DJIBOUTI : CE VENDREDI COMME À TOUS LES SUIVANTS

Le PRIDE appelle ses militants et toute la population durant ces prières des vendredis, comme lorsque nos religieux sur l'ordre d'IOG, nous conviaient à prier pour ramener la PLUIE, de prier cette fois à ce que l'opposition retrouve les esprits et la voie du dialogue, là maintenant et non après le vide à la tête du régime.

S'ils prétendent être démocrates et en mesure de gouverner ce pays dans toute sa diversité, alors ils devraient savoir que les chèques en blancs on y a déjà goutté de 77 à nos jours.
Le changement doit faire face à la transparence, la mise à l'épreuve et le jugement du peuple et non aux intérêts d'un groupe dans le secret d'un mabraze.

L'art de la négociation et persuasion sont les armes des grands de ce monde, alors que les raccourcis et le chaos comme, la torture, la répression et l'arbitraire d’IOG ne servent qu'à fuir ces responsabilités.

Par conséquent le mode opératoire actuel de l’USN, version 2.0 de l'UAD, n'est pas plus rassurant que ceux de Gouled et IOG, d’où l’isolement de l’USN et boycott de toute improvisation post-électorale par les Braves.

Suite au massacre d’Obock le 30 Décembre 2012, le régime semble accorder la présomption d’innocence au Secrétaire d’État à la Jeunesse et aux Sports, M. Djama OKIEH, en le maintenant à son poste, jusqu’à sans doute la fin de l’enquête lorsque des accusations seront portées à son encontre. Déjà plus de 2 mois que les Obockois attendent que justice soit rendue.

En bon démocrates épris de justice et d’équité, le PRIDE demande le même traitement à toute personne arrêtée durant ces tentatives de déstabilisation du pays, sans aucune relaxe pure et simple contournant l’application de la justice dans le respect et la dignité humaine, la présomption d’innocence et le droit d’être représenté par un avocat du barreau.

Ceux qui clament ces relaxes au nom d’un critère d’appartenance à un parti, une coalition ou une opposition politique, tout en s’affichant démocrates, n’ont tout simplement aucun égard au droit et aucune considération aux institutions qu’ils ambitionnent administrer un jour.

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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)