EN JAUNE LES FAUX "BONS ÉLÈVES" |
Transparency International, tout en reconnaissant que cette corruption se fait dans l’ombre et reste difficile à mesurer et que les fraudes d’ampleurs ne sont souvent révélées que quelques années plus tard, que les actes quotidiens de corruption sont difficiles à quantifier, cette organisation des plus obscures dans son fonctionnement comme ses critères, se base sur 17 sources, fournies par 13 institutions dites de « renom », dont, les institutions internationales et des banques de développement connus pour leurs programmes de déstabilisation des économies les plus vulnérables.
Pour comprendre cette escroquerie et évaluer la crédibilité de ces classements subjectifs, il suffit de nous poser les questions suivantes :
- Ils étaient ou Transparency International, leurs dites 17 sources et 13 institutions en 2008, lors de cette crise financière mondiale qui en réalité n’est nul autre qu'une corruption sur une échelle d’un abîme insondable ayant mis à genoux toute l'économie mondiale ?
- Comment se fait-il que ces données de sources crédibles, infaillibles et impartiales n'aient pu mettre à jour et dénoncer la corruption mafieuse des swaps de devises, des produit dérivés et hypothèques frauduleux ayant poussé des millions d'honnêtes contribuables à la faillite et à la rue.
- Comment se fait-il que ce rapport attribut le titre de "bons élèves" aux pays les plus mal lotis de la planète dont ceux de la zone Euro et l’Amérique du Nord, responsable de cette corruption légalisée, en quasi faillite économique dû à des dettes publiques ayant enrichit exponentiellement les banques privées depuis les années 70 et dont la plus part sont au bord de la cessation de paiement ?
- Qui a poussé la Grèce au désastre actuel et comment a-t-elle pu cacher son déficit et sa dette à la vigilance de ces institutions ; pour ceux qui ont étudié ce cas de près, n'est-il pas la preuve flagrante, du deux poids deux mesures ?
- Et enfin, comment se fait-il qu'on continue à déverser des milliards de l'argent du contribuable, pour aider ces banques, premieres responsables de l’hécatombe, tandis qu'on impose l'austérité aux victimes de cette corruption légalisée ?
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)
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