La preuve qu'un pouvoir à toujours besoin d'un contre pouvoir pour le maintenir sur terre. Le Despote Guelleh vient de nous démontrer la nécessité d'une vraie opposition à Djibouti et :
Jeune Afrique N°2619 : ""Candidat à sa propre succession, pour la présidentielle du 8 avril prochain, le chef de l’Etat djiboutien jure que cette fois ce sera la dernière""
Déjà dans ses 65 ans, il jure cette fois-ci en espérant que la mort viendra certainement le tirer du fauteuil avant de redevenir justiciable et repondre de ses actes.
Et si c'est pas le cas dans 5 ans, ces tsunamis du changement et les vents de revoltes du monde Arabe étant passés, il nous resservira cette même ineptie d'une oeuvre à achever.
On sait tous la valeur du serment sur le Coran de Guelleh, de plus ce sans gêne et cette déficience intellectuelle avec lesquels cet homme pense pouvoir toujours berner le peuple attire le mépris.
"Vous pouvez tromper tout le monde un certains temps; vous pouvez même tromper quelques personnes tout le temps; mais vous ne pouvez tromper tout le monde tout le temps.", disait Abraham Lincoln.
Jeune Afrique : ""Il a suffi d’une manifestation violente, le 18 février, au cœur de Djibouti-ville, avec le concours de l’opposition, pour que le grand voisin éthiopien s’inquiète.
Le président Mélès Zenawi a aussitôt téléphoné à son homologue Ismaïl Omar Guelleh pour s’informer de la situation et exprimer ses craintes de voir le port de Djibouti, dont l’Éthiopie dépend largement pour ses échanges extérieurs, bloqué pour cause d’instabilité. Guelleh l’a rassuré : l’onde de choc des « révolutions arabes » ne risque guère, selon lui, d’atteindre son petit État, à quelques jours de l’élection présidentielle du 8 avril.
IOG a néanmoins fait accélérer la mise en œuvre de diverses mesures sociales visant à employer les jeunes chômeurs. Parmi celles-ci, la formation accélérée (en trois mois) d’un millier de Djiboutiens destinés à être recrutés par l’ONU comme policiers au Darfour et en Haïti ; et l’embauche, via des sociétés de recrutement américaines, de plusieurs centaines d’autres sur des chantiers au Qatar et à Abou Dhabi.
Guelleh redoute les effets d’une déstabilisation du Yémen voisin, qui pourrait se traduire par un afflux massif de boat people. Mais aussi un surcroît d’agressivité du régime érythréen, très proche de celui de Kaddafi. D’ores et déjà, les autorités britanniques ont sollicité Djibouti pour servir de tête de pont à l’évacuation du Yémen d’un millier de leurs ressortissants.""
Malheureusement pour lui, son cauchemar est loin d’avoir un terme, son collègue despote du Yémen est sur le point de gouter à sa propre médecine, à la recherche d'asile, tandis que l'opposition Djiboutienne que son Premier Ministre Dileita à qualifié de coquille vide va bientôt leur présenter la même politesse.
Mais, aujourd'hui la plus grande preuve de la mauvaise gouvernance du pays, est servie aux Djiboutiens eux mêmes avec ces mesures à l'emploi misent de l’avant en un temps record.
Les pressions l'ont forcé à l'action, une obligation à agir pour calmer la colère et garder son poste en se creusant les méninges, chose à laquelle il n'était guère habitué, anesthésié par les KILOS de KHAT qu'il ingurgite quotidiennement, le voila avec un début de solution sous l'effet de la panique.
Mille nouveaux emplois de policier pour 600 000 chômeurs c'est une goutte d’eau dans un ocean, surtout qu'on sait d'avance que ces emplois seront sujets au clientélisme habituel et la rackette de ceux qui auront le moyen de dorer les pattes et s'acheter le poste au près des vendeurs de rêves et les profiteurs de la misère du peuple mise en place aux postes clés par les bons soins d'IOG. Ce qui est en soi insultant, injuste et inhumain.
On est plus au stade du rafistolage, Djibouti à besoin d'une vraie prise en main par des hommes et de femmes compétents afin de remonter la pente.
