Là ou vivent les plus mal loties de la capitale, sans Télé, sans Radio, sans Téléphone, sans Internet, dont la plus part sont des sans-papiers en situations irrégulières ; en somme ceux occupés plus à survivre qu’à décoder les enjeux politiques.
Pourquoi ne vont-ils pas dans les 5 régions ou ailleurs dans la capitale : Du Héron, au Plateau, du Quartier 1 à 7, de Einguela 1 à 2, du Cité Progrès à Ambouli en passant par Cartoon, de Boulaos à la Cité du Stade et les Cités de Gabode, et j’en passe ?
Tout simplement, cette majorité silencieuse à tout compris et préfère prendre leur mal en patience.
Sachant la brutalité du régime en place, mettre en danger une population aussi vulnérable, vivant dans la désolation et la misère apparente, en pleine zone hostile évoquant le camp de réfugiés de Dadaab au Kenya, juste pour combler des ambitions politiques, je dirai que l’USN est dirigé par des fous à lier et des irresponsables pathologiques, coincés dans la logique de la roulette russe. Il est temps de nous débarrasser de ses parasites.
Visionnez cette vidéo et vous constaterez ces faits par vous-mêmes.
Qu’elles que soient les risques, mêmes prévisibles, ne reculeront devant aucune infamie pour arriver à leur fin par des raccourcis et la désinformation. Semer le chaos social, faire chuter ce régime et prendre sa place en toute illégalité, voici l’agenda dont ils n’osent dévoiler le contenu.
-- Pour des démocrates ça fait un peu trop brouillon et comme politiques IOG pétera bientôt ses bretelles en héros sauveur : « Je vous avais prévenu, y a pas d’opposition politique à Djibouti ».
Et nous voici tous encore une fois, recalés à la case départ, le momentum des législatives et l’espoir de tout un peuple tués dans l’œuf par l’individualisme et les ambitions de quelques mercenaires du pouvoir.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)
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