L'objectif premier du Conseil était d'analyser la situation des droits de l'homme dans les 192 États membres des Nations entre 2008 à 2011.
Le secrétariat du Conseil est assuré par le Haut-commissariat des Nations unies aux droits de l'homme et la présidente du Conseil est l'Uruguayenne Laura Dupuy Lasserre, première femme à présider ce Conseil.
Toujours dans le soucis de remettre les choses a leur juste place, nous exposons ici-bas le rapport publié par ce Conseil des droits de l'homme des Nations unies le 4 janvier 2011 sur la Jamahiriya Arabe Libyenne, juste 2 mois avant l'invasion de ce pays sur des allégations sans fondements, reprises en boucles par les Médias des guerres, accusant le Leadeur de la révolution Libyenne de bombarder son peuple, un acte subversif délibéré donnant naissance à la résolution 1973 du Conseil de Sécurité.
Pourtant, 2 mois plus tôt, cet homme recevait les honneurs comme vous pouvez le constatez sur le document ici-bas.
La délégation a noté que le rapport national avait été élaboré d’une manière transparente et participative suite aux consultations avec tous les secteurs concernés, les organisations de la société civile et les parties prenantes.
Plusieurs délégations ont noté que tous les droits et les libertés étaient inscrits dans un cadre juridique cohérent et intégré, que ces protections portaient non seulement sur les droits politiques, mais aussi sur les droits économiques, sociaux et culturels, déclarant ainsi, satisfaisant l’attachement de la Libye au respect des droits de l’homme.
Nous avons déjà cité et publié plusieurs sources sur la situation socio-économique du peuple Libyen, de la révolution de 1969 à nos jours, grâce à la vision et le courage du Leadeur. Un PIB parmi les plus élevé d'Afrique, pays le plus développé du continent si on se réfère au classement IDH (Indice de développement humain) établi par le PNUD et 56ème mondial, loin devant des géants comme la Russie 71ème et le Brésil 75ème.
On souhaitait cette fois-ci nous pencher sur l'humanité de cet homme et les libertés dont bénéficiaient ses compatriotes. Une attention spéciale aux déclarations de certains pays comme l'Arabie Saoudite et le Qatar, 2 pays impliqués dans le génocide Libyen juste 2 mois après la publication de ce rapport.
Après lecture de ce document, on cherche toujours le dictateur diabolique décrit par l'OTAN, lynché comme un vulgaire brigand, en massacrant plus de 60 000 de ses compatriotes, s'acharnant sur sa famille à coup d'ultimatums de la CPI et d'avis de recherche d'Interpol…
Rapport ONU Libye - A-HRC-16-15_fr.pdf
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