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BIENTÔT, DJIBOUTI AUSSI DIRA "NON" AU NÉPOTISME DE L’ADMINISTRATION INDIRECTE DU PRÊTE-NOM.
"LA LIBERTÉ N'EST JAMAIS ACCORDÉE DE BON GRÉ PAR L’OPPRESSEUR ; ELLE DOIT ÊTRE EXIGÉE PAR L'OPPRIMÉ." -- MLK
DJIBOUTI : REFORMONS L'OPPOSITION AFIN DE POUVOIR UN JOUR REFORMER L'ÉTAT
NOUS CONVIONS CET ÉTÉ 2014, TOUTE L'OPPOSITION À DES ÉTATS GÉNÉRAUX

7 décembre 2010

The lucrative business of piracy on the Somali coast has its roots in Djibouti, just under the eyes of American and French armies.

""Le commerce lucratif de la piraterie sur les côtes Somalie a ses racines à Djibouti, juste sous les yeux des armées américaine et française.""


The lucrative business of piracy in Somalia coasts has its root in Djibouti, Ismail Tani chief of the presidential cabinet is the big beneficiary, most of the money ends in Djibouti where money-laundering takes place, the middle man is paid through the office of Ismail Tani chief of the presidential cabinet, off course plus his commission, not to mention the side business from the re-fueling and servicing the multi-nation ships in Djibouti that are supposedly combating the Somali piracy in high sea.

Not only Ismail Tani is the piracy kingpin in Djibouti but also he is the son-in-law of the most prominent piracy linked Somali family from Puntland region , his specialty service to few flamboyant Somali pirates are money laundering and providing Djiboutian passport to name a few.

Mind you, Ismail Tani is another cousin-german of IOG the ruler of Djibouti, he is part of untouchable-elite-inner circle of IOG’s regime. The US military awarded the security contract to EAD (company managed by Said Del a son of former minster and also cousin-german of IOG) a company associated with Ismail Tani, naturally he is susceptible to corruption, just like many leaders around him.

LABO22 : http://labo22.wordpress.com/

6 <<< VOS COMMENTAIRES:

Anonyme a dit...

Rançons de la Piraterie, dans les poches de Mohamed Hassan Abdillahi, secrétaire général du gouvernement

Le 17 décembre 2008, un remorqueur malaisien qui travaillait pour Total a été capturé par des pirates somaliens au large du golfe d'Aden. Le bateau, comptait un équipage de 11 marins de nationalité indonésienne, et était affrété par la société Malaisienne Muhibbah Engineering. Il travaillait sur le chantier Yemen LNG de construction d'une usine de liquéfaction de gaz, dont la conduite des opérations est assurée par Total. Ce bateau a été intercepté au large du Yémen, hors des eaux territoriales par des pirates somaliens lourdement armés en même temps qu’un cargo turc.

Comme à son habitude, des négociations et demande des rançons s’en suivent. En ce qui concerne le bateau Malaisien affrété par la société Malaisienne Muhibbah Engineering, cette dernière accepte 2 mois après le piratage de son bateau de payer la rançon de 500 mille dollars , une somme que les pirates avaient réclamé.

Le 7 mars, la totalité de la somme a été virée à l’établissement bancaire Malaisienne de la place à Djibouti dont un haut gradé militaire Malaisien envoyé par son gouvernement devait être chargé de la mise en place de l’acheminement de la somme et des procédures de libération du bateau avec les autorités Djiboutiennes. Sauf que ces dernières ont gentiment conseillé pour ne pas dire ordonné à l’officier Malaisien ,de rester discret dans cette affaire, que ni les américains ni les français devaient être au courant de cette étroite collaboration.

C’est alors que le 9 mars, la banque Malaisienne recevra un coup de fil du secrétaire général de la présidence, « S.E.M ». Mohamed Hassan Abdillahi, à priori sans surprise de la part du responsable de l’établissement comme s’il était habitué, lui disant qu’il allait recevoir la visite d’un intermédiaire qui lui dira les démarches à suivre pour la rançon.

Quelques heures plus tard, un homme que nous appellerons X, envoyé par « S.E.M. » Mohamed Hassan Abdillahi qui semble maitriser ces genres d’affaires, pour ne pas dire ces genres d’arnaques, ordonne au responsable de l’établissement d’accepter de déposer des faux Travellers Chèques pour le montant de 500 mille dollars qu’il avait en sa possession, délivrés en apparence par son propre établissement.

