Djibouti : La désinformation comme l'ignorance des enjeux de la géostratégie des puissances sur le continent et plus spécifiquement dans les anciennes colonies françaises, canalisèrent les applaudissements de l'opposition politique djiboutienne devant la fin de la limitation des partis de l'opposition à 4.
La vision tronquée qu'exposait l'amateurisme politique, vit dans ce complot ourdi de la division, une nouvelle ère de libertés et de démocratie.
Aujourd’hui les acronymes de partis, légalisés ou pas, sont d’une prolifération telle, la raison et la sagesse des Braves firent place à la confusion dont profite le régime actuel et ses soutiens étrangers.
Devant ce constat et le chaos actuel, débarrasser ce pays de tous ses traîtres et faussaires à qui il fût livré après l’indépendance serait une formalité sans effusion de sang, instaurant une démocratie par la base, si et seulement si, l’opposition avait le courage de l’introspection, l’analyse des échecs, la remise en question et l’innovation du combat politique.
Le changement à Djibouti ne s’imposera guère par les armes mais par l’union des patriotes et une négociation de la transition entre toute l’opposition autour de la même table. Les obstacles de la vieille garde hypnotisée par le mode opératoire colonial, doivent tomber avant les murs du régime, car même si on arrive à les contourner pour un certains temps, ils resteront la proie facile des prédateurs pour empêcher la marche en avant de la relève.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)
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