Le coupable premier, appelle et avertit la police d’un crime, sans qu’il en soit soupçonné le moindrement ; l’impunité totale, c’est à quoi me fait penser ce rapport.
I - Djibouti is experiencing a large increase in debt over the last decade from 40% of GDP in 2001 to 70% in 2009.
""Djibouti connaît une très forte augmentation de la dette au cours de la dernière décennie, passant de 40% du PIB en 2001, à 70% en 2009"", nous disent-ils :
Voici 3 mois, nos prédictions dans une entrevue téléphonique avec un site internet de compatriotes Djiboutiens, comme dans plusieurs de nos analyses économiques sur l'endettement de Djibouti, se voient confirmées.
J'avais soulevé la question en chiffrant avec précision, le niveau d'endettement irresponsable de notre pays par les kleptocrates au pouvoir depuis l’indépendance, dépassant les 70% du PIB en 2009 selon le FMI et selon nos chiffres, les 95% en 2012. En somme nous sommes déjà en faillite.
Le FMI lance rarement ces genres d’alertes et n'active jamais le bouton panique, comme ici, ou il nous rassure que ça va, surtout, lorsque le pays est gouverné par des dociles Pirates versant des gros intérêts aux institutions comme le FMI et à la banque mondiale, sur des dettes illégitimes, prêtées à des corrompus et des brigands connus, de part l'utilisation qu'ils ont en fait depuis 1977, n'ayant bénéficié ni au pays en plein délabrement, ni aux infrastructures pour servir adéquatement les sources premières des revenues de l’État, ni au peuple qui meure de faim, de soif, manque de soins de santé, d'électricité, de logements sociaux et de toute vie décente.
II - Djibouti’s trade deficit increased from 6% of GDP in 2010 to 12% in 2011.
Le déficit commercial de Djibouti a augmenté de 6% du PIB en 2010 à 12% en 2011.
Au delà de la mauvaise gestion du pays, la corruption et le rackettage qui gangrènent le système, lorsque vous faites fuir du pays la relève Djiboutienne compétente et renvoyez ceux qui commençaient à faire tourner les 2 Ports de Djibouti, pour les remplacer par votre famille, les valets et l'incompétence, faut pas s'étonner de la fuite des capitaux, de la clientèle et les investisseurs.
Résultat ; le déficit commercial qui était selon le FMI à 12% en 2011, sera selon nos estimations de 17% en 2012.
III - This year, the government will spend 14% of revenues on foreign debt payments -- In May the IMF agreed to lend a further $10 million to help the country meet its debt and import payments.
En bon français, ils leurs prêtent encore plus, non pas pour financer des projets locaux ou résoudre les problèmes criants du pays mais nous enfoncer encore plus, juste pour rembourser les intérêts sur les anciennes dettes et acheter les produits qui viennent de chez eux.
Vous avez là, la démonstration type du fonctionnement vicieux et criminel de la prédation du FMI et la Banque Mondiale, que nous avons à maintes fois dénoncé dans nos articles, ceci afin d'asservir ce continent et maintenir ces pays dans le sous développement tout en renflouant leurs caisses avec les intérêts faramineux de ces prêts.
IV - World Bank now classify the country as at high risk of not being able to pay its debts.
Non sans blague, ils ont l'air sérieux cette fois-ci !!!
Malgré cette fanfaronnade classique de la manipulation des masses, cette déclaration est une supercherie du langage de l'arnaque en costume cravate de ces banques, envers les pays sans défenses et sans institutions continentale digne de ce nom, pouvant parler au nom de tous les africains.
Ils sont les chasseurs et nous la proie, ils savaient que le régime d’IOG ne pourrait jamais honorer ses dettes, mais le vol et l'exploitation des faibles, est la raison principale de la création du FMI et la Banque Mondiale, qui viennent d'être rejoins officiellement par toutes les banques privées, à ce chapitre.
