LA NATION N° 88 du Dimanche 23 Mai 2010
Un programme pilote d' Assistance Sociale
Suite au séjour d’une mission de la banque mondiale qui a duré du 08 au 19 mai derniers, l’agence djiboutienne de développement social (ADDS) va prochainement mettre en place un programme d’assistance sociale qui jouit du soutien financier du fonds japonais de développement social (JSDF) et de l’appui technique des agences onusiennes comme l’UNICEF, l’OMS.
D’un coût de 4 millions de dollars US, le projet cible les milieux urbains en voie de marginalisation et certaines localités rurales victimes des durs effets de la sécheresse récurrente de ces dernières années. L’ADDS a, d’ores et déjà, identifié des sites d’interventions dans la capitale et les zones rurales à cet effet. Il s’agit, entre autres, du Quartier 5 à Djibouti ville et celui dit « Moustiquaire » de Balbala, d’Adaïlou, de Damerjog et d’Atar.
Notons que le programme en question s’articule autour de l’emploi et la fondation du capital humain.
Lire la suite sur LA NATION : http://www.lanation.dj/news/2010/ln88/national8.htm
QUESTIONS:
==========
Les anciens quartiers de la capitale dont:
Le Q4, Q4Bis et Q6 en état de ruine avec des ruelles qui se rétrécissent à vue d'œil.
Einguela 2, la moitié de cette cité, abrite les marécages de la forêt Amazonienne passant devant la résidence de l'ancien ministre Del Wais.
Arhiba, alors là inutile de faire une description, c'est quasiment la catastrophe sanitaire. Le dernier projet social dans ce quartier date du temps de Ali Aref.
Le budget de l'État ayant quadruplé ces 15 dernières années, tous ces revenus vont dans les salaires de la fonction publique, les postes fictifs et les détournements.
Aucun investissement social et quand ils reçoivent des dons, ces sommes vont encore dans le clientélisme même au niveau des quartiers.
Vu que le Q3 et Q5 ont été complètement rénoves avec des ruelles en marbres, d'autres goudronnées et des systèmes d'évacuations de l'eau de pluie et sanitaire depuis les débuts des années 2000, pour quoi cette nouvelle perfusion au détriment des quartiers avec des besoins urgents. ???
COLLECTIF DOLÉANCES DU PEUPLE & ACTION GROUP FOR DEMOCRACY
Suivez nous sur Tweeter : @Doleances
Un programme pilote d' Assistance Sociale
Suite au séjour d’une mission de la banque mondiale qui a duré du 08 au 19 mai derniers, l’agence djiboutienne de développement social (ADDS) va prochainement mettre en place un programme d’assistance sociale qui jouit du soutien financier du fonds japonais de développement social (JSDF) et de l’appui technique des agences onusiennes comme l’UNICEF, l’OMS.
D’un coût de 4 millions de dollars US, le projet cible les milieux urbains en voie de marginalisation et certaines localités rurales victimes des durs effets de la sécheresse récurrente de ces dernières années. L’ADDS a, d’ores et déjà, identifié des sites d’interventions dans la capitale et les zones rurales à cet effet. Il s’agit, entre autres, du Quartier 5 à Djibouti ville et celui dit « Moustiquaire » de Balbala, d’Adaïlou, de Damerjog et d’Atar.
Notons que le programme en question s’articule autour de l’emploi et la fondation du capital humain.
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QUESTIONS:
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Les anciens quartiers de la capitale dont:
Le Q4, Q4Bis et Q6 en état de ruine avec des ruelles qui se rétrécissent à vue d'œil.
Einguela 2, la moitié de cette cité, abrite les marécages de la forêt Amazonienne passant devant la résidence de l'ancien ministre Del Wais.
Arhiba, alors là inutile de faire une description, c'est quasiment la catastrophe sanitaire. Le dernier projet social dans ce quartier date du temps de Ali Aref.
Le budget de l'État ayant quadruplé ces 15 dernières années, tous ces revenus vont dans les salaires de la fonction publique, les postes fictifs et les détournements.
Aucun investissement social et quand ils reçoivent des dons, ces sommes vont encore dans le clientélisme même au niveau des quartiers.
Vu que le Q3 et Q5 ont été complètement rénoves avec des ruelles en marbres, d'autres goudronnées et des systèmes d'évacuations de l'eau de pluie et sanitaire depuis les débuts des années 2000, pour quoi cette nouvelle perfusion au détriment des quartiers avec des besoins urgents. ???
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