Que ces espèces en voie de disparition se le tiennent pour dit, Au PRIDE, nous sommes ni pour l’un, ni pour les autres, tel le faux choix entre l’hérésie et l’inquisition, ou la peste et le choléra.
La déclaration universelle des droits de l’homme, la charte africaine des droits ainsi que la constitution de la République et lois coranique, garantissent à tout citoyen de Djibouti des libertés et des droits, dont entre autres ; la liberté de vivre heureux à l'abri du besoin et à l'abri de la peur.
Notre génération refusera CATÉGORIQUEMENT de se soumettre au césarisme et la prostitution intellectuelle.
Nous comptons très prochainement, MOI EN PREMIER ainsi que la direction encore dans la diaspora, quel qu’en soient le prix et les sacrifices, faire dorénavant respecter les CHOIX du peuple - bien que nous soyons déjà présent sur le terrain à travers tous nos militants, fidèles à nos idées par convictions, ceux-là même grâce à qui nous avons réussi à mettre un terme à la folie du machin USN - faire valoir sur place, notre vision du changement que partage la majorité, en rentrant au bercail. Signifiez au régime Guelleh que LA RÉCRÉATION est TERMINÉE et ramener à la raison le machin USN avec une direction à la hauteur des défis présent et futur, et non des clowns de l’époque coloniale.
Voici les commentaires et questions auxquelles il nous faut répondre à tous les jours :
- Qu’est-ce qui ce passe Abou Amin ? – On fait quoi ?
- C’est toujours la même prescription ou un homme, seul, créer l’évènement, prenant à tous coups cette opposition à la veste, toujours en retard en mode réaction, jamais n’anticipe, ni prête ni responsable de rien, éternellement victime de sa division par conséquent d’un manque de vision et programme politique commun.
- Pour quand l’union chers compatriotes ? – Quand vont-ils décider de tourner cette page ?
Si mal informée elle l’était, manipulée par le pouvoir - depuis le 8 Février 2013 - d’une épreuve à l’autre – cette population n’a de cesse confirmé sa parfaite maitrise des enjeux politiques. Tantôt par nécessité et collectivement solidaire avec l’USN durant les législatives, tantôt unanimement boycottant l’incohérence, le ridicule et les dangers de l’obscurantisme d’une direction prisonnière de l’individualisme et les ambitions personnelles, singeant jusqu’à la finition, le mode opératoire du pouvoir henni.
Ce qui se passe sous nos yeux depuis le 25 Février 2013, n’est tout simplement qu’une répétition de l’histoire, l’illustration même du monde d’aujourd’hui, où différentes structures censées être d’émanation populaire, ne sont en fait que des structures dictatoriales et des machines à broyer.
« Jadis il fallait craindre de mourir dans le déshonneur, ou dans le péché. Aujourd'hui, il faut craindre de mourir idiot. », disait Jean Baudrillard.
Je suis tenté de dire à nos jeunes ; ne devenez pas adulte c'est un piège, mais voilà, sous la coupe de 3 septuagénaires passés dates, tel un médicament périmé dont le grossier pharmacien substituerait les dates de prescription pour écouler son stock, en s’inquiétant le moindrement des conséquences, s’entêtent à vouloir décider sans gêne, du destin d’une génération de loin d’une autre époque que la leur et je nomme d’une part le génocidaire notoire Ismaël Guedi, ainsi que les 2 saboteurs de la communauté Afar ; Ahmed Youssouf et Mohamed Daoud.
Et pour en rajouter une couche, de l’autre on a 2 bandits naturalisés qui, dès leur arrivée au pays des Braves, étaient déjà foncièrement persuadés d’être dans un canton de la région de Diré-Dawa sous tutelle de la tribu Issa, dont les clans dans une classe à part, ne pouvaient que devenir dirigeant ou spoliateur ; je nomme Boreh et DAF.