Après cette brève analyse de ce document du FMI, et connaissant tous le mode opératoire de ces institutions, une seule question me revient à l'esprit, depuis la première lecture :
POURQUOI CETTE ALERTE, MAINTENANT, EN ÉVITANT D’APPUYER SUR LE BOUTON PANIQUE ???
1 - La faillite du pays n’est pas une option fiable car ils vont tout perdre, argent et contrôle politique.
2 – Sans vouloir affoler les marchés, les banques ou autres pays créditeurs, derrière cette initiative, c'est le carton jaune de la volonté du FMI et la BM de contrôler ou limiter dorénavant, tout prêt de fond, au régime djiboutien. En quelque sorte, une sanction financière déguisée qui affaiblirait encore plus le régime dont les caisses sont vides, ne pouvant par conséquent honorer aucune de ses obligations, en préparation de la solution finale du répertoire de la soumission. Ce qui nous amène au 3ème point.
3 - Maintenant que c'est officiel, annoncé par le régime lui même, même si on le savait depuis longtemps, quasiment 20 ans, la richesse des sous-sols djiboutien, en or, lithium et autres minerais rares ainsi qu'en pétrole sur toute la côte, allant de l'Érythrée jusqu'aux Sud de la Somalie, le temps est venu d'acheter Djibouti, ses terres, ses institutions, ses services et tout ce qui leur permettra de faire main basse sur ces richesses à travers des multinationales, en échange de la dette. L'objectif principal visé par ce rapport, d’où, une période de turbulence en vue à Djibouti.
A -- La plus part des quartiers du centre ville seront rasés jusqu'à Ambouli à l'exception des quartiers huppés récents, les occupants déplacés au delà du PK20, pour faire de la place au développement barbare des multinationales.
B -- Nos jeunes compatriotes de la région Nord de Djibouti qui se plaignent depuis 2 mois et continuent avec raison d'ailleurs, à manifester leur colère, floués à l'embauche du futur port de Tadjourah, seul projet d'envergure dans cette région, en 35 ans, ou la population est à 95% au chômage longue durée et dont les notables ont tous été achetés par le régime, verront bientôt la partie la plus diabolique de ce projet. Au nom du développement à la mode IOG, la repopulation massive de ce territoire est à la base de l’acceptation du projet du Port de Tadjourah.
Les terres ancestrales seront cédées aux nouveaux employés relocalisés dans la région et les nouveaux arrivants des camps de réfugiés du Sud, à qui on souhaite un pays d’accueil, sur le même topo que la capitale Djibouti, qui a multipliée sa population par 10, entre 1983 et 2010.
C -- La vie déjà chère, et l'inflation grimperont exponentiellement, produisant plus de misères, de famines et tensions sociales dont personne ne peut aujourd’hui prédire les risques.
D -- Ceux qui se plaignent déjà, du ticket modérateur pour les soins de santé, le manque de médecins spécialistes et la rareté des médicaments, souffriront en silence dans l’obscurité, sous la chaleur et les longs bruissements d'éventails d'un proche, priant la mort de venir vous soulager.
E -- Ceux qui trouvent les frais de scolarité, déjà trop chère, n'auront plus qu'à retourner en brousse, l'éducation sera bientôt un produit de luxe réservé aux enfants des élites actuelles et futures.
Ceux qui oublient le passé, sont condamnés à le répéter, dit-on : Ces prévisions ne sont pas amplifiées dans un dessein politique quelconque, comme pourront l'interpréter ceux qui accusaient d'invention, nos chiffres sur la dette, mais plutôt d’analyses basées sur nos diverses sources et une lecture instruite sur la politique de la terre brûlée de ce régime, dans le même style que le sombre héritage de Siad Barré à la Somalie..
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie
– Le SG : Bourhan Bey (Abou Amin)
Debt on the increase in Djibouti
30 July 2012
IMF and World Bank say Djibouti at high risk of not being able to pay its debts, but it is not heavily indebted.
