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BIENTÔT, DJIBOUTI AUSSI DIRA "NON" AU NÉPOTISME DE L’ADMINISTRATION INDIRECTE DU PRÊTE-NOM.
"LA LIBERTÉ N'EST JAMAIS ACCORDÉE DE BON GRÉ PAR L’OPPRESSEUR ; ELLE DOIT ÊTRE EXIGÉE PAR L'OPPRIMÉ." -- MLK
DJIBOUTI : REFORMONS L'OPPOSITION AFIN DE POUVOIR UN JOUR REFORMER L'ÉTAT
NOUS CONVIONS CET ÉTÉ 2014, TOUTE L'OPPOSITION À DES ÉTATS GÉNÉRAUX

31 juillet 2013

DJIBOUTI : CASSAN PILOTE ; DUQUR LIMOH LEK IY FAXA

HASSAN PILOTE NOUS DIT : "J'AI UN PROCHE CON À VENDRE, EN VOULEZ-VOUS ?"
- UN ESSAI POÉTIQUE AFAR DÉDIÉ À UN DE SES PROCHES ET TOUS LES SIMPLES D'ESPRITS DE LA CHOSE POLITIQUE, AU SEIN DE SA COMMUNAUTÉ - (Bourhan Bey (Abou Amin))

Djibouti : Pour un poisson d'avril je n'aurai pas fait mieux que le machin USN !!!

Les quelques sceptiques finiront bien par découvrir ce que le PRIDE n'a de cesse dénoncé depuis le 25 fév 2013.
Aux dernières législatives, le peuple a voté massivement pour le réel changement, loin d’être un plébiscite aux guignols USN, singeant IOG depuis des décennies.

Voici une autre preuve, les djiboutiens(nes) ne se sont pas trompés en boycottant l’amateurisme de ceux qui ont pris en otage l’USN, depuis cette date...

-- En quoi ce népotisme sous forme de liste d'épicerie exhausse-t-il les attentes du peuple ? (Voir lien)

-- Ces conditions unilatérales concoctés par 5 individus sans aucune consultation entre toute l’opposition et la relève ; reflètent-ils les volontés exprimées dans le vote du 22 fév 2013 ?

-- Et enfin, le cirque revendiquant la victoire électorale, n’était-il qu’un outil de chantage pour négocier les postes que ces individus convoitaient ?

-- Lorsqu'ils prétendent qu'ils libèreront les prisonniers une fois ministre de la justice, c'est un mépris à l'intelligence des djiboutiens, soit une volonté délibérée de semer le chaos.

Pourquoi me diront les novices de la politique : tout simplement, sous un régime présidentiel ou tous les pouvoirs sont monopolisés par un seul homme, IOG restera encore et toujours le chef du gouvernement, aucun ministre n'a ou n'aura l'autorité d'aller contre ses décisions. Ces parasites de l'USN le savent mieux que quiconque et pourtant, ils osent l'insulte !!!

Le réveil des députés USN à cette dure réalité, souillera toute crédibilité de l’opposition politique à Djibouti pour un autre 10ans.

Ces électrons libres, de l’UAD à l’USN, n’ont toujours été animés que par leurs propres ambitions, d’où l’immobilisme de l’opposition qu’ils prennent soins de saboter, ne profite depuis 20 ans qu'au régime IOG. Ils vous diront qu'ils souhaitent le changement : être calife à la place du calife, et une substitution tribale, clanique, familiale et de nouveaux naturalisés à la direction.

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par le PRIDE : parti républicain pour l’innovation démocratique et l’écologie (Djibouti)
– le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)

29 juillet 2013

Djibouti : DU RPP à l'UMP et de l'UAD à l'USN, la même constante entre régime et politicards de l'opposition : Les ambitions d'individus, jamais d'idées ou vision politique collective partagée

Le PRIDE appelle à une Solidarité Nationale avec les grévistes du Camp Lemonnier.

Considering the recurrent dangerous collusion between KBR - Halliburton and the U.S. government, the solution to the ongoing crisis for over six weeks now at camp Lemonnier in Djibouti, is likely to be a walkover. Without political legitimacy or popular support, under backstage threat, the regime will soon cave and Djiboutian workers will once again pay for the ruling clique lack of political vision.

Si on considère la dangereuse complicité récurrente entre KBR - Halliburton et le gouvernement américain, la solution à la crise au camp Lemonnier de Djibouti qui perdure depuis plus de 6 semaines, est plus que probable d'être une promenade de santé. Le régime sans légitimité politique ou soutien populaire, sous les menaces de coulisses en cours, pliera aux chantages, et les travailleurs djiboutiens payeront encore une fois pour le manque de vision et stratégie politique de la clique au pouvoir.

De l’autre, on comprendra de ce malheureux prochain épilogue, un cas type du maintien au pouvoir sur le continent, de régimes totalitaires. Au-delà du mensonge médiatique, la prédation ne voit pas d’un bon œil ni dans ses priorités ou intérêts, l’émergence de sociétés démocratiques ou la séparation des pouvoirs serait un fait acquis et par conséquent un obstacle aux raccourcis du dirigeant État ; des marionnettes sur écoute 24H/24, tenues en laisse par les vices et dérives politiques, aisément substituables le moment venu par un sosie.
N’ont jamais soutenu une quelconque démocratie en Afrique, si ce n'est les renverser, assassiner les vrais élus du peuple ou fomenter des rébellions, fausser le jeu des rapports de forces. Aucun dialogue ou changement politique à Djibouti ne doit être parrainé, si parrainage est nécessaire, par autre que les institutions de l'UA, habilités à cette tâche. Un petit texte du Dr Jean-Paul Pougala qui en dit long sur le sujet.

Allez expliquer ces évidences et exigences de la realpolitik aux agités USN, dont le tic compulsif force à applaudir toute ingérence des pyromanes ; en extase devant le cirque de quelques députés lobbyistes de l’UE. À peine 6 mois, ces amnésiques par ambition, ont déjà oublié que cette institution a été la 1ère à certifier publiquement la victoire du régime aux dernières législatives de février, avant même l’annonce des faux chiffres du ministre de l’intérieur, comme toutes celles de 1999 à ce jour, qu'on sait tous, nous les djiboutiens(nes), qu’IOG n’en a jamais gagné une que par la fraude.

