Boycottent toute autre stratégie concertée, adaptée au contexte politique et la situation d’une population déjà extrêmement éprouvée, les partisans de l’ordre après le chaos, frustrés par plus d’un mois d’échecs consacrés pleinement à plonger un peu plus le pays, dans l’incertitude et l’insécurité, n’ayant juste réussi entre temps qu’à paralyser leur propre mouvement, l’USN est à la recherche d’un bouc émissaire à blâmer.
Changer demande toujours un effort notable dit-on, entre fuir et corriger les vices, la tentation est telle que le groupe du porte-parole de l’USN, semble avoir délégué le représentant d’Ottawa pour le sale boulot ; accusant le Secrétaire Général du PRIDE de propos haineux, sans doute pour ses critiques pertinentes contre les raccourcis de l’USN et ses convictions persistantes pour un réel changement politique à Djibouti.
La stratégie de ce groupe d’agités est dorénavant claire ; tout djiboutien et djiboutienne refusant d’appuyer aveuglement, la succession clanique des naturalisés fêtant bientôt leur 40 ans de pouvoir sans partage, sera dorénavant diabolisé et catalogué de haineux, xénophobes et communautaire afin de dévier le débat des vrais enjeux ! – Allelouya !
Ceci dit, il faudra un peu plus que les élucubrations d’un complexé grave de ses bourgeons d’acnés en âge avancée, pour intimider le PRIDE, les autres, vous êtes avertis : L’USN n’est rien d’autre qu’un tour de passe-passe de cartes d’apprentis magiciens : La même équipe de l’ancienne UAD, rajeunie avec quelques personnalités et rejoints récemment par le CDU créé par IOG, afin de recycler ses valets du RPP condamné à disparaître avant 2016.
Quel que soit l’accoutrement et les acronymes ou la désinformation véhiculé de 8 partis politiques imaginaires, l’échec de l’agenda postélectoral de l’USN est la preuve irréfutable que ;
- L’enthousiasme des législatives n’était qu’une expression de ras-le-bol généralisée et non un soutien politique à des individus,
- L’USN dans sa composition comme son agenda actuels est loin de constituer la majorité de la faveur populaire.
En attendant, peuvent-ils nous expliquer :
- Est-il haineux qu’un parti de patriotes dénonce l’apartheid reléguant les autochtones au sort de citoyens de seconde classe ou des quasis parasites ?
- Est-il haineux de dénoncer les distractions lassantes de politicards changeants de vestes aussi souvent que les couches de nourrissant, une fois avec ou contre le régime, une fois ordonnateur des crimes ou dénonce sélectivement ces mêmes crimes, canalisant insidieusement l’attention sur les formes que sur le fond exécrable, comme dans un rôle de figurant occultent l’essentiel et monopolisent les débats sur l’homme dont ils convoitent tous le fauteuil ?
- Est-il haineux de faire appel à la mémoire collective en pointant des faits et des vérités, refuser la réplétion de l’histoire et exiger qu’un système piraté en totalité par les immigrants soit repris en main par les autochtones djiboutien ?
La dernière mise en garde de notre frère de lutte Richard Pulvar, contre l’effet boomerang, interpelle le sujet de cette chronique : ""Que tous ces gens, tous ces lâches et tous ces traîtres, prennent bien conscience que, dans leur tourmente millénaire, les hommes sont toujours parvenus un jour, à sceller une paix des braves, même avec leurs pires ennemis, mais nulle part sur cette Terre, et à aucune époque, il n'y eut de pardon pour les traitres...Il n'y en aura pas pour ceux-là, ils sont prévenus...""
Une reproduction du « Sauvons le Togo »
À la seule différence ; chez ceux-ci, il est hymne patriotique appelant à se débarrasser des reliques du colonialisme, à Djibouti une simple ébauche d’une stérilité affligeante pour ne pas dire condescendante envers les Braves, consistant à maintenir la gouvernance de ce pays sous la tutelle d’immigrants naturalisés.
La vérité tel un ressac finira par confondre tôt ou tard, tout agité pressé par l’aliénation, faisant écho à cette escroquerie ; une forfaiture jouant à la roulette avec l’espoir d’une population.
La mère patrie selon un algérien
Une proposée à la douane canadienne pose la question suivante à un concitoyen d’origine Algérienne dont voici un extrait :
La Préposée : Lequel des deux aimez-vous le plus, l’Algérie ou le Canada ?