The East African country of Djibouti is experiencing a large increase in debt following drought and high global commodity prices. The drought in the Horn of Africa has increased water scarcity, cut food production and increased refugees from neighbouring Somalia. Along with high global prices for vital imports, these have all increased the relative cost of imports compared to exports. Some but not all of this gap has been filled by grants, leaving some extra borrowing. Djibouti’s trade deficit increased from 6 per cent of GDP in 2010 to 12 per cent in 2011.
The government’s external debt has already increased significantly over the last decade from 40 per cent of GDP in 2001 to 70 per cent in 2009, and now stands at $700 million. This year, the IMF predicts the government will spend 14 per cent of revenues on foreign debt payments. Since 2001, over 70 per cent of lending to the country has been from multilateral institutions such as the IMF, World Bank and African Development Bank.
In May the IMF agreed to lend a further $10 million to help the country meet its debt and import payments. As part of the loan programme the Djibouti government has agreed to:
• Reform diesel fuel subsidies
• Freeze any hiring in the public sector, except for health and education
• Freeze public sector pay, except for the lowest salary band. Inflation is 4% this year.
Djibouti has not been considered eligible for the Heavily Indebted Poor Countries (HIPC) initiative, which allows countries to have some debts cancelled in return for following IMF and World Bank economic policy conditions. It is ‘poor enough’, but was not considered ‘indebted enough’ when judgements were made in the mid-2000s. Despite this, the IMF and World Bank now classify the country as at high risk of not being able to pay its debts. The HIPC scheme has effectively now been closed to new entrants.
In 2008, the five western countries owed debt by Djibouti did restructure repayments, but this only applied to $75 million of debt, and primarily pushed payments into the future. Annual income per person in the country is £750. A quarter of the population are undernourished. --Source
I - Djibouti is experiencing a large increase in debt over the last decade from 40% of GDP in 2001 to 70% in 2009.""Djibouti connaît une très forte augmentation de la dette au cours de la dernière décennie, passant de 40% du PIB en 2001, à 70% en 2009"", nous disent-ils :
Voici 3 mois, nos prédictions dans une entrevue téléphonique avec un site internet de compatriotes Djiboutiens, comme dans plusieurs de nos analyses économiques sur l'endettement de Djibouti, se voient confirmées.
J'avais soulevé la question en chiffrant avec précision, le niveau d'endettement irresponsable de notre pays par les kleptocrates au pouvoir depuis l’indépendance, dépassant les 70% du PIB en 2009 selon le FMI et selon nos chiffres, les 95% en 2012. En somme nous sommes déjà en faillite.
Le FMI lance rarement ces genres d’alertes et n'active jamais le bouton panique, comme ici, ou il nous rassure que ça va, surtout, lorsque le pays est gouverné par des dociles Pirates versant des gros intérêts aux institutions comme le FMI et à la banque mondiale, sur des dettes illégitimes, prêtées à des corrompus et des brigands connus, de part l'utilisation qu'ils ont en fait depuis 1977, n'ayant bénéficié ni au pays en plein délabrement, ni aux infrastructures pour servir adéquatement les sources premières des revenues de l’État, ni au peuple qui meure de faim, de soif, manque de soins de santé, d'électricité, de logements sociaux et de toute vie décente.
II - Djibouti’s trade deficit increased from 6% of GDP in 2010 to 12% in 2011.
Le déficit commercial de Djibouti a augmenté de 6% du PIB en 2010 à 12% en 2011.
Au delà de la mauvaise gestion du pays, la corruption et le rackettage qui gangrènent le système, lorsque vous faites fuir du pays la relève Djiboutienne compétente et renvoyez ceux qui commençaient à faire tourner les 2 Ports de Djibouti, pour les remplacer par votre famille, les valets et l'incompétence, faut pas s'étonner de la fuite des capitaux, de la clientèle et les investisseurs.
Résultat ; le déficit commercial qui était selon le FMI à 12% en 2011, sera selon nos estimations de 17% en 2012.
III - This year, the government will spend 14% of revenues on foreign debt payments -- In May the IMF agreed to lend a further $10 million to help the country meet its debt and import payments.
