LA SOURCE DU MALAISE SOCIO-ÉCONOMIQUE DJIBOUTIEN, N'EST PAS, COMME LE PIRATE IOG SE PLAIT À LE RÉPÉTER DANS TOUS SES DISCOURS AINSI QUE SON ANCIEN HOMME DE MAIN ABDOURAHMAN BOREH, QUI SANS VERGOGNE NOUS QUALIFIAIT DE : FAINÉANTS INCAPABLES DE TRAVAILLER AU MÊME RYTHME QUE LES ASIATIQUES IMPORTÉS À RABAIS POUR RENFLOUER SES POCHES, MAIS C'EST PLUTÔT L’ŒUVRE DU VANDALISME D'ÉTAT, LA MAUVAISE GOUVERNANCE ET L'INCOMPÉTENCE DES CLEPTOCRATES AU POUVOIR DEPUIS 35 ANS.
SI JE ME TROMPES, ALORS EXPLIQUEZ MOI, COMMENT LE MÊME PEUPLE ARRIVE T-IL SANS COMPLEXE, À TIRER SON ÉPINGLE DU JEUX DANS LA DIASPORA, AUX ÉTATS-UNIS, AU CANADA, OU EN FRANCE ; DES ÉLUS DANS LES MAIRIES ET LES RÉGIONS DE FRANCE, DES PROFS D'UNIVERSITÉS, DES FONCTIONNAIRES, DES GENS D'AFFAIRES ET DES CRÉATEURS D'ENTREPRISES ???
POURQUOI A-T-IL FALLU UN DÉPLACEMENT EN FRANCE, À CE BRILLANT PROFESSEUR DE L'UNIVERSITÉ DE DJIBOUTI, POUR FAIRE RECONNAITRE SON GÉNIE, DANS UN PAYS BIEN FOURNI EN MATIÈRES GRISES ET OU LA COMPÉTITION EST RUDE ???
Un djiboutien remporte un concours sur la création d’entreprise en France.
Hassan Barkadleh Gilbert, enseignant-doctorant à l’Université de Djibouti, s’est distingué en remportant le 1er Prix d’un concours sur la création d’entreprise, organisé le 23 novembre 2011 à Caen, dans l’ouest de la France.
A l’origine, il y’avait un séminaire, destiné à promouvoir la logique entrepreneuriale chez les doctorants de Normandie, afin qu’ils puissent créer un jour leur propre entreprise. Hassan Barkadleh Gilbert, universitaire depuis 5 ans à Djibouti, était allé en France pour prendre part aux travaux de ce séminaire.
Appuyé pleinement par son Université et ses autorités de tutelle, il a bénéficié pour cela d’une bourse doctorale, d’un congé d’un semestre et d’un billet d’avion aller-retour, financés par l’Université de Djibouti.
Pendant une semaine, après une formation sur la création d’une entreprise et la conduite d’un projet innovant, les 42 candidats avaient pour mission de créer leur propre entreprise.
Ensuite les entrepreneurs-doctorants devaient présenter leur projet de création d’entreprise devant un jury de « Business Angels » de Normandie (investisseurs privés).
Le projet recueillant le plus de voix remportait le concours, et ses lauréats pouvant ainsi bénéficier par la suite d’un investissement allant jusqu’à 100 000€ (soit 25 millions de FDJ), pour créer réellement l’entreprise en intégrant et bénéficiant des dispositions d’une pépinière d’entreprises régionales, pour jeunes créateurs d’entreprises.
Ce concours a réuni 42 candidats sélectionnés parmi l’ensemble des doctorants de l’Académie de Haute et Basse-Normandie, qui totalisent 220 doctorants, toutes disciplines confondues.
Le premier prix est remis par les responsables régionaux de l’enseignement supérieur, à savoir le recteur de l’Académie de Normandie, la Présidente de l’Université de Caen, le Président de l’Université du Havre.
Le succès du professeur Hassan illustre bien le professionnalisme des enseignants-chercheurs de l’Université de Djibouti, sans oublier aussi les étudiants qui y sont formés, parmi les meilleurs étudiants de leurs promotions en France.
