Débutons par un renoncement de taille qui, géré par des spécialistes et des patriotes engagés aurait renfloué le trésor public tout en donnant un revenu d’emploi à une grande partie des 80 % au chômage, vu la faible population et les atouts géostratégiques de Djibouti, point de passage de 60% du trafic maritime mondial : LE TOURISME !!! - Qu’ont-ils fait de ce ministère et ses devises étrangères ?
La capitale saturée par les casernes militaires et uniformes étrangers, les bars, la prostitution endémique et l’alcool pour un pays déclaré de confession islamique de par sa constitution, le reste du pays sous embargo arbitraire de la vision manichéenne et clanique d’un seul homme ; le tourisme devait attirer trop de regard sur cette décadence d’une prison à ciel ouvert, d’où l’abolition du ministère du tourisme et la promotion du pays sur le plan international.
La preuve qu’IOG et sa bande de malfrats ne sont pas maintenus au pouvoir dans l’intérêt de Djibouti mais l’asservissement de cette population.
A. Med Ahmed Awaleh reconduit ministre agriculture : Quelle agriculture ?
- Ou se trouvent ces chez champs agricoles aux noms de qui des milliards de nos francs ont été dilapidés depuis l’indépendance, ce nominé peut-il présenter aux contribuables de ce pays, un état des lieux de ce ministère ? – Rappelons-nous du projet PK-20 ; une terre salée et stérile au nom de laquelle Gouled, Ismael Guedi et Ismael Omar ont détourné des milliards durant 22 ans sans y produire un seul kilo de champignons sauvages, lorsqu’au Nord du pays des immensités arables sont délaissées afin d’empêcher le développement de ces régions.
- Si nous avions des terres labourées, le régime aurait-il mendié au PAM la nourriture de la grande majorité de la population et aurait-il importé chaque semaine à coût de millions de nos francs les légumes et fruits de l’Éthiopie par le rail ?
- Ce ministère sert-il d’agence commerciale aux frais des djiboutiens pour la promotion des produits des terres que l’Éthiopie a mise à la disposition de Djibouti pour nourrir sa population, tandis qu’IOG et sa famille les utilisent à la floriculture de Ainaché son fils et d’autres produits industriels dont les revenus sont partagés au sein de cette famille ?
- Lorsque l’inamovible directeur cousin d’IOG d’une société d’État (Électricité De Djibouti) assume déjà cette fonction depuis plus de 30 ans, renvoyant tout ministre de tutelle intrusif, gênant ou empiétant sur son royaume des faux emplois et salaires du SILENCE, ou ose contrôler les caisses de la 1ère vache à lait du régime, comme le sortant Fouad Ahmed Ayeh ou entre autres à une autre époque se paya la tête du défunt Ali Mahamadé.
- De quelle ÉNERGIE parle-t-on lorsqu’après 36 ans d’indépendances, à peine 25% de la population sont raccordées au réseau électrique et 75 % s’éclairent à la lampe au pétrole soit aux vacarmes des petits générateurs de campagnes en plein centre-ville de la capitale, ou vivent quasiment dans le noir, dans un pays où la température ambiante 6 mois par année varie entre 40 et 50 dégrées Celsius ?
- Lorsque le seul et unique bureau d’emploi de la République à l’air d’une prison, des bureaux vides, des couloirs sans lumières et dont les portes sont toujours fermées, ouvertes sporadiquement par le gardien qu’aux seuls visiteurs amis des 2 ou 3 employés qui occupent leurs journées comme ils le peuvent.
- Lorsque le marché de l’emploi est la chasse gardée des proches et familles du régime à qui les chercheurs d’emplois doivent verser le quart ou jusqu’à la moitié dans certains cas de leurs salaires mensuels ?
- Lorsque ce pays n’a jamais entrepris la mise en place une politique de l’emploi pour tous, dirigée par ce ministère avec des données publiques sur le chômage et des statistiques techniques de travail ?
- Lorsque ce pays fait fuir tout investisseur ?
- Lorsque ce pays compte depuis des décennies un taux de chômage longue durée dépassant les 80% de la population active ?
- Quelle solidarité y a-t-il entre ceux au pouvoir, leurs familles et proches, dispensés de toute contribution sociale, qui ne payent ni eau potable, ni électricité, ni téléphone, ni véhicules et circulent en bons d’essences aux frais du contribuable ?
- Quelle solidarité y a-t-il lorsque moins de 10 % de la population envoient leurs enfants avec bourses, étudier hors frontières et 90 % galères au sein d’un système galvaudé au rabais ?
