Alors que nous les adultes sommes embourbés dans l'indignité de la crainte et la peur de perdre un gain éphémère ou de se faire pointé du doigt par le système dominant, préférons la routine prescrite, en suivant le courant tel des poissons morts.
En Afrique et je pèse mes mots, cette aliénation est à son paroxysme, aspire vers ses profondeurs abyssales la dignité et la volonté des peuples à l’émancipation. Certains cas s’apparentent même à du délire, fruit sans doute de 5 siècles de la « PRESSION DE L’OPPRESSION » que décrit une amie et sœur africaine du Togo, dans son livre du même titre.
Au point ou sur Facebook ou ailleurs sur la toile, ceux-là lisent les quelques activistes sans oser commenter ou donner leur opinion en public. En ce qui me concerne, je me contente de leurs soutiens en privé ou par courriels.
De là, à inviter mes compatriotes à une manif à Washington le 5 Mai et 5 Août 2014, IL FALLAIT OSER. Chacun avance sa petite histoire pour éviter de s'exposer. Certains se sont même conditionnés à cette théorie farfelue concoctée par la psychose de l’imaginaire, que je serai infréquentable vu mes positions tranchées et publiques sur le soutien de la France et les USA aux tyrans d’Afrique. Allez comprendre…
ILS M’ONT DÉJÀ MIS SUR UNE LISTE NOIR, AVANT LES BOURREAUX !!!
Qui disait, que l’Africain n’avait pas besoin d’ennemi ? – Il avait raison…
Je continuerai comme même mon périple de la croix en espérant de convaincre au moins quelques-uns. Ais-je le choix après tout, devant cette calamité qui étouffe le continent !!!
En conclusion de ces 2 discours sur cette vidéo, Victoria Grant, nous glisse tous, sa quenelle maison à 360, en se référant à Margaret Mead, oui apparemment à son âge, elle a aussi eu le temps de lire ses pensées : « Ne doutez jamais qu'un petit groupe de personnes peuvent changer le monde. En fait, c'est toujours ainsi que le monde a changé.»
Bourhan Bey (Abou Amin)
En Afrique et je pèse mes mots, cette aliénation est à son paroxysme, aspire vers ses profondeurs abyssales la dignité et la volonté des peuples à l’émancipation. Certains cas s’apparentent même à du délire, fruit sans doute de 5 siècles de la « PRESSION DE L’OPPRESSION » que décrit une amie et sœur africaine du Togo, dans son livre du même titre.
Au point ou sur Facebook ou ailleurs sur la toile, ceux-là lisent les quelques activistes sans oser commenter ou donner leur opinion en public. En ce qui me concerne, je me contente de leurs soutiens en privé ou par courriels.
De là, à inviter mes compatriotes à une manif à Washington le 5 Mai et 5 Août 2014, IL FALLAIT OSER. Chacun avance sa petite histoire pour éviter de s'exposer. Certains se sont même conditionnés à cette théorie farfelue concoctée par la psychose de l’imaginaire, que je serai infréquentable vu mes positions tranchées et publiques sur le soutien de la France et les USA aux tyrans d’Afrique. Allez comprendre…
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Qui disait, que l’Africain n’avait pas besoin d’ennemi ? – Il avait raison…
Je continuerai comme même mon périple de la croix en espérant de convaincre au moins quelques-uns. Ais-je le choix après tout, devant cette calamité qui étouffe le continent !!!
En conclusion de ces 2 discours sur cette vidéo, Victoria Grant, nous glisse tous, sa quenelle maison à 360, en se référant à Margaret Mead, oui apparemment à son âge, elle a aussi eu le temps de lire ses pensées : « Ne doutez jamais qu'un petit groupe de personnes peuvent changer le monde. En fait, c'est toujours ainsi que le monde a changé.»
Bourhan Bey (Abou Amin)
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