi 17 juin, à la 12ème séance du conseil des Ministres ou encore IOG a brillé par son absence, la RTD nous présentant des segments d'anciennes prises vidéos ; fut adopté entre autres, un projet de loi portant création d'une couverture sociale aux dockers des ports de Djibouti. Adopté par qui ?
  • Je ne saurais le dire, finiront sans doute un jour par comprendre le rôle et les devoirs de par les textes ainsi que les responsabilités des gouvernants envers les gouvernés, mais là n'est pas le thème de ce papier.
J'aimerai d'abord souligner brièvement le constat de faillite qu'établit sur le fond ce projet.
37ans après la dite indépendance ce régime découvre enfin qu’il fait travailler des esclaves dans les ports, en est encore à étudier le type de couverture sociale à accorder à un, des plus vieux métiers du monde en tout cas le plus ancien de la ville de Djibouti. Un port fondée en 1888, première structure marchande de la colonie.
Combien depuis sont morts d’accidents de travail et d’absence de couverture médicale ?
On s’en fout, s’était des moins que rien probablement !!!

Pourtant, ils étaient tous et le sont pour la très grande majorité aujourd’hui des autochtones, toujours sujet à la précarité et l'arbitraire. Une profession très physique, rude et éreintante en raison de l’intensité du travail ou le docker jusqu’à récemment chargeait et déchargeait les cargaisons des navires manuellement, sous un soleil de plomb respirant à fond sous l’effort surhumain, la poussière et les produits toxiques.

Par décence et devoir, ces dockers, faut reconnaitre, n’ont pas à remercier le moindrement ce régime pour avoir fait leur travail 37ans en retard, mais devraient plutôt se pencher sur le contenu de ce projet dès qu’il paraitra au journal de la République.

Ouganda : John Kerry compare toute loi anti-homosexualité « aux lois de l'Allemagne nazie et de l'apartheid de (l'ancienne) Afrique du Sud » - RIEN DE MOINS !!!

Les États-Unis usent encore de l'arme des sanctions, cette fois contre l'Ouganda. Cette arme n'est rien d'autre qu'un instrument d'une prédation sans pareille, une punition socio-économique collective de toute une population pour les tourner contre un régime refusant tout diktat. Et comme d'habitude pour justifier ces actions unilatérales des États-Unis, il suffit de leur coller des étiquettes diaboliques : Le secrétaire d'État John Kerry a été commis à cette tâche, comparant « aux lois de l'Allemagne nazie et de l'apartheid de (l'ancienne) Afrique du Sud », la législation anti-homosexualité ratifiée en Mars par le Président Museveni et votée à une majorité écrasante des élus du parlement ougandais en 2013.
Un pays pourtant profondément marqué par le christianisme ou l'Église anglicane d'Ouganda menace de se séparer de l'Église mère d'Angleterre si celle-ci faisait pression sur le gouvernement ougandais.

Comparant maintenant les propos du secrétaire Kerry sur le même sujet mais dans le cas Nigérian.

Début janvier 2014, le président nigérian Jonathan promulgue aussi une loi largement soutenue au Nigeria qui restreint fortement les droits des homosexuels. Adoptée là, à l'unanimité par les parlementaires, la loi prévoit une peine de 14 ans de prison en cas de mariage homosexuel et 10 ans d'emprisonnement contre les personnes de même sexe affichant publiquement leur relation.

Sanction du secrétaire d'État américain John Kerry : « Cette loi restreint dangereusement la liberté d'association, de rassemblement et d'expression des Nigérians. (...) Elle contredit les engagements légaux du Nigeria au niveau international et mine les réformes démocratiques et les protections en matière de droits de l'Homme inscrites dans sa constitution de 1999. »

Résultat, depuis janvier 2014, on ne parle plus du Nigeria mais de Boko-Haram comme si le pays avait changé de nom. La terreur puissance Homo sous l'étendard d'un pseudo Islamisme dont la sauvagerie et les crimes perpétrés contre cette population sur tout le territoire n'a rien de musulman ou de coranique.

LA JURISPRUDENCE GBAGBO OU LE DISCREDIT DU TRIBUNAL DES VAINQUEURS par Le Prof. Jean Charles Coovi GOMEZ.

(PS : Par éthique afin de ne pas altérer la publication originale, il nous plaît de préciser que l’illustration ci-jointe n’est pas de l’auteur de l’article, mais du PRIDE.)

PLAN SOMMAIRE DE L'ARTICLE :
- PROLOGUE : " L'ART DU CRIME PARFAIT ET LA COUARDISE DU PARFAIT CRIMINEL ".