Cet homme nous a entrainé par son incompétence et son amour du tribal, au fond des abîmes certes, mais cette responsabilité est ma foi partagée avec cette ancienne garde qui peine elle même à montrer ses convictions démocratiques avec des chefs de partis visser aux fauteuils à vie à l'image d'IOG, démontrant plus leur amour du pouvoir qu'une quelconque discipline de l'alternance.
Une opposition en manque de vision, de leadership et qui n'a jamais pris les moyens de bousculer et forcer cet homme à l'action, toujours en mode réaction passif et jamais d'actions contraignantes en 34 ans.
Ils viennent encore de nous faire la PREUVE, de ce silence complice, de leur abstentionnisme légendaire et le boycotte comme seul moyen d’expression politique : Déjà 4 semaines que le PRIDE, n'a de cesse de les inviter à signer un simple document de principe sur l'après IOG afin de rassurer le peuple contre une quelconque dérive de la transition, très fidèles à la routine de la médiocrité, le silence total est de rigueur.
Ils se sont tellement convaincus indispensables, incontournables et les seules répondants du titre d'OPPOSANTS POLITIQUES, qu'ils se sont jurés, en tout cas ils essayent d'appliquer la même recette d'IOG qui a fait fuir du pays nos matières grises, en dénigrant les idées et en étouffant cette nouvelle génération montante d'hommes et de femmes publiques et leur désirs du changement réel et non de façade.
Aucun signe d'urgence, d'un devoir citoyen, d'exemplarité, ou encore l'obligation de mettre à l'œuvre cette démocratie dont ils se réclament tous, ils viennent encore d'appeler à une manifestation vide de projet pour le 25 Mars.
Les seules actions dont ils peuvent se réclamer les champions, sont celles de se tirer entre les jambes, afin de se rabaisser les uns et les autres, des actions d'un sectarisme puéril au grand plaisir du despote Guelleh.
Conséquences, durant 34 ans ils ont laissé le champ libre à cet autocrate qui n'a jamais senti le besoin d'acquiescer aux besoins criants de la population et le voici ces dernières semaines entrain de vouloir tirer plus vite que son ombre.
Depuis la manifestation de masse du 18 février, les pressions internationales qui se font de plus en plus audibles, l'annulation de la réunion des bailleurs de fonds du 27 et 28 février au Kempenski coupant net dans ses ressources, l'expression de masse des Djiboutiens de la diaspora comme au pays grâce aux outils de l'internet, son soudain talent pour la promotion de la langue Afar, ses gesticulations à courtiser et faire les baises mains sur les radios communautaires ici même à Ottawa ou son antenne de la RTD qu'il désirait y ouvrir, une ville Canadienne devenue à ses yeux la pépinière de ce vent du changement, nous montre qu'il n'y a pas qu'une solution à un problème mais plusieurs….etc
On a remit Djibouti sur la carte et fait savoir à cet homme qu'il est trop tard pour les éternuements, l'été est à nos portes, personne n'est indispensable sur terre, il a eu 34 ans pour démontrer ses capacités, il a eu ses chances, il a failli à la tache, trahi le peuple, déshonoré la République et les couleurs en instituant la peur, la répression, la torture, l'arbitraire, le tribalisme, le clientélisme et la famine en système de gestion d'un pays, il est temps qu'il parte.
Inutile de rappeler à nos compatriotes que ce vendredi du 25 mars n'est pas encore le bon, on attend toujours la signature de la feuille de route.
Télécharger le Document sur SkyDrive du CONTRAT JURIDIQUE ET MORAL AVEC LE PEUPLE DE DJIBOUTI : http://cid-6b867acfd1e1c524.office.live.com/self.aspx/Dossier%20Partag%C3%A9s/Contrat%20avec%20le%20peuple%20-%20Feuille%20de%20Route%20de%20la%20Transition.pdf
Bien à vous,
=========
M. Bourhan Mohamed Ali
Secrétaire Général du PRIDE
PARTI RÉPUBLICAIN pour L'INNOVATION DÉMOCRATIQUE et L'ÉCOLOGIE
Facebook PRIDE : http://www.facebook.com/PRIDE.DJIBOUTI
Blog PRIDE : http://doleancesdupeupledjiboutien.blogspot.com/
Groupe FDD : http://www.facebook.com/home.php#!/home.php?sk=group_137906909609664&ap=1
- Pourquoi notre pays est en tête de tous les sombres classements ; 1ère au monde avec 70 % de chômeurs et Plus de 50% des enfants dans une pauvreté abjecte (UNICEF) ,
- Pourquoi la moitié de la population survit sur l'aide internationale, sans eau ni électricité,
- Pourquoi toutes les villes et villages comme les infrastructures sont en état de délabrement,
- Pourquoi la détresse humaine et la misère y à pris racine.
