Lorsqu'on est pris au piège du MOI, au point de prostituer la conscience Nationale sur le paillasson de l'autosatisfaction et l'obsession du pouvoir, ou les jérémiades et victimisations comme seuls talents et stratégies politiques servent à distraire du réel agenda politique, on peut se permettre la confusion du genre entre régime et représentation de la Nation au sein de l'Unesco.
Ainsi, aveuglés par leur propre médiocrité, se présumant plus compétent qu'IOG dans l'art de tromper le monde, la même sécheresse intellectuelle des 20 dernières années, dont le régime tire sa longévité et ses soutiens étrangers, en remettent une couche sur le dos de l’UNESCO et la candidature de Rachad Farah même si le mixage à ce niveau n’est pas permis.
Un extrait de la dernière déjection de ce génie politique :
"" Merci aux membres du Comité Exécutif de l’UNESCO. […] Nous disons à IOG et à ses marionnettes que la médiocrité ne s’exporte pas. […] Cher dictateur, vous ne pouvez pas tromper le monde."" : Ah bon !!!
Le voilà prévenu, même s'il ne fait que ça depuis 36 ans
Mais la question est : Qu'avons-nous accomplis collectivement pour l'arrêter : RIEN - NADA – NIET.
Depuis la révolution internet, le métier d’aboyeur à l’entrée des Cirques a pratiquement disparu, le paradoxe sur la scène politique djiboutienne ; les chiwawas, collabos à un degré ou un autre du régime néocolonial de la gestion clanique du pays, jouent lamentablement ce rôle, tout en incarnant l’obstacle au changement.
Alors, qui essaie de tromper qui ?
Qui cherchent-ils à abuser ; les djiboutiens, le processus dorénavant incontournable et inajournable des réformes et de la démocratisation des institutions, ou les sous-traitants fiers chiens de garde locaux du colonialisme, imbus de leur petite personne ?
-- Toutefois, s'ils pensent qu'on attendra que les poules aient des dents pour mettre un terme à cette prise en otage de la Nation, ils se trompent royalement.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)
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