- PREMIERE PARTIE : " LA JURISPRUDENCE GBAGBO OU LE TRAITE DE METHODE DU DROIT DE LA FORCE ".

- DEUXIEME PARTIE : " LE DISCREDIT DU TRIBUNAL DES VAINQUEURS ET LA REVELATION DE LA MISSION SPECIALE ASSIGNEE A LA COUR PENALE INTERNATIONALE ".

- EPILOGUE : " LES PROPOSITIONS POUR DEBARRASSER L'AFRIQUE DE LA TUTELLE JUDICIAIRE MORTIFERE DE LA COUR PENALE INTERNATIONALE ".
- PROLOGUE : " L'ART DU CRIME PARFAIT ET LA COUARDISE DU PARFAIT CRIMINEL ".

L'art du crime parfait consiste d'abord pour le parfait criminel à effacer minutieusement les indices de son propre forfait afin de s'octroyer

une immunité à vie.Ce n'est qu'ensuite qu'il songe à se couvrir du manteau de la vertu pour faire juger et si possible condamner sa victime

en la marquant du sceau infamant de la culpabilité à vie. Dans cette perspective, il est loisible de considérer le crime commis en Avril 2011

18 juin 2014

Bolivie-Santa Cruz, du 12 au 15 juin 2014 : Sommet du G-77 + Chine sous le thème « Nouvel ordre mondial pour bien vivre »

Le Groupe des 77 créé initialement le 15 juin 1964 afin de promouvoir la coopération Sud-Sud comptait 77 États membres, actuellement regroupe 134 pays en voie de développement, la plus grande organisation interétatique agissant dans le cadre de l'Onu et ses organismes.

« Un nouvel ordre mondial plus juste fondé sur une vision différente du développement selon laquelle les pays du Sud maîtriseraient leurs ressources naturelles et vivraient en harmonie avec la planète.
Une politique de développement durable qui rechercherait non seulement un équilibre entre les êtres humains mais également entre l'homme et la nature.
La réduction de l’extrême pauvreté et de la mortalité infantile.
L’accès à l’éducation.
L’égalité des sexes. »

Le président bolivien Evo Morales a établi une feuille de route en neuf points « pour une fraternité planétaire des peuples », recommandant la disparition du Conseil de Sécurité de l’ONU, la création d’une Banque du Sud se substituant au FMI, l’intégration de la Russie au G77 + Chine, la création d’une alliance scientifique, technologique et culturelle.

17 juin 2014

Les vrais terroristes ne sont pas à l’horizon qu’on nous pointe mais les doigts qui les pointent. Aux victimes à trouver la parade

Des décennies après avoir déclaré possédant un bouclier antimissiles et gaspillé 40 Milliards US, ces missiles US ne valent rien nous dit-on, même dans un scénario classique d’un exercice, possédant toutes les données de la simulation.
À quoi serviraient donc ces engins contre toute réelle attaque d'ogives ennemis dont ils ignorent tous des capacités ? – Rien.
Les génies des années 40 et 50, tous ces prisonniers d’après-guerre, ayant contribué à la suprématie technologique de l’Amérique ne sont plus, force est de constater, vu le vide et le surplace de l’Amérique depuis, ces scientifiques ont forcément dû collaborer au minima, sous la contrainte et le chantage judiciaire.

Le capitalisme sauvage, machine à esclaves pour la production de masse dans les usines, s’est chargé du reste. Rabaissant le niveau du savoir, favorisant une toute petite élite et endettant lourdement les populations américaines dont les étudiants pour un montant excédant le millier de Milliard. L'endettement moyen des jeunes diplômés débarquant sur le marché du travail aux États-Unis est de 35 000 $. Certains le sont à hauteur de 200 000 $US. Un cercle vicieux ou le citoyen ne vie et tel un forçat toute sa vie ne travaille que pour enrichir un peu plus la même élite avec le remboursement des ses études, le payement de sa maison, sa voiture, ses biens mobiliers, ses cartes de crédits et tout autre produit de consommation.

La dette fédérale elle, est proche des 17 000 Milliards US, enfin celle connue, la partie cachée de l’Iceberg donne froid dans le dos. Juste entre 2008 et 2010 plus de 16 000 Milliards US dépensés pour secourir les banques « Too Big To Fail ». Les Milliards dépensés dans les guerres sans fins depuis 1945, le financement de l’armée, les 800 bases étrangères et l’espionnage tiennent en général du secret d'État. Les couts de la seule guerre en Irak sont évalués par les experts, entre 3 et 4000 Milliards US.
Ajoutez-y celle des 50 États américains, ceux des collectivités locales, du privée ; des ménages, des études, des banques etc…UNE VRAIE BOMBE À RETARDEMENT QUI RISQUE D’ÉBRANLER TOUTE LA PLANÈTE.
Et l’Europe n’est pas en reste.