En règle générale c’est ainsi que cette banque de la place travaille avec la BCIMR, en accord avec la BRED, dont la BCIMR est la filiale, de déposer des Tavellers Chèques à chaque fois qu’elle doit faire des transferts ou qu’elle ait besoin des dollars.

Monsieur X, rassura le banquier en lui disant qu’il allait se charger du dépôt lui-même, puisque la BCIMR a déjà reçu l’ordre de les accepter et qu’elle mettra à sa disposition la somme dans sa totalité, mais qu’en contrepartie, il devait lui remettre aussi la somme de 470 mille dollars dans sa liquidité et garder pour lui (le directeur) les 30 mille dollars restant en guise de remerciement.

Le directeur de la banque Malaisienne accepta sans se faire prier ou il risquait des représailles.

Aussitôt l’argent remis, l’officier Malaisien fut convoqué par la sécurité intérieur en lui ordonnant de partir, car Djibouti se chargerait de tout maintenant.

Le 9 mars au soir même, rendez-vous est pris entre X et Mohamed Hassan Abdillahi sur le parking du Sheraton hôtel accompagné de Hassan Said Khaireh, responsable de la sécurité intérieur.

Un rendez-vous où l’argent sera partagé, du moins, X recevra pour son travail la somme de 20 mille dollars et le reste, c'est-à-dire les 500 mille dollars récupérés à la BCIMR et le 450 restant de la banque Malaisienne, finiront dans la voiture du secrétaire général de la présidence Mohamed Hassan Abdillahi.

(Message trop long, voir la suite sur le message suivant)

Anonyme a dit...

Le 21 mars, coup de théâtre. Les Travellers Chéques seront rejeté, chose normale, part la compagnie Américaine qui les gère au motif qu’ils sont faux et qu’ils présentent des écritures inconnues de leur établissement.

C’est alors que Monsieur AOULD, directeur de la BCIMR envoyé par la BRED à djibouti, décide de rentrer en contact avec la compagnie Américaine pour avoir plus de détails. Cette dernière lui confirme que les Travellers Chéques qui lui on été envoyés, ne pourront pas être payés et que la BCIMR ne recevra pas le remboursement de 500 mille dollars qu’elle a déjà avancé aux « arnaqueurs et compagnie », mais que s’agissant des documents falsifiés d’une compagnie américaine , le FBI serait mis au parfum d’autant plus qu’ils proviennent d’un établissement bancaire Malaisien surveillé par les autorités américaines.

c’est alors que la lourde machine Etasunienne se mise en marche.

Le 2 avril, 4 agents du FBI débarquent à Djibouti et se rendent d'abord à leur Ambassade. Sans perdre du temps, ils se rendent à la BCIMR, rencontrent le Directeur général AOULD et son adjoint Ali Abaside, placé à ce poste juste pour veiller à la gestion discrète des comptes des gros bonnets au sein du gouvernement dont il est seul à y accéder.

Une réunion s’en suivra, mais sans que les agents ne puissent avoir satisfaction. Ils reprennent rendez-vous le lendemain en exigeant la présence de tous les employés de la BCIMR et de la Banque Malaisienne qui ont pu de prêt ou de loin suivre cette transaction, celle du procureur Maki et des personnes représentant des forces de la police et de la gendarmerie.

Et là encore rien n’y fait, tout le monde est innocent et personne ne sait le nom de X qui est venu récupérer l’argent. Alors les doutes s’installent, car pour les agents, persuadés que la vérité est ailleurs comme leur avait dit leur Ambassadeur décident de ne pas lâcher le morceau.

Mais puisqu’il s’agit des propriétés d’une compagnie américaine qui ont été falsifiés, les agents ont voulu pousser plus loin leur enquête pendant leur séjour d’une semaine à Djibouti, et découvriront beaucoup des zones d’ombre dans la gestion de la banque Malaisienne qui n’est pas arrivée à justifier des flux de plus de 23 millions de dollars, ni de leurs destinations. Plus surprenant encore, l’attitude de la BCIMR qui apparemment fait suivre ces flux en acceptant sans justification des gros dépôts en Travellers Chéques.

Sous le pression des agents du FBI, le responsable de la Banque Malaisienne accepte de corroborer à moitié et reconnait que X était envoyé par un haut placé du gouvernement, sans dire le nom. A partir de cet instant, la situation devenait plus claire et pire, plus grave pour les relations entre les deux pays.

