Le Valet de Service du Ministère de l'intérieur : Hassan Darar Houffaneh, entouré juste de ses préfets perroquets et ses proches collaborateurs, l'opposition Djiboutienne et leurs militants considérés comme des parasites et des perturbateurs n'ayant pas été conviés, a présidé sa première rencontre du lancement officiel des préparatifs de cette élection, qui fait suite à la réouverture à "titre exceptionnel" par le traditionnel décret de la médiocrité présidentiel du PARRAIN IOG, des listes électorales invitant les Djiboutiens qui ne se sont pas encore inscrits sur les listes de s'acquitter de leur devoir de citoyen avant le 30 septembre 2012.
Au menu figurent l’état d'avancement des inscriptions sur ces listes, les besoins de chaque région pour l'organisation et le bon déroulement selon leurs propres critères bien sur, de ces élections. Point fermez la parenthèse.
Mais non, doucement, attendez !!! - la réforme du code électoral et la proportionnelle promise, vous en faites quoi ???
À date, on n'a pas daigné répondre à la correspondance du PRIDE, mais osent demander à nos militants comme à la population dans son ensemble de s'enregistrer sur des listes inutiles, que les professionnels de la fraude au sein du régime, finiront par remplir avec des noms fantômes et la naturalisation sélective unilatérale, dans les camps de refugiés.
Le Valet de Service du Ministère de l'intérieur, nous dit : "La tenue de ces élections est un défi crucial pour notre jeune démocratie (...) C'est pourquoi, j'invite tous les responsables de ce département de se surpasser pour réussir pleinement sur le plan organisationnel et opérationnel les prochaines élections législatives".
"" Nous venons tous d'observer, partout sur le territoire national, la courbe des inscriptions sur les listes électorales est partout très bas. Une certaine négligence incomprise semble habiter nos concitoyens. Mais je pense que tous ensemble, nous pouvons encore inverser la courbe"", a reconnu le doyen des préfets, M. Mohamed Cheiko Hassan, un autre valet de service, comme les six autres préfets du pays, sans exception, ont tous fait part de leur préoccupation face au manque d'engouement de Djiboutiens qui tardent encore à s'inscrire massivement sur les listes électorales.
"Manque d'engouement", ce terme inapproprié banalise les faits et la volonté des Braves, allant jusqu'à insulter l'intelligence avec des âneries dans le style : "Une certaine négligence incomprise semble habiter nos concitoyens". On est tous des idiots, on ne comprend rien.============================================================
En vérité, la population de Djibouti, a toujours refusé de participer de près comme de loin à toute mascarade électorale avant toute réforme du système, ou toutes les forces vives de la Nation, seraient impliqués dans un processus démocratique dans la transparence. Aussi simple que ça.
Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie
– Le SG : Bourhan Bey (Abou Amin)
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