Djibouti : Si on se fie à ce document et jusqu'à preuve du contraire, Maître Zakaria Abdillahi n’est ni le Président ni même membre du comité exécutif de la LDDH (La Ligue Djiboutienne des Droits Humains)

Le jeune Said Houssein Robleh qui souscrivait être le Secrétaire Général de la LDDH est confirmé dans ses fonctions, tandis que Mtre Zakaria Abdillahi se révèle être, un imposteur talentueux comme d’autres du même Club, allant jusqu’à ce présenter sur Africa1 tel le Président de la LDDH. Publiant sur Facebook une note d’information ou il prétend être préoccupé par l’utilisation frauduleuse de son nom et titre, accusant l’auteur d’un document à savoir Said Houssein Robleh, étiqueté au passage d’« ALLIÉ OBJECTIF DU RÉGIME » de vouloir cloner et détruire l’organisation (Voir Doc), alors que le juriste Zakaria Abdillahi, censé être un fin connaisseur de la lettre du droit, n’est ni le Président ni même membre du comité exécutif de la LDDH.

Mes 3 questions à mon compatriote et juriste, Mtre Zakaria Abdillahi :
-- Si vos soucis d’intégrités et respects envers cette organisation, exprimés dans votre note du 4 Juin 2014, étaient sincères, rédigerez-vous la même note, cette fois présentant publiquement vos excuses au Secrétaire Général de la LDDH ?

-- Croyez-moi, je tiens aussi à la viabilité de cette organisation de défense des droits humains et ne souhaiterai d’aucune façon qu’elle soit marginalisée, clonée ou détruite par qui que ça soit, maintenant que vous vous y êtes commis, j’emploierai la même expression que celle du Président de votre Club : Pour qui roulez-vous ? Et allez-vous présenter en toute transparence, vos excuses au véritable Président de la LDDH ?

13 juin 2014

Djibouti : Devons-nous présumer être, face à un « Coup d’État Soft » contournant l’ordre constitutionnel, et agir en conséquence ?

Gen Zakaria accueillant le Min de la Déf Turque,
le Min de la Déf Djib semble présenter le nouveau dirigeant

Monsieur le Général Zakaria, la conscience ou la discipline de l’homme de votre rang, s’accommodera-t-elle encore, de cet apparent vide politique ou la Constitution de la République, les normes en matière de pratiques diplomatiques comme la sauvegarde de l’image du pays semblent apparemment court-circuitées ?

Toute image en politique, reflète l’organisation hiérarchique et des normes diplomatiques établies, ce qu’elle expose ici n’est ni beau ni digne. Vous n’étiez ni présent, ni du voyage à Paris et Washington lors de la signature de ces accords militaires engageant toute la Nation, comment se fait-il que ça soit vous cette fois qui meniez le bal Turque ?

Ce silence laissant courir les rumeurs depuis 1 mois sur l’absence du dirigeant Président, Chef de Gouvernement, Chef des armées, la liste est longue veuillez m'excuser d’abréger ; j’ai bien peur que ces manigances et violations en douceur de nos textes nous éloignent encore un peu plus chaque jour des normes, du droit et la stabilité de ce pays.

Bourhan Bey (Abou amin)

12 juin 2014

Djibouti : Retour sur la situation des employés djiboutiens au Camp Lemonnier (Plus grande base militaire américaine d'Afrique)

Un an déjà depuis la grève de l’été 2013 et les revendications de quelques 100ènes de nos compatriotes sur les milliers d’étrangers employés illégalement sur cette base avec la complicité criminelle de certains affidés du régime.

Nos compatriotes victimes entre autres de zèle et d’abus sans aucun égard aux conventions et conditions de travail, furent en désespoir de cause forcés durant tout l’été 2013 à une longue grève, manifestant matin-midi-soir sous des températures frôlant les 45 degrés Celsius afin d’arrêter la machine infernale des réductions drastiques de postes et des maigres salaires.

La lutte fut longue et rude, une fois n’est pas coutume, reçurent comme même en soutien la visite d’IOG sur le piquet de grève alors que la dite opposition folklorique du Club des minimalistes USN fût aux abonnés absents. Fallait surtout pas, ambitions obliges, que les américains voient ces politicards aux côtés du droit bafoué de ses employés.
Non sans peine, ces Braves obtinrent gain de cause, un retour au travail initié avec des promesses de revoir et négocier toutes leurs revendications.