27 juillet 2013

LES PLUS GROS MENSONGES SUR LA COOPERATION ENTRE LA CHINE ET L’AFRIQUE de Jean-Paul Pougala

(Abou Amin : Un peu long comme texte, mais combien instructif. À lire sans façons)
Leçon de Géostratégie Africaine n° 58

L'affiche publicitaire en question
En ce mois de Juillet 2013, dans les principales villes de Grande Bretagne, il y a une curieuse campagne menée à travers les affiches, des posters géants dans les aéroports, les stations de Metro, les carrefours des grandes villes britanniques. C’est une campagne payée par l’un des principaux organes d’information, le magazine britannique The Economist. Le titre de la publicité c’est : BOOMING CHINESE INVESTMENT IN AFRICA IS BAD FOR AFRICANS (Le boom des investissements chinois en Afrique est très mauvais pour les africains). L’affiche nous explique pourquoi les investissements chinois en Afrique sont si terrifiants pour les Africains en 3 raisons : 1- Les Chinois soutiennent des gouvernements dictatoriaux en Afrique, 2- Les usines chinoises d’habillement en Afrique du Sud payent moins que le salaire minimum autorisé et 3- Les éléphants sont en train de disparaitre en Afrique de l’est à cause des Chinois. Et à la fin, le public britannique est interrogé sur le parti qu’ils vont prendre. Ce que le très célèbre magazine britannique a oublié sur ses affiches, c’est un 4- La Chine est responsable des pluies diluviennes et des moustiques en Afrique tropicale. Et même un 5- La Chine est responsable du manque d’eau dans le désert du Sahara et du Kalahari.

Cette publicité est la preuve même que dans la tête de certains Européens, les Africains sont encore des bébés à qui il faut encore enseigner à marcher. Comment ne pas leur donner raison s’il existe un seul Africain qui participe à ce lynchage d’un nouveau genre contre la Chine en Afrique sans se poser la question de savoir pourquoi c’est notre prédateur traditionnel qui souffre tant de la présence de la Chine en Afrique ?

Beaucoup d’Africains résidant en Occident sont à tel point aplatis sur les idées et opinions de leurs maîtres blancs qu’ils ne construisent leur opinion de la Chine que sur des connaissances forgées à travers la propagande des medias-mensonge de l'occident. Le plus simple pour eux serait pourtant qu’ils fassent un petit voyage et un séjour d’au moins 6 mois en Chine. Cela leur permettrait, non pas pour connaître la Chine, mais pour comprendre ce qu'est réellement l'occident : du bluff, du simple bluff qu'on entretient au quotidien par des fables dans lesquelles ils seraient toujours les guides du monde et la Chine ne serait qu'un feu de paille.

Lorsqu’ils séjourneront en Chine, ils comprendront d’eux-mêmes pourquoi l'Occident est fini. Et que tout le blabla d’Obama sur le chômage des jeunes, le bla-bla de l'Union européenne sur les dettes publiques de la zone euro à mutualiser, n'est qu'un vieux disque rayé qui récite des mots qui n'ont aucun rapport avec la dureté d'un monde qu'ils ne maîtrisent pas et qu'ils croient interpréter toujours avec l'arrogance des patrons d'hier.
Voici un florilège des mensonges sur la Coopération entre la Chine et l’Afrique, savamment entretenus par les médias occidentaux :

21 juillet 2013

Et si Mandela avait fait le mort, pour ne pas rencontrer Obama ? de Jean-Paul Pougala

Leçon de Géostratégie Africaine n° 57

Hier 18/07/2013, le jour de son 95ème anniversaire, comme par miracle, Nelson Mandela a ressuscité du long coma dans lequel les circonstances et les médias l’avaient trempé. Et si tout ce cirque n’avait été orchestré que pour éviter de seconder l’hypocrisie du président américain qui est devenu l’homme dont l’Afrique a le plus peur aujourd’hui ? Ce qu’on sait de certain est que Mandela ne voulait pas serrer la main d’Obama. Mais pourquoi ?

Que s’est-il passé entre le moment où le sénateur Obama posait triomphalement à coté de Nelson Mandela ? Entre temps, Obama est devenu président des Etats-Unis. Et le fils noir d’Afrique est devenu l’un des pires prédateurs du continent africain. De la Côte d’Ivoire à la division du Soudan en passant par la destruction de la nation libyenne pour la transformer en foyer de djihadistes. Durant son premier voyage comme chef d’Etat en Afrique du Sud, Obama n’a pas pu rencontrer l’ex président Nelson Mandela qui a tout simplement fait le mort sur son lit d’hôpital pour ne pas serrer la main de celui qu’il appelle : « l’assassin de mon ami et frère Mouammar Kadhafi », ce dernier qui avait tant fait pour aider ceux des combattants de l’ANC qui avaient lutté pendant ses années de détention. L’occident célèbre Mandela pour ses 27 ans derrière les barreaux, mais ils oublient que durant ce temps, il y avait des gens dehors qui combattaient et mourraient sous les balles livrés par eux. Des Martyrs que l’Occident a délibérément choisi de faire oublier en sur-médiatisant les 27 ans de prisons de Mandela, pour mieux occulter le sacrifice extrême de Steve Biko et ses compagnons, qui ont donné leur vie pour qu’il y ait la liberté en Afrique du Sud au moment où presque toutes les administrations Européennes et des Etats-Unis d’Amérique finançaient et aidaient les ennemis de Mandela qui le tenaient en prison. Comme une femme, la représentante à Paris de l’ANC, Dulcie Evonne September, 53 ans, assassinée avec 5 balles dans la tête au bas des escaliers du bureau de l’ANC à Paris. Elle enquêtait pour trouver les preuves du soutien militaire de la France au régime raciste d’Afrique du Sud. Aujourd’hui, chaque star de Hollywood est à la page s’il peut exhiber sa photo avec Mandela. En dehors de la mode qui consiste à s’arrêter sur le temps passé par Mandela en prison, de visiter sa cellule, savent-ils ce qu’était l’apartheid ? Et pourquoi n’en parlent-ils jamais ? Pourquoi Obama n’a-t-il jamais cité un seul nom des vrais héros de la lutte contre l’apartheid ? L’Afrique doit-elle continuer de se livrer à ce cirque ou carrément faire le mort pour les éviter ?

OBAMA VEUT AIDER LES PAYS ARABES, MAIS EN REALITE IL INSTALLE L’ISLAMISME EN AFRIQUE DU NORD.