""Cette année, le gouvernement va dépenser 14% de ses revenus en paiement de la dette extérieure -- En mai 2012, le FMI a accepté de prêter un autre 10 millions de dollars pour aider le pays à rembourser sa dette et les paiements à l'importation.""
En bon français, ils leurs prêtent encore plus, non pas pour financer des projets locaux ou résoudre les problèmes criants du pays mais nous enfoncer encore plus, juste pour rembourser les intérêts sur les anciennes dettes et acheter les produits qui viennent de chez eux.
Vous avez là, la démonstration type du fonctionnement vicieux et criminel de la prédation du FMI et la Banque Mondiale, que nous avons à maintes fois dénoncé dans nos articles, ceci afin d'asservir ce continent et maintenir ces pays dans le sous développement tout en renflouant leurs caisses avec les intérêts faramineux de ces prêts.
IV - World Bank now classify the country as at high risk of not being able to pay its debts.
""La Banque mondiale classe maintenant le pays comme étant à risque élevé de ne pas pouvoir payer ses dettes.""
Non sans blague, ils ont l'air sérieux cette fois-ci !!!
Malgré cette fanfaronnade classique de la manipulation des masses, cette déclaration est une supercherie du langage de l'arnaque en costume cravate de ces banques, envers les pays sans défenses et sans institutions continentale digne de ce nom, pouvant parler au nom de tous les africains.
Ils sont les chasseurs et nous la proie, ils savaient que le régime d’IOG ne pourrait jamais honorer ses dettes, mais le vol et l'exploitation des faibles, est la raison principale de la création du FMI et la Banque Mondiale, qui viennent d'être rejoins officiellement par toutes les banques privées, à ce chapitre.
Après cette brève analyse de ce document du FMI, et connaissant tous le mode opératoire de ces institutions, une seule question me revient à l'esprit, depuis la première lecture : POURQUOI CETTE ALERTE, MAINTENANT, EN ÉVITANT D’APPUYER SUR LE BOUTON PANIQUE ???
1 - La faillite du pays n’est pas une option fiable car ils vont tout perdre, argent et contrôle politique.
2 – Sans vouloir affoler les marchés, les banques ou autres pays créditeurs, derrière cette initiative, c'est le carton jaune de la volonté du FMI et la BM de contrôler ou limiter dorénavant, tout prêt de fond, au régime djiboutien. En quelque sorte, une sanction financière déguisée qui affaiblirait encore plus le régime dont les caisses sont vides, ne pouvant par conséquent honorer aucune de ses obligations, en préparation de la solution finale du répertoire de la soumission. Ce qui nous amène au 3ème point.
3 - Maintenant que c'est officiel, annoncé par le régime lui même, même si on le savait depuis longtemps, quasiment 20 ans, la richesse des sous-sols djiboutien, en or, lithium et autres minerais rares ainsi qu'en pétrole sur toute la côte, allant de l'Érythrée jusqu'aux Sud de la Somalie, le temps est venu d'acheter Djibouti, ses terres, ses institutions, ses services et tout ce qui leur permettra de faire main basse sur ces richesses à travers des multinationales, en échange de la dette. L'objectif principal visé par ce rapport, d’où, une période de turbulence en vue à Djibouti.
Les Djiboutiens qui pensaient que le pire est derrière eux, le cauchemar ne fait que commencer. Tout ce qui peut être rentable sera bientôt privatisé ou vendu à des intérêts extérieurs, de la fonction publique, à l'ONED, l'EDD, les Ports, les écoles, les Hôpitaux, les pharmacies et les supermarchés seront offerts par le FMI et la Banque Mondiale, aux chacals de la finance.
Conséquences :
A -- La plus part des quartiers du centre ville seront rasés jusqu'à Ambouli à l'exception des quartiers huppés récents, les occupants déplacés au delà du PK20, pour faire de la place au développement barbare des multinationales.
