Robert Mugabe, une victoire écrasante à l'issue d'élections législatives et présidentielles où son parti la Zanu-PF et lui-même remportent plus de 60% des voix.
La Commission électorale du Zimbabwe a déclaré le président sortant Robert Mugabe vainqueur de l'élection de mercredi dernier.
L'Union africaine, a elle qualifié les élections de "crédibles". Une position similaire est adoptée par la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC).
Des élections pacifiques avec une participation dépassant les 65%, saluées par plusieurs dirigeants africains, dont le président Sud-Africain Jacob Zuma, félicitant M. Mugabe pour ces élections "réussies".
Les chiens aboient et la caravane suit son chemin vers l’autodétermination, perchée au sommet du plus haut taux d'alphabétisation de populations du continent avec 90,70% ; les oiseaux du Zimbabwe continueront à chanter aux rythmes des nationalisations et distributions des richesses du pays aux indigènes, tandis que les charognes et prédateurs continueront de l'accuser de tous les mots de leurs disettes, en focalisant la propagande sur le fait qu’il soit au pouvoir depuis l’indépendance.
Si ce critère de la longévité ne pouvait que pénaliser toute « démocratie » :
-- Pourquoi supportent-ils depuis des siècles à ce jour, une même famille régnante à travers toute l'Europe, de l'Angleterre, au Pays-Bas, la Belgique, l'Espagne, le Danemark, la Suède et la Norvège ?
-- Pourquoi celles du Maroc au Bahreïn sont-ils tous des alliés depuis presque un siècle?
-- Pourquoi des marionnettes du père au fils, du Gabon au Togo, usent-elles les tapis rouge depuis plus de 40 ans ?
-- Pourquoi l’U.E, vient-elle en Février 2013, certifier le vol à Djibouti, ainsi que le 3ème mandat inconstitutionnel d’IOG en 2010, d’un pouvoir transmit de l’oncle au neveu depuis 36 ans ?
-- Et enfin si la longévité n’était néfaste que, dans les pays d’Afrique en développement continu avec le plus haut taux d’alphabétisation du continent, ayant mis le FMI et la BM à la porte, redistribuant les richesses du pays aux indigènes spoliés par les accords mafieux postcoloniaux ; doit-on nous les africains, devenir complices de cette prédation au nom d'une démocratie sabotée partout sur le continent par ceux-là même dont les discours et les actions sont aux antipodes ?
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)
La Commission électorale du Zimbabwe a déclaré le président sortant Robert Mugabe vainqueur de l'élection de mercredi dernier.
L'Union africaine, a elle qualifié les élections de "crédibles". Une position similaire est adoptée par la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC).
Des élections pacifiques avec une participation dépassant les 65%, saluées par plusieurs dirigeants africains, dont le président Sud-Africain Jacob Zuma, félicitant M. Mugabe pour ces élections "réussies".
Les chiens aboient et la caravane suit son chemin vers l’autodétermination, perchée au sommet du plus haut taux d'alphabétisation de populations du continent avec 90,70% ; les oiseaux du Zimbabwe continueront à chanter aux rythmes des nationalisations et distributions des richesses du pays aux indigènes, tandis que les charognes et prédateurs continueront de l'accuser de tous les mots de leurs disettes, en focalisant la propagande sur le fait qu’il soit au pouvoir depuis l’indépendance.
Si ce critère de la longévité ne pouvait que pénaliser toute « démocratie » :
-- Pourquoi supportent-ils depuis des siècles à ce jour, une même famille régnante à travers toute l'Europe, de l'Angleterre, au Pays-Bas, la Belgique, l'Espagne, le Danemark, la Suède et la Norvège ?
-- Pourquoi celles du Maroc au Bahreïn sont-ils tous des alliés depuis presque un siècle?
-- Pourquoi des marionnettes du père au fils, du Gabon au Togo, usent-elles les tapis rouge depuis plus de 40 ans ?
-- Pourquoi l’U.E, vient-elle en Février 2013, certifier le vol à Djibouti, ainsi que le 3ème mandat inconstitutionnel d’IOG en 2010, d’un pouvoir transmit de l’oncle au neveu depuis 36 ans ?
-- Et enfin si la longévité n’était néfaste que, dans les pays d’Afrique en développement continu avec le plus haut taux d’alphabétisation du continent, ayant mis le FMI et la BM à la porte, redistribuant les richesses du pays aux indigènes spoliés par les accords mafieux postcoloniaux ; doit-on nous les africains, devenir complices de cette prédation au nom d'une démocratie sabotée partout sur le continent par ceux-là même dont les discours et les actions sont aux antipodes ?
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