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BIENTÔT, DJIBOUTI AUSSI DIRA "NON" AU NÉPOTISME DE L’ADMINISTRATION INDIRECTE DU PRÊTE-NOM.
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10 janvier 2014

DIEUDONNÉ M’BALA M’BALA, CELUI PAR QUI LA RÉSISTANCE S’ORGANISE, par Robert Bibeau

La classe ouvrière de France mène la guerre pour la liberté d’expression

Illustration du PRIDE et non de l’auteur du texte
La classe ouvrière choisit ses combats et c’est son droit. Depuis quelques années la classe ouvrière de France a choisi de mener la lutte sur le front idéologique de la lutte de classe pour le droit d’expression, le droit de réunion, le droit d’opposition, le droit d’organisation et  contre le délit d’opinion.

Quand le Ministre français de l’Intérieur exprime publiquement son aversion pour un artiste et suggère qu’il pourrait user de son titre ministériel pour poser des gestes inconstitutionnels comme d’interdire les spectacles à venir – non encore rédigés – d’un humoriste apprécié, l’accusant par contumace et par anticipation, d’être présumé coupable avant que d’avoir sévi ; on atteint des sommets de déraison que l’on aimerait voir condamnés par le Président de la République pas encore fasciste. On voudrait entendre le Premier Ministre, patron de ce Ministre délinquant, rappeler à l’ordre ce garnement.

Au contraire, le collègue du précédent, Ministre de l’Économie et des Finances, empêtré dans la crise économique, le chômage et les scandales financiers, en rajoute et invite les citoyens à empêcher l’artiste de gagner son pain. Il signe même de sa main les affidavits administratifs de poursuite destinés à ce citoyen lambda somme toute plutôt moyen. Le Ministre n’avait pas pris cette peine dans l’affaire Bettencourt multimilliardaire héritière de la fortune l’Oréal ;  ni dans l’affaire Depardieu, multimillionnaire fuyant le fisc parisien ; non plus qu’à propos d’Arnault, première fortune de France, s’éclipsant vers la Belgique.

Comme le souligne Dieudonné, comment va-t-il  payer plus d’impôts si le Ministre des finances milite activement pour le boycott de ses propos ? Une question tout aussi irritante me tourmente : depuis quand un Ministre des finances tient-il inquisition et joue-t-il les censeurs contre les spectateurs ?

Et voici qu s’avance au milieu de la mêlée, au centre de l’allée des strapontins ministériels, la daube noire de service, désignée à la Justice, miss Christiane Taubira, fraichement cooptée Garde des Sceaux parmi les marguillers en procession vers l’Élysée. La fugace Ministre tient mordicus à apporter sa contribution dans la guerre contre le trublion, celui par qui la résistance s’organise. La dame appelle au lynchage public de l’inconscient, professe des menaces et exige des sanctions toujours plus salaces. La Ministre de la Justice, redevable devant soixante-six millions de français, s’épanche d’une déclaration dans les médias internationaux à l’encontre d’un commettant, affirmant sa résolution à faire taire l’insolent. Mais consciente de la guerre de classe en cours, elle s’en prend également au public du troubadour, créant séance tenante le délit de perversion humoristique : «Faut-il que son talent soit stérile pour qu’il n’ait d’autres motifs pour faire s’esclaffer des esprits irresponsables ou incultes ou pervers, qu’une tragédie, un génocide (…)». La Dame des bayous,«Garde des Sceaux», en rajoute : «Il faut donc descendre dans l’arène, disputer pied à pied, pouce par pouce l’espace de vie commune, faire reculer cette barbarie ricanante (sic) la refouler, occuper le terrain par l’exigence et la convivialité.» (1). Depuis quand le lynchage, l’acharnement juridique, l’invective d’une Ministre de la Justice contre le public français sont-ils les instruments exigés de la convivialité? Assurément il y a quelque chose de pourri au royaume de  Sacha Guitry (2).

Force est de constater qu’il y a bien une affaire Dieudonné M’bala, un humoriste né en France de mère française et de père camerounais. Trois questions nous interpellent avec insistance. La première : quelles sont les sources et les motifs de l’affaire Dieudonné ? La deuxième : quels en sont les protagonistes ? La troisième : Où espère-t-on aller à l’Élysée avec cette persécution publique contre Dieudonné ?