Un autre évènement voit jour le 8 Février 2013, dont les termes étaient connus d’avances, auquel par tradition, cette opposition a attendu les derniers instants avant d’acquiescer à la demande du PRIDE pour la mise en place d’une coalition politique large et inclusive - improvisèrent une coalition électorale de principe dont le seul objectif connu à ce jour est ; le renversement du régime sans aucun détail sur les lendemains incertains d’un vide au sommet d’un pouvoir totalitaire vieux de 37 ans, ou les institutions phagocytées par le népotisme à toutes les hiérarchies, sont loin d’assurer une quelconque transition du pouvoir.
À l’échéance de la campagne, les mêmes parasites que nous forcions à une nouvelle dynamique par la participation active à ces élections, versus le boycotte inutile de ces 10 dernières années, afin de lancer un nouveau processus de mobilisation des masses, réfléchi et concerté, vers un nouveau paradigme du militantisme politique, préférèrent le même modus operandi ; la fuite en avant, afin d’éviter de se retrouver autour d’une table face à la vraie relève générationnelle ou ils seraient obligés de passer les consignes et le relais à ceux dont ils sabotent l’avenir depuis plus d’une décennie.
CETTE FOIS-ENCORE, ONT MIS LEURS INTÉRÊTS ET AMBITIONS, AVANT CEUX DE LA MAJORITÉ ET LA NATION - POUR ARRIVER À LEUR FIN, CERTAINS SONT ALLÉS DANS CE DESSEIN, JUSQU'À S'ISOLER DE LA DIRECTION ET LES MILITANTS DE LEUR PROPRE PARTI.Tout au long de la lecture du bel ouvrage de notre frère et compatriote, le Dr Ali Coubba dans son livre « Une Nation en otage », avec le recul, force est de constater, la notion d’otage qu’il abordait, se limitait largement à l’absence totale d’une relation gouvernant-gouvernée, entre les régimes successifs d’un oncle à son neveu d’une part et une population dans sa très grande majorité de l’autre. En réalité, la vérité est tout autre, si on prend en considération « LES » facteurs principaux de cette prise d’otage, ayant largement contribué à cet état et consenti à sa longévité, que furent : les divisions infantiles et l’égo d’une poignée d’hommes soûlés par leur petite personne que voués à une œuvre d’une dimension plus Nationale et l’insignifiance d’une opposition sectaire, dans son ensemble plus disposée à mimer le pouvoir qu’à vendre son propre produit.
DEVANT UN TEL VIDE DE CONTRE POUVOIR, AU PRIDE, NOUS SOMMES INTIMEMENT PERSUADÉS, AUCUN PRÉCÉDENT POLITIQUE N’ÉTABLIT, QUE CES AUTOPROCLAMÉS CHEFS INAMOVIBLES DE LA DITE OPPOSITION, À LA PLACE ET LIEU DE L'ACTUEL RÉGIME, N’AURAIENT GOUVERNÉ AUTREMENT OU PRÉSENTÉ AUJOURD’HUI UN BILAN AUTRE QUE CELUI D'IOG : D’OÙ NOTRE OPPOSITION À L’AGENDA POST-ÉLECTORAL DU MACHIN USN.NOUS RÉITÉRONS ICI AU PEUPLE DE DJIBOUTI, NOTRE APPEL DANS UN 1ER TEMPS ; À RENVOYER L’ACTUELLE DIRECTION USN, SUIVI D’UNE CONSULTATION ENTRE TOUS LES ACTEURS POUR LA FORMATION D’UN LEADERSHIP MOBILISATEUR SUR UNE VISION ET UNE FEUILLE DE ROUTE RASSURANTE DE LA TRANSITION.
Un peuple qui doit compter sur un être autre que lui est foutu, c’est ainsi que Frantz FANON nous résumait les leçons de toute une vie de militantisme et engagement politique : "" Politiser les masses, ce n'est pas, ça ne peut pas être faire un discours politique. C'est s'acharner avec rage à faire comprendre aux masses que tout dépend d'elles, que si nous stagnons c'est de leur faute et si nous avançons c'est aussi de leur faute, qu'il n'y a pas de démiurge, qu'il n'y a pas d'homme illustre responsable de tout, mais que le démiurge c'est le peuple et que les mains magiciennes ne sont en définitive que celles du peuple""
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)
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