**************
Business Angels et Pépinière d’entreprises, mode d’emploi.
Les concepts de « Business Angels » et « Pépinière d’entreprises » peuvent être une source d’inspiration pour promouvoir davantage la création des entreprises à Djibouti.
Les Anges des Affaires sont uniquement de grands entrepreneurs qui mettent en place un fond privé, chacun met une somme qui sera proportionnelle aux actions qu’il détient dans ce fond.
Par la suite, ces Business Angels investissent dans de nouvelles entreprises, en complément des fonds publics d’aide à la création d’entreprise, tel que le fonds de développement à Djibouti.
Sachant que les fonds publics ne peuvent couvrir 100 % des besoins des jeunes créateurs, les Business Angels sont actionnaires de ces nouvelles entreprises via leur fond d’investissement privé, à hauteur de leur apport dans le capital.
Ensuite ces Business Angels récupèrent leur investissement dans le futur, et se procure parfois même un bon retour sur investissement, sur les bénéfices que ces jeunes entreprises réaliseront à l’avenir, via les dividendes perçus par le fond d’investissement.
En plus de l’aide financière, les Business Angels apportent gratuitement leur expérience, leurs réseaux d’affaires et relationnels, leurs compétences et leurs conseils aux jeunes créateurs d’entreprises.
Voici une source de réflexion et de méditation pour les grands entrepreneurs de Djibouti à l’avenir. Une pépinière d'entreprises est une structure destinée à faciliter la création d'entreprises en apportant un soutien mobilier et technique, des conseils et des services.
Les services consistent le plus souvent à proposer des bureaux meublés prêt à l’emploi, parfois des locaux d'activités ou de stockage, des services logistiques mutualisés (accueil, salles de réunions, cafétéria...) et des services d'accompagnement (conseils juridiques, financiers, logistiques, fiscales, formations managériales courtes, intégration dans les réseaux économiques, etc...), moyennant une participation ou un loyer mensuel très modérée et plus avantageuse que si le jeune créateur d’entreprise devait lui-même mettre en place ces moyens.
L’entreprise reste dans la structure en moyenne 2 à 3 ans, le temps qu’elle arrive à avoir « les reins solides », pour « voler de ses propres ailes » par la suite.
Ce sont des structures qui ont fait leur preuve dans d’autres pays du globe et qui favorisent le développement territorial via la création et surtout la pérennisation des entreprises qu’elles portent.
Ce genre de mécanisme, que ca soit les Business Angels, la Pépinière d’entreprises ou bien la création d’un concours national annuel à la création d’entreprise, pourront être mis en place à Djibouti, et viendront compléter les dispositions étatiques existantes telles que le FDED et l’ADDS, afin de promouvoir l’Entrepreneuriat dans notre pays.
QUESTIONS :
http://www.lanation.dj/2012/2012_ln1/article8.php
============================================================
Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie
– Le Secrétaire Général : Bourhan M. Ali (Abou Amin)
Facebook du PRIDE : https://www.facebook.com/PRIDE.DJIBOUTI
Site Net du PRIDE : http://doleancesdupeupledjiboutien.blogspot.com/ (Actuellement bloqué, pour nos lecteurs à Djibouti, gracieuseté de la nouvelle coopération chinoise avec Djibouti-Télécom)
PS : Djibouti : En plein délire de panique devant la colère de la population et son seul talent de l'éternel bras tendus à la quête d'aide internationale ayant du mal à sonner les caisses, le voyou IOG pense sauver son régime barbare en imposant le silence sur ses crimes par le ballonnement pur et simple de la liberté d’expression sur le Net.
En attendant la solution pour contourner le blocage de ce Blog du PRIDE à Djibouti, nous publierons en double nos articles ici, comme les sites sociaux, les pages Facebook et MySpace du PRIDE.
Ce geste n'est pas nouveau, d'autres rats de son espèce, de la Tunisie à l'Égypte s'y sont aventurés en espérant y trouver refuge, sans succès.