Le 18 Juillet 2013 la ville américaine de Detroit dans l’état du Michigan dépose le bilan, c’est-à-dire, fait faillite. C’est l’énième faillite d’une ville américaine et d’une longue liste. D’autres villes suivront parce qu’elles croulent sous les dettes et que les aventuriers dits politiciens issus du suffrage universel, n’arrivent pas à maîtriser, pour continuer à payer les pompiers, les policiers, les balayeurs de rue, le service d’alimentation en eau potable, les crèches, les cantines scolaires, les piscines municipales etc. Detroit n’est que l’arbre qui cache la forêt d’une gestion catastrophique de la chose publique dans presque tout l’occident. Apparemment, la « démocratie » et la « bonne gouvernance » qu’Obama a exigées des pays arabes en 2009 comme conditions pour être aidés financièrement par les Etats-Unis se font toujours attendre dans son propre pays. Et même le plus naïf des Arabes qui entend ces mots ne peut s’empêcher de se demander pourquoi Monsieur Obama n’applique pas ses conditions de « bonne gouvernance » dans son propre pays les USA et l’autre de « démocratie » à ses meilleurs amis dans la péninsule arabique qui sont toutes des monarchies et qui sont le symbole même de la négation des droits fondamentaux des êtres humains à vivre en liberté, comme le simple droit d’une fillette de monter sur une bicyclette ou d’une femme de conduire une voiture. Si Monsieur Obama prétend de façon générique aux pays arabes ce qu’il ne prétend pas de ses meilleurs amis comme le Qatar ou l’Arabie Saoudite, c’est là la preuve qu’il n’y croit pas lui-même.

19 juillet 2013

Djibouti : Quel gâchis !!! – Une promotion après l’autre, les talents de l’Afrique condamnés au chômage soit à l’immigration, par des dirigeants marionnettes

Une autre promotion d'universitaires, quelques centaines de nouveaux chômeurs, une énième génération sacrifiée sur l'autel de l'incompétence et le larbinisme ; formée pour satisfaire l'égo démesuré du maître de cérémonie.
L'euphorie des célébrations passée, face au vide sidéral de planification de stage d'insertion ou programme de placement des nouveaux diplômés, ces jeunes rejoindront les précédents sur la galère Misère du gaspillage de talents, soit viendront gonfler les chiffres de l'immigration vers l’Eldorado vieillissant et en faillite d'un autre pays dit "démocratique", alors que les populations de ces pays européens dit "développés" sont entrain de fuir l'austérité et le chômage endémique chez eux, vers l'Afrique. Déstabilise l’Afrique comme solution à leurs problèmes, puis viennent occuper l'espace laissé vacant par les africains, qu’on a pris soin de persuader que leur sort n’était voué qu’à la pauvreté, la mal gouvernance, les guerres et la mort. Un continent avec 34 habitants au km2, largement en deçà de la moyenne mondiale (47 hab./km2), 15 % de la population de la terre dont plus de 45 % a moins de 15 ans.
Ainsi l’Afrique et ses dirigeants illégitimes, les marionnettes boulets du continent, sacrifient cette jeunesse, moteur du futur et le développement durable.

S'il y a crime des plus vils, insondable dans sa conception et répugnant dans sa mise en œuvre, est celui non pas de torturer ou tuer physiquement l’être, mais de le ruiner mentalement, le rabaisser à l’état d’insignifiant, un zombie acculé aux seuls choix de la soumission et la résignation ou fuir sa patrie et les siens vers les pseudo-démocraties, qui n’ont plus besoin de salir leur image en nous enchainons aux galères d’esclaves, nos dirigeants s’en chargent et on se paye leur visa en les suppliant de nous accepter.

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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)

15 juillet 2013

Alep / Syrie : La stratégie de la faim quand toutes les autres ont échoué !

Alep vue de la citadelle
Traduction : Un jour… on racontera qu’au XXIème siècle, en plein Ramadan béni, Alep a vécu le siège monstrueux des corrompus de la politique qui ont fait de ses habitants une légende… une légende par le jeûne… absolu, total, global, et non confessionnel.
Signé par une habitante d’Alep de patronyme arménien (volontairement supprimé), avec la mention : pour la Campagne « Aujourd’hui, je suis d’Alep », veuillez publier ce message pour lever le blocus d’Alep.
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« Il est 5 h du matin… Nous sommes le 13 juillet et j’ai réussi à lire ton message. Grâce à Dieu, jusqu’à présent nous allons misérablement bien. Le plus terrible est de se sentir oublié du monde entier, y compris de son pays… De simples entrefilets nous jettent quelques espoirs. Voilà plus d’une semaine que nous sommes astreints à un carême des plus sérieux. Fruits, légumes, viande, poulet, beurre, tout manque sauf le fromage et c’est de « la vache qui rit » ! Le peuple d’Alep est dans une souffrance extraordinaire. Ce qui ajoute à l’horreur, c’est cette « ville éteinte », mais rassure-toi, c’est faute de mazout… Nous avons toujours la prière et l’espoir de nous sortir de ce cauchemar qui semble sans fin… ». (Message d’une amie syrienne de la ville d’Alep).

Rassure-toi !? C’est plutôt les « ennemis de la Syrie » qui pourraient être rassurés. Ils ont gagné ! De leur propre aveu, il y a plus d’une semaine « les troupes de (Bachar) avaient gagné du terrain, il fallait absolument un rééquilibrage sinon ils s’arrangeraient en sous-main pour boycotter ad vitam æternam la Conférence de Genève 2, il fallait absolument arrêter leur progression avant Alep… (1) ».

Et voilà Alep assiégée, affamée, après avoir été trahie, violée, pillée, détruite (2)… Alep, si fière d’avoir mérité son titre de capitale industrielle et culturelle en plus d’avoir toujours été le grenier du pays… Alep, restée malgré tout loyale envers sa mère patrie avant toute autre considération… Alep, premier bastion de la résistance à la discorde tentée autant par les prétendus démocrates humanistes de l’étranger que par la clique d’une soi-disant opposition révolutionnaire aussi véreuse et corrompue que les premiers… Alep qui gardait confiance en attendant sa libération par l’armée de ses fils se battant sur tous les fronts ; une armée qui semble occupée ailleurs tout comme Dieu et le monde entier.

Depuis la victoire d’Al-Qusayr, ils n’ont cessé d’annoncer que la bataille d’Alep était imminente, quelque chose comme la prochaine « Tempête du Nord », comme si le haut commandement syrien avait la manie otanesque de qualifier ses opérations militaires du nom de toutes sortes d’intempéries ou d’annoncer ses décisions stratégiques ! Mais, annoncer une bataille décisive qui n’arrive pas a de quoi atteindre sérieusement ces gens d’Alep tellement récalcitrants à la haine. La guerre militaire non déclarée n’a pas tenu ses promesses. La guerre médiatique sans précédent souffre de fuites. Reste la guerre psychologique ! Celle qui fait que certains en arrivent à « se sentir oublié du monde entier, y compris de son pays… ».

13 juillet 2013

Djibouti : Le Oui au dialogue, Non à la reddition, semble porter ses fruits dans le cas de la crise au Camp Lemonnier

Une leçon de démocratie aux saboteurs de l'USN !!!

