Si on se base sur les études d’experts, le sous-sol de Djibouti ne manque pas d’eau et même si c'était le cas, un pays géré par des gens responsables, assisté par tous ces experts internationaux présents à Djibouti, se devait de prévoir cette échéance et préparer des alternatives comme installer des usines de dessalement et de purification de l'eau de mer depuis longtemps.
SI UNE PETITE ENTREPRISE COMME COUBÊCHE A PU LE FAIRE POUR VENDRE SON EAU "CRISTAL", COMMENT SE FAIT-IL QUE L'ÉTAT NI AIT PAS PENSÉ ???
Pour ça, il aurait fallu que le Pirate IOG et ses valets en mettent un peu moins dans les poches, ce qui est inconcevable devant la cupidité de gens dont la présence à Djibouti est de se faire le maximum de blé avant tout soulèvement du peuple.
Annoncer sans gêne à toute la population d'un pays qu'ils n'auront pas d'eau potable, du jour au lendemain, ça dépasse l'entendement, c’est inédit, une nouveauté pour laquelle Djibouti méritera encore une autre première place dans le concert des nations.
Lorsque la station de pompage fonctionne normalement, ce qui n’est pas toujours le cas, l’eau pompée disparait en totalité dans le sous-sol aride avant d’arriver dans les foyers, ceci est causée par la cupidité et la négligence criminelle des dirigeants de ce pays depuis l’indépendance.
Une terre salée, la chaleur excessive et l’absence totale de maintenance et le remplacement des canalisations datant de l’époque coloniale sont responsables de la catastrophe humanitaire que vie actuellement Djibouti.
Rappelons-nous du rapport de l’Union Européenne : ""L’insuffisance ou l’absence d’investissements et de maintenance des infrastructures dans la capitale dans le passé font que le réseau d’assainissement liquide et solide ne répondent plus depuis longtemps ni aux besoins sanitaires de la population ni à ceux de la protection de l’environnement.""
IOG, le plus grand idiot à avoir foulé cette terre des Braves, nous disait récemment qu’il violerait notre constitution pour "achever une tâche", avec le recul on comprend en quoi consistait sa tâche ; exterminer la population de Djibouti par la faim et la soif, faire fuir ceux qui restent de la résistance et finir la reconfiguration de Djibouti repeupler d’étranger qui seront éternellement gouvernés par la Dynastie des Guelleh et sa Monarchie à venir.
Fin 2010, au dernier congrès du RPP (Rassemblement des Pilleurs du Peuple), il posait une question à ses valets réunis pour l’occasion : ""Sommes-nous dans une République ou une Monarchie du Golfe ?""
C’était un aperçu du projet final, et vous savez tous à Djibouti, avant une décision IOG lance toujours la rumeur pour préparer les moutons à sa décision prochaine. Les preuves sont là devant nos yeux mais on refuse d’y croire, il est entrain de placer ses enfants à tous les postes stratégiques du pays. Bientôt il rebaptisera le pays : Les Émirats des Guelleh.
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Par le Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie
– Le Secrétaire Général : Bourhan M. Ali
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La Voix de Djibouti du 14 juillet 2011 - Édition No 76 :
L'eau des citernes tue à Djibouti
Comme nous le dénonçons souvent dans ces modestes colonnes, la soif fait fureur à Djibouti. La pénurie d'eau affecte même la présidence de la République où les toilettes en peuvent plus servir faute d'eau, ce qui contraint le personnel à un difficile exercice de rétention de ses besoins naturels.
Face à ce grave problème qui frappe particulièrement la capitale où se concentre la plus grande partie de la population djiboutienne, le chef de l'État se contente de bricoler et de donner du gras à quelques-uns. Il mobilise ainsi quelques citernes privées à eau. Mais, comme il y a trop peu de citernes, il faut attendre qu'il en passe une durant des heures et des heures, sur le trottoir, sous le soleil brûlant ou dans la nuit noire, près de son récipient à eau, puis l'acheminer rempli jusqu'au domicile avec la force de ses muscles.
Plus grave encore, certains de ces camions-citernes sont des vidangeurs de fosses sceptiques mal stérilisés et qui sont autant de bouillons d'agents pathogènes. C'est dire s'ils distribuent autant de fûts d'eau que de maladies. Ils viennent de faire leur première victime en la personne de Bilane Ismaël Ali, une fille de huit ans habitant la
Le PRIDE : ""ET AU MOMENT DE CE DRAME, DANS UN CONTRASTE FLAGRANT ET D'UNE INDÉCENCE CRIMINELLE""
La Voix de Djibouti du 14 juillet 2011 - Édition No 76 :
Une fille du couple présidentiel invite ses amis rappeurs aux frais de l'État
Mardi 5 et mercredi 6 juillet 2011, à l'invitation de Fatouma-Awo Ismaël Omar, fille aînée de l'union entre Ismaël Omar Guelleh et Kadra Mahamoud Haid, se sont produits à Djibouti des groupes de rappeurs français et américains venus aux frais de l'État djiboutien. C'est la Banque nationale de Djibouti (BND), dirigée depuis 1994 par le beau-frère du chef de l'État et oncle maternel de l'organisatrice, Djama Mahamoud Haid, qui a payé la facture de transport des rappeurs et de leur matériel en puisant dans la caisse de la BND. Une facture salée, on l'imagine, compte tenu du nombre d'artistes et de l'importance de leur matériel. De même, la jeune Fatouma-Awo a claqué du doigt pour loger et nourrir sans payer ses invités artistes.
Ces jeunes rappeurs ont tenu leur concert à l'hôtel cinq étoiles Kempinski de la capitale djiboutienne, avec entrée payante. Les recettes ? Empochées par l'organisatrice Fatouma-Awo, par ailleurs co-gérante avec Wissam Kassim de la société familiale ICC (Independent Construction Company), et par ses amis artistes. Ce, en plus des contributions réglées rubis sur l'ongle par des commerçants apeurés de la place.
Et c'est la seconde année qu'une telle opération se réalise à Djibouti où elle est pompeusement baptisée Festival Djib Urban.
Ces jeunes artistes originaires pour la plupart d'Afrique, continent où des peuples (notamment au Nord) se révoltent contre les dictateurs et contre la mise en coupe réglée des ressources publiques, doivent savoir que le couple présidentiel djiboutien n'a rien à envier au tristement célèbre couple dictatorial tunisien Leila Trabelsi-Zinedine Ben Ali.
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