Non seulement notre lutte doit continuer, dorénavant nous appliquerons des nouvelles stratégies de déstabilisation de la cleptocratie, jusqu'à servir à IOG le prix de sa traitrise.
Abou Amin
SI JE ME TROMPES, ALORS EXPLIQUEZ MOI, COMMENT LE MÊME PEUPLE ARRIVE T-IL SANS COMPLEXE, À TIRER SON ÉPINGLE DU JEUX DANS LA DIASPORA, AUX ÉTATS-UNIS, AU CANADA, OU EN FRANCE ; DES ÉLUS DANS LES MAIRIES ET LES RÉGIONS DE FRANCE, DES PROFS D'UNIVERSITÉS, DES FONCTIONNAIRES, DES GENS D'AFFAIRES ET DES CRÉATEURS D'ENTREPRISES ???
POURQUOI A-T-IL FALLU UN DÉPLACEMENT EN FRANCE, À CE BRILLANT PROFESSEUR DE L'UNIVERSITÉ DE DJIBOUTI, POUR FAIRE RECONNAITRE SON GÉNIE, DANS UN PAYS BIEN FOURNI EN MATIÈRES GRISES ET OU LA COMPÉTITION EST RUDE ???
Un djiboutien remporte un concours sur la création d’entreprise en France.
Hassan Barkadleh Gilbert, enseignant-doctorant à l’Université de Djibouti, s’est distingué en remportant le 1er Prix d’un concours sur la création d’entreprise, organisé le 23 novembre 2011 à Caen, dans l’ouest de la France.A l’origine, il y’avait un séminaire, destiné à promouvoir la logique entrepreneuriale chez les doctorants de Normandie, afin qu’ils puissent créer un jour leur propre entreprise. Hassan Barkadleh Gilbert, universitaire depuis 5 ans à Djibouti, était allé en France pour prendre part aux travaux de ce séminaire.
Appuyé pleinement par son Université et ses autorités de tutelle, il a bénéficié pour cela d’une bourse doctorale, d’un congé d’un semestre et d’un billet d’avion aller-retour, financés par l’Université de Djibouti.
Pendant une semaine, après une formation sur la création d’une entreprise et la conduite d’un projet innovant, les 42 candidats avaient pour mission de créer leur propre entreprise.
Ensuite les entrepreneurs-doctorants devaient présenter leur projet de création d’entreprise devant un jury de « Business Angels » de Normandie (investisseurs privés).
Le projet recueillant le plus de voix remportait le concours, et ses lauréats pouvant ainsi bénéficier par la suite d’un investissement allant jusqu’à 100 000€ (soit 25 millions de FDJ), pour créer réellement l’entreprise en intégrant et bénéficiant des dispositions d’une pépinière d’entreprises régionales, pour jeunes créateurs d’entreprises.
Ce concours a réuni 42 candidats sélectionnés parmi l’ensemble des doctorants de l’Académie de Haute et Basse-Normandie, qui totalisent 220 doctorants, toutes disciplines confondues.
Le premier prix est remis par les responsables régionaux de l’enseignement supérieur, à savoir le recteur de l’Académie de Normandie, la Présidente de l’Université de Caen, le Président de l’Université du Havre.
Le succès du professeur Hassan illustre bien le professionnalisme des enseignants-chercheurs de l’Université de Djibouti, sans oublier aussi les étudiants qui y sont formés, parmi les meilleurs étudiants de leurs promotions en France.
**************
Business Angels et Pépinière d’entreprises, mode d’emploi.
Les concepts de « Business Angels » et « Pépinière d’entreprises » peuvent être une source d’inspiration pour promouvoir davantage la création des entreprises à Djibouti.
Les Anges des Affaires sont uniquement de grands entrepreneurs qui mettent en place un fond privé, chacun met une somme qui sera proportionnelle aux actions qu’il détient dans ce fond.
Par la suite, ces Business Angels investissent dans de nouvelles entreprises, en complément des fonds publics d’aide à la création d’entreprise, tel que le fonds de développement à Djibouti.
