Abdourahman Borreh Accuse d’Assassinat son Ancien Associé.

Qui est-il ce Borreh ?

Voici quelques uns de ses anciens et présent chapeaux.

•         Homme d’affaire sans foi ni loi.

•         Deuxième homme fort du pays et ancien associé financier de longue date de l’actuel président Djiboutien, jusqu’à récemment, ou il fût, dépouillé, banni du cercle des privilégiés et invité à quitter le pays.

•         Patron de Borreh Group Ltd.

•         Promoteur de l’Hôtel Kempinski Djibouti.

•         Président du Conseil d’Administration des Zones Franches des deux Ports de Djibouti.

•         Importateur de main d’œuvres à bon marché, de l’Asie et du sous-continent indien pour ses entreprises sur le marché de Djibouti qui compte un taux de chômage entre 60 et 65 % selon plusieurs sources.

•         Très Mauvais payeur. Tous ses fournisseurs Djiboutiens et ses salariés en ont des souvenirs affligeants.

•         Sans oublier le sombre titre de Requin maraudeur de projet et les idées d’autrui. Dernière victime en date à ce sujet avant son départ de Djibouti, une compagnie Américaine, Ronco Risk Managment pour qui, il était le représentant du gouvernement Djiboutien. Désigné à ce poste par son ancien associé et actuel président qu’il accuse d’assassinat. Cette compagnie après étude du projet à Djibouti, elle était sur le point de créer entre 2000 à 5000 emplois en 5 ans, quand Mr Borreh c’est saisi du document pour créer une petite entreprise d’une centaine d’employé aujourd’hui dissoute, Nomad Security Services. La compagnie Américaine, quant à elle, à plié bagages en abandonnant les chômeurs Djiboutien à leur sort, sous l’emprise du Seigneur président IOG et ses valets.

Ceux qui auraient des doutes sur ce dernier point, n’ont qu’à le vérifier avec la compagnie en question sur leur site internet de : Ronco Risk Management

Pour le reste, ce n’est plus un scoop mais plutôt un classique de la chronique mondaine.

Aujourd’hui ce même Boreh, accuse apparemment son ancien complice d’avoir assassiné deux membres de sa famille dans une plainte déposée à Paris selon leprogres.fr.

On dirait la fin d’un film d’horreur avec IOG-Borreh II suite, au moment où on pensait le mystère résolu, le générique nous sert une nouvelle intrigue.

Est-ce une vengeance pour avoir été dépossédé et désavoué, ou une autre façon de remonter à bord du bateau pirate en allongeant superficiellement la liste des crimes de son alter-ego.

Dans tous les cas, la partie s’annonce intéressante et on n’aimerait pas rater le prochain épisode.

Collectif Doléances & Action Group for Democracy.