Ce discours nous rassure tous, car au-delà des victimes directes de ce conflit au Camp Lemonnier, c'est tout le statut de chaque travailleur djiboutien qui à court et moyen termes se verra  remit en cause et scruté à la loupe.
Toutes les recommandations formulées dans les colonnes du PRIDE, sauf 2, ont toutes été considérées dans les négociations par le régime IOG comme les grévistes.
Nous insistons à ce que ces 2 dernières soient prises à leur juste mérite avant toute clôture des négociations :
  • Toute expertise pour un poste à combler au Camp Lemonnier, comme chez PPI, ou tout autre employeur étrangers, français, japonais, chinois ou autres, non disponible sur le marché locale, donc importée de l’extérieur, doit être jumelée à la formation d’une relève locale, aussi modique soit le salaire durant cette période de formation, limitée dans le temps, débouchera à terme sur le remplacement de ces expatriés par une relève djiboutienne qualifiée, pour le même salaire que le partant. Une innovation dans le transfert du savoir par l'apprentissage, que tout politique se doit d'exiger pour le pays afin de sortir de l'assistanat et l'infantilisation. Il faut également que le régime encourage la nouvelle génération d’entrepreneurs a créer des entreprises prospères qui viendront remplacer celles à haute intensité de main-d’œuvre en comptant sur cette nouvelle main-d’œuvre à valeur ajoutée.
  • Vu que ce conflit est une création qui n’avait pas lieu d’être, KBR doit assumer les responsabilités, de son arrogance, son mépris des lois et droits des travailleurs djiboutiens, en déboursant aux grévistes, leur plein salaire pour chaque jour de grève.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)

11 juillet 2013

Djibouti : Le délestage reprend ses droits en début de Ramadan !!!

Un passage de l'article du 9 juillet de Tariq Ramadan sur l'Égypte "Coup d’Etat, Acte II ", me revient à l'esprit ce soir : "" L’Armée aurait simplement suivi le peuple et répondu, « démocratiquement », à son appel. La belle affaire ! Les coupures d’électricité que, subissait le peuple depuis des mois, les pénuries d’essence et de gaz cessent étonnamment après la destitution. Tout se passe comme si on avait voulu priver le peuple des biens de première nécessité pour le pousser à se mobiliser. ""

À Djibouti, depuis 2 jours et à la veille du mois du Ramadan, le délestage a repris ses droits après une certaine normalité depuis le raccordement avec l'Éthiopie, sur un prêt de la Banque Mondiale de 25,6 millions de dollars que nous et les générations suivantes devrons rembourser au quintuple, sans que pour autant le problème ne soit résolu.
Contrairement aux énergies éolienne et solaire, des sources d'énergie intermittentes, ce 5 juin 2013, Djibouti a reçu de la Banque Mondiale un autre 6 millions de dollars US, sur un total de 31 Millions US, pour un projet de production d'énergie géothermique, une énergie propre et abordable dont on nous vante l’abondance et au nom de laquelle Djibouti a reçu depuis l’indépendance, des sommes faramineuses sans qu’on voit un bout de ce chantier.

Plus de la moitié de la population de Djibouti n'a pas accès à l'électricité à cause de tarifs excessifs, des coûts élevés de connexion résidentielle et d'un réseau électrique qui ne couvre que la ville de Djibouti et à peine sa banlieue, en 36 ans d’indépendances ; Quel Progrès !!!

Aux 2 Guelleh, si vous pouviez répondre à nos questions, dites-nous :
  • Pourquoi maintenant et ou sont passés les 100 à 200 MW en provenance de l'Éthiopie ?
  • Que nous inventera cette fois, le plus ancien et inamovible directeur de l'EDD, en poste depuis 1983 avec ses délestages récurrents depuis 1991, sans qu'il soit inquiété le moindrement ?
  • Que faisait-il durant ces 2 années de répit, pour clore définitivement ce sombre chapitre ?
  • Pourquoi les groupes électrogènes défectueux n’ont-ils pas été réparés pour parer à toute éventualité, dont le fameux mastodonte à 13 Millions d’Euros reçu en avril 2011, tombé en panne juste après son entrée en service ?
  • Le tarif à Djibouti réduit au moins, de 60 % d’ici 2010, était-ce une autre farce ?
  • Si le Directeur de Djibouti-Télécom et l’ONED, les 2 autres vaches à lait du régime, ont eu des remplaçants, qu’attendez-vous pour montrer la porte à votre cousin ; à moins que votre famille soit au-dessus des lois de la république, de toute évaluation et exigence de rendement. Dans ce cas, de grâce ayez le courage de nous le cracher à la face.
  • Et enfin, comment pouvez-vous clamez avoir  développé quoique ça soit ou vouloir attirer des investisseurs devant une telle gabegie et incompétence ?

9 juillet 2013

Djibouti : Classement des pays africains par taux d'alphabétisation

Comparons le Zimbabwe, la proie des plus grands prédateurs de ce monde et Djibouti qui abrite ces mêmes prédateurs sans pour autant qu'elle n'en tire un quelconque bénéfice.

Premier en taux d'alphabétisation le plus élevé d'Afrique avec 90,70% de sa population, le Zimbabwe du Président Robert Mugabe, celui reçu sur tapie rouge un peu partout, avant qu'il ne demande l'application des accords de Lancaster House signé en Déc 1979, qui entre autres accordaient des garanties économiques à la minorité blanche pour les 10 ans suivants, notamment en matière foncière. Toute expropriation et nationalisation généralisée était par conséquent ainsi exclue.
À partir de cette initiative politique courageuse ou le Président Mugabe exigeait la restitution des terres, entreprises et l'exploitation des richesses du pays à la majorité ; du jour au lendemain devint le diable infréquentable.
Depuis, malgré toutes les sanctions politico-économiques, réussi à mettre en place une réforme agraire redistribuant les terres aux paysans, nationalise légalement les grandes entreprises et mines du pays, tout en préparant la relève par une éducation qui aujourd'hui place ce pays à la 1ère place du continent.
La morale de la leçon Zimbabwéenne, comme celle de l'Érythrée que nous décrivions récemment, l'Afrique doit se départir de la tutelle politique et le modèle économique européen qui lui-même surendetté est au bord de la faillite, pour se reconstruire et relever les défis du 21ème siècle.