Sachant que les fonds publics ne peuvent couvrir 100 % des besoins des jeunes créateurs, les Business Angels sont actionnaires de ces nouvelles entreprises via leur fond d’investissement privé, à hauteur de leur apport dans le capital.
Ensuite ces Business Angels récupèrent leur investissement dans le futur, et se procure parfois même un bon retour sur investissement, sur les bénéfices que ces jeunes entreprises réaliseront à l’avenir, via les dividendes perçus par le fond d’investissement.
En plus de l’aide financière, les Business Angels apportent gratuitement leur expérience, leurs réseaux d’affaires et relationnels, leurs compétences et leurs conseils aux jeunes créateurs d’entreprises.
Voici une source de réflexion et de méditation pour les grands entrepreneurs de Djibouti à l’avenir. Une pépinière d'entreprises est une structure destinée à faciliter la création d'entreprises en apportant un soutien mobilier et technique, des conseils et des services.
Les services consistent le plus souvent à proposer des bureaux meublés prêt à l’emploi, parfois des locaux d'activités ou de stockage, des services logistiques mutualisés (accueil, salles de réunions, cafétéria...) et des services d'accompagnement (conseils juridiques, financiers, logistiques, fiscales, formations managériales courtes, intégration dans les réseaux économiques, etc...), moyennant une participation ou un loyer mensuel très modérée et plus avantageuse que si le jeune créateur d’entreprise devait lui-même mettre en place ces moyens.
L’entreprise reste dans la structure en moyenne 2 à 3 ans, le temps qu’elle arrive à avoir « les reins solides », pour « voler de ses propres ailes » par la suite.
Ce sont des structures qui ont fait leur preuve dans d’autres pays du globe et qui favorisent le développement territorial via la création et surtout la pérennisation des entreprises qu’elles portent.
Ce genre de mécanisme, que ca soit les Business Angels, la Pépinière d’entreprises ou bien la création d’un concours national annuel à la création d’entreprise, pourront être mis en place à Djibouti, et viendront compléter les dispositions étatiques existantes telles que le FDED et l’ADDS, afin de promouvoir l’Entrepreneuriat dans notre pays.
QUESTIONS :
- ALORS POURQUOI SONT-ILS AU CHÔMAGE À DJIBOUTI ???
- POURQUOI 90 % DES JEUNES DIPLÔMÉS DJIBOUTIENS SONT SANS TRAVAIL ???
- POURQUOI NE SONT-ILS PAS FINANCÉS DANS CE GENRE DE PROJETS CRÉATEURS D'EMPLOIS ???
http://www.lanation.dj/2012/2012_ln1/article8.php
============================================================
Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie
– Le Secrétaire Général : Bourhan M. Ali (Abou Amin)
Facebook du PRIDE : https://www.facebook.com/PRIDE.DJIBOUTI
Site Net du PRIDE : http://doleancesdupeupledjiboutien.blogspot.com/ (Actuellement bloqué, pour nos lecteurs à Djibouti, gracieuseté de la nouvelle coopération chinoise avec Djibouti-Télécom)
PS : Djibouti : En plein délire de panique devant la colère de la population et son seul talent de l'éternel bras tendus à la quête d'aide internationale ayant du mal à sonner les caisses, le voyou IOG pense sauver son régime barbare en imposant le silence sur ses crimes par le ballonnement pur et simple de la liberté d’expression sur le Net.
En attendant la solution pour contourner le blocage de ce Blog du PRIDE à Djibouti, nous publierons en double nos articles ici, comme les sites sociaux, les pages Facebook et MySpace du PRIDE.
Ce geste n'est pas nouveau, d'autres rats de son espèce, de la Tunisie à l'Égypte s'y sont aventurés en espérant y trouver refuge, sans succès.
Non seulement notre lutte doit continuer, dorénavant nous appliquerons des nouvelles stratégies de déstabilisation de la cleptocratie, jusqu'à servir à IOG le prix de sa traitrise.
Abou Amin
0 <<< VOS COMMENTAIRES:
VOS COMMENTAIRES