Jeune Afrique N°2619 : ""Candidat à sa propre succession, pour la présidentielle du 8 avril prochain, le chef de l’Etat djiboutien jure que cette fois ce sera la dernière""Déjà dans ses 65 ans, il jure cette fois-ci en espérant que la mort viendra certainement le tirer du fauteuil avant de redevenir justiciable et repondre de ses actes.
Et si c'est pas le cas dans 5 ans, ces tsunamis du changement et les vents de revoltes du monde Arabe étant passés, il nous resservira cette même ineptie d'une oeuvre à achever.
On sait tous la valeur du serment sur le Coran de Guelleh, de plus ce sans gêne et cette déficience intellectuelle avec lesquels cet homme pense pouvoir toujours berner le peuple attire le mépris.
"Vous pouvez tromper tout le monde un certains temps; vous pouvez même tromper quelques personnes tout le temps; mais vous ne pouvez tromper tout le monde tout le temps.", disait Abraham Lincoln.
Jeune Afrique : ""Il a suffi d’une manifestation violente, le 18 février, au cœur de Djibouti-ville, avec le concours de l’opposition, pour que le grand voisin éthiopien s’inquiète.
Le président Mélès Zenawi a aussitôt téléphoné à son homologue Ismaïl Omar Guelleh pour s’informer de la situation et exprimer ses craintes de voir le port de Djibouti, dont l’Éthiopie dépend largement pour ses échanges extérieurs, bloqué pour cause d’instabilité. Guelleh l’a rassuré : l’onde de choc des « révolutions arabes » ne risque guère, selon lui, d’atteindre son petit État, à quelques jours de l’élection présidentielle du 8 avril.
IOG a néanmoins fait accélérer la mise en œuvre de diverses mesures sociales visant à employer les jeunes chômeurs. Parmi celles-ci, la formation accélérée (en trois mois) d’un millier de Djiboutiens destinés à être recrutés par l’ONU comme policiers au Darfour et en Haïti ; et l’embauche, via des sociétés de recrutement américaines, de plusieurs centaines d’autres sur des chantiers au Qatar et à Abou Dhabi.
Guelleh redoute les effets d’une déstabilisation du Yémen voisin, qui pourrait se traduire par un afflux massif de boat people. Mais aussi un surcroît d’agressivité du régime érythréen, très proche de celui de Kaddafi. D’ores et déjà, les autorités britanniques ont sollicité Djibouti pour servir de tête de pont à l’évacuation du Yémen d’un millier de leurs ressortissants.""
Malheureusement pour lui, son cauchemar est loin d’avoir un terme, son collègue despote du Yémen est sur le point de gouter à sa propre médecine, à la recherche d'asile, tandis que l'opposition Djiboutienne que son Premier Ministre Dileita à qualifié de coquille vide va bientôt leur présenter la même politesse.
Mais, aujourd'hui la plus grande preuve de la mauvaise gouvernance du pays, est servie aux Djiboutiens eux mêmes avec ces mesures à l'emploi misent de l’avant en un temps record.
Les pressions l'ont forcé à l'action, une obligation à agir pour calmer la colère et garder son poste en se creusant les méninges, chose à laquelle il n'était guère habitué, anesthésié par les KILOS de KHAT qu'il ingurgite quotidiennement, le voila avec un début de solution sous l'effet de la panique.
Mille nouveaux emplois de policier pour 600 000 chômeurs c'est une goutte d’eau dans un ocean, surtout qu'on sait d'avance que ces emplois seront sujets au clientélisme habituel et la rackette de ceux qui auront le moyen de dorer les pattes et s'acheter le poste au près des vendeurs de rêves et les profiteurs de la misère du peuple mise en place aux postes clés par les bons soins d'IOG. Ce qui est en soi insultant, injuste et inhumain.
