Après 20 ans d’immobilisme au grand bénéfice du régime Gouled et IOG, n’ayant jamais pu, à ce jour, proposer au peuple des Braves, un projet de société rassembleur, aucune alternative suscitant l’enthousiasme populaire, des coalitions de cigles sans structures, sans convictions, sans idées ni consensus, 39 ans d’une cacophonie stérile, toujours coincé dans un espace temporelle de l’époque des stratégies coloniales de la gouvernance par la division et les successions par affiliation tribale, aujourd’hui dépassé, le MRD de DAF est en panique devant le souffle d’espoir et le dynamisme des nouveaux arrivants sur la scène politique.
Ces vœux tardifs improvisés ne sont qu’un paravent exposant en filigrane les préoccupations et la détresse d’un groupe en mal d’innovation et d’adaptation
Notre ami et compatriote Daher Ahmed Farah à la tête du MRD, parti qu’il aurait bien pu baptisé DAF tellement la gangrène de la complaisance et le culte de la personnalité « IOGgienne » à fossiliser l’initiative et homogénéisé son petit cercle d’obligés, force est de constater, depuis sa sombre procédure d’accession à la direction de ce mouvement bâtit autour du patriotisme, du consensus et les prouesses politiques du Feu Élabé (Que Dieu est son âme), notre ami se considère encore cette fois-ci comme l’héritier incontournable du cousin IOG.
Et tous ceux qui oseront lui faire de l’ombre ou exigeraient qu’il prêche par l’exemple l’alternance démocratique après 20 ans à la tête d’un parti, sont à ses yeux non pas des compatriotes d’opinions mais des ennemies.
Selon lui, il est Moise le libérateur et nous exprime avec insolence et sans retenue ses « vœux » du Ramadan, en qualifiant ses soi-disant compatriotes de « brebis galeuse » « d’esprit nostalgique » « d’une époque révolue », leur souhaitant de SOMBRER DANS UNE FIN CRÉPUSCULAIRE :
« Désormais le combat pour la libération de notre pays contre cette dictature a pignon sur rue à Ottawa. Hormis quelques brebis galeuses voire quelques individus d’esprit nostalgiques d’une époque révolue–ils sont d’ailleurs en train de sombrer heureusement dans une fin crépusculaire »
Cette amertume, ce dénigrement stérile, distribution de mauvais sorts, nous souhaitons une fin crépusculaire et ce règlement de compte des plus puérils ne sont absolument pas d’ordre idéologique ou un écart de visions sur la chose publique, mais décrit plus notre ami DAF, un homme dépourvu de talents d’homme d’État, du rassembleur. Ce n’est point une description gratuite, le constat est là, indéniable, en 34 ans et +, avec DAF comme ceux qu’il nous décrit ici-bas, sont encore à la case départ, rien n’a changé, au contraire DAF a plus en commun avec IOG qu’avec quiconque d’autre, de part sa longévité à la tête de son parti comme ce manque de leadeurship, de talents d’homme d’État et surtout 20 ans d'échec comme chef de parti.
Sur ce dernier point, oublions un instant son passé, on invite les lecteurs à s’acquérir d’eux même de cette vérité enfin avouée par DAF lui même, chose que le PRIDE n’a de cesse répété depuis 3 ans :
Extraits confession de DAF à lire sans façon :
« L’expérience nous a démontré que si l’alternance démocratique a échoué… c’est en grande partie à cause d’une opposition morcelée et divisée qui n’a pas voulu s’entendre sur le choix d’un seul leader unique et consensuel et une plateforme commune…nous tenons en grande partie responsables les leaders de cette opposition qui n’ont pas su être à la hauteur de ce changement démocratique pourtant prévisible et possible. Parce qu’atomisés et divisés, l’opposition Djiboutienne n'a pas fait ce qu’il fallait et il est temps qu’elle fasse le ménage chez elle afin de prendre ses responsabilités face au peuple Djiboutien qui l’attend. Il est grand temps que les responsables de l’opposition Djiboutienne remisent leurs egos, mettent de coté leurs petits jeux personnels et partisans pour penser à l’intérêt général du pays. »Qu’elle franchise !!! --- Chapeau bas à notre ami DAF….
À faire rougir un Saint. Le seul hic, c’est qu’il pointe ceux avec qui il partage ces honneurs depuis plus de 20 ans dans le style : « Ce n’est pas moi, c’est eux les fautifs ».
Y a 2 genres d’hommes sur terre :
- Les leadeurs (The leaders), ceux d’une grande intégrité, une humilité distinctive et d’une impartialité cultivant le respect
- Les suiveurs (The followers), ceux dont il vient d’exposer les prouesses en jetant en bloque le blâme et les responsabilités des échecs sur ses confrères de l’opposition…Un leadeur blâme explicitement sa personne, avoue ses erreurs avec humilité avant d’accuser autrui.
