Djibouti : Connivences d'intérêts entre, le partant inquiet d’assurer son immunité après 36 ou bientôt 40 ans à la maison blanche, et son poulain

Connivences d'intérêts entre, le partant inquiet d’assurer son immunité après 36 ou bientôt 40 ans à la maison blanche, et son poulain persuadé de gouverner à son tour pour un autre 20 ans, ce pays d’accueil à l’instar de son mentor.

Jugé en délibéré le 17 mars 2013 et libéré le 10 avril. Juste le temps d’alimenter la propagande et continuer à bâtir l’image d’un poulain en mal de crédit populaire. Nous avions prédit qu'il sortirait moins d'un mois après la sentence, nous voici fixé. Tandis que pour les mêmes chefs d'accusations, en appel la cour de l'injustice a confirmé les 18 mois ferme aux 3 religieux.

Une vingtaine de jours à l'infirmerie de la prison, comme on peut le constater sur cette photo, séparé des autres prisonniers par une grande muraille sécurisée, bien habillé telle une personne allant se prêter à sa séance de Khat ; « fouta » , chemise manche longue et « qimama » aux épaules, rien d’un prisonnier victime d’un bourreau imaginaire qui dans le fond est son mentor.

Dans ce carré fermé et sécurisé, accessible qu'avec garde et rendez-vous, ceux aux arrêts de marque sont libres de se promener dans la cour jusqu'à la tombée de la nuit, dispose de la TV câblée, le frigo et le climatiseur dans chaque chambre (voir photo), avec 2 lits superposés ou simple lit, toilettes et douches séparées. Les autres de l’USN ont-ils, ou logent-ils à la même enseigne ? – Selon certaines sources non, on reviendra là-dessus.

Dernièrement, durant la pub-gratuite des législatives, le régime ferma les yeux sur la participation de religieux sans parti politique légalisé, une première à Djibouti.

• Se servant d’eux pour propulser le poulain sur la scène politique nationale, le faire connaître sans jamais élaboré sur sa vision pour autant qu’il en ait une, avant de les sanctionner de 18 mois de prisons ferme, les disqualifiant légalement de toute course à la présidentielle de 2016.

IOG est en train de rééditer ses succès, celle entre autres du nettoyage du paysage politique entre 96 et la date ou il imposa aux tuteurs sa candidature comme la seule acceptable pour la Francafrique après Gouled.

• Aujourd'hui par tous les subterfuges, tente désespérément de procurer à son successeur un statut du héros national par les arrestations répétés sans dommage ni lendemain, un bref séjours de vacances à l'infirmerie, la manipulation de ces vérités avec l’aide de quelques agités de l'USN, un intellectuel de service qui retrouve la boussole à chaque fois ou son cousin est sur la sellette et le reste du temps cherche sa plume et enfin les naturalisés claniques de Facebook .

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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)