Ali Abdallah Hassanlé |
Ali Abdallah Hassanlé, est ce garde du corps qui vient de sauver la vie à IOG en s'interposant entre lui et le tireur.
La table est mise : Un mercenaire Mamassan (Bas Fourlaba) adepte de la « Terre à nous » tente d'enterrer son cousin, alors que l'Afar le sauve du trépas, étrange farce du destin n'est-ce pas ?
Sauf qu'encore, le nom de ce garde du corps n'est mentionné nulle part sur la toile. Chassez le naturel, il revient au galop, dit-on !!!
Ali Abdallah Hassanlé qui s’est sacrifié en prenant 3 balles au corps, épargnant par ce geste la vie du dirigeant, devient une honte dont il faut taire le nom, enfuis sous un silence humiliant sans aucun égard à sa famille.
Le porte-parole du gouvernement dont le devoir premier était de rendre hommage à cet exceptionnel courage et présenter publiquement ses sympathies à la famille Hassanlé, le dénigra en omettant de souligner jusqu’à son nom : « 2 BLESSÉS ».
Depuis, d’un Ministre à l’autre, le rouleau compresseur de la désinformation, convaincu de noyer le poisson, tourne autour de cette phrase magique : « BIEN APRÈS LE DÉPART DU PRÉSIDENT ET DE SON CORTÈGE ». Une stratégie politique qui consiste à passer sous silence la tentative d’assassinat contre le dirigeant, diluée sans scrupule aucun, dans une affaire de règlement de compte à l’encontre du malheureux Lt Col Medecin Idriss Abdi Galab ; un autre blessé grave qui lutte pour sa vie.
Hier soir c’était la vidéo d’un piètre montage, publiée par un certain Waiss, identifié clairement sur son profile, comme étant (Militants & Sympathisants du RPP ; au pouvoir), insistant sur le même DÉTAIL et dont je soulignais le ridicule par le fait avéré que depuis 2010 l'avion présidentiel est un Boeing 767-216 ER de 181 places, qui selon le FMI a été racheté à Paul Biya du Cameroun et non ce Falcon 7X de la vidéo.
Si ce soldat de la GR voulait s'en prendre à ce médecin du même corps et non à IOG, n'aurait-il pas été plus simple, de régler ses comptes avec celui-ci, dans la caserne, à la résidence du Lt Col ou lors de ses va-et-vient à la résidence d'Haramous ; pourquoi aurait-il risqué de le manquer, au péril de sa vie, celle de ses amis du même corps et tous les dignitaires présents, sur un périmètre de sécurité renforcé lors de l'accueil du dirigeant à l'aéroport ?
Bourhan Bey (Abou Amin)
Du PRIDE
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