Nos écrits datés, sont là pour le prouver, dans notre programme de parti comme nos articles du Blog, les médias sociaux et nos divers communiqués distribués à la très grande majorité de nos compatriotes au pays comme dans la diaspora. Malheureusement on est devant une pensée unique résignée à répéter l’histoire, si les ambitions personnelles de l’un et de l’autre ne sont pas satisfaites, kit à prendre en otage tout un peuple et son avenir. Faute de pouvoir s’unir, ils nous ont condamnés à subir IOG durant 34 ans et viennent de lui renouveler un mandat de 5 ans en sabotant encore une fois, la sagesse de l’union, comme par le passé.
Une chose est sure, suite à cette confession, notre ami DAF adhère enfin à la cause, sauf, comme à son habitude, lorsqu’il fait un pas en avant, face aux réalités actuelles et ses soucis d’héritier du pouvoir par destiné tribale, il recule de deux pas, se renferme dans les illusions du détenteur de la clé de voute.
Sans doute par peur des nouveaux arrivants qui ont su remettre Djibouti sur la carte monde, de loin mieux que tout autre parti depuis l’indépendance et au risque d’aggraver l’ulcère de notre ami DAF, le PRIDE sont et seront des acteurs incontournables de la vie politique de Djibouti.
Ainsi, comme si notre ami « démocrate » DAF avait consulté tous les Djiboutiens, il nous confesse subtilement, toujours avec la même étroitesse d’esprit, ses oppositions préférés « LES SEULS CRÉDIBLES » dit-il, sans doute pour le constat lamentable d’échec qu’il vient lui-même de décrire ou peut être nous voit-il comme des concurrents plus coriaces que ces partis d’oppositions, alors nous devons disparaitre de la surface de la terre, et je le cite :
« Les Djiboutiens voient les partis de l’UAD /FRUD étant les seuls crédibles et le leader consensuel en question n’est pas à chercher ailleurs. »Il faut être d’une malhonnêteté intellectuelle pathologique ou obsessionnellement possédé par le « Moi » au détriment de la nation et le peuple qu’il se dit représenter, pour oser accoucher sur un aussi court texte des contradictions d’un irrationnel, aussi insultant. Si le crétin IOG a pu le faire aussi longtemps, pourquoi pas moi, se dit-il certainement !!!
Dites nous qu’on se trompe, chers compatriotes, qu’on manque de jugement, de sagesse, sinon expliquez nous.
Quand est ce que DAF est dans le VRAI :
- Lorsqu’il avoue que nos opposants sont tous des incapables, atomisés et divisés ??? (Voir les extraits ci-haut ou son texte original ici-bas)
- Ou lorsque selon lui, ils sont les seuls crédibles et le seul leadeur consensuel n’est pas à chercher ailleurs qu’à l’UAD et le FRUD ???
- A. Si sa sagesse se résume au (1er point), alors on est en droit d’exiger comme citoyen un changement de garde dans tous les partis de l’opposition à défaut de quoi, ils ne pourront jamais prétendre représenter ceux dont ils refusent l’autorité. Dans toute entreprise ou démocratie qui se respecte, quand on ne produit pas, on est licencié et la chance est donné à d’autres de faire leur preuve et NON PROMUT À DES FONCTIONS PLUS HAUTES COMME CHEZ IOG…39 ans sa suffit
- B. Si c’est la (2ème), dans 5 ans on sera à 39 ans de galère, nous ont-ils montré une quelconque crédibilité ou leadeurship, pourquoi leur CV est-il vierge, pourquoi le mannequin IOG défile-t-il seul sur le tapis rouge ? Par conséquent selon nous le (2ème) cas est faut, car on ne peut clamer une crédibilité quand le produit de 39 ans donne que des échecs.
Cordialement,
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Par le Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’écologie
PRIDE - Djibouti
– Le Secrétaire Général : Bourhan M. Ali
Message original du MRD
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D’emblée, permettez-moi, chers compatriotes (mieux vaut tard que jamais) de vous souhaiter mes meilleurs vœux à l’occasion de ce mois béni du ramadan! Nos pensées vont surtout à nos frères et sœurs Djiboutiens à l’intérieur du pays qui observent ce mois béni dans des conditions climatiques caniculaires doublées d'une misère sociale pénible due à une incurie démocratique qui perdure depuis le premier jour de notre indépendance. Que le Bon Dieu nous accorde sa miséricorde et sa grâce en ce mois béni du ramadan! AMIN! Nous implorons également l’aide de Tout-Puissant pour nous frayer un chemin salvateur afin de voir germer dans notre pays les fruits de la démocratie, ceux de la liberté et de la justice auxquels nous aspirons depuis que nous avons obtenu note drapeau national. Que la volonté de Dieu soit faite pour que ce mois béni du ramadan soit un moment de libération pour notre pays! AMIN!
