Ce soir en finalisant la rédaction de l'article ci-dessous, j’ai été invité à prendre connaissance d’un document anonyme sur le parcours politique d'IOG, cette description de l’homme explique ma foi, son comportement d’insignifiant, rongé par ce complexe d’infériorité et je cite : "" Il voulait la fonction dans le seul but de s’élever au dessus des responsables de son sentiment d’infériorité. C’est ce sentiment, en règle générale, qui inspire son caractère et sa propension à dévaloriser les autres y compris les siens pour rehausser sa propre valeur...(...)...Avant d'accéder au pouvoir, IOG était qualifié par l'occident de "totalement corrompu, affairiste, ambitieux, sans aucun scrupule morale ou humaine"" --- QUEL BEAU TABLEAU, ET DIRE QUE CETTE ÉTROITESSE D'ESPRIT À OCCUPÉ LA MAISON BLANCHE DURANT 35 ANS !!!
Jour de l’Eid Al Adha du 5 nov 2011,
La fête la plus importante de l’Islam, symbole de la soumission totale du Prophète Ibrahim (AS) ; une journée de culture de la compassion, l’espoir, et le pardon. C’est cette journée bénie du ciel, dans la peau d’une victime innocente, que le satrape IOG choisit de rafraichir son teint.
Juste le temps d’un discours à la Nation, débarrassé de la cagoule du bourreau, crédité par la présence des corps diplomatiques et ses applaudimètres, exposant sa caricature devant des versets du Saint Coran dans un cadre à ses dimensions, transfuse ses aversions sur une soi-disant méchanceté de l’opposition politique à son régime.
Sans une once de scrupule, diffame sans retenu les dirigeants de l’opposition en exile dont il emprisonne, torture et massacre les militants depuis des mois, une relève à qui il attribut le blâme du refus de participer à la vie politique selon ses directives et sa camisole du terrorisme d’État.
Un événement solennel sensé unir une Nation, vire au supplice, des couleuvres garnies aux sottises et arrosées au mépris de la critique, le débat et l’humilité qu’impose la fonction. L’homme n’a rien appris en 35 ans ni de son maître Gouled qui excellait du moins dans ses relations publiques, sans jamais calomnier publiquement ses opposants politiques, dont il comprenait le rôle et les droits, même s’il ne les a jamais écouté et on sait depuis 1999, d’où venait cette mauvaise influence qui voit dans chaque opposant politique un ennemi à abattre.
Voici la seule bonne nouvelle du dernier discours d’IOG, dont on espère une partie du mérite sera reconnue aux membres et les militants du PRIDE :
Malgré ce mauvais sort dont nous a accablé le tonton Gouled, tout n’était pas sombre cette fois-ci, non, loin de là. Le malade est sorti de son coma. Ayant toujours dénigré toute crédibilité, compétence et capacité à l’opposition politique, en ce jour béni, vient enfin de reconnaitre publiquement non seulement l’existence d’une alternative face à sa paralysie, mais, attribut cette fois-ci à la grande majorité de cette opposition, une intelligence et une sagesse remarquable, sauf dit-il, une poignée d’autres qu’il se fit plaisir de traiter de tous les mots ; en somme ceux qui l’ont sortie de la léthargie : Le PRIDE
- Oui, M Guelleh, j’avoue, comme Secrétaire Générale du PRIDE, nous sommes coupables en grande partie, de vos mots de tête ces 3 dernières années.
- Oui, coupables d’avoir mis à nue et sensibilisé le peuple dans son ensemble et la planète entière sur votre banditisme mafieux et votre système de gouvernance basé sur la répression et le clientélisme tribal. Faire de vous un invité de coulisses, un paria banni des tapis rouge et loin des cameras en attendant le jour « J », c’est et sera le devoir de tout patriote du PRIDE, une façon de soulager les souffrances des victimes.
- Ce que vous appelez insulte et vulgarité, ne sont que des qualificatifs à la hauteur de votre immoralité.
- Quand une personne dont le mensonge est devenu une marque de commerce, accuse d’autres de la même tare, un lépreux pourra aussi bien demander la quarantaine pour les crises d’acnés.
- Au summum de ce discours pathétique, vous soulevez le fait qu’on s’adresse aux étudiants en colère ; n’est ce pas là M Guelleh, le rôle premier du politique, d’aller au devant des revendications du citoyen, répondre et solutionner les problèmes de la société ??? --- Vous préférez certes, l’arbitraire et la torture à l’exercice démocratique, de grâce ne reproché pas aux autres de ne pas partager votre barbarie !
- Vous nous accusez de dialoguer et négocier avec ceux que vous nommez « les ferengis », j’imagine vous faites allusion à la coopération française et américaine ou d’autres, que sais-je ; mais en quoi ceci serait-il un mal si vous affirmez dans le même discours, en faire autant vous-même, à tous les jours ??? --- N’est ce pas là, des signes de panique d’un despote qui perd son monopole d’interlocuteur privilégié ???
