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Djibouti et la Banque mondiale signent mardi un important accord de financement de 19,2 millions USD, couvrant plusieurs projets, axés sur les domaines de l'éducation et de l'énergie, paraphé à Washington par l'ambassadeur de Djibouti aux Etats-Unis et représentant permanent auprès des Nations Unies, l'éternel homme de main d'IOG, M. Robleh Olhayé.
Ces 2 institutions, FMI et Banque Mondiale savent pertinemment que tous ses fonds publics seront détournés vers l'économie en coupe réglée par le camp présidentiel et cette corruption étatique qui dépasse l’entendement, mais continuent comme même à fournir et maintenir ce régime en vie.
Cette convention prévoit officiellement, le financement de 4 projets qui ne verront jamais le jour :
- Le premier porte sur les filets de protection sociale et mobilise une enveloppe de 5 millions USD.
- Le deuxième projet cible l'accès à l'électricité et la diversification des sources d'énergie et sera financé à hauteur de 5,2 millions USD.
- Le troisième projet qui est consacré à l' appui des capacités institutionnelles et la gestion du système éducatif se voit octroyer une enveloppe de 6 millions USD.
- Enfin, une dotation budgétaire de 3 millions USD est allouée au quatrième projet consacré au développement rural communautaire et la mobilisation des ressources hydriques, plus connu sous le nom de PRODERMO.
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Le Programme des Nations pour le développement (PNUD) et l'Union nationale des femmes djiboutiennes ont signé jeudi une convention de financement pour le projet de relèvement post-sécheresse pour les communautés rurales du nord et du sud du pays.
Cette convention de financement s'élève à 88 millions de francs Djibouti (497 175 USD), paraphée par la coordinatrice du système des Nations Unies à Djibouti et représentante résidente du PUND, Mme Hodane Abdillahi Haji Mahamud, et la vice-présidente de l'Union nationale des femmes djiboutiennes, Mme Aicha Gaas Mohamed.
Dans ce projet, une vingtaine de puits seront construits ou réhabilités à travers la modalité "argent contre travail" versus sans doute l'ancienne modalité qui nous offrait de l'"argent sans travail", alors, finit la gratuité, les fainéants djiboutiens, devront travailler cette fois pour être payé, une belle duperie.
Cette modalité, nous disent-ils, permettra à 200 femmes et hommes d'améliorer leur moyen de subsistance, du moins après lecture de cette annonce, ils auront le droit de visualiser en rêve ce projet, ne serait ce qu'une nuit.
Et voici comment Mme la Présidente souhaite qu'on visualise l'arnaque :
- En plus de construire des ouvrages hydrauliques durables avec leurs propres mains, les communautés rurales recevront un payement pour ce travail.
- Le projet va aussi entreprendre la distribution de bétails au profit de 100 familles qui ont perdu leurs cheptels dans les deux régions du nord et du sud du pays.
- Sera également mis en place à travers ce projet 20 jardins familiaux pour améliorer la sécurité alimentaire d'une vingtaine de familles.
- Pour diversifier le moyen de substance de femmes, près de 200 femmes seront formées aux techniques de fabrication de produits artisanaux.
- Enfin ce projet innovateur va soutenir la prochaine rentrée scolaire des orphelins de ces deux régions.
Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie
– Le SG : Bourhan Bey (Abou Amin)
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