La pseudo-disparition du vol MH370 de la Malaysia Airlines, ne peut être que, politique et non physique

Après la promenade sur la Lune, la NASA découvre une mystérieuse lumière sur Mars et tente de nous expliquer sa provenance par un autre conte de fée, alors que sur terre on peine depuis bientôt 5 semaines à retrouver un avion volatilisé avec ses 239 passagers. Trouver l’aversion de ce génie humain…

Selon un expert et pilote d'avion de ligne, prétendre qu'un avion tel un Boeing 777 est complètement disparu des radars n'est qu'un tissu de mensonges indigeste, voici ses explications :

A -- Tout d'abord, il affirme être impossible de mettre un transpondeur en mode OFF, c'est à dire l'éteindre complètement. Y'a que 2 positions de contrôle : "" Standby  Mode "" et "" ON Mode "". Dans le 1er cas l'avion est toujours localisé en vol mais sans aucune information sur l'altitude, numéro de vol et autres. Dans le 2ème cas l'avion est clairement identifié par toute station radar au sol.

B -- Puis, dans l'hypothèse d'un écrasement de l'avion, dans les 15 minutes suivant le crash et durant 30 jours, le signal de chaque boite noir est localisé par satellite.

C -- Le 3ème et non des moindres c'est l’ELT ( Emergency Locator Transmitter -- Émetteur de Localisation d’Urgence), 2 émetteurs, un au-devant de l’avion, un autre à l’arrière, qui se DÉTACHENT de l’avion à L’IMPACT ou la perte de contrôle de l’appareil occasionnant une force de 5g. Ces radiobalises de localisation des sinistres RLS sont des transmetteurs qui émettent en cas de détresse dans la bande de fréquence 406 MHz en numérique, un signal d’urgence détaillé identifiant l’avion ainsi que les coordonnées GPS du crash. Ce signal est ensuite reçu par un ou des satellites du réseau Cospas-Sarsat et GEOSAR qui déterminent la localisation et transmettent les coordonnées au bureau de recherche et tours de contrôle les plus proches de la zone. Chacun des 2 émetteurs ELT émettent aussi des signaux radios de détresse captés sur la fréquence 121.5 MHz par tout avion survolant la zone ou navire en mer, d’autant plus, celle-ci étant une des voies maritimes la plus fréquentée au monde.

D’autre part la veille de la fréquence 121,5 MHz est assurée sans interruption durant les heures de service par :

• Les centres de contrôle régional et d'information de vol,
• Les centres de détection et de contrôle militaire,
• Les tours de contrôle d'aérodromes,
• Les bureaux de contrôle d'approche des aérodromes internationaux,
• La fédération nationale des radioamateurs au service de la sécurité civile,
• De nombreux aéronefs,
• En mer, les vedettes hauturières sont équipées, sur la même fréquence, d'un radiogoniomètre de repérage d'urgence,
• Tout Navire à passagers est pourvu des installations permettant d'émettre et de recevoir des radiocommunications aux fins de Recherche et sauvetage, sur les fréquences aéronautiques 121,5 MHz et 123,1 MHz.

Si la puce GPS de nos téléphones peut localiser un individu n’importe où sur terre, l’ELT produit lui, l’emplacement exact d’un sinistre. Il nous faut donc croire, que tout ce beau monde n’a rien capté, n’a rien entendu et n’a rien vu, ma foi j’ai beau forcé, la couleuvre est trop grosse pour un conduit auditif.

La seule explication rationnelle sur la dite disparition du vol MH370, ne peut être que politique et non physique. Le rôle qu’anime au jour le jour depuis le 8 mars, le metteur en scène désigné Tony Abbott, 1er Ministre australien, n'est qu’une fiction hollywoodienne de distraction et manipulation d’une opinion publique trop dépendante et hypnotisée par les médias mensonges aux ordres du politique, alors que plusieurs dirigeants dont celui de la Malaisie, les USA, la Chine, la Russie, l’Inde, l’Indonésie, entre autres, savent tous, ce qui est advenu du vol MH370.
Il nous revient d'exiger la vérité sur le sort des 239 passagers, afin d’éviter d'établir un précédent dans ce nouveau concept de la piraterie étatique.

Bourhan Bey (Abou Amin)