Cela dit, au nom du Bureau du MRD en Amérique du Nord, je tenais à remercier l’ensemble de la communauté Djiboutienne d’Ottawa ainsi que les associations Djiboutiennes telles que l’ACSAO et l’ADDC qui ont généreusement contribué au succès de la visite du président de la ligue Djiboutienne des droits humains, monsieur JEAN PAUL NOEL ABDI, lequel était venu pour un séjour officiel au Canada. Cette visite aura été un succès et une victoire sur la dictature régnant à Djibouti. Ce succès nous le devons à vous tous, Djiboutiens et Djiboutiennes qui ont généreusement contribué sur tous les plans principalement sur celui financier. En un mot, cette visite de JEAN–PAUL NOEL ABDI n’aurait pas eu le succès qu’elle a eu sans votre concours moral et financier. Nous vous devons donc une fière chandelle et nous disons encore mille mercis à votre endroit.
OTTAWA à la pointe de la lutte pour la démocratie à Djibouti
C’est indéniable, Ottawa, la capitale fédérale du Canada, est devenue l'un des centres névralgiques de la résistance des Djiboutiens contre la dictature qui sévit à Djibouti. Les Djiboutiennes et Djiboutiens vivant sur cette terre de liberté ont fait montre d’un bel exemple de solidarité nationale pour la cause démocratique dans notre pays. Désormais le combat pour la libération de notre pays contre cette dictature a pignon sur rue à Ottawa. Hormis quelques brebis galeuses voire quelques individus d’esprit nostalgiques d’une époque révolue–ils sont d’ailleurs en train de sombrer heureusement dans une fin crépusculaire- , la quasi-totalité des Djiboutiens vivant à Ottawa est désormais rompue au combat que le peuple Djiboutien mène pour rendre possible l’avènement d’une Nation démocratique faisant partie du concert des nations, modernes et développées demain. Nous sommes convaincus que notre droit au changement démocratique aura gain de cause bientôt car nous avons en face de nous un régime autocratique et illégitime qui a atteint ses limites à l’instar de ces autres régimes tunisien, égyptien, yéménite qui viennent de s’écrouler les uns après les autres.
Ces régimes étant démodés, obsolètes et rejetés pays par un tsunami populaire généralisé, n’ont plus aucune raison d’exister. Le régime Djiboutien connaitra le même sort que ceux-là car les mêmes paramètres les unissent. La seule inconnue c’est quand il va tomber mais son sort est déjà scellé et les Djiboutiens doivent se préparer à écrire les pages glorieuses de notre nation dans un esprit unitaire, national et responsable et d’en devenir nos propres acteurs dans cette marche historique. Le printemps arabe ne s’arrêtera pas là et celui de l’Afrique Noire ne fait que commencer pour démanteler ces régimes fossilisées qui sont dans un état nécrologique. Les régimes d ISMAËL OMAR GUELLEH, de PAUL BYA, d’IDRISS DEBY, de ROBET MUGABE, pour ne citer qu’eux, sont des taches noires de notre histoire et il est temps de les faire disparaitre de notre sol africain.
Quelle République voulons-nous voir demain s’installer dans nos foyers ?
Le peuple djiboutien s’est vu confisquer voire voler son indépendance des 1977. A peine étions-nous libérés du joug colonial nous étions tombés aussitôt dans les mains d’un régime autocratique basé sur une gestion tribale et anti-démocratique de la société et cela depuis 1977. Les idéaux nourris par tout un peuple qui s’est sacrifié pour la cause nationale ont été trahis sur le champs et mis aux calendes grecques. A la place nous avons eu droit à une république bananière où les valeurs tribales, claniques et communautaires ont eu droit de cité au détriment d’une république citoyenne et juste. Le socle national sur lequel devrait se construire un Etat-Nation et une Djiboutianité authentique a été sacrifié sur l’autel du sacro-saint partage ethnique du pouvoir; d’où l’effacement de notre idéal commun face un choix tribal, divisionniste et parcellaire de la part de nos dirigeants pour présider aux destinées de notre pays. Trahis, désemparées et floués, les Djiboutiens se sont vus devoir adhérer ou appartenir à des projets sectaires ou claniques plutôt qu’à un projet national pour faire valoir leurs droits et devoirs et marchander la dignité de leur personne même. Par la force de ce rouleau compresseur tribal et autocratique, nous sommes devenus des sujets claniques au lieu d’adhérer à un idéal commun dans lequel tous les Djiboutiens devraient se sentir égaux et partie intégrante d’un creuset national. Le changement démocratique que nous voulons demain ne devra pas être une calque de cette confiscation dont nous étions victimes en 1977. Si ce changement n’est pas synonyme de la naissance d’une véritable république citoyenne et juste, il temps d’arrêter de gaspiller nos énergies en nous battant pour un État-Nation utopique qui ne verra pas le jour. La République dans laquelle nous voulons vivre demain devra être une société juste où tous les Djiboutiens seront égaux devant le drapeau sans considération de leur appartenance ethnique, tribale, clanique ou régionale ou religieuse... Tout projet de haute fonction politique réservée à un clan ou une ethnie, toute idée de partage du pouvoir à base communautaire doit devenir caduc et disparaitre demain si nous voulons construire un État-Nation durable condition sine quoi non pour un idéal commun et partagé par l’ensemble de la communauté Djiboutienne.