- Et dans le même manque de scrupule, vous nous mettez en garde ; « si on vous lâchait pas, on serait voué à l’enfer et que nous serions en perdition », tandis que l’auteur de crimes multiples et le désastre ambiant, jouirait sans doute du paradis !!! --- Une singularité proche du délire, très fréquente chez les usurpateurs du pouvoir qui s’entourent d’obligés à la plus haute fonction d’un État, d’un conseillé en religion et conseillère en politique parmi ses rejetons, sans la moindre autorité de vous donner l’heure juste. Je ne les blâmes guère, mon fils n’aurait pas fait mieux.
Vos acrobaties dans la promotion de l’emploi ont toujours été motivé par une fraude, à faire rougir les parrains de la Sicile et j’en prendrais juste un exemple, l’ayant vécu en personne corps et âme : Vous rappelez-vous de la Cie Américaine Ronco Risk Managment ? – Je sais que oui, un braqueur de banques n’oublie jamais ses exploits.
Vous aviez rassuré les dirigeants de cette Cie, avec la bénédiction suivante « You’ve my blessing », en tout début de projet, puis à la présentation du produit final aux différents intervenants, à la veille de la création en 3 ans de 2000 emplois à Djibouti avec des investissements directs et indirects colossaux, votre ancien amis et financier Boreh, aujourd’hui financier de votre cousin DAF du MRD qui se voit lui comme l'hériter tribal du trône, l’homme que vous nous avez recommandé comme votre représentant, détourne le projet, renvoi la compagnie, et prive 2000 compatriotes d’un débouché. Au courant de tout à Djibouti, après ce crime vous n’avez jamais eu le courage de nous recevoir en audience avant notre départ de Djibouti malgré nos tentatives, ni vous, ni Boreh et encore moins votre couteau de cuisine Hassan Said, à qui on faisait un rapport sur nos activités périodiquement.
Pour un citoyen qui a gouté à votre médecine abject, entendre le même prédicateur, bercer d’illusions nos jeunes au risque de les marquer à vie, les mots me manquent surtout, qu’après ce discours, on vient de découvrir le favoritisme dont vous venez de faire montre à l’embauche de nouveaux enseignants.
Et enfin, M Guelleh, affirmez dans un discours à la Nation devant un parterre de diplomates que vous aimez ce pays plus que les Djiboutiens et les opposants au césarisme, quand même les moutons savent que vous les avez tanné à l’os, montre aux citoyens de ce pays, que votre bassesse n’a aucune limite.
Vous avez occupé la maison blanche des braves durant 35 ans, les occasions n’ont guère manqué de vous racheter, mais vous avez toujours privilégié le droit de la force à la force du droit et le pouvoir de la soumission d’un peuple à votre soumission au pouvoir du peuple.
- Je vous accuse de cette terreur que vous avez institué comme système de gouvernance et la honte dont vous avez accablé des familles en autorisant le viol de la chaire et l’honneur.
- Je vous accuse d’indigne à cette fonction publique, d’indigne de la confiance du peuple et un indigne de la race humaine tout court.
- Je vous accuse de renégat, coupable de plusieurs crimes et prodrome du grand banditisme.
- Je vous accuse du désarroi de ces pères dont vous avez condamné les enfants à la misère.
- Je vous accuse des larmes de ces mères dont vous avez coupé court à l’espoir qu’ils offrent à l’humanité.
- Je vous accuse de la détresse de ces épouses dont vous avez castré le mari par la torture.
- Je veux que la terre entière sache, aujourd’hui comme hier, que nos indignés sont étouffés et maltraités par vos mercenaires.
- Je veux que nos mères, des vendeuses aux coins des rues à celles usées par les fardeaux qu’elles transportent pour nourrir leurs enfants, à celles qui se lèvent tôt et veillent jusqu’à tard chaque nuit pour que son foyer malgré la misère ambiante soit un refuge accueillant, sentent que leurs sacrifices a servi à quelque chose, à la patrie et l’humanité dans son ensemble.
- Je veux que nos enfants recommencent à vivre et à croire en leur avenir et celui de leur pays.
- Je veux que les maigres richesses de ce rocher des braves soient reparties équitablement entre ses régions.
- Je veux que mon pays redevienne une terre de justice administré par des vrais patriotes.
- Et je vous accuse M. Guelleh d’être l’obstacle à tous mes vœux.
Votre œuvre sera bientôt à son terme et la tombe vous attend de pied ferme, faites le dernier geste digne qui empêchera la terre de rejeter votre corps en épargnant à ce peuple votre dessein de la terre brûlée, soyez pas ingrat jusqu’au dernier souffle, envers un pays qui a offert au natif d'Aychaqa les plus belles années de sa vie.
Des patriotes et des compatriotes indignés.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie
– Le Secrétaire Général : Bourhan M. Ali (Abou Amin)
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mes freres et soeurs ceux qui ceux qui ne font rien apart des insultes envers leur pays et qui se dise a haute voix qu ils sont des democrate mais mes freres et soeurs c est quoi etre un demcrate dans se monde aujourd hui hein ? d apres vous ?
voila ce que je vous propose de le faire une action en term bienete est mieux que celle d insulter ok
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