Qu’en est-il advenu à ce jour ?
À l’horizon d’une rencontre entre les parties, la semaine prochaine selon nos sources, nous essayerons d’ici le weekend de documenter ce brulant dossier, ou depuis un moment déjà - esclavage civilisateur oblige - nos compatriotes et leurs familles n’ont, pour défaut de payement des cotisations OPS par l’agence EAD, aucun accès aux soins médicaux de base dans les SMI.

11 juin 2014

L’ŒUVRE MACABRE DE LA GUERRE DES CONSOLES, DÉTENTEUR DU PRIX NOBEL DE LA PAIX

Djibouti : Ces conteneurs de la mort du nouveau Mexique (USA) ou l’Amérique occupe ses accrocs aux jeux vidéo de guerres, certains, relocalisés sur la base du Camp Lemonnier de Djibouti broient la chair fraiche en direct de la Somalie au Yémen et sans doute ailleurs pour un petit 38 à 63 Millions US par année.

Activision Blizzard fit avec la vente de son jeu « Black Ops II » plus de 500 millions de dollars en 24heures et franchit le milliard de dollars en quinze jours.
Si au lieu de détruire l’éducation aux mains d’incompétents, nous promouvions sur nos bancs la programmation et le développement de logiciels adaptés aux marchés africains en attendant de conquérir le monde, ces revenus  rapporteraient bien plus que ce pourboire faisant de nous tous, les complices d’assassinats politiques ciblés chez nos voisins, des crimes portant préjudices à court-moyen terme, à la sécurité de Djibouti et ses populations.

Ceux qui me trouveraient un peu trop alarmiste pour leur petit calcul de politicards, rassurés que ces livraisons de la mort ne sont destinées qu’aux autres, déchanteront face aux confessions sur le Web de ces pousseurs de boutons. Les assassinats politiques est la mission principale de ces drones, la lutte au terrorisme tantôt ami, tantôt ennemi, en est la couverture. Les précédents sont légions en la matière, les suivre est une vertu et un directeur de la CIA avait prévenu : « Nous gagnerons la guerre contre le « terrorisme », grâce à des forces dont vous ne savez rien, des opérations dont vous ne verrez rien et des méthodes que vous préféreriez sans doute ne pas connaître », promesses tenues.

Un accident arrive tellement vite que le dernier, un obus d’une intelligence remarquable, dont l’enquête comme toutes les autres à Djibouti ne nous révèlera jamais les exploits, se charge tout seul dans le canon de la frégate espagnole, active sa mise à feu « à distance SVP » et choisit d'atterrir en mer !!!

L'incident du Tonkin Russe pointe son nez en Mer noire

Les pressions politico-militaires de Washington sur la Russie semblent nous conduire épisodiquement vers une répétition du « False Flag » du Tonkin le 4 Août 1964 ou les américains rapportaient que deux de leurs destroyers le USS Maddox et USS Turner Joy auraient été attaqués par des torpilleurs nord-vietnamiens déclenchant une guerre ouverte contre le Nord Vietnam. Le 7 août 1964 le Congrès américain vote la résolution du Tonkin, permettant au président Johnson d'engager massivement l'US Army dans le conflit vietnamien. Des documents confidentiels du Pentagone ont révélé des décennies plus tard que le texte de la Résolution a été rédigé par l'administration Johnson plusieurs mois avant que lesdits « incidents » n'aient lieu.

Sans compter les milliards gaspillés, la dévastation de ce pays et les morts d'après-guerre dus au mines, les munitions non explosées, et les effets sur la santé du chimique et biologique déversés sur le Nord, au terme de la guerre entre la République démocratique du Vietnam (Nord) et le Sud Vietnam (Viet Cong) de 1955 à 1975, cette petite folie guerrière Yankees a couté en vie humaine : 1 200 000 morts au Nord - 650 000 morts au Sud et 60 000 morts US. Avec le nucléaire de nos jours, il suffit de nous rappeler de Hiroshima et Nagasaki.

À l'époque les États-Unis nièrent leur rôle avec les forces sud vietnamiennes tandis qu'aujourd'hui - internet oblige - devant l'évidence, avouent leur implication dans la crise ukrainienne, reprennent les mêmes cartes de la tromperie universelle et stratégie funeste en allant provoquer la Russie sur ses frontières. Au pire moment d'une crise ukrainienne qu'ils initièrent, les États-Unis ne trouvent nul autre espace sur Terre pour ces manœuvres militaires qu’aux portes de la Russie, entrainant dans leur sillage les satellites européens.