A L’AUNE DU PROJET QU’IL OU ELLE INCARNE PLUTÔT QUE POUR LA TRIBU, LA CLAN OU LA RÉGION AUXQUELS IL OU ELLE APPARTIENT.
Le piège tribal à caractère divisionniste tendu par le régime en place semble avoir gangrené nos mentalités et notre façon de voir la chose publique; ce qui constitue un danger sans précédent qui risque d’hypothéquer la construction de l'avenir de notre pays sur le long terme si nous ne nous en défaisons pas dès maintenant. Les valeurs ethniques ou communautaires peuvent peut-être servir sur le plan culturel mais dans le domaine de la politique qui concerne la gestion de la cité celles-ci n’ont pas lieu d’être et il temps de les bannir de notre mental si nous voulons construire quelque chose de national. Les Djiboutiennes ont aujourd'hui tendance à considérer et à choisir les leaders politiques selon leur appartenance tribale, clanique ou régionale. Ils choisissent de soutenir tel ou tel leader parce qu’estimant appartenir à la même mouvance ethnique ou clanique. C’est un comportement dangereux et contraire aux valeurs républicaines et du progrès et l’Etat-Nation que nous voulons construire demain ne se ferra pas sur cette mentalité délétère, loin s’en faut. Nos soutiens ou nos choix doivent être donnés aux leaders politiques à l’aune des projets ou les idées qu’Ils incarnent mais surtout pas pour leur appartenance tribale ou autre.
L’urgence pour l’opposition Djiboutienne de se choisir un leader consensuel et de mettre en place une plateforme commune dans les plus brefs délais.
L’expérience nous a démontré que si l’alternance démocratique a échoué à se matérialiser dans certains pays et que certains régimes autocratiques y sévissent toujours, c’est en grande partie à cause d’une opposition morcelée et divisée qui n’a pas voulu s’entendre sur le choix d’un seul leader unique et consensuel et une plateforme commune. L’opposition Djiboutienne ne fait pas exception et si le peuple djiboutien a raté le coche le 8 avril 2011, nous en tenons en grande partie pour responsables les leaders de cette opposition qui n’ont pas su être à la hauteur de ce changement démocratique pourtant prévisible et possible. Parce qu’atomisés et divisés (ce sont les propres mots de l’actuel dirigeant du FRUD, monsieur MOHAMED KADAMY) l’opposition Djiboutienne n'a pas fait ce qu’il fallait et il est temps qu’elle fasse le ménage chez elle afin de prendre ses responsabilités face au peuple Djiboutien qui l’attend. Il est grand temps que les responsables de l’opposition Djiboutienne remisent leurs egos, mettent de coté leurs petits jeux personnels et partisans pour penser à l’intérêt général du pays. Les Djiboutiens voient les partis de l’UAD /FRUD étant les seuls crédibles et le leader consensuel en question n’est pas à chercher ailleurs. Il est parmi eux et il incombe aux responsables de ces partis d’avoir un minimum de courage et d’intelligence pour se choisir un leader unique au-dessus de la mêlée capable de rassembler tout le monde autour d’un projet national qui nous ferra gagner demain. Le temps nous presse, chers leaders, et nous attendons voir émerger ce leader unique dès cette rentrée sociale pour que le peuple djiboutien voit plus clair et canalise son énergie pour le changement démocratique en fonction de ce choix national.
Pour finir, je dirais aux Djiboutiens, sans jouer aux cerbères de la moral, de penser à l’essentiel c’est à dire d’honorer dans l’unité ce combat noble que nous menons pour libérer notre pays de cette dictature. Pour aller de l’avant et sauver le pays pendant qu'il est encore temps, il nous faut penser moins DAROD , moins ISSA moins ARABE moins AFAR moins ISSACK , moins GADABOURSI , et de se dire ``Je dois aider à construire mon pays en tant que DJIBOUTIEN!``.`Nous agirons dans ce esprit saint et nous gagnerons.
Bon courage, chers compatriotes!
MOHAMED HOUSSEIN
BUREAU DU MRD EN AMERIQUE DU NORD
OTTAWA mohamed5dj@yahoo.fr
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bon article. Nous en avons parlé hier au TIm. Je viens de le lire, il est excellennt
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