Quels sont les sources et les motifs de l’affaire Dieudonné ?

Pour répondre à cette question il faut convenir de quelques prémisses, jamais affirmées mais toujours appliquées sans mots dires en ce royaume autocratique poujadiste.

    La société française est une société extrêmement hiérarchisée, normée, régulée, engoncée dans des protocoles imposés par des pontes qui se cooptent sans jamais avoir été accrédités par la populace. La nouvelle oligarchie gouvernementale vient nécessairement des Grandes écoles et pour mériter la notoriété de maire-député, le candidat doit avoir passé par ces «Tours d’Argent» obligées. Les aristocrates de la langue – plastronnée à l’Académie française – imposent leur diktats sur la langue parlé par des millions d’individus. La communauté francophone du monde entier traine ce boulet d’une grammaire imaginée à une époque où l’aristocratie conservait l’expression écrite comme son fief exclusif. Nous savons aujourd’hui ce que les jeunes font de ce fourbi. Combien de fois n’ai-je entendu hébété un africain aliéné, plus français qu’un métropolitain, s’écrier que tout citoyen doit respecter le Président de la République, que ce dernier soit un saint ou un vaurien. Un crétin en autorité devrait conserver sa renommée !

    De l’axiome qui précède, il découle que chaque classe sociale et chaque segment de classe joue son rôle social global. Il ne viendrait pas à l’idée d’un petit-bourgeois de durement critiquer son Président sur les ondes, sous peine d’être saqué. Les dernières entrevues téléguidées par Sarkozy montraient cette animatrice se contorsionnant pour ne pas poser la question qui tue à son ami et Président

    La société française entretient une relation singulière avec la culture et les médias censés propager la culture élitiste. Il y a là aussi des règles non-écrites mais respectées par tous (ou presque). L’une d’elle dit que le terrain des médias à la solde est la chasse gardée de la petite-bourgeoise intellectuelle qui ne doit en faire usage qu’au bénéfice de ses maîtres. Ceci étant admis – les chefs d’antennes, les directeurs de pupitres, les éditorialistes, les animateurs radio et télés peuvent exposer toutes les insignifiances qu’ils voudront à condition que la classe ouvrière n’y soient jamais représentée – la vie d’un esclave salarié n’offrant rien de palpitant pour les téléspectateurs aliénés qui doivent être abreuvés des péripéties de la vie de Johnny et de la propagande-informative – prédigérée – analysée et interprétée,  ne laissant que les onomatopées à déclamer par le spectateur passif et compassé.  Les artistes, les écrivains, les journalistes, les politiciens sont soumis à cette loi d’airain tout comme l’animateur télé dont le rôle est de leur faire faire leur tour de piste, chacun selon son cirque : «Parlez beaucoup pour ne rien dire ça devrait suffire, de toute façon le temps d’antenne vous est compté».

    Ce pattern d’ensemble ne souffre aucune incartade – aucune initiative intempestive – aucune saute d’humeur non approuvée par les autorités et aucune originalité incontrôlée sur les plateaux fragilisés où à la fin on vous dira que cette salade a toujours été servie aux différents publics desservis qui ne réclament rien de plus exquis. Les audimats (cotes d’écoute) identifient celui qui déroge à cette routine et qui le paie par des tarifs publicitaires en déprime. Comme ceux qui réclament et ceux qui achètent la réclame sont les mêmes – la machine programmatique et l’appareil de propagande fonctionnent en tandem, de la façon convenu, ce que confirment les sondages. Jusqu’au jour où un grain de sable se glisse dans l’engrenage. En France aujourd’hui ce grain de sable a pour nom Dieudonné M’bala M’bala.

Qui sont les protagonistes de cette controverse idéologique ?