(Message trop long, voir la suite sur le message suivant)

Anonyme a dit...

Le 6 avril, les agents ont voulu rencontrer le ministre aux affaires étrangères en présence de leur ambassadeur. Refus total du gouvernement Djiboutien, mais par contre, les a prié d’arrêter toute enquête sur le sol national et que les services d’enquêtes de deux forces de la sécurité intérieur allaient prendre la relève pour ne pas dire que l’enquête s’arrête en faite là et qu’il faut circuler, il n’y a plus rien à voir.

Le comble, le 7 avril, les agents ont rencontré pour la dernière fois, le procureur Maki, mais à son bureau, voulant éclaircir cette fois un problème qui le concerne directement, entre autre, le bateau qu’il a en sa possession.

Car il s’avére que ce bateau était acheté au Caire à la demande d’un Somalien résidant à Londres et qu’il devait se rendre en Somalie avant son interception par le service du procureur Maki lui même. Pour quelle raison, ils ne le sauront pas. Mais chose incroyable, ce bateau aurait apparemment servi certaines traversées entre le Yémen et les eaux somaliennes pour des trafics d’armes et des produits illicites, car les américains le suivaient déjà depuis quelque temps avant qu’ils ne soit arrêté par la sécurité Djiboutienne. Et comme hasard, l’heureux propriétaire n’est que le procureur Maki. Ce qui a renforcé, chez les agents, l’idée de l’existence d’un vrai réseau mafieux à Djibouti.

PAR, RACHID BATMAN

Anonyme a dit...

Un document de Wikileaks en rapport avec les fraudes rapportées par Rachid Barman
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Reference ID

Created

Released

Classification

Origin

09DJIBOUTI1043

2009-08-12 14:37

2011-08-30 01:44

UNCLASSIFIED//FOR
OFFICIAL USE ONLY

Embassy Djibouti

Texte :

VZCZCXYZ0013
RR RUEHWEB

DE RUEHDJ #1043 2241437
ZNR UUUUU ZZH
R 121437Z AUG 09
FM AMEMBASSY DJIBOUTI
TO RUEHC/SECSTATE WASHDC0000
INFO RHMFIUU/FBI WASHINGTON DC
RUEHDJ/AMEMBASSY DJIBOUTI
RUEHDS/AMEMBASSY ADDIS ABABA
RUEHYN/AMEMBASSY SANAA
UNCLAS DJIBOUTI 001043

SENSITIVE
SIPDIS
STATE FOR DS/IP/AF AND DS/CR/CIL
ADDIS AND SANAA FOR LEGATT

E.O. 12958: N/A
TAGS: ASEC ECON PREL KCRM FBI DJ

SUBJECT: DJIBOUTI: REQUEST BY PROSECUTOR-GENERAL FOR INVESTIGATIVE ASSISTANCE

1. (SBU) SUMMARY AND ACTION REQUEST. Post requests FBI assistance to investigate suspected fraud against the Djibouti-based "Banque pour le Commerce et L'industrie Mer Rouge" (Red Sea Bank for Commerce and Industry, or "BCI-MR"), which also involves several U.S.-based financial institutions and commercial entities.

The Government of Djibouti's (GODJ) office of the Prosecutor-General (attorney-general equivalent) has formally requested USG assistance to investigate this matter. END SUMMARY AND ACTION REQUEST.

2. (SBU) The Government of Djibouti's office of the Prosecutor-General has formally requested USG assistance to investigate suspected fraud against BCI-MR in Djibouti. In February 2009, BCI-MR sent a sealed DHL package containing 500 American Express traveler's checks, each in a denomination of 1000 USD (totaling 500,000 USD) to Deutsche Bank Trust Company Americas in New York City. American Express confirms that all of these traveler's checks sent to Deutsche Bank have been paid; however, Deutsche Bank only confirms receipt of 30 checks (i.e., out of 500 sent via DHL from Djibouti to New York).

(SBU) The DHL package was sent in February 2009 (DHL tracking number: 3526112730). American Express check number sequence:

GB 324 527 531-630
GB 324 527 631-730
GB 324 527 731-830
GB 324 527 831-930
GB 324 527 931-GB 324 528 030

(SBU) RSO, LEGATT Sanaa, and A/LAT have met with Djiboutian officials, including Maki Omar Abdoulkader (representing the Government of Djibouti's Prosecutor-General) to discuss this suspected defrauding of BCI-MR.

