Cet holocauste sans égal, BÉNI et occulté depuis, a fait entre 100 et 200 millions de morts parmi les pourchassés, les déportés aux travaux forcés, les flagellés, les brulés vifs et les lynchés de ceux, non jetés par-dessus bord pour engraisser les requins.
-- Le 26 février 1885, l'acte de Berlin débutant ainsi : " [Les chefs d'État réunis] voulant régler, dans un esprit de bonne entente mutuelle, les conditions les plus favorables au développement du commerce et de la civilisation dans certaines régions d'Afrique, (...) désireux d'autre part, de prévenir les malentendus et les contestations que pourraient soulever à l'avenir les prises de possession nouvelle sur les côtes de l'Afrique, et préoccupés, en même temps, des moyens d'accroître le bien-être moral et matériel des populations indigènes....bla bla bla" , BÉNI cette fois le partage de l’Afrique entre ses envahisseurs et légalise la colonisation.
-- Évolution oblige, l'arme du bourreau se perfectionne, allant jusqu'à la recherche du consentement de l'esclave trop habitué à porter sa laisse.
En 1989, Trinidad et Tobago au service de l'empire sollicite l'institution d'une cour pénale permanente, vœux exhaussé le 17 juillet 1998 avec l'adoption du Statut de Rome instituant un nouveau tribunal colonial (CPI).
Cette fois, ce n'est plus la bénédiction d'un imposteur de la Divinité, ni le bâton d'un acte d'agression militaire mais avec la carotte d'une justice sélective qu'on souhaite légaliser l’exploitation et pérenniser l'esclavage en pourchassant tout homme et femme du changement.
Les dociles marionnettes du Togo, au Gabon, du Sénégal à la Côte d’Ivoire ou Djibouti et j’en passe, n’ont et ne seront jamais inquiétés tant que ces présidents se comporteront en administrateur colonial.
BIEN ENTENDU, ILS TROUVERONT ENCORE QUELQUES NÈGRES ET DES PLUS BRILLANTS POUR VALIDER CE SATANISME EN ROBE DE MAGISTRAT.
Réunis en sommet extraordinaire sur un éventuel retrait de l’Afrique de la Cour Pénale Internationale (CPI), depuis ce samedi 13 octobre 2013 à Addis-Abeba en Ethiopie, les chefs d’Etat de l’Union Africaine (U.A) ont réclamé l’arrêt des poursuites contre les chefs d’Etat en exercice.
« (…) A cet égard, nous avons réaffirmé que les principes des lois nationales et du droit international accordent l'immunité aux chefs d'Etat et de gouvernement en exercice. Par conséquent, aucune accusation ne saurait être lancée ou maintenue devant un quelconque tribunal international contre un chef d'Etat en exercice", a déclaré M. Hailemariam, Premier ministre éthiopien, président en exercice de l'UA.
« Les pays africains ont décidé de mettre en place un groupe de contact pour entreprendre des consultations avec les membres du Conseil de sécurité de l'ONU afin de discuter de toutes les préoccupations de l'UA concernant ses relations avec la CPI, notamment l'ajournement des affaires kényanes et soudanaises », a-t-il ajouté. Notons que l’Union Africaine a précisé que le président Kenyan, Uhuru Kenyatta poursuivi pour les violences électorales survenues il ya quelques années dans son pays ne comparaitra pas à La Haye tant que cette requête de l’instance africaine n’aurait pas de réponse.
De son côté, le porte-parole de la CPI, Fadi El-Abdallah a critiqué cette décision de l’UA, non sans assurer que la Cour continuera ses activités. « C’est une décision purement politique, et la Cour en tant qu’institution judiciaire ne peut pas prendre une position pour ou contre une telle résolution (…) La Cour ne peut que continuer ses activités, donc (...) les poursuites continuent », a-t-il déclaré hier samedi au micro de Radio France Internationale (RFI).
Abou Amin
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