OUI, le même homme dont le PRIDE dénonçait y a un temps la politique discriminatoire à l'encontre d'une communauté autochtone djiboutienne, auteur du circulaire raciste contre les étudiants Afars du Nord, se voit promu à la plus haute instance de l'État à savoir le Conseil constitutionnel qui veille à la régularité des élections nationales et référendums, se prononce sur la conformité à la Constitution des lois et de certains règlements dont il est saisi et intervient également dans certaines circonstances de la vie parlementaire et publique.
Ceci n’est guère un hasard mais une tradition, qu’IOG avec arrogance et mépris se veut soumettre cette communauté.
Ce comportement provocateur, comme je le disais ci-haut n’est pas une première, si on fait l’effort de se remémorer la longue liste macabre d'IOG et ses sbires, dont la tragédie d’Obock, pas plus tard qu’en mars 2013, le Kinésithérapeute Djama Elmi Okieh, ancien Secrétaire d’État à la Jeunesse et aux Sports et ordonnateur de l’usage de balles réelles le 30 décembre 2012, contre des étudiants du collégial, faisant un mort de 14ans le jeune Hafez Hassan Mohamed, et une dizaine de blessés, est lui promu 3 mois plus tard à la tête d'un des ministères clés du pays, ministre de l'éducation et de la formation professionnelle, fonction qu’il occupe toujours en toute impunité sans l’ombre d’une enquête sur ce drame.
=============================================================
Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)
0 <<< VOS COMMENTAIRES:
VOS COMMENTAIRES