Comparativement à d’autres comme l’entente avec la base US de 2000 soldats, la moitié du contingent français, avec un loyer de 70 millions US$, et considérant les tergiversations et l’inaction de la France dans le dossier du Ras Doumeira, cet accord avec la France n'a jamais été négocié à sa juste valeur en termes :
- D’influences politiques et d’apports stratégiques et commerciaux que tire la France de sa présence à Djibouti dont la sauvegarde d’abord et avant tout, de ses intérêts dans la région avant les nôtres.
- Pour le manque à gagner de l’État djiboutien en termes de valeurs des cites occupés, ainsi que les cites d’entrainements et de tirs.
- Et tous les avantages dont l'armée française bénéficie à Djibouti, allant de la sécurité qu'offre le pays, au quai militaire portuaire jusqu'à l'eau potable denrée rare à Djibouti et dont sont privées les citoyens à la satisfaction des coopérants, les militaires et leurs familles.
Ainsi avec cette nouvelle amputation de 6,5 d'Euros, le loyer se réduit en peau de chagrin au montant de 17,5 millions d'Euros.
Conséquences de la politique subversive, contre le développement de l’afrique et surtout la division dans nos rangs au quelle ils ne sont pas étranger, ainsi que le silence et l'inaction collectifs de l'Afrique devant l'humiliation et les assassinats répétés de ceux qui osent dire non, ou défient l'arbitraire de l'ordre établit. Même les zouaves de services, désirant jouir le plus longtemps possible de cette illégitimité au pouvoir, s'affaissent comme des mollusques devant toute exigence aussi indécente soit-elle de la part, dans ce cas précis, la France.
Devant ce fait accompli, il est impensable pour toutes ces causes justifiant l'existence même du régime IOG, qu'il soit motivé contre ses intérêts, à défendre les intérêts de la République de Djibouti en contestant ce mépris des engagements de la France, qui après signatures, sera le fardeau de tout gouvernement responsable futur.
Ainsi, dans la perspective de la révision en cour de l'accord de défense entre la France et Djibouti, le PRIDE invite tous les partenaires de l'opposition, à dénoncer cette décision unilatérale de la France et émettre leurs avis participatif dans ce genre de décision National en tant que responsables politiques de ce pays, dans le but d’influencer la révision juste et équitable de cet accord. C’est aussi là, le devoir de toute opposition politique qui se respecte.
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