Un artiste, un humoriste, un journaliste, un politique, un intellectuel déviant (Jean-Paul Sartre pendant sa phase maoïste étant l’exemple probant) qui ne respecte pas ce code d’éthique inédit – jamais dit mais toujours admis – complique la vie des Égéries. Arrive Dieudonné croyant naïvement à la liberté d’expression, faisant fi des tabous – des non-dits, manquant de respect envers les intouchables-innommables, ceux dont on ne prononce le nom qu’après avoir fait génuflexion, négligeant le fait que cette immense machine de propagande n’est pas faite pour informer mais pour désinformer et pour tromper en ayant l’air d’interroger des commentateurs ignares – venus faire la promotion de leur dernier manuscrit – toujours prompt à retourner l’ascenseur à l’animateur lui-même éditeur de quelques pensées plagiées.

Qu’un débutant s’enfarge faute de maîtriser le rituel du cérémonial télévisé; qu’il dise des choses non admises, à la limite du proscrit, il n’y a là rien d’inédit. L’animateur lui présentera une question complémentaire accompagné de la réponse à braire – ou alors un autre intervenant sur le plateau, flanqué là pour ce boulot, se chargera de rappeler le béotien à l’ordre de la pensée unique – prête à consommer et au service des riches.

La sélection des privilégiés du quotidien et de l’antenne ayant lieu avant la scène, Il arrive rarement qu’un artiste, un journaliste, un analyste, un politique fasse la sourde oreille et continue à déblatérer pour faire croire que les médias sont là pour informer. Car aussitôt l’amicale des chacals – animateurs, chefs de plateau, éditorialistes et plumitifs – lance le mot d’ordre de boycott général – et si certains ne semblent pas avoir compris, alors un thuriféraire accrédité – un intellectuel abouché avec les autorités – lance une «fatwa» contre le malfrat. Jusqu’ici inutile d’ameuter les Ministres et les plénipotentiaires accrédités auprès des chancelleries.

C’est ici qu’un humoriste, coupable d’outrage au pouvoir idéologique despotique, devient le «cas Dieudonné». Et plutôt que de faire amende honorable et de se taire après s’être confondu en décharge, jurant de ne plus jamais récidiver – l’humoriste tient tête et en remet. Le voici qui use du droit d’expression, d’opinion, de réunion, d’organisation, d’opposition, sans restriction et sans autorisation. C’est la profession même de meneur d’antenne, de faiseur d’opinion, de créateur de consentement, de lèche culs des puissants et de leurs adjudants que cet artisan du spectacle joue à la roulette des audimats.

Où va l’État bourgeois français si tout un chacun peut émettre et diffuser publiquement des idées non normées – non politiquement approuvées ? Si n’importe quel croquant peut quitter son studio et monter sur le plateau pour être entendu par la multitude des frustrés, des enragés paupérisés qui n’attendent que cela pour maugréer contre le pouvoir dépravé ? Pire, avec les nouveaux moyens de télécommunication un artiste comme Dieudonné peut déposer une vidéo sur Youtube  qui sera visionnée par quelques millions de révoltés. Le monopole de la parole n’est plus respecté et même la ligue des biens pensants – accrédités parce qu’assujettis – ne parvient plus à colmater l’hémorragie de la pensée libérée.

Où espère-t-on aller à l’Élysée avec cette persécution contre Dieudonné ?

Les salariés de France ne s’y sont pas trompés, qui se mobilisent pour défendre le droit d’expression et d’opinion de Dieudonné, pour défendre le porte-parole des sans voix, comprenant parfaitement que ce sont les droit d’opinion, d’expression, d’opposition, de réunion et d’organisation qui sont remis en question. L’État policier ne doit pas imposer le délit d’opinion. C’est un niveau de conscience populaire qui ne fait pas l’affaire des thuriféraires qui se liguent et appellent au boycott total du résistant afin de rétablir leur autorité despotique malmenée. Encore un peu et leurs patrons exigeront des comptes à ces poltrons incapables de faire taire l’humoriste grégaire et populaire.

Voilà pourquoi chacune de ses paroles est devenue une affaire d’État policier. C’est le pouvoir de manipulation de l’information et de l’opinion qui sont en jeu et la propagation de cette  fronde populaire menace l’édifice étatique capitaliste. L’intervention du CRIF et de la section sioniste du patronat et des banquiers français n’est que fortuite. Pour des raisons historiques cette section du grand capital français est mieux organisée et plus prompte à se mobiliser pour une répartie planifiée. Dieudonné a même eu le courage de prendre fait et cause pour le valeureux peuple Palestinien, attirant de ce fait l’opprobre du contingent sioniste et de tous les autres segments des capitalistes français.