L’Algérien : La différence que je fais entre l’Algérie et le Canada, est exactement celle que je fais entre ma mère et mon épouse. Mon épouse, je l’ai choisie, je suis tombé sous son charme, je l’aime, j’en suis amoureux, mais elle ne peut en aucun cas me faire oublier ma mère. Je n’ai pas choisi ma mère, mais je sais que je lui appartiens. Je ne me sens bien que dans ses bras ; je ne pleure que sur son épaule.
La morale de cette anecdote est qu’il nous faut toujours comprendre pour assumer : Chez tout patriote le lien entre l’amour de la mère biologique et la mère patrie, chanté aussi loin que puisse remonter la mémoire, par tout artiste jusqu’au-delà de nos frontières, dans toutes les langues et mélodies, nous berce tout naturellement dès qu’on fait l’effort d’établir cette connexion. Les deux comptent plus sur les enfants qu’elles ont vu naitres pour prendre soin de leurs intérêts et leur bien-être dans la relève familiale, comme territoriale et nationale. Tandis que cette routine coloniale propulsant les déplacés et les idiots à la tête des pays francophones d’Afrique est une ingérence vile qui à la base est conçue pour garder en laisse ces anciennes colonies et faire main basse sur leurs richesses.
Au Canada comme en Europe ou ailleurs, une fois le statut officiel en main, les nouveaux arrivants jouissent certes des mêmes droits et devoirs que tout citoyen, sans toutefois ambitionner une seconde à les gouverner, car à la base, la naturalisation n’est pas en soi un droit du demandeur mais un privilège accordé par le pays d’accueil.
À Djibouti, l’antithèse est d’une extrême insolence : Avant de déposer le baluchon à terre ou solliciter l’honneur de faire partie de cette grande famille, l’immigrant arrive endoctriné à la notion qu’il vient d’atterrir sur une terre promise. D’autres se procurent notre passeport, s’installent dans la diaspora et contribuent à soutenir ce système dévastateur… Une anomalie qu’il nous faut corriger d’urgence ; revaloriser sans complexe aucun, les droits et devoirs de cette nationalité, prostituée au rabais par les faussaires.
D’autre part, il serait aussi sage de constater l’incongruité de taille, d’immigrants fuyant la misère ou la répression, prétendant non pas chercher refuge et une normalité chez d’autres mais les sauver, OUI SAUVER la mère patrie d’une autre nation, une absurdité sans pareille. La fourberie de ce concept dévastateur nous a été démontrée par la sentence cruelle administrée par Gouled et IOG.
« Le sage se demande à lui-même la cause de ses fautes, l'insensé le demande aux autres. » - Confucius
En 2016, faut-il donc consciemment nous soumettre encore aux mêmes ambitions d’un 3ème naturalisé que nous vend la propagande USN, à la place et mêmes chapelets de pouvoirs qu’IOG, un cousin formé et créé politiquement par ce dernier, pour qu’enfin nous fassions nôtres, la vérité qu’aucune personne ou Mère-Patrie n’a jamais été sauvée par autrui ???
La Somalie ou la Somaliland, l’Éthiopie après le Négus ou le Derg comme l’Érythrée après le chaos de 30 ans de guerres, aucun d’eux n’a sollicité les immigrants pour sauver leur pays ; sommes-nous à ce point moralement corrompus et mentalement déficient pour persister dans cette impasse après 40 ans de chaos ?
Depuis le 23 février, les détracteurs du PRIDE, ne sont plus de l’UMP.
Les mêmes trublions, du sectarisme clanique exposé entre autres sur la liste USN, trouvent le PRIDE intolérant, xénophobe et haineux.
En voici un exemple servi au Secrétaire Général (le LUI), par le représentant du MRD à Ottawa sur un de ses profils Facebook, sans qu’il y’ait eu ces 3 ou 4 dernières années un échange d’idées quelconques entre ces 2 personnes. Il répond ici à une tierce personne, en l’occurrence un honnête Brave irrité par ces propos, sans qu’il soit la cible de cette médisance.