---------------------------------------------
SUSPECTED FRAUD AGAINST GOVERNMENT-OWNED BANK
---------------------------------------------

(SBU) The GODJ states that it has not been able to get any answers from any U.S.-based institution (e.g., American Express, DHL, and Deutsche Bank) regarding the apparent loss of 470,000 USD. In a meeting with RSO, LEGATT, and BCI-MR officials, the Mr. Abdoulkader stated, "I realize this is not a large amount of money in the eyes of the U.S., but for a small country like Djibouti this is very serious." (NOTE. BCI-MR is partially owned by the Government of Djibouti, which holds a one-third stake in the bank.
END NOTE.)

(SBU) Point of contact for this report is Regional Security Officer Ellen Tannor, tel: (253) 353-995, ext 2307.

WONG

Anonyme a dit...

Mohamed Hassan Abdillahi, secrétaire général du gouvernement dans le collimateur des USA
Un Vice Dictateur Issak à l’abris des regards

images.jpg S.E.M. Mohamed Hassan Abdillahi, comme il est mentionné partout sur les documents officiels de la République, n’est ni plus ni moins un Vice Dictateur à l’abris de regards de l’opinion publique nationale.

Aux affaires du gouvernement depuis plus d’une décennie, S.E.M. Mohamed Hassan Abdillahi, un paresseux notoire, connu pour son amour indéfectible du khat et des jeunes filles, n’est autre que le numéro 2 du système Iogiste.

Ce vicieux au caractère trompé, sert d’anti chambre pour tous les frasques contre la République et les citoyens. Connu pour ses sauts d’humeurs et sa fascination pour le système dictatorial, grand amateur de la discrétion et des détournements des deniers publics, il aime à soumettre tout ministre tel un Vice Président et sa parole équivaut à celle du représentant de la « Famille mafieuse».

Et pourquoi pas , vous diriez-vous. Certes, la constitution Djiboutienne ne donne pas droit à la nomination du poste de 1er Ministre puisque le dictateur concentre à lui seul tous les pouvoirs d’Etat et ne peut donc gérer à lui seul sa boutique nationale.

Donc, l’astuce était simple. Il a fallu créer le poste de Secrétaire Général du Gouvernement, comme un triple moyen d’abord de substitution au poste de 1er Ministre, voir d’un Vice Président Issak, qui contrôlerait à lui seul le gouvernement et sous le regard bien veillant du malade mental à la tête de l'Etat et de la Reine de pacotille et ensuite mettre sur la touche toute représentation d’un citoyen de la communauté Afar pourtant légitime pour un tel poste.

Seulement voilà, depuis la publication d’un document officiel signé par le « Vice Président » S.E.M. Mohamed Hassan Abdillahi, ordonnant au Ministre de l’intérieur de l’époque, Yacine le Gros Nounours Trouillard, d’intensifier les écoutes sur des opposants, il est devenu clair dans l’esprit des Djiboutiens, le rôle important que jouit le « paresseux notoire » au sein du système mafieux.

Pire encore, il faut savoir, que S.E.M. Mohamed Hassan Abdillahi est une de personnalité clé, qui contribue en permanence, à l’enrichissement de la Somaliland avec les milliards de nos francs détournés en sa faveur.

Mais depuis la venue de la nouvelle Ambassadrice américaine, Geeta Pasi, le clash entre elle et ce dernier n’a pas tardé. Jeudi 22 septembre, « le paresseux notoire » S.E.M. Mohamed Hassan Abdillahi a voulu s’interposer entre les agents du FBI revenus à Djibouti pour mener à nouveau l’enquête sur l’assassinat sauvage du responsable de la sécurité à l’ambassade US de Djibouti en ordonnant à toutes les sécurités d'Etat (SDS, POLICE...) de ne pas collaborer avec eux.

Cette obstruction à l’enquête ne laisse aucun doute quant à la détermination du dictateur à liquider tout individu dont l’assassinat lui servirait un moyen de pression sur les puissances présentes à Djibouti et en mémoire , l’affaire Borel.

(Message trop long, voir la suite sur le message suivant)

Anonyme a dit...

Sauf que depuis la nomination à Djibouti au poste d’Ambassadrice de Mme GEETA PASI, les USA ne comptent plus entendre de cette oreille et sont déterminés à connaître la vérité sur le meurtre d’un de leur employé malgré qu’il soit Djiboutien.