La rancœur gronde à Matignon. Une exécution médiatique et artistique sommaire a échoué. L’affaire est en train de prendre des proportions internationales. Ce sont les  coolies du stylo, du clavier et des plateaux qui ont appelé les apparatchiks gouvernementaux à la curée afin d’étouffer cette fronde sociale pour le droit d’expression, d’opinion, de réunion et contre le maintien de l’hégémonie des riches sur les idées véhiculées dans la société.

Le crime de Dieudonné ce n’est pas l’antisémitisme, pas même l’antisionisme, c’est la résistance flamboyante au despotisme idéologique des riches. Pour ces milliers de coolies de la radio, des journaux et des plateaux, perdre la guerre Dieudonné c’est de voir contester leur autorité et se vider l’auge où ils ont l’habitude de se goinfrer.

Pour les ouvriers et les salariés paupérisés et révoltés, les quenelles et Dieudonné sont devenues des symboles de résistance populaire contre l’oligarchie honnie. La guerre de classe est engagée sur le front idéologique d’une lutte à finir. Les ministres Vals, Moscovici, Taubira ne s’y sont pas trompés et lancent l’offensive afin de faire taire ce pestiféré, gênant pour la puissante machine de l’État policier. Mais ce faisant, chaque agression menée contre le citoyen Dieudonné montre la fragilité de l’État tétanisé. Pensez donc, un homme seul contre tout un gouvernement et une coterie de médias propriétés de milliardaires déchaînés. Mais en réalité ce que Dieudonné est en train de démontrer c’est qu’un homme ostracisé par les célébrités, qui ose affronter l’appareil de répression gouvernemental et médiatique, trouve des milliers et des milliers de salariés pour le seconder et l’appuyer.

Désormais, chaque exaction contre Dieudonné, y compris «l’anataxe-shohananas», agrandira et galvanisera le cercle de ses amis qui ira en s’élargissant tandis que la quenelle ira en s’amplifiant. Je crois que 2014 verra l’effondrement de ce gouvernement délirant, battu par «David» M’bala M’bala à la quenelle géante et insolente.

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UNE OPPOSITION RESPONSABLE ET CRÉDIBLE.

Le parti PRIDE appelle l’opposition à assumer pleinement son rôle. Lançons l’organisation d’un Congrès qui unira nos efforts, nous donnera la crédibilité nécessaire et l’appui de la communauté internationale pour une transition exigeant non seulement le respect de la constitution mais aussi la reforme du scrutin électoral et les dispositions préalables pour en assurer la transparence avant les prochaines élections de 2011.


Le peuple veut voir une opposition responsable autour d’une table ronde ou chaque parti sera représenté par 5 membres de leur direction et d’observateurs Djiboutiens.


Chaque parti tout en gardant ses affiliations, contribuera à édifier un document fort, engageant et prometteur, ralliant la population Djiboutienne toute entière dans sa diversité, contre le ballon vide d’IOG, à la mode Ukrainienne. Le document final signé par les parties, sera soumit aux pays médiateurs choisis au Congrès et aux institutions internationales.


DE LA SAGESSE, UNE VISION ET DU COURAGE, EST-CE TROP DEMANDER?


Le rôle de ces observateurs Djiboutiens comme la préparation du congrès, sera confié à une agence spécialisée dans l’exercice de cette fonction et un comité ou une entité neutre assumera la coordination et la préparation des documents du Congrès, entre cette agence et les parties ayants exprimées leur volonté d’y participer.


Dans un souci de transparence et de tenir le peuple informé, à défaut d’être diffusés en direct sur l’internet, tous les travaux de ce congrès doivent être vidéo-enregistrés.


Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie : PLAN D’ACTION POUR UN FRONT COMMUN.

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CONSTITUTION DE LA RÉPUBLIQUE DE DJIBOUTI : EN FRANÇAIS ENGLISH

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