Djibouti est à la 23ème place avec 67,90%. Dans un monde en rapide évolution, axée sur les technologies et le savoir-faire ; un faible niveau d'alphabétisation, une éducation au rabais copiée sur d'autres, un cursus académique jamais ciblé sur les besoins du marché local ou régional, entravent le développement économique d'un pays.
Une position qui plaira sans nul doute à ceux au pouvoir, leurs valets et protecteurs, mais que nous pensons aurait été de loin meilleure avec des gens compétents et une vision du développement basée sur l'éducation, les technologies de pointes, la préparation de la main d'œuvre techniques selon la demande...Versus cette politique du sabotage, du détournement des fonds publics, la corruption, le népotisme et l’exclusion de toute candidature sérieuse.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)

Djibouti : SILENCE ON EXPLOITE !!! - Comparatif de salaires entre djiboutiens et expatriés au Camp Lemonier

Voici 3 tableaux, comparez la misère dénommée SALAIRE attribuée aux djiboutiens et ceux des étrangers employés sur la base américaine du Camp Lemonnier à Djibouti par KBR. En chiffres ce que nous affirmions dans l'extrait suivant de l'article du 4 juillet :
"" Évaluèrent les volontés et intentions des uns et des autres, et revinrent au statuquo ante qui ne traite aucunement de tous ces problèmes dont les salaires de misères attribués aux djiboutiens comparés aux étrangers de cette base. Les Kenyans employés sur cette même base ont été plus intelligents que nous, exigèrent des augmentations dès 2009 en manifestant devant l’ambassade américaine à Djibouti tandis que leurs familles en faisaient autant devant celle au Kenya sur le SLOGAN (Djibouti c’est l’Afrique nous méritons mieux) et ont eu gain de cause. Le régime IOG a ouvert la voie de l’aplaventrisme en se contentant d’une rente annuelle d’un petit 38 millions US, les employés de cette base quant à eux déversent dans la joie, pour qu’on les laisse juste travailler avec des salaires d’esclaves dans leur propre pays et ils nous diront : « WAAN GUULEYSANEYE », ce à quoi le défunt Gouled aurait répondu : « IIMAANTA ILLAHAYE KA QAAD ». Rien qu’avec cette immense base en pleine expansion avec un investissement en cours de 1,4 MILLIARDS US, et dont le budget de fonctionnement, plus les salaires des militaires avoisinent le budget de l’État djiboutien, un État dans l’État, nous devions voir le bout du tunnel dès 2005."" -- Abou Amin du PRIDE

Djibouti24 : LE CAS DES EMPLOYES AVEC UN BAC+2

L'apartheid salariale au camp Lemonier est à son apogée dans cette catégorie de personnel avec un BAC+2. Ici les djiboutiens sont non seulement titulaire d'un master (certains d'un master 2) mais sont sous-payés à un niveau BAC+2. Pire, les travailleurs étrangers sont 4 fois mieux payés que nos compatriotes pourtant, là aussi, mieux diplômés les expatriés. Observez et comparez cette injustice flagrante qui dure depuis 11 ans.

LE CAS DES EMPLOYES AVEC UN BACCALAURÉAT

Constatez ici comment nos compatriotes sont moins payés aussi en comparaison avec un travailleur philippin. Pourtant la plupart des djiboutiens payés avec une qualification BAC sont titulaires d'un BAC+2 donc mieux diplômés que les travailleurs étrangers de Lemonier. Un système discriminatoire révoltant digne d'un apartheid des temps modernes et qui doit cesser immédiatement.

LE CAS DES EMPLOYES DE CUISINE

Poste pour poste et à qualification égale constatez comment nos compatriotes sont traités. A croire que le principe d’égalité de traitement n’existe pas au Camp Lemonier. Sous-payés avec moins de jours de vacances et aucun avantage, les Djiboutiens sont victimes d'une discrimination sans nom dans leur propre pays. Les travailleurs étrangers pour la plupart en situation irrégulière (sans titre de séjour ni titre de travail) sont non seulement 3 à 4 voire 6 fois mieux payés que les employés djiboutiens mais bénéficient aussi le double en termes de jours de congé. Observez par vous-même. Et dire qu'on annonçait à nos compatriotes une réduction de 50% de leurs salaires. C'est hallucinant n'est ce pas !

8 juillet 2013

1ère partie : le naufrageur (de l’ARD) peut-il être le sauveteur (du pays) ? - par Cassim Ahmed Dini (2ème et 3ème parties au pied de l'article)

Admol toome kabella ansarradal ma taysa " (Sandale mal tannée ne s’améliore pas en glissant)

Quand une négociation s’engage, il y a tout d’abord le choix des négociateurs, puis ce qui peut être négocié. Ici, le régime délègue qui il veut et l’autre partie n’a aucun droit de regard. De plus, le régime est même en mesure de choisir les interlocuteurs qu’il veut : c’est déjà fait avec l’emprisonnement de ceux qu’il craint vraiment et l’acceptation que leur libération ne soit pas une condition préalable au dialogue. Tout est dans ce rapport de force. Donc, l’UMP va uniquement discuter avec ceux qu’elle estime remplir les conditions de « sa » légalité, même pas les dix députés auxquels elle reconnait une place au soleil. Comme ce n’est pas avec eux qu’il y a contentieux, les négociations auront lieu avec les trois partis légalisés au nom desquels le dépôt de candidature de la liste USN a eu lieu : ARD, PDD et UDJ. Selon son humeur, le chef de l’Etat, en définitive chef suprême de tous les partis politiques, peut accepter ou pas la présence du CDU. Dans toutes les configurations, c’est l’ARD qui jouera la locomotive : voyons donc ce que cette machine a dans le ventre. « La guerre, un massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas » : cette aphorisme de Paul Valéry vaut aussi pour la politique djiboutienne. Afin de mieux saisir ce qui peut sérieusement être attendu de ce dialogue, il serait peut-être temps d’évoquer quelques petits secrets qu’UMP et USN connaissent ensemble et cachent ensemble.

Au début de la campagne électorale, le président du MoDel avait avancé une proposition, évidente mais révolutionnaire : un brassage ethnique des délégués de l’opposition dans chaque bureau de vote ; chaque formation étant invitée à présenter son quota. A l’heure des derniers préparatifs, il s’est trouvé que l’ARD n’avait aucun délégué à présenter dans la circonscription électorale de Djibouti-ville. C’est ainsi que, par exemple, pratiquement aucun cadre ou militant ARD n’était présent dans les bureaux de vote d’Arhiba : « l’USN ne vous fait pas confiance », aurait-on même dit à certains. En fait, l’ARD ne pouvait proposer de délégué pour une raison simple : la Direction n’a consulté personne avant de s’engager dans ces élections et a même refusé de se présenter à quatre réunions spécialement organisées pour lui demander des explications. Imaginez alors l’humiliation ressentie par ses militants empêchés de participer au contrôle des bureaux de vote de leur propre quartier !