Et la réponse ne tarda pas à se faire de la part de cette femme au caractère implacable, qui ne compte pas se laisser impressionner ni par le dictateur ni par les charlatans autour de lui en décidant de prendre des mesures contre des personnalités politiques tout en étant amenée à refuser toute demande de visas des officiels qui souhaiteraient se rendre aux USA et quelque soit le motif, si Djibouti continuait dans son obstination à refuser de collaborer dans cette affaire.

GEETA PASI, bien briefé par son prédécesseur, James SWAN sur les mœurs et les trafics en tout genre du dictateur et de ses proches, compte a priori porter atteinte à une certaine impunité qui a régné jusqu’à lors, en y apportant une détermination absolue pour mettre fin à des pratiques malsaines et mafieuses qui s’ajoutent à des crimes gratuits.

La monarchie commence à se fissurer de toute part et le bateau que le mafieux croyait éternel, commence à prendre l’eau et les rats coulent avec, l’uns après les autres.

(Fin)

Djibouti : IOG visite ses exilés, 2 Manifestations pour lui rendre la politesse

Gouverner ; l'art de prévoir le futur d'une Nation, ne rien prévoir c'est courir à sa perte.

« ABDOURAHMANE BACHIR ; JE L'AI FABRIQUÉ DE TOUTES PIÈCES EN CROYANT BIEN FAIRE. », Dixit IOG

« SI DIEU A ACCEPTÉ QU’IL Y AIT LE DIABLE, POURQUOI REFUSERAIS-JE QU’IL Y AIT UNE OPPOSITION » - IOG

Djibouti : L’opposition politique doit prendre acte de sa propre léthargie

DJIBOUTI : EN 37ANS, ONT RIEN NOTÉ DE GROSSIER - AMNÉSIE TOTALE - INVITENT UN 3ème ET REBELOTE

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""Il y a un temps pour RÉFLÉCHIR, un temps pour SENSIBILISER, un temps pour ÉPILOGUER et un temps pour AGIR contre le RPP : RASSEMBLEMENT DES PILLARDS DU PEUPLE.""
Téléchargez sur SkyDrive le CONTRAT JURIDIQUE ET MORAL avec le peuple de DE DJIBOUTI, afin de rassurer la population sur les INITIATIVES qui seront mises de l'avant AU DÉPART D'IOG : FEUILLE DE ROUTE (PDF)

UNE OPPOSITION RESPONSABLE ET CRÉDIBLE.

Le parti PRIDE appelle l’opposition à assumer pleinement son rôle. Lançons l’organisation d’un Congrès qui unira nos efforts, nous donnera la crédibilité nécessaire et l’appui de la communauté internationale pour une transition exigeant non seulement le respect de la constitution mais aussi la reforme du scrutin électoral et les dispositions préalables pour en assurer la transparence avant les prochaines élections de 2011.


Le peuple veut voir une opposition responsable autour d’une table ronde ou chaque parti sera représenté par 5 membres de leur direction et d’observateurs Djiboutiens.


Chaque parti tout en gardant ses affiliations, contribuera à édifier un document fort, engageant et prometteur, ralliant la population Djiboutienne toute entière dans sa diversité, contre le ballon vide d’IOG, à la mode Ukrainienne. Le document final signé par les parties, sera soumit aux pays médiateurs choisis au Congrès et aux institutions internationales.


DE LA SAGESSE, UNE VISION ET DU COURAGE, EST-CE TROP DEMANDER?


Le rôle de ces observateurs Djiboutiens comme la préparation du congrès, sera confié à une agence spécialisée dans l’exercice de cette fonction et un comité ou une entité neutre assumera la coordination et la préparation des documents du Congrès, entre cette agence et les parties ayants exprimées leur volonté d’y participer.


Dans un souci de transparence et de tenir le peuple informé, à défaut d’être diffusés en direct sur l’internet, tous les travaux de ce congrès doivent être vidéo-enregistrés.


Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie : PLAN D’ACTION POUR UN FRONT COMMUN.

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CONSTITUTION DE LA RÉPUBLIQUE DE DJIBOUTI : EN FRANÇAIS ENGLISH

Présenté à toutes les Ambassades et Consulats de France dans le monde -- Memorandum du 28 Sept 2010.pdf.