Raids sur Tripoli (Libye) et à Barawe (Somalie), le même jour

2 pays réduits à l’âge de la pierre par les bombes au nom, d’une terreur certifiée – DÉMOCRATIE – ou, les peuples sont matés :

- L’un, en Somalie, dont la résistance armée contre l’ingérence étrangère a été baptisé Terroristes Al-Shabab - Imaginé un instant, qu’on revisite l’histoire en homologuant la Résistance française à l’occupation de terroriste Al-DeGaulle, pour tout crime commis contre l’occupant !!!

- Et l’autre en Libye, écrasée pour refus de collaboration avec l’OTAN et refus d’abandon de leur souveraineté, offert en pâture aux bras armés du terrorisme international.

Si on convient tous, que tout un peuple, qu’il soit libyen ou somalien ne peut être étiqueté terroriste, mes Questions :

- Sur la base de quel Droit ou loi, le monde devrait se résigner à ce qu'une Nation - en toute impunité et unilatéralement – puisse intervenir militairement dans une autre, sur la base d'