- Quelle solidarité y a-t-il lorsque moins de 10 % de la population s’offrent des soins dans les plus grands hôpitaux de ce monde, tandis que la très grande majorité de la population doit faire face à des soins payants soit prier seule le ciel chez eux ?
- Revendre l’aide alimentaire internationale aux plus démunies, est-ce une solidarité justifiant le gaspillage d’un tel poste ministériel ?
- Le manque chronique d’eau potable sur tout le territoire, justifie-t-il les dépenses d’un tel poste au lieu d’investir cet argent dans la réhabilitation du réseau d’approvisionnement en eau potable ?
- Y a-t-il une politique du logement social à Djibouti ? – À moins que ce terme décrive l’actuel détournement de tous les fonds étrangers par la SID dans les ventes lucratives de résidences avec tous les défauts de constructions et problèmes sanitaires, endettant un peu plus les 10 % vivant dans la précarité d'un revenu de misère.
- Comment se fait-il que la réelle politique partisane et clientéliste du logement ne soit pas sous la tutelle de ce secrétariat d’État, mais gérée par un autre ministère, celui des biens waqf, l’État dans l’État possédant plus de 40 bâtiments résidentiels et commerciaux rien que dans la capitale.
- Abdoulkader Med Kamil, le beau-frère d'IOG, responsable de la soif, ministre de la défense du régime, nommé premier ministre,
- Le ministre de l'intérieur Hassan Darar, le fraudeur du dernier vote, nommé à la défense du régime dans la continuité,
- Ali Farah, reconduit ministre de l'Injustice.
- Le ministre des finances et plus grand investisseur en Éthiopie, reconduit dans ses fonctions pour ruiner un peu plus l'avenir des Braves,
- Mohamoud Ali Youssouf, le mendiant en chef. reconduit aux affaires étrangères devient porte-parole de la Piraterie.
- Hassan Omar Med Bourhan, le manchot de la SDS et l'habitat, nommé ministre de l'intérieur qui légalisera les listes électorales pour 2016.
- Bodeh Med Robleh, nommé ministre du budget en remplacement d'Amareh Ali Said.
- Dr Kassim Issack nommé ministre de la santé, il était le directeur de l'iSSS.
- Djama Elmi Okieh, le secrétaire du massacre de la jeunesse d'Obock, promu ministre de l'éducation et de la formation professionnelle. UN NON LIEU DU DRAME À OBOCK LE 30 DÉC 2012, SA PROMOTION EST LA PREUVE QU'IL N'ÉTAIT QU'UN EXÉCUTANT D'IOG, PREMIER RESPONSABLE DE CES CRIMES D'ÉTAT.
- Nabil Med Ahmed reconduit ministre de l'enseignement sup
- Med Ahmed Awaleh reconduit ministre de l'agriculture
- Moussa Ahmed Hassan dit dormeur, nommé ministre de l'équipement et des transports.
- Aden Hassan Aden dit Balalo président du somali pen, recompencé pour sa prostitution intellectuelle au nom de la foi, nommé ministre des biens waqf en remplacement de son cousin Hamoud Abdi Sultan.
- Ali Yacoub dit Ali kushub ministre de la santé sortant, nommé ministre de l'énergie en remplacement de Fouad Ahmed Ayeh.
- Ali Hassan Bahdon, le beau-fils d'IOG, ministre sortant du travail, nommé ministre de la communication, chargé des postes et télécommunications.
- Abdi Houssein Ahmed dit Miles ministre sortant de la communication, nommé ministre du travail chargé de la réforme de l'administration.
- Med Moussa Balala ministre sortant du transport, nommé ministre de l'habitat et de l'urbanisme.
- Hasna Barkhat Daoud, reconduite dans ses fonctions de ministre de la femme chargée des relations avec le parlement.
- Ahmed Ali Silay, reconduit dans ses fonctions de ministre-délégué à la coopération internationale.
- Hassan Ahmed Boulhan, nommé ministre-délégué au commerce et à l'artisanat.
- Mme Zahra Youssouf Kayad, reconduite dans ses fonctions de secrétaire d'état à la solidarité nationale.
- Mme Amina Abdi Aden, reconduite également dans ses fonctions de secrétaire d'état délégué au logement.
- Badoul Hassan Badoul, recompensé une 1ère fois par un poste au comité du RPP pour ses longues tirades Pro-IOG sur le WEB, nommé secrétaire d'état à la jeunesse et aux sports.
- Amareh Ali Said ministre sortant délégué au budget est nommé commissaire aux plans chargé des statistiques.
Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)
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