Un autre « False Flag » d’un avion abattu ou d’un navire US supposément coulé par les Russes et rebelote ; quelques 100ènes de Millions ou 2 à 3 Milliards de morts d’innocents pour remettre le compteur du capitalisme sauvage en faillite à zéro.

9 juin 2014

Djibouti : USN-UMP: Suicide Collectif ou Stratégie du Pourrissement ! - par Ambasa Ali

L'exercice auquel je me livre ici est périlleux parce qu'il touche au choix d’une nouvelle stratégie et méthode de lutte pour la démocratie à Djibouti. Le choix à faire, dans ce contexte inédit de renouvellement de la classe politique indispensable, est fondamental pour un changement et le développement de Djibouti.

Les 20 dernières années dans l’histoire de Djibouti démontrent qu’aucune solution adéquate et durable n’a pris sa source à l’extérieur des frontières nationales, même les multiples solutions proposées ont été pilotées par les Djiboutiens eux-mêmes.

La longue lutte pour l’avènement de la démocratie entamée par le Peuple et ses incroyables rebondissements, démontrent la complexité de la crise djiboutienne et laissent percevoir la gravité des conséquences qui pourraient en découler.

Quoiqu’il en soit, la marche pour l’avènement de la démocratie à Djibouti est irréversible. Elle peut être ralentie comme actuellement, mais elle continuera pour ce changement tant redouté qui devrait s’accompagner de nouvelles règles de gouvernance, avec en toile de fond, une profonde transformation de la classe politique.

Pour l’heure, le premier constat est l’embrigadement du peuple par les politiques djiboutiennes, toute tendance confondue. La triste réalité est que cette situation bien connue sous le regime UMP est entretenue par ceux qui se proclament être le chantre de la démocratie.

En toute honnêteté, il incombe à chaque citoyen de reconnaître la responsabilité tant de du régime que de la coalition de l'USN  dans l’échec du processus démocratique. Cet échec est donc collectif, et le nier, nous conduit à un suicide collectif.

Refuser d’être à l’écoute de la jeunesse entérine la thèse de la manipulation.
Le premier constat est que l’on se souviendra qu’au début des années 92, à l’époque où une partie de l’opposition naissante a amorcé son retour au bercail, en provenance de l’Europe, surtout de la France, les vaillantes populations djiboutiennes ont applaudi au risque d’en défier certains. Ceux-là se sont alors crus investis de la confiance du peuple pour conduire le pays sur les voies de la démocratie.
La jeunesse djiboutienne se mettra alors à disposition, taillable et corvéable à merci.
Certains y laisseront leur vie, au nom de la lutte pour la démocratie.

6 juin 2014

Djibouti : "" SAID HOUSSEIN ROBLEH, ALLIÉ OBJECTIF DU RÉGIME"", dixit Maître Zakaria Abdillahi.

Cet acharnement de tout bord sur ce jeune qui, hier encore partageait les coulisses du Club USN, pose question : Qu’est-ce qu’il sait qu’on ignore pour qu’on veuille détruite sa crédibilité ?

Quoiqu’il en soit, cette fois c’est Maitre Zakaria qui monte au créneau.
  • Ce jeune, n'est-il pas l’étudiant en faculté de médecine ; Oui,
  • Député suppléant de l'USN ; Oui,
  • Celui, trimbalé d'une tribune à l'autre pour mobiliser sa génération ; Oui,
  • Celui, ayant dernièrement fait de la prison pour ses prises de position en faveur du Club ; Oui,
  • Celui, vilipendé à sa sortie de prison par les sbires du porte-parole du Club, en violation de ses droits à la liberté d’expression, pour avoir osé dire tout haut ce que d’autres penses tout bas, Oui.
Pourquoi cette nouvelle offensive et non des moindres, ou un juriste de longue date et récent critique du régime en ce qui a trait à ces violations, traîne-t-il ce jeune dans la boue en public l’affligeant avec mépris de l’étiquette indigne d'"ALLIÉ OBJECTIF DU RÉGIME" ? – Je ne saurai le dire pour le moment mais j’y travaille.

Une chose est sure cher Maître, vous me voyez déçu, pour vous avoir prêté un tant soit peu une quelconque estime d'homme de loi et du droit.

Examinons maintenant l’intrigue sous l’angle des reproches qui lui sont fait ici.
Nous savons tous que ce jeune n’est en rien responsable de la lutte d’influence que traverse la direction de la LDDH depuis le décès du regretté J-P Abdi Noel en avril 2012, mais de là à piler un jeune pour régler les comptes avec celui qui conteste à Maître Zakaria, la légitimité à la direction, n’honore personne et encore moins la LDDH.
Le clonage et l’usurpation étant à la mode sur nos rives, nous demandons que la lumière soit faite sur ce conflit des plus dommageables à la crédibilité de l’organisation.