B -- Nos jeunes compatriotes de la région Nord de Djibouti qui se plaignent depuis 2 mois et continuent avec raison d'ailleurs, à manifester leur colère, floués à l'embauche du futur port de Tadjourah, seul projet d'envergure dans cette région, en 35 ans, ou la population est à 95% au chômage longue durée et dont les notables ont tous été achetés par le régime, verront bientôt la partie la plus diabolique de ce projet. Au nom du développement à la mode IOG, la repopulation massive de ce territoire est à la base de l’acceptation du projet du Port de Tadjourah.
Les terres ancestrales seront cédées aux nouveaux employés relocalisés dans la région et les nouveaux arrivants des camps de réfugiés du Sud, à qui on souhaite un pays d’accueil, sur le même topo que la capitale Djibouti, qui a multipliée sa population par 10, entre 1983 et 2010.
C -- La vie déjà chère, et l'inflation grimperont exponentiellement, produisant plus de misères, de famines et tensions sociales dont personne ne peut aujourd’hui prédire les risques.
D -- Ceux qui se plaignent déjà, du ticket modérateur pour les soins de santé, le manque de médecins spécialistes et la rareté des médicaments, souffriront en silence dans l’obscurité, sous la chaleur et les longs bruissements d'éventails d'un proche, priant la mort de venir vous soulager.
E -- Ceux qui trouvent les frais de scolarité, déjà trop chère, n'auront plus qu'à retourner en brousse, l'éducation sera bientôt un produit de luxe réservé aux enfants des élites actuelles et futures.
Ceux qui oublient le passé, sont condamnés à le répéter, dit-on : Ces prévisions ne sont pas amplifiées dans un dessein politique quelconque, comme pourront l'interpréter ceux qui accusaient d'invention, nos chiffres sur la dette, mais plutôt d’analyses basées sur nos diverses sources et une lecture instruite sur la politique de la terre brûlée de ce régime, dans le même style que le sombre héritage de Siad Barré à la Somalie..
============================================================
Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie
– Le SG : Bourhan Bey (Abou Amin)
Debt on the increase in Djibouti
30 July 2012
IMF and World Bank say Djibouti at high risk of not being able to pay its debts, but it is not heavily indebted.
The East African country of Djibouti is experiencing a large increase in debt following drought and high global commodity prices. The drought in the Horn of Africa has increased water scarcity, cut food production and increased refugees from neighbouring Somalia. Along with high global prices for vital imports, these have all increased the relative cost of imports compared to exports. Some but not all of this gap has been filled by grants, leaving some extra borrowing. Djibouti’s trade deficit increased from 6 per cent of GDP in 2010 to 12 per cent in 2011.
The government’s external debt has already increased significantly over the last decade from 40 per cent of GDP in 2001 to 70 per cent in 2009, and now stands at $700 million. This year, the IMF predicts the government will spend 14 per cent of revenues on foreign debt payments. Since 2001, over 70 per cent of lending to the country has been from multilateral institutions such as the IMF, World Bank and African Development Bank.
In May the IMF agreed to lend a further $10 million to help the country meet its debt and import payments. As part of the loan programme the Djibouti government has agreed to:
• Reform diesel fuel subsidies
• Freeze any hiring in the public sector, except for health and education
• Freeze public sector pay, except for the lowest salary band. Inflation is 4% this year.
Djibouti has not been considered eligible for the Heavily Indebted Poor Countries (HIPC) initiative, which allows countries to have some debts cancelled in return for following IMF and World Bank economic policy conditions. It is ‘poor enough’, but was not considered ‘indebted enough’ when judgements were made in the mid-2000s. Despite this, the IMF and World Bank now classify the country as at high risk of not being able to pay its debts. The HIPC scheme has effectively now been closed to new entrants.
In 2008, the five western countries owed debt by Djibouti did restructure repayments, but this only applied to $75 million of debt, and primarily pushed payments into the future. Annual income per person in the country is £750. A quarter of the population are undernourished. --Source
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