Ceux-là, consciemment ou inconsciemment, sont entrain de préparer le terrain du CRÉTIN IOG, dont l'objectif PREMIER s'il est démis de ses fonctions est, de ne laisser derrière lui que le chaos et la désolation.
Cet homme machiavélique à sans nul doute quelque chose en commun avec le défunt Siad Barré, un quotient intellectuel et un matériel génétique identiques.
20 ans après la mort du défunt, la Somalie est toujours dans le gouffre dans lequel il l'a enfuit durant 30 ans. L'œuvre incontestable sous nos yeux du CRÉTIN Guelleh est malheureusement en tout point semblable et si on se fit à ses dernières alliances, les soutiens qu'il vient de recevoir pour ses comportements VOYOUS du viol de la constitution pour un 3ème mandat à vie et les insultes du peuple comme des opposants Djiboutiens, le sort qu'il nous réserve n'est guère rassurant.
Quand ce bel ensemble, se trouve une quelconque crédibilité pour soutenir un homme comme le CRÉTIN Guelleh, du Quotient Intellectuel de SIAD BARRÉ, on peut sans hésitation conclure que la Somalie regrette la mort de leur ancien Président bien aimé, son Excellence L'Ogaass Siad Barré.
De plus, Mrs les Président, votre posture n'aide guère vos compatriotes qui peuplent nos quartiers à Djibouti, à qui, notre sens de l'hospitalité et la compassion, à ouvert les portes quand ils fuyaient dans le temps leur bourreau. Ainsi vous avez failli à votre devoir premier, même envers ceux-là.
C'EST INJUSTE, C'EST IMMORALE, INDIGNE ET INHUMAIN, mais si vous pouvez vivre avec ces sentiments c'est que vous avez trompé avant nous ceux qui vous ont élus mais vous ne tromperez pas le CIEL certains.
Article ici-bas de Abdulkader (Djibnet)(Cliquez sur "Lire la suite")
Photos des manifestations en cours à Djibouti, jusqu'au départ du dictateur Guelleh : http://www.facebook.com/album.php?aid=44917&id=136038416448038
Quand les présidents somalien et somalilandais soutiennent le dictateur Guelleh !!!
Le président du Gouvernement national de transition somalien, Cheik Chérif Cheik Ahmed, s’est prononcé pour un troisième mandat du dictateur Ismaël Omar Guelleh lors de sa visite à Djibouti des 16 et 17 janvier 2011. De même, le président du Somaliland, Ahmed Mohamed Mahamoud dit Silanyo, a exprimé son soutien au troisième mandat dictatorial dans un communiqué officiel publié le 22 janvier 2011. Le parti Koulmiyé au pouvoir au Somaliland a fait de même le 25 janvier 2011. De plus, la Première Dame du Somaliland a participé à une soirée de soutien au troisième mandat dictatorial de Guelleh organisée le 30 janvier 2011 à l’hôtel Mansour de Hargeissa. Le parti somalilandais d’opposition Ucid s’est, lui, étonné de ce soutien de Silanyo, de son épouse et de son parti Koulmiyé au dictateur djiboutien, dans un communiqué rendu public le 1er février 2011. Il y a vu la confirmation de l’influence du dictateur Guelleh sur l’administration Silanyo. Selon Ucid, Ismaël Omar Guelleh aurait même financé la campagne électorale de Silanyo et ainsi impacté les résultats du scrutin présidentiel du 26 juin 2010 au Somaliland.
En tout cas, soutenir un dictateur, vomi par son peuple, comme l’était hier Mohamed Siyad Barreh en Somalie, ne grandit personne, encore moins des chefs d’État. Il est particulièrement surprenant qu’un homme tel que le président Silanyo, qui a combattu armes à la main le dictateur Siyad Barreh et qui s’est battu pour l’alternance démocratique en son pays, prenne ainsi le parti du dictateur Guelleh, ce qui revient à dénier au peuple djiboutien le droit démocratique de choisir librement son président de la République. Sans doute les déclarations des présidents somalien et somalilandais constituent-elles des actes inamicaux et attentatoires à la dignité du peuple djiboutien.