Égypte : soutenez-vous un coup d’État militaire ? - par Thierry Meyssan

Abou Amin : « Cette 2ème destitution expresse, aussi douloureuse ou controversée soit-elle, annonce une nouvelle ère, un nouveau paradigme. L’Égypte a vaincu sa peur et ne craint plus le pouvoir, par conséquent la récréation des marionnettes est terminée. Ce peuple a compris qu'il est l'ultime véritable législateur dans toutes formes de gouvernances, se doit de refuser dorénavant le rôle de spectateur auquel il fût condamné durant des siècles. »
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Le général Al-Sissi annonce la
destitution du président Morsi.
Thierry Meyssan répond à nos lecteurs qui s’inquiètent de son soutien au coup d’État militaire en Égypte. Pour lui, le coup n’a pas mis fin à la démocratie, mais à la confiscation du pouvoir par une secte de putschistes, les Frères musulmans. Il était donc légitime, a été appuyé par tous les autres partis politiques et par les chefs religieux, avant d’être célébré dans les rues. Le problème n’est pas l’intervention de l’Armée, mais sa capacité à suivre la Feuille de route vers la démocratie qu’elle a négociée avec les leaders politiques et religieux.

La publication, hier dans la presse écrite et aujourd’hui sur notre site internet, de ma chronique de politique internationale sur la crise égyptienne [1] a laissé certains de mes lecteurs sur leur faim : comment puis-je « soutenir un coup d’État militaire contre un président démocratiquement élu ? », m’écrivent-ils.

Mais où donc avez-vous vu que le président constitutionnel avait été « démocratiquement élu » et qu’il s’était comporté de « manière démocratique » ?

L’élection présidentielle des 17-18 juin 2012 s’est caractérisée par une abstention record de 65 % des inscrits, alors même que 2 millions d’Égyptiens placés sous les drapeaux sont privés du droit de vote. En définitive, Mohamed Morsi a obtenu moins de 12 millions de voix sur une population en âge de voter de 70 millions de personnes (militaires inclus), soit 17 % des Égyptiens adultes. Après 80 ans de tentatives de putschs et d’actions terroristes, en Égypte et ailleurs, pour la première fois un Frère musulman accédait légalement au pouvoir.

Certes, la Constitution ne prévoit pas de quorum nécessaire à la validité de l’élection ce qui explique qu’elle n’a pas été mise en cause pour ce motif sur le moment. Il n’en reste pas moins que pour être « démocratique » ce président devait faire preuve de beaucoup de talents de consultation et de rassemblement. Il devait s’affirmer comme le président de tous les Égyptiens et pas uniquement des 12 millions qui l’ont élu.

7 juillet 2013

La farce démocratique égyptienne. Tribune libre - Pierre MILLE

Mohamed Morsi évincé sous
la pression du peuple.
Le 30 juin 2012, Mohammed Morsi prit le pouvoir en tant que successeur de Moubarak. A l’occasion du 1er anniversaire des élections quand cet entretien a eu lieu, des affrontements sanglants sont survenus dans le pays. Samir Amin, philosophe et économiste égyptien, directeur du Forum du Tiers Monde à Dakar, parle de l’année passée en Egypte avec les Frères au pouvoir, interrogé par Giuseppe Acconica.

Acconcia : Que pensez-vous de la campagne de manifestations Tamarod?

Samir Amin : La campagne  pour la demission de Morsi est magnifique. Des millions de gens ont signé leurs noms après avoir mûrement réfléchi à la question : quelque chose que les médias grand public internationaux ont complètement ignorée. Ils représentent la majorité des électeurs mais ils n’ont aucune voix. Les Frères Musulmans ont le pouvoir et aiment à penser qu’ils contrôlent 100% des voix.  C’est ainsi qu’ils ont placé leurs membres dans tous les secteurs publics. Leur façon de gérer le pays provient d’une sorte de capitalisme de connivences qui ne laisse aucune place à des figures de l’opposition ou à des technocrates qui même sous le regime de Moubarak avait un peu de pouvoir.

Acconcia : Cela se passe lors de la pire crise économique depuis des décennies.

Samir Amin : C’est plus qu’une crise économique. Les islamistes n’ont que des réponses ultra-libérales à donner à la crise : ils ont remplacé la clique de bourgeois capitalistes qui étaient les amis de Moubarak par des hommes d’affaires réactionnaires. De plus, leur but est  tout simplement de vendre tout le secteur public. Les frères sont détestés par les égyptiens parce qu’ils continuent les mêmes politques que leur prédécesseur.

Acconcia : Peut-être pire encore dans le cas du projet de loi de finance islamique?

Samir Amin : C’est du vol que de metre un prix de vente dérisoire sur des biens qui valent des miiliards de dollars. Il ne s’agit pas des privatisations habituelles que les régimes réactionnaires affectionnent, vendre des biens au prix du marché. C’est une fraude pure et simple, bien plus qu’une privatisation.

Libye : ces morts qui indiffèrent, par Nazim Rochd

Du PRIDE : Toutes ces prévisions se sont révélées justes
Où sont-ils ces « amis du peuple libyen », ces patrons de presse et leurs reporters, ces ONG, qui se sont mobilisés des mois durant pour nous faire croire que les Libyens faisaient une « révolution » ? Où se terrent ces « analystes » de plateaux qui ont fourni au monde l’image de « révolutionnaires » épris de liberté, de démocratie et de justice ? Que peut dire, aujourd’hui, Barack Obama qui a lâché ses vassaux sur la Libye et les a aidés à la détruire, au nom de sa « libération » de la « dictature » de Mouammar Kaddafi ? Plus personne n’est là pour répondre de son crime ou de sa participation au crime. L’affaire a été pliée, on passe à autre chose, la Syrie.

Mais là-bas c’est plus coton que prévu. En Libye les « révolutionnaires » se disputent les lambeaux du pays ravagé par l’armada aéroportée de l’OTAN. Ils se coupent des morceaux de territoire, terrorisent, emprisonnent et tuent. Ces jours-ci les Zentanis et les Misratis s’entre-tuent pour le privilège de garder les infrastructures pétrolières. Les morts qui s’accumulent ne comptent pas. Personne ne s’attarde à leur chevet. Ils ne sont pas intéressants pour l’épopée « civilisatrice ». Quand on en parle c’est en passant, sans commentaires. Simple statistique qui illustre un article. Les milliers de prisonniers torturés par les milices, aussi, n’existent presque pas, sauf quand une ONG reconnue veut faire bonne figure, obligeant les Nations unies à se fendre d’un communiqué qui déplore les faits.

