Dommage que l'honneur et l'illicite ne veulent plus rien dire chez notre compatriote Mahamoud Ali !!!
Devenu un affidé de la vision monolithique de la Ripou-blique IOG, se flatte de fréquenter la même mosquée du quartier tout en supportant sans gênes les crimes, malgré l’éducation professer par son défunt père, que Dieu est son âme, un homme de justice respectable et respecté dans la communauté, qui sans doute, du fond de sa tombe, peine d'avoir légué au monde un tel esprit vil.
"" La liberté d'expression existe, nous n'avons jamais interdit les Médias et les organes de presses à Djibouti, il y'a des journaux de l'opposition qui parlent des actions du gouvernement et il n’y a pas de prisonnier politique chez nous "", a-t-il affirmé avec un sourire sur les lèvres, aussi bête que les propos ubuesques.
En réfutant tout ces crimes publiquement, notre constat au PRIDE comme tout victime devrait aussi le noter, Mahmoud Ali, l’intellectuel Faussaire vient d'afficher avec arrogance sa complicité dans tous les crimes d'IOG, en assénant aux victimes de la violence et les crimes gratuits de ce régime, ainsi qu’à leurs familles, un déni total de leurs souffrances et préjudices subis.
Et comme le ridicule ne tue point, il ose demander au journaliste de vérifier ses informations erronées sur la répression et la torture à Djibouti !!!! (Une 20ène de rapports dans la colonne de gauche de ce blog attestent des actions criminelles de ce régime)
""La torture n'a jamais été rapportée par Transparency International"", nous dit, celui qui selon les rumeurs sera très prochainement le remplaçant de l'actuel premier ministre, selon le bon vouloir de son maître, bien sûr.
Des mensonges que même un néophyte du Net aurait souligné que Transparency International combat la corruption et NON LA TORTURE, un détail que le journaliste d'Africa24 à omis sans doute par pudeur, de le lui mentionner.
Vous avez arrêté et torturé 2 journalistes ? -- Réponse :
"" Faux !!! Faux !!!, c'est pas des journalistes, c'est 2 personnes qui allait en Érythrée, 2 expatriés qui vivent en Belgique avec des faux papiers, qui se sont fait passés pour des Somaliens...Et d'autres se mettent de faux bandages pour dire qu'ils ont été torturés."" : La morale des sottises, il les a torturé car c'était des faux journalistes !!!
La seule vérité de ce discours, concerne Jean Paul Abdi qui effectivement carbure en filigrane à la promotion politique en profitant de la protection que lui confère son titre à la LDDH, devenu le porte voix et défenseur des intérêts de certains opposants, tout en dénigrant d'autres. (VIDÉO DE L'ENTREVUE EN BAS DE CETTE PAGE)
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie
– Le Secrétaire Général : Bourhan M. Ali (Abou Amin)
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Classement mondial de la liberté -- En Afrique, les écarts se creusent entre bons et mauvais élèves.
M Mahmoud Ali Youssouf qui prétendait dans cette entrevue avec Africa24, que la liberté d’expression existe à Djibouti et que des journaux d'opposants sont autoriser à critiquer les actions du gouvernement, devrait jeter un coup d’œil sur ce dernier rapport de Reporters sans frontières, même si on sait qu'il le sait déjà, au moins il comprendra que son bluff pour redorer le blason de son maître comme dans le temps, cette fois ne passe pas, le monde est plus ouvert grâce à l'internet :
http://fr.rsf.org/press-freedom-index-2011-2012%2c1043.html
Les pays les plus fermés et autoritaires en queue de classement
Pour le contrôle qu'exercent les autorités sur les médias et la liberté d'expression en général, Reporters sans frontières juge la situation "très grave" au Rwanda (156e) et en Guinée équatoriale (161e).
Perdant 49 places, Djibouti vient au 159e rang sur 179 pays.
Le petit dictature de la corne de l’Afrique, Ismael Omar Guelleh, a été réélu début 2011 au terme d'une élection présidentielle jouée d'avance et sans possibilité pour l'opposition de s'exprimer dans les médias. La presse libre n'existe pas, six collaborateurs d'une radio en exil ont été emprisonnés pendant quatre mois, un juge croupit en prison sur des accusations sans fondements, les réseaux sociaux ont été surveillés pour étouffer les contestations....etc
ET CE MINISTRE OSE NARGUER UN JOURNALISTE EN LUI DEMANDANT DE VÉRIFIER SES INFORMATIONS !!!
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