On est plus au stade du rafistolage, Djibouti à besoin d'une vraie prise en main par des hommes et de femmes compétents afin de remonter la pente.
Cet homme nous a entrainé par son incompétence et son amour du tribal, au fond des abîmes certes, mais cette responsabilité est ma foi partagée avec cette ancienne garde qui peine elle même à montrer ses convictions démocratiques avec des chefs de partis visser aux fauteuils à vie à l'image d'IOG, démontrant plus leur amour du pouvoir qu'une quelconque discipline de l'alternance.
Une opposition en manque de vision, de leadership et qui n'a jamais pris les moyens de bousculer et forcer cet homme à l'action, toujours en mode réaction passif et jamais d'actions contraignantes en 34 ans.
Ils viennent encore de nous faire la PREUVE, de ce silence complice, de leur abstentionnisme légendaire et le boycotte comme seul moyen d’expression politique : Déjà 4 semaines que le PRIDE, n'a de cesse de les inviter à signer un simple document de principe sur l'après IOG afin de rassurer le peuple contre une quelconque dérive de la transition, très fidèles à la routine de la médiocrité, le silence total est de rigueur.
Ils se sont tellement convaincus indispensables, incontournables et les seules répondants du titre d'OPPOSANTS POLITIQUES, qu'ils se sont jurés, en tout cas ils essayent d'appliquer la même recette d'IOG qui a fait fuir du pays nos matières grises, en dénigrant les idées et en étouffant cette nouvelle génération montante d'hommes et de femmes publiques et leur désirs du changement réel et non de façade.
Aucun signe d'urgence, d'un devoir citoyen, d'exemplarité, ou encore l'obligation de mettre à l'œuvre cette démocratie dont ils se réclament tous, ils viennent encore d'appeler à une manifestation vide de projet pour le 25 Mars.
Les seules actions dont ils peuvent se réclamer les champions, sont celles de se tirer entre les jambes, afin de se rabaisser les uns et les autres, des actions d'un sectarisme puéril au grand plaisir du despote Guelleh.
Conséquences, durant 34 ans ils ont laissé le champ libre à cet autocrate qui n'a jamais senti le besoin d'acquiescer aux besoins criants de la population et le voici ces dernières semaines entrain de vouloir tirer plus vite que son ombre.
Depuis la manifestation de masse du 18 février, les pressions internationales qui se font de plus en plus audibles, l'annulation de la réunion des bailleurs de fonds du 27 et 28 février au Kempenski coupant net dans ses ressources, l'expression de masse des Djiboutiens de la diaspora comme au pays grâce aux outils de l'internet, son soudain talent pour la promotion de la langue Afar, ses gesticulations à courtiser et faire les baises mains sur les radios communautaires ici même à Ottawa ou son antenne de la RTD qu'il désirait y ouvrir, une ville Canadienne devenue à ses yeux la pépinière de ce vent du changement, nous montre qu'il n'y a pas qu'une solution à un problème mais plusieurs….etc
On a remit Djibouti sur la carte et fait savoir à cet homme qu'il est trop tard pour les éternuements, l'été est à nos portes, personne n'est indispensable sur terre, il a eu 34 ans pour démontrer ses capacités, il a eu ses chances, il a failli à la tache, trahi le peuple, déshonoré la République et les couleurs en instituant la peur, la répression, la torture, l'arbitraire, le tribalisme, le clientélisme et la famine en système de gestion d'un pays, il est temps qu'il parte.
Inutile de rappeler à nos compatriotes que ce vendredi du 25 mars n'est pas encore le bon, on attend toujours la signature de la feuille de route.
Télécharger le Document sur SkyDrive du CONTRAT JURIDIQUE ET MORAL AVEC LE PEUPLE DE DJIBOUTI : http://cid-6b867acfd1e1c524.office.live.com/self.aspx/Dossier%20Partag%C3%A9s/Contrat%20avec%20le%20peuple%20-%20Feuille%20de%20Route%20de%20la%20Transition.pdf
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