Djibouti : À tous nos compatriotes sur sites sociaux

Ceux du moins partageant nos convictions politiques et la nécessité de l'ouverture d’un sincère dialogue entre toute l'opposition djiboutienne : veuillez de grâce partager cette image couverture sur votre profil ou page Facebook, Myspace, LinkedIn, ou le nouveau profil Twitter et autres.
Merci d’avance.

Pour les autres se refusant d'être systématiquement impliqué dans les prises de décisions politiques du pays, d'une élite autoproclamée représentant de tout le peuple, sans aucun mandat et d'autant plus allergiques à tout dialogue, et bien libre à ceux-là, de continuer à attendre en silence, tel un troupeau devant l’abattoir, que le changement leur tombe du ciel ou leur soit prescrit par le génie de la lampe d’Aladin, concocté dans le secret d’un Mabraze, lors d’un potentiel vide au pouvoir, suite à un éventuel rappel d’IOG vers la tombe ou son projet secret de succession à l’échéance 2016.

« La politique, c'est l'art, la volonté, la passion de gouverner. », disait un certain Latzarus. J'ajouterai que Gouverner, c'est aussi l'art de prévoir et préparer le futur d'une Nation ; ne rien prévoir, c'est courir à sa perte.
Ceux qui veulent juste réagir aux évènements nous mènent droit au chaos.
Je vous laisse imaginer un instant ce qui arriverait à Djibouti dans la situation actuelle, OU SELON NOS SOURCES IOG EST TRÈS MAL-EN-POINT, un pouvoir vieux de 37ans et des institutions phagocytées à la moelle ; si le créateur rappelait cet homme ce soir, qu’arriverait-il d’après vous ?
Selon moi ça serait un vrai chaos avec ses lots de morts. Par conséquent face à cette cécité de gens prônant le silence et refusant le dialogue national du moins entre toute la relève politique, je n’ai à ménager personne ni à être tolérant ou tendre avec les dangers qu’ils nous font courir.

LES INTÉRÊTS DE LA NATION AVANT TOUT MÉNAGEMENT DE SENSIBILITÉS D’UNE POIGNÉE D’INCONSCIENTS. POUR DIALOGUER AVEC UN ADVERSAIRE POLITIQUE, ON N'EST PAS FORCÉ DE L'AIMER, SINON QU'ILS LAISSENT LA POLITIQUE À CEUX CAPABLES DE SÉPARER LE PRIVÉ DU PUBLIC, « L’émotion est nègre, comme la raison est hellène » disait Senghor...

La relève du PRIDE rejette la répétition de l’histoire et cette énième imposture en gestation au même titre que celle au pouvoir, au moins on est cohérent, transparent et sans détour dans nos convictions.

Bourhan Bey (Abou Amin)