Ahmed Ibrahim Abdallah (Pseudo Facebook Alan Ibrahim) : « Je n'ai rien ni contre lui ni contre le fait que tu le défendes. J'ai juste dit que sa ligne argumentaire ne vaut pas le temps que j'aurais consacré a lire ou a y répondre. Et franchement, ses arguments relèvent plutôt de la haine que rien d'autres. Quand a ta défensive, je trouve qu'il y a meilleurs choix pour toi car il existe des Afars plus qualifiés et plus informés que lui pour défendre la cause qui t'est chère. »
« Ne vous souciez pas de n'être pas remarqué ; cherchez plutôt à faire quelque chose de remarquable. » - Confucius
À défaut de courage politique, sans doute affligé par ses rhétoriques stériles en quête de modèle, isolé dans sa boule d'hérisson MRD hostile aux débats, dialogues et toutes critiques, ce représentant se voit résigner à la diffamation pour réaliser ses ambitions.
Vous êtes avec nous ou alors contre nous, le même manichéisme du régime IOG, n’offre aucun autre choix depuis le 23 février, que dépeindre leur cible sous l’angle d’un défenseur des Afars, d’autant plus non qualifié et nullement bien informé, selon lui. Venant d’un génie, dont on ne connaît ni les actions, ni les écrits et convictions politiques si ce n’est le beau titre décoratif de représentant dédicacé par son chef, ces calomnies décrivent mieux l’auteur que sa cible à qui il concède lui-même et au pluriel SVP, l’existence de lignes argumentaires ; loin d’être son cas, un tant soit peu.
Pour ceux intéressés à le connaître voici sa seule intervention politique, ou il nous décrit les ambitions de son groupe. Très instructif pour ceux qui avaient encore des doutes sur l'analyse du PRIDE du 16 janvier 2013 et ceux séduits par les marchands d’illusions et les faux-semblants de démocratie à la mode IOG, cette confession alimentera leur réflexion.
Pour la 1ère fois ce groupe dévoile sans quiproquo son PROGRAMME POLITIQUE. Aucunement soucieux de l'intérêt général et la nécessité de réforme du système, ce représentant annonce haut et clair les préoccupations politiques du groupe, résumées en 4 points, comme on peut le constater sur cet enregistrement vidéo : Légaliser leur parti, tenir leur congrès, prendre le relais du RPP et substituer IOG par son cousin. Point barre !!!
- Le 13 janvier 2013 réunion d’une 10ène de partisans du MRD sollicités à l’occasion à devenir membre, le représentant avoue avec une certitude déconcertante que leur parti prendra la relève du RPP. Une belle conception de la démocratie loin de rassurer. De qui tiennent-ils cette prévision béton ; d’IOG ou de l'espagnol Miguel Andres Martinez ?
- Banni en 2008 par le fameux décret, il reconnait cette impudence versus les ambitions dévoilées, informe ces partisans que leur première mission serait de régulariser cette situation. Vu la gravité de l'accusation fondée ou non ; comment comptent-ils s'y prendre pour légaliser ce parti devant une cour de justice qu’ils présentent acquise au régime ? – Celui condamné sévèrement au civil pour diffamation envers une personnalité, profiterait-il de l’indulgence de la même justice dans une accusation plus grave envers la Nation ? - Ou nous prennent-ils pour des imbéciles pour découvrir la vérité ?
- 3ème point, toujours au conditionnel, ils projettent tenir un congrès d’un parti banni donc non autorisé à tenir un quelconque rassemblement à Djibouti. L’incohérence ne dérange que les gens de conscience !
- Et enfin pour 2016, le 4ème objectif et non des moindres, le Graal de l'opportunisme ; la Présidentielle, dans le même concept actuel de la concentration de tous les pouvoirs, sans aucune réforme préalable annoncée.
- La refonte des listes électorales corrompues,
- L’établissement de ces listes par bureau de vote dans les régions,
- La publication de toutes ces listes et leurs mises à disposition de tous les partis politiques,
- La mise en place d’une véritable commission Électorale Nationale Indépendante acceptée par les 2 parties,
- La modification de la loi relative aux élections dont les articles 27 et 54,
- L’accès libre et équitable des partis politiques aux médias publics.
« On peut connaître la vertu d'un homme en observant ses défauts. » - Confucius
La réponse du PRIDE est et restera toujours NON aux raccourcis. La succession d’IOG n’est une priorité qu’aux yeux des imposteurs de la même espèce, tandis qu’aux progressistes et vrais démocrates, le changement passe avant toute convoitise de postes politiques et doit se prêter à l’exercice démocratique de la négociation entre la relève, afin de réformer l’État.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)
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