Toutefois, le dernier rapport de 2012 de la LDDH que j'ai eu à lire était signé ainsi :
Le Président de la LDDH Omar Ali Ewado

3 juin 2014

Afrique : Comment briser les chaines de la domination étrangère, par Paul Daniel Bekima (2ème partie)

2e partie : les mécanismes de maintien de l’ordre établi, et du désordre organisé de l’Afrique: qui sont les vrais responsables ?

Qui contrôle vraiment l'Afrique ?

Afin de bien évaluer les responsabilités des principaux acteurs qui maintiennent l’Afrique dans la situation peu enviable où elle se retrouve aujourd’hui, il est essentiel dans un premier temps de mettre sur pied un organigramme fiable de la structure mondiale de prédation.

Mais comme l’objectif final naturel de tout africain est de proposer des voies de sortie de notre état actuel, il est aussi nécessaire dans un deuxième temps de bien comprendre le système, ce qui bien sûr sous-entend les mécanismes qui nous maintiennent enchainés. En effet, il est difficile de déconstruire de façon efficace et définitive un édifice dont on ne maitrise pas  à la fois l’architecture et la mise en œuvre.

Nous prendrons pour modèle, un organigramme avec 4 niveaux de responsabilités.

1. Les commanditaires et sponsors c’est -à -dire ceux qui financent les opérations.
2. Les architectes (c'est-à-dire ceux qui conçoivent, planifient, et recrutent les exécutants), les facilitateurs et les complices.
3. Les exécutants et les organisateurs sur place.
4. Les hommes de mains et les bras armés.

En tenant compte du fait que les personnes des chefs d’Etat africains monopolisent le débat politique sur notre continent, nous allons modifier l’ordre de développement de notre analyse et commencer d’entrer de jeu par le niveau 3. En effet, c’est à ce niveau (des exécutants) que se retrouve la quasi-totalité de nos présidents, et même la majorité des leaders politiques de ce monde.

Les dirigeants Africains: (des exécutants de moindre envergure)

C’est la catégorie la plus exposée et visible car c’est elle qui traite directement avec les masses africaines; il est dont  logique que la plupart des critiques leur soit destinées. Il faut reconnaitre qu’ils le méritent dans une très grande mesure, et à plus d’un titre. La majorité d’entres-eux est arrivée au pouvoir par usurpation et souvent au prix de l’élimination des vrais nationalistes (une élimination programmée au niveau 2 de l’organigramme, les architectes). Ce qui justifie d’une certaine façon qu’il leurs soit reproché un manque de patriotisme, de vision, de force de caractère, et d’engouement au travail.

Afrique : Comment briser les chaines de la domination étrangère, par Paul Daniel Bekima

Lorsqu’on veut connaitre le(s) détenteur(s) du véritable pouvoir dans un pays, il est une question préliminaire qu’il faudrait se poser :

Qui contrôle l’argent (entendu comme entité qui comprend  entre autres composantes : la monnaie, et le système bancaire)?

A cette question, l’on devrait ajouter les deux autres :

1. Qui contrôle le sous-sol et le sol?

2. Qui contrôle l’information?

Dans tous les pays africains, et par extension dans tout le monde noir, la réponse à ces questions est simple: les occidentaux pour l’essentiel, bien que, depuis quelques temps, les asiatiques essayent de se positionner avec force.

Lorsque tout un continent, l’Afrique, qui regorge de la majorité des ressources naturelles énergétiques et minières de la planète, et qui par conséquent est le seul continent à pouvoir  être indépendant de tous les autres, se retrouve paradoxalement dans la situation où ses habitants sont les gens les plus pauvres et les plus dépendants de la planète, il est dans l’ordre du normal de se poser des questions, et ce faisant, il est essentiel:

1. de réexaminer le processus par lequel nous sommes tombés dans ce piège
2. de comprendre les mécanismes qui nous maintiennent dans ce prédicat
3. de proposer des solutions pratiques pour la mise en place de véritables structures et politiques de libération qui seules nous ferons sortir de cette situation.

La question fondamentale qui soutend toutes celles-ci-dessus mentionnées est de savoir qui contrôle la pensée des africains car du contrôle de cette pensée procède toutes les autres formes d’asservissement ; en effet, celui qui contrôle le processus de réflexion, contrôle l’homme.

