Soit on se soumet aux diktats sans conditions, sans critique ni droit de regard, d’un autre groupe d’illuminés assoiffés de pouvoir, adeptes singeant IOG, du népotisme à la manipulation politique, la culture de la célébration du crime et le banditisme, soit ils nous imposent à tous comme ces 10 dernières années, le maintien au pouvoir d’un régime abjecte par l’immobilisme d’une coalition fantôme et la perpétuelle division !!!
Que ces espèces en voie de disparition se le tiennent pour dit, Au PRIDE, nous sommes ni pour l’un, ni pour les autres, tel le faux choix entre l’hérésie et l’inquisition, ou la peste et le choléra.
La déclaration universelle des droits de l’homme, la charte africaine des droits ainsi que la constitution de la République et lois coranique, garantissent à tout citoyen de Djibouti des libertés et des droits, dont entre autres ; la liberté de vivre heureux à l'abri du besoin et à l'abri de la peur.
Notre génération refusera CATÉGORIQUEMENT de se soumettre au césarisme et la prostitution intellectuelle.
Nous comptons très prochainement,
MOI EN PREMIER ainsi que la direction encore dans la diaspora, quel qu’en soient le prix et les sacrifices, faire dorénavant respecter les CHOIX du peuple - bien que nous soyons déjà présent sur le terrain à travers tous nos militants, fidèles à nos idées par convictions, ceux-là même grâce à qui nous avons réussi à mettre un terme à la folie du machin USN - faire valoir sur place, notre vision du changement que partage la majorité, en rentrant au bercail. Signifiez au régime Guelleh que
LA RÉCRÉATION est TERMINÉE et ramener à la raison le machin USN avec une direction à la hauteur des défis présent et futur, et non des clowns de l’époque coloniale.
Voici les commentaires et questions auxquelles il nous faut répondre à tous les jours :
- Qu’est-ce qui ce passe Abou Amin ? – On fait quoi ?
- C’est toujours la même prescription ou un homme, seul, créer l’évènement, prenant à tous coups cette opposition à la veste, toujours en retard en mode réaction, jamais n’anticipe, ni prête ni responsable de rien, éternellement victime de sa division par conséquent d’un manque de vision et programme politique commun.
- Pour quand l’union chers compatriotes ? – Quand vont-ils décider de tourner cette page ?
Aussi pertinentes les unes que les autres, ces réflexions exposent l’ampleur du malaise politique au sein de l’opposition et non du régime qu’on tient tous pour acquis qu’il doit partir, versus le degré de maturité d’une population par rapport à sa clique d’auto-proclamée représentants du peuple et chefs de parti de la dérision.
Si mal informée elle l’était, manipulée par le pouvoir - depuis le 8 Février 2013 - d’une épreuve à l’autre – cette population n’a de cesse confirmé sa parfaite maitrise des enjeux politiques. Tantôt par nécessité et collectivement solidaire avec l’USN durant les législatives, tantôt unanimement boycottant l’incohérence, le ridicule et les dangers de l’obscurantisme d’une direction prisonnière de l’individualisme et les ambitions personnelles, singeant jusqu’à la finition, le mode opératoire du pouvoir henni.
Ce qui se passe sous nos yeux depuis le 25 Février 2013, n’est tout simplement qu’une répétition de l’histoire, l’illustration même du monde d’aujourd’hui, où différentes structures censées être d’émanation populaire, ne sont en fait que des structures dictatoriales et des machines à broyer.
« Jadis il fallait craindre de mourir dans le déshonneur, ou dans le péché. Aujourd'hui, il faut craindre de mourir idiot. », disait Jean Baudrillard.
Je suis tenté de dire à nos jeunes ; ne devenez pas adulte c'est un piège, mais voilà, sous la coupe de 3 septuagénaires passés dates, tel un médicament périmé dont le grossier pharmacien substituerait les dates de prescription pour écouler son stock, en s’inquiétant le moindrement des conséquences, s’entêtent à vouloir décider sans gêne, du destin d’une génération de loin d’une autre époque que la leur et je nomme d’une part le génocidaire notoire Ismaël Guedi, ainsi que les 2 saboteurs de la communauté Afar ; Ahmed Youssouf et Mohamed Daoud.
Et pour en rajouter une couche, de l’autre on a 2 bandits naturalisés qui, dès leur arrivée au pays des Braves, étaient déjà foncièrement persuadés d’être dans un canton de la région de Diré-Dawa sous tutelle de la tribu Issa, dont les clans dans une classe à part, ne pouvaient que devenir dirigeant ou spoliateur ; je nomme Boreh et DAF.