Lisons entre les lignes…Si je reformule ce gros titre selon les préoccupations de la LOI et ses actionnaires, les nuages se dissipent et accouchent de ceci : La Maison Blanche de Djibouti, dirigées depuis 1977 à partir du bureau Afrique de l'Élysée comme toutes les autres 14 colonies, aura dorénavant sa succursale mère à Addis-Abeba.
L’innovation de l’oncle Sam a de quoi inquiéter la « douce et généreuse » France de la dépendance !!!
Une petite parenthèse, cette semaine, le dernier préfet de la liste fût le fiston héritier du Togo recevant sa mise en demeure signifiée par Robert Whitehead, l’ambassadeur des États-Unis au Togo, exprimant sa déception sur le manque de volonté du président Togolais à opérer des réformes politiques pour la marche du pays. Les américains pour la démocratie !!!
Une farce qui prêterait à rire, si ce n'était aussi tragique, mais, là est le mobile de ces gesticulations ; une guerre secrète entre l’Élysée et Washington sur le dos d’un continent hypnotisé par le petit écran... Bref, revenons à nos moutons.
Lorsqu'en 2010, voila 4 ans, je m'opposais au 3ème mandat anticonstitutionnel lancé sous le slogan "J'AI UNE TÂCHE À ACCOMPLIR", en organisant avant le dit printemps Arabe de la Tunisie, une manifestation monstre pour Fév 2011 à Djibouti et que je prédisais cette TÂCHE comme étant l’étape rattachant définitivement - institutionnellement et géographiquement - Djibouti à l'Éthiopie comme région soi-disant autonome mais sous tutelle de cette dernière ; pour la dite opposition politique djiboutienne c’était un délire qu’il fallait ignorer. Inconsciemment ou à desseins d’aliénés - afin de plaire ou d’éviter de porter préjudices aux ambitions des Califes de la salle d’attente – tous préférèrent le silence à la réflexion et le consensus.
Toutefois, cette info casher n’est rien d’autre au PRIDE qu’une manipulation, d’une France en détresse - délogée sans ménagement hors de tous ses pré-carrés africains – à la recherche d’un rapport de forces, en manipulant et paniquant les djiboutiens encore sous Sa tutelle médias.
Bourhan Bey (Abou Amin)
Du PRIDE
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