We All Must Become Zapatistas, By Chris Hedges

Zapatistas’ Subcomandante Marcos
on horseback in the resort city of
Playa del Carmen, Mexico, in 2006
Subcomandante Marcos, the spokesman for the Zapatistas (Ejército Zapatista de Liberación Nacional, or EZLN), has announced that his rebel persona no longer exists. He had gone from being a “spokesman to a distraction,” he said last week. His persona, he said, fed an easy and cheap media narrative. It turned a social revolution into a cartoon for the mass media. It allowed the commercial press and the outside world to ignore traditional community leaders and indigenous commanders and wrap a movement around a fictitious personality. His persona, he said, trivialized a movement. And so this persona is no more.

“The entire system, but above all its media, plays the game of creating celebrities who it later destroys if they don’t yield to its designs,” Marcos declared.

The Zapatistas form the most important resistance movement of the last two decades. They are a visible counterweight to the despoiling and rape of the planet and the subjugation of the poor by global capitalism. And they have repeatedly reinvented themselves—as Marcos has now done—to survive. The Zapatistas gave global resistance movements a new language, drawn in part from the indigenous communal Mayan culture, and a new paradigm for action. They understood that corporate capitalism had launched a war against us. They showed us how to fight back. The Zapatistas began by using violence, but they soon abandoned it for the slow, laborious work of building 32 autonomous, self-governing municipalities. Local representatives from Juntas de Buen Gobierno, or Councils of Good Government, which is not recognized by the Mexican government, preside over these independent Zapatista communities. The councils oversee community programs that distribute food, set up clinics and schools and collect taxes. Resources are for those who live in the communities, not for the corporations that come to exploit them. And in this the Zapatistas allow us to see the future, at least a future where we have a chance of surviving.

“This figure was created, and now its creators, the Zapatistas, are destroying it,” the EZLN spokesman said to roughly 1,000 people who turned out for a May 24 memorial in the village of La Realidad for a Zapatista teacher, José Luis Solís López, who was murdered by Mexican paramilitary members. “And we saw that now, the full-size puppet outfit, the character, the hologram, was no longer necessary. Time and time again we planned this, and time and time again we waited for the right moment—the right calendar and geography to show what we really are to those who truly are.”

Djibouti : IOG visite ses exilés, 2 Manifestations pour lui rendre la politesse

Gouverner ; l'art de prévoir le futur d'une Nation, ne rien prévoir c'est courir à sa perte.

« ABDOURAHMANE BACHIR ; JE L'AI FABRIQUÉ DE TOUTES PIÈCES EN CROYANT BIEN FAIRE. », Dixit IOG

« SI DIEU A ACCEPTÉ QU’IL Y AIT LE DIABLE, POURQUOI REFUSERAIS-JE QU’IL Y AIT UNE OPPOSITION » - IOG

Djibouti : L’opposition politique doit prendre acte de sa propre léthargie

DJIBOUTI : EN 37ANS, ONT RIEN NOTÉ DE GROSSIER - AMNÉSIE TOTALE - INVITENT UN 3ème ET REBELOTE

DJIBOUTI : LE RÉGIME DU PRÉFET IOG, TOURNERA ENCORE SON REGARD POUR SAUVER SA TÊTE

DJIBOUTI : UNE PAIX SANS JUSTICE EST ILLUSION, UN PARDON SANS JUSTICE EST UNE BOMBE À RETARDEMENT

DJIB : UN CIRQUE MÉDIA SANS QUE LE PROXY NE DISE MOT, SUR CE QUE LUI ET SES PARRAINS NOUS RÉSERVENT

DJIBOUTI : L'ESCROQUERIE DU MACHIN USN !!!

M. GUELLEH, ÇA COUTERAIT QUOI DE FINANCER L’AVENIR DE CES FUTURS CHAMPIONS DE LA RÉPUBLIQUE ?

DJIBOUTI : L'USN ET SES OPPORTUNISTES, EXIGENT DE NOUS, QU’ON ENTRETIENNE LA MÊME VOYOUCRATIE

PREMIÈRE D'UNE NOUVELLE CHRONIQUE PAR L'IMAGE, INTITULÉE : "" C'EST QUOI ÇA GUELLEH ??? ""

