Djibouti étant membre du Conseil des Droits de l'Homme jusqu'au 31 Décembre 2012, par la magie de cette institution désuète et inadaptée, se voulant du côté du droit avec un panel composé de certains délégués de dictateurs, je serai curieux de poser la question à notre Brave sœur Aicha Dabale, à savoir si le représentant du pouvoir djiboutien, n'avait pas quitté la salle durant sa déclaration, ou son état d'esprit.
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Aicha Dabale's statement, on Women's Human Rights at the 20th regular session of the Human Rights Council, requiring the Council’s attention on Repressions, Rapes and Atrocities committed by the regime military forces, in Djibouti, from 1991 to date, with impunity whatsoever. (18 June - 6 July 2012)
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie
– Le SG : Bourhan Bey (Abou Amin)
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ORDHD (Observatoire pour le Respect des Droits Humain à Djibouti )
Le conseil des Droits de l'Homme des Nations Unis est saisi des violations des droits humains à Djibouti
Djibouti, membre du comité du conseil des NU pour les droits de l'homme a été épinglé sur les exécutions extrajudiciaires, sur les tortures et sur les viols des femmes par les soldats.
Pour la première fois depuis 35 ans, la question des violations des droits de l'Homme en République de Djibouti a pu être abordée aux Nations Unis lors de la 20ème session devant la 20ème session du Conseil des Droits de l'Homme à Genève le 26 et 28 juin 2012.
Aïcha Dabalé, ancienne prisonnière d'opinion, militante historique des Droits Humains, est intervenue le 26 juin au nom de l'Association Femmes Solidaires (organisation française, issue des Comités Féminins de la Résistance) devant les instances de NU sur les multiples exécutions extrajudiciaires et massacres des civils innocents commis par le pouvoir de Djibouti depuis 35 ans et le 28 juin sur les viols des femmes du Nord et du Sud Ouest commis par les soldats gouvernementaux qui bénéficient de l'impunité.
Aïcha Dabalé, membre du conseil national des Femmes Solidaires, est aussi représentante en Europe du Comité des Femmes Djiboutiennes contre les Viols et l'Impunité (CFDVI) et membre de la direction de l'Observatoire pour le Respect des Droits Humains à Djibouti (ORDHD).
Femmes Solidaires soutient les demandes des organisations djiboutiennes des droits humains (Ligue Djiboutienne des Droits Humains et l'Observatoire pour le Respect des Doits Humains) et du Comité des femmes djiboutiennes contre les viols et l'impunité :
-pour l'ouverture d'une enquête internationale sur toutes les exactions commises par le pouvoir de Djibouti à l'encontre de sa population depuis 35 ans
Aicha Dabalé a de son côté lancé un appel au rapporteur spécial pour une enquête internationale sur toutes les exactions à l'égard des femmes Djiboutiennes et plus particulièrement sur les viols des femmes du Nord et du Sud-ouest de la République de Djibouti.
Ci-joints les interventions et les textes d'Aicha Dabalé*
et la réponse du représentant de l'Ambassade de Djibouti en Suisse
http://www.unmultimedia.org/tv/webcast/2012/06/femmes-solidaire-gd-item4-contd-22nd-meeting-20th-session.html
http://www.unmultimedia.org/tv/webcast/2012/06/djibouti-right-of-reply-22nd-meeting-20th-session.html
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