A un moment où les peuples arabo-africains se mobilisent contre leurs dictateurs et engrangent des victoires, à un moment où le dictateur Ben Ali de Tunisie, tant admiré par Ismaël Omar Guelleh, a été déposé par ses concitoyens, à un moment où le dictateur au long cours Hosni Moubarak est forcé par la rue égyptienne à annoncer son départ, pour ne citer que ces deux exemples, les présidents Silanyo et Chérif ne prennent pas date avec l’Histoire.
http://www.djibnet.com/mabraze/topic/22319-la-voix-de-djibouti/
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En tout cas une chose est sure, le fameux Siad Barré, on peut toujours l'accusé de tout ce qu'on voudra, mais rendons à César ce qui appartient à César : Il connaissait sont peuple plus que quiconque.
N'avait-il pas prédis : ""qu'il laisserait un pays derrière lui et non un peuple"", la preuve est là.
""Dal bane ka taggi doona, dade see ka taggi maayo"", ou quelque chose dans le genre.
Après lui cette même population s'est divisé en 3 peuples :
- Dont une partie condamnée à vivre sous les tentes du HCR dans le désert
- Une partie réfugié sous d'autres cieux.
- Une partie massacrée
- Une partie toujours entrain de se faire la guerre.
- Une partie entrain de réécrire l'histoire des clans, les tribus, les genoux, les tibias, les chevilles et les orteils, ainsi ils pourront savoir qui est née supérieur à l'autre ou qu'elle dynastie devrait les gouverner.
- Une partie entrain de supporter d'autres dictateurs et vendre leur âmes au diable tandis qu'ils se réclament démocrates afin d'avoir enfin une reconnaissance et une légitimité
- D'autres incapables de ramener la paix chez eux et une autorité réduite à 2 pâtés de maisons en plein capitale ET QUI VIENNENT DE PROLONGER UNILATÉRALEMENT LEUR SÉJOUR AU POUVOIR DE 3 ANS, AFIN DE CONTINUER DE VIVRE DANS LE LUXE AUX FRAIS DE L'AIDE INTERNATIONALE, le reste du pays contrôlé par des gens qu'on surnomme aujourd'hui les terroristes Al-Shabab, pourtant Somaliens ou des natifs du pays .....
Quand ce bel ensemble, se trouve une quelconque crédibilité pour soutenir un homme comme le CRÉTIN Guelleh, du Quotient Intellectuel de SIAD BARRÉ, on peut sans hésitation conclure que la Somalie regrette la mort de leur ancien Président bien aimé, son Excellence L'Ogaass Siad Barré.
Une pensée toute fois à cet homme qui parait avoir un passé d'un digne combattant des libertés, l'honorable Président Silanyo, le peuple de Djibouti prendra acte de la main que vous venez de serrer et dites vous que si le Crétin Guelleh a financé votre campagne présidentielle, l'argent venait de la caisse de l'État Djiboutien et non de ses poches.
De l'argent qui aurait pu servir ce peuple sur l'aide alimentaire internationale et sur lequel vous venez de cracher et démontrez votre mépris des valeurs que vous prétendez semer chez vous.
Mais tout compte fait, c'est pas de votre faute mais la nôtre pour avoir laisser notre pays se faire gérer par un sans gênes et un déchet de la société comme ce Crétin de Guelleh.
De plus, Mr le Président, votre posture n'aide guère vos compatriotes qui peuplent nos quartiers à Djibouti, à qui, notre sens de l'hospitalité et la compassion, à ouvert les portes quand ils fuyaient dans le temps leur bourreau. Ainsi vous avez failli à votre devoir premier, même envers ceux-là.
C'EST INJUSTE, C'EST IMMORALE, INDIGNE ET INHUMAIN, mais si vous pouvez vivre avec ces sentiments c'est que vous avez trompé avant nous ceux qui vous ont élus mais vous ne tromperez pas le CIEL certains.
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