ASSEMBLÉE DE PAILLE FRUIT DE L’INSUFFISANCE & COMITÉS FANTÔMES, LE MACHIN USN SE VEUT DISTRAIRE

LE PRIDE N’EST PLUS SEUL À POSER DES QUESTIONS & REMETTRE EN CAUSE LA LÉGITIMITÉ DE LA DIRECTION USN

Ahmed Youssouf à l’USN -- JOUE LE MÊME RÔLE QUE -- Hassan Omar GAQANLO à l’UMP

SIGNIFIONS EXPRESSÉMENT LE REJET DE L’AGENDA USN, CONCOCTÉ ENTRE LES MÊMES MANIPULATEURS DE L'UAD

DJIBOUTI : UMP & USN, 2 FACES DE LA MÊME MÉDAILLE, AVEC LES MÊMES VICES, ÉGOS ET AMBITIONS

DJIBOUTI : VICTIMISATION, REFUS DE L’ENGAGEMENT ET UNE EXPRESSION SECTAIRE MANIPULATRICE DES JEUNES

UN PATRIOTE INVESTIT DANS SON PEUPLE, NON HORS FRONTIÈRES, IL EST TEMPS QU'ON EN EST UN, À DJIBOUTI

DJIBOUTI : NOUS CONVIONS CET ÉTÉ 2013, TOUTE L'OPPOSITION À DES ÉTATS GÉNÉRAUX

DJIBOUTI : CITOYENS POUR LE CONSENSUS NATIONAL (CCCN) POUR UN GOUVERNEMENT DE TRANSITION RESPONSABLE

Une Source Infinie de Vidéos sur La Corne.

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Djibouti : Le Déni de Justice et la Lutte contre un autre Pirate de la FrancAfrique

MALI : STRATÉGIE INNOVÉE : PROBLÈME - RÉACTION - SOLUTION - PAYEMENT DES COÛTS

LA RECOLONISATION DU 21ème SIÈCLE - FRANCE VS CÔTE D'IVOIRE

LA RECOLONISATION DU 21ème SIÈCLE - FRANCE-OTAN VS LIBYE

Actualités et Évènements dans le Monde

Please Sign Today To Support Those for a Democracy in Djibouti - Africa

Amender une Constitution afin de rester au Pouvoir et Refuser l’Alternance c’est de la Tyrannie..
OBAMA : "Make no mistake: History is on the side of these brave Africans, not with those who use coups or change constitutions to stay in power.......... Africa doesn’t need strongmen, it needs strong institutions."
<= THE PRICE OF SILENCE & INACTION IS MUCH TOO HIGH =>
FaceBook Petition for the benefit of Amnesty International USA, if You Wish to Join Protect The Human

""Il y a un temps pour RÉFLÉCHIR, un temps pour SENSIBILISER, un temps pour ÉPILOGUER et un temps pour AGIR contre le RPP : RASSEMBLEMENT DES PILLARDS DU PEUPLE.""
Téléchargez sur SkyDrive le CONTRAT JURIDIQUE ET MORAL avec le peuple de DE DJIBOUTI, afin de rassurer la population sur les INITIATIVES qui seront mises de l'avant AU DÉPART D'IOG : FEUILLE DE ROUTE (PDF)

UNE OPPOSITION RESPONSABLE ET CRÉDIBLE.

Le parti PRIDE appelle l’opposition à assumer pleinement son rôle. Lançons l’organisation d’un Congrès qui unira nos efforts, nous donnera la crédibilité nécessaire et l’appui de la communauté internationale pour une transition exigeant non seulement le respect de la constitution mais aussi la reforme du scrutin électoral et les dispositions préalables pour en assurer la transparence avant les prochaines élections de 2011.


Le peuple veut voir une opposition responsable autour d’une table ronde ou chaque parti sera représenté par 5 membres de leur direction et d’observateurs Djiboutiens.


Chaque parti tout en gardant ses affiliations, contribuera à édifier un document fort, engageant et prometteur, ralliant la population Djiboutienne toute entière dans sa diversité, contre le ballon vide d’IOG, à la mode Ukrainienne. Le document final signé par les parties, sera soumit aux pays médiateurs choisis au Congrès et aux institutions internationales.


DE LA SAGESSE, UNE VISION ET DU COURAGE, EST-CE TROP DEMANDER?


Le rôle de ces observateurs Djiboutiens comme la préparation du congrès, sera confié à une agence spécialisée dans l’exercice de cette fonction et un comité ou une entité neutre assumera la coordination et la préparation des documents du Congrès, entre cette agence et les parties ayants exprimées leur volonté d’y participer.


Dans un souci de transparence et de tenir le peuple informé, à défaut d’être diffusés en direct sur l’internet, tous les travaux de ce congrès doivent être vidéo-enregistrés.


Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie : PLAN D’ACTION POUR UN FRONT COMMUN.

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CONSTITUTION DE LA RÉPUBLIQUE DE DJIBOUTI : EN FRANÇAIS ENGLISH

Présenté à toutes les Ambassades et Consulats de France dans le monde -- Memorandum du 28 Sept 2010.pdf.