Le pouvoir issu de la « révolution no fly zone » n’en peut mais. A-t-il seulement été prévu pour diriger quoi que ce soit ? Nul doute que non, puisqu’il étale superbement sa nature de fiction politique héritée de ce CNT exhibé dans les capitales occidentales, le temps que les bombardements « chirurgicaux » fassent leur œuvre. C’est-à-dire fournir le tapis de cadavres sur lesquels vont s’avancer les « Thouars », drapeau d’Idriss au vent, jusqu’à ce jour où fut assassiné Kaddafi provoquant le rire carnassier de Hillary Clinton et de ses compères dans la prédation. Maintenant, peut-être, puisque la guerre que se mènent les hordes armées compromet quelque peu l’exploitation du pétrole, va-t-on assister à un retour des « amis ». Cette fois-ci, pour mettre tout le monde d’accord. Ce qui expliquerait ce silence sidéral sur la situation qui prévaut. Un appel éploré viendra certainement de ce pouvoir confiné dans ses quartiers à Tripoli, qui appellera à l’aide. Plus besoin ni de l’ONU et pas de risque de veto russo-chinois. Il s’agit d’une affaire qui relève de la « souveraineté » libyenne. Se concrétiseront alors les objectifs de la « révolution no fly zone ».

4 juillet 2013

Djibouti - Camp Lemonnier : KBR Hegelian dialectic's. Craft a SITUATION to distract the ruling regime from reel injustices, evaluate REACTIONS, offers SOLUTIONS returning to the status quo ante

Djiboutian workers left with the false perception of a negotiated solution.

In 1847 the London Communist League used Hegel's theory of the dialectic to back up their economic theory of communism. Now, in the 21st century, the Hegelian Dialectic thinking affects our entire social and political structure. The Hegelian dialectic or Diocletian’s Theory is the framework for guiding our thoughts and actions into conflicts that lead us to a predetermined solution. If we do not understand how the Hegelian dialectic of PROBLEM - REACTION - SOLUTION shapes our perceptions of the world, then we do not know how we are helping to implement the vision. When we remain locked into dialectical thinking, we cannot see out of the box.

En attendant les détails, nous voulions réagir sur le vif à cette annonce d’une entente entre les grévistes du Camp Lemonnier, KBR et le régime IOG.

KBR accepte selon le représentant des employés :
  1. L’annulation de la réduction de 50 % de tous les salaires et le licenciement d’un tiers des employés djiboutiens(nes). Dès demain, retour au travail des 1037 employés. En somme KBR a créé un problème de toute pièce, aussi ridicule qu’insultant, juste pour distraire tout le monde loin des réels problèmes bafouant le code du travail et droits des djiboutiens, les conditions et abus des employés, les dangers sur la santé des radiations des scanners aux portiques et la prise en charge des malades victimes de ces radiations ou le financement d’un centre de dépistage du cancer à Djibouti, inexistant à ce jour. Évaluèrent les volontés et intentions des uns et des autres, et revinrent au statuquo ante qui ne traite aucunement de tous ces problèmes dont les salaires de misères attribués aux djiboutiens comparés aux étrangers de cette base. Les Kenyans employés sur cette même base ont été plus intelligents que nous, exigèrent des augmentations dès 2009 en manifestant devant l’ambassade américaine à Djibouti tandis que leurs familles en faisaient autant devant celle au Kenya sur le SLOGAN (Djibouti c’est l’Afrique nous méritons mieux) et ont eu gain de cause. Le régime IOG a ouvert la voie de l’aplaventrisme en se contentant d’une rente annuelle d’un petit 38 millions US, les employés de cette base quant à eux déversent dans la joie, pour qu’on les laisse juste travailler avec des salaires d’esclaves dans leur propre pays et ils nous diront : « WAAN GUULEYSANEYE », ce à quoi le défunt Gouled aurait répondu : « IIMAANTA ILLAHAYE KA QAAD ». Rien qu’avec cette immense base en pleine expansion avec un investissement en cours de 1,4 MILLIARDS US, et dont le budget de fonctionnement, plus les salaires des militaires avoisinent le budget de l’État djiboutien, un État dans l’État, nous devions voir le bout du tunnel dès 2005.

1 juillet 2013

Djibouti : Le PRIDE anticipe en clarifiant publiquement ses positions sur les prochaines annonces d’une tragi-comédie non représentative de ceux aux noms de qui, ils annoncent négocier

Une entente politique « Négociée » dans les coulisses du Secret d’un Régime que tous s’entendent à qualifier d’illégitime, donc inhabilité à marchander quoique ça soit au nom de qui que ça soit, si ce n’est sa propre survie, ses intérêts et son impunité, et un groupe de dirigeants d’une opposition de « mabraze » à l’antipode de nos aspirations et désirs de tourner cette page sombre de notre histoire, ce même obscurantisme boycotté par la très grande majorité de la population depuis le 25 février 2013, serait à nos yeux nulle et non avenue, tel tout accord entre braqueurs de banques et complices ayant permis cet état de fait ; des imposteurs déguisés l’un en procureur de la République et d'autres auto-investis avocats de ma personne et toute opposition politique, sans consultation aucune ou entente préalable négociée entre ces parties. Notre génération refuse et rejettera sans hésitation aucune, ces raccourcis de l’auto-proclamation à la base de l’actuel chaos politico-social.

Le changement politique à Djibouti ne relève guère des seuls paramètres et volonté de groupuscules d’intérêts mais ceux de tout un peuple en symbiose avec la vision du PRIDE et qui vient de le démontrer par 2 gestes, sans quiproquo, en :
  • Criant haut et fort ; OUI au changement, entre le 8 et 20 Février 2013,
  • Et entre le 25 Février 2013 à ce jour, Boycottant magistralement ; par un NON catégorique, la fuite en avant d’une clique de prostituées politiques, NON à l’amateurisme et dangers de l’improvisation et NON aux manipulations singeant le régime actuel dans toute sa médiocrité.
Le machin USN ayant démontré, par toutes ses initiatives et décisions prises depuis le 8 Février 2013, indignes d’un quelconque changement, diamétralement opposé  à toute vision nationale d’un projet inclusif et mobilisateur, nous exigeons par conséquent l’ouverture d’un pourparler entre tous les partis de l’opposition sans exception, avant toute autre action. C’est le droit de tout citoyen de la République ou opposant politique que nous comptons faire respecter « By Any Means Necessary » et combattrons toute autre forme de totalitarisme se voulant nous imposer sa seule volonté.

Djibouti : IOG visite ses exilés, 2 Manifestations pour lui rendre la politesse

Gouverner ; l'art de prévoir le futur d'une Nation, ne rien prévoir c'est courir à sa perte.

« ABDOURAHMANE BACHIR ; JE L'AI FABRIQUÉ DE TOUTES PIÈCES EN CROYANT BIEN FAIRE. », Dixit IOG

« SI DIEU A ACCEPTÉ QU’IL Y AIT LE DIABLE, POURQUOI REFUSERAIS-JE QU’IL Y AIT UNE OPPOSITION » - IOG

Djibouti : L’opposition politique doit prendre acte de sa propre léthargie

DJIBOUTI : EN 37ANS, ONT RIEN NOTÉ DE GROSSIER - AMNÉSIE TOTALE - INVITENT UN 3ème ET REBELOTE

DJIBOUTI : LE RÉGIME DU PRÉFET IOG, TOURNERA ENCORE SON REGARD POUR SAUVER SA TÊTE

DJIBOUTI : UNE PAIX SANS JUSTICE EST ILLUSION, UN PARDON SANS JUSTICE EST UNE BOMBE À RETARDEMENT

DJIB : UN CIRQUE MÉDIA SANS QUE LE PROXY NE DISE MOT, SUR CE QUE LUI ET SES PARRAINS NOUS RÉSERVENT

DJIBOUTI : L'ESCROQUERIE DU MACHIN USN !!!

M. GUELLEH, ÇA COUTERAIT QUOI DE FINANCER L’AVENIR DE CES FUTURS CHAMPIONS DE LA RÉPUBLIQUE ?

DJIBOUTI : L'USN ET SES OPPORTUNISTES, EXIGENT DE NOUS, QU’ON ENTRETIENNE LA MÊME VOYOUCRATIE

PREMIÈRE D'UNE NOUVELLE CHRONIQUE PAR L'IMAGE, INTITULÉE : "" C'EST QUOI ÇA GUELLEH ??? ""

ASSEMBLÉE DE PAILLE FRUIT DE L’INSUFFISANCE & COMITÉS FANTÔMES, LE MACHIN USN SE VEUT DISTRAIRE

LE PRIDE N’EST PLUS SEUL À POSER DES QUESTIONS & REMETTRE EN CAUSE LA LÉGITIMITÉ DE LA DIRECTION USN

Ahmed Youssouf à l’USN -- JOUE LE MÊME RÔLE QUE -- Hassan Omar GAQANLO à l’UMP

SIGNIFIONS EXPRESSÉMENT LE REJET DE L’AGENDA USN, CONCOCTÉ ENTRE LES MÊMES MANIPULATEURS DE L'UAD

DJIBOUTI : UMP & USN, 2 FACES DE LA MÊME MÉDAILLE, AVEC LES MÊMES VICES, ÉGOS ET AMBITIONS

DJIBOUTI : VICTIMISATION, REFUS DE L’ENGAGEMENT ET UNE EXPRESSION SECTAIRE MANIPULATRICE DES JEUNES

UN PATRIOTE INVESTIT DANS SON PEUPLE, NON HORS FRONTIÈRES, IL EST TEMPS QU'ON EN EST UN, À DJIBOUTI

DJIBOUTI : NOUS CONVIONS CET ÉTÉ 2013, TOUTE L'OPPOSITION À DES ÉTATS GÉNÉRAUX

DJIBOUTI : CITOYENS POUR LE CONSENSUS NATIONAL (CCCN) POUR UN GOUVERNEMENT DE TRANSITION RESPONSABLE

Une Source Infinie de Vidéos sur La Corne.

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Djibouti : Le Déni de Justice et la Lutte contre un autre Pirate de la FrancAfrique

MALI : STRATÉGIE INNOVÉE : PROBLÈME - RÉACTION - SOLUTION - PAYEMENT DES COÛTS

LA RECOLONISATION DU 21ème SIÈCLE - FRANCE VS CÔTE D'IVOIRE

LA RECOLONISATION DU 21ème SIÈCLE - FRANCE-OTAN VS LIBYE

Actualités et Évènements dans le Monde

Please Sign Today To Support Those for a Democracy in Djibouti - Africa

Amender une Constitution afin de rester au Pouvoir et Refuser l’Alternance c’est de la Tyrannie..
OBAMA : "Make no mistake: History is on the side of these brave Africans, not with those who use coups or change constitutions to stay in power.......... Africa doesn’t need strongmen, it needs strong institutions."
<= THE PRICE OF SILENCE & INACTION IS MUCH TOO HIGH =>
FaceBook Petition for the benefit of Amnesty International USA, if You Wish to Join Protect The Human

""Il y a un temps pour RÉFLÉCHIR, un temps pour SENSIBILISER, un temps pour ÉPILOGUER et un temps pour AGIR contre le RPP : RASSEMBLEMENT DES PILLARDS DU PEUPLE.""
Téléchargez sur SkyDrive le CONTRAT JURIDIQUE ET MORAL avec le peuple de DE DJIBOUTI, afin de rassurer la population sur les INITIATIVES qui seront mises de l'avant AU DÉPART D'IOG : FEUILLE DE ROUTE (PDF)

UNE OPPOSITION RESPONSABLE ET CRÉDIBLE.

Le parti PRIDE appelle l’opposition à assumer pleinement son rôle. Lançons l’organisation d’un Congrès qui unira nos efforts, nous donnera la crédibilité nécessaire et l’appui de la communauté internationale pour une transition exigeant non seulement le respect de la constitution mais aussi la reforme du scrutin électoral et les dispositions préalables pour en assurer la transparence avant les prochaines élections de 2011.


Le peuple veut voir une opposition responsable autour d’une table ronde ou chaque parti sera représenté par 5 membres de leur direction et d’observateurs Djiboutiens.


Chaque parti tout en gardant ses affiliations, contribuera à édifier un document fort, engageant et prometteur, ralliant la population Djiboutienne toute entière dans sa diversité, contre le ballon vide d’IOG, à la mode Ukrainienne. Le document final signé par les parties, sera soumit aux pays médiateurs choisis au Congrès et aux institutions internationales.


DE LA SAGESSE, UNE VISION ET DU COURAGE, EST-CE TROP DEMANDER?


Le rôle de ces observateurs Djiboutiens comme la préparation du congrès, sera confié à une agence spécialisée dans l’exercice de cette fonction et un comité ou une entité neutre assumera la coordination et la préparation des documents du Congrès, entre cette agence et les parties ayants exprimées leur volonté d’y participer.


Dans un souci de transparence et de tenir le peuple informé, à défaut d’être diffusés en direct sur l’internet, tous les travaux de ce congrès doivent être vidéo-enregistrés.


Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie : PLAN D’ACTION POUR UN FRONT COMMUN.

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CONSTITUTION DE LA RÉPUBLIQUE DE DJIBOUTI : EN FRANÇAIS ENGLISH

Présenté à toutes les Ambassades et Consulats de France dans le monde -- Memorandum du 28 Sept 2010.pdf.