Masdar, une ville entière de 40 000 habitants au SOLAIRE, THERMIQUE et l'énergie PHOTOVOLTAIQUE, sans impact négatif sur l'environnement : Après avoir longtemps brûlé des combustibles fossiles pour bâtir leurs villes dans le désert, certains pays pétroliers et gaziers du Golfe commencent à se tourner vers l'énergie solaire. La fierté des Émirats est la ville de Masdar conçue pour avoir l'empreinte carbone la plus faible possible.
Ce projet prévoit l'une des plus grandes centrales solaires au monde au sud d'Abou Dhabi. Shams 1, fruit d'une collaboration entre l'espagnole Abengoa Solar et le français Total, doit être achevée d'ici à la fin de l'année. Elle s'étendra sur une surface de 2,5 km² et aura une capacité de 100 mégawatts : C'EST QUASIMENT CE QUE PRODUIT AU MEILLEUR DE SON RENDEMENT LA VIEILLE CENTRALE DU ROI IOG ET SA COUR D'INCAPABLES.
Protégée des vents du désert par des murs, du soleil par l'étroitesse des rues, de la chaleur par un réseau de cours d'eau, la ville devra avant tout économiser l'énergie. Utiliser le moins possible d'eau issue du dessalement de l'eau de mer notamment, en préférant le recyclage des eaux usées. Eaux usées qui serviront à cultiver les biocarburants qui remplaceront les carburants fossiles. Pour le transport des habitants, priorité est donnée aux modes de déplacement 'doux' : marche, vélo, facilités par l'accessibilité des activités. Pour les compléter, des transports en communs électrique, non polluants, en majeur partie sous la ville.
VERSUS DJIBOUTI - 37 ANS D"INDÉPENDANCES ET :
- Une seule vieille centrale électrique au fioul, desservant juste la capitale Djibouti, le reste n'en parlons pas... Un chiffre d'affaire selon nos sources, variant entre 10 et 15 Milliards de Francs DJB, servant en totalité à payer des employés fantômes et à huiler la machine du régime.
- Délestages journaliers,
- Des groupes électrogènes en 2ème ou 3ème vie, fourgués aux prix fort par un dépotoir européen, le marché pour préfets africains de service ; enrichir les protecteurs politiques.
- En éternel commandes de pièces de rechange chez les fournisseurs, à travers un marché secondaire de gonflement de factures, cette fois pour graisser les pattes des valets locaux du régime,
- Malgré tout ce gaspillage et détournements de fonds publics, juste 25% de la population ont été connectés à ce jour au réseau électrique d'une autre époque.
- Aucun investissement dans la géothermie dont on nous vente les potentiels depuis 1970 ; une source abondante à Djibouti dont profite l'Islande. (voir info sur ce pays)
- Aucun investissement dans l'éolienne,
- Aucun investissement dans le solaire, une autre énergie abondante dans la région,
Son excellence le bouffon de Djibouti se veut passer du désastre actuel, à l'énergie verte d'ici juste 8 ans....AMEN !!!
Dixit IOG : " L'objectif de mon pays est de fournir de l'énergie à tous les Djiboutiens et de devenir en 2020 le premier pays d’Afrique utilisant entièrement une «énergie verte»."
Ce même clown osa tenir ce genre de discours absurde au Forum mondial sur l’énergie à Dubaï, devant un parterre de dirigeants bien informés des réalités à Djibouti, la honte m'étouffe !
Imaginez une seconde ce que doivent penser de nous (le peuple du silence), ceux de l'audience à l'écoute, convaincus qu'"une caste dirigeante est à l'image de son peuple" : "Un peuple de menteurs pathologique". Il nous faudra des efforts titanesques, beaucoup de temps et une élite digne, pour effacer cette belle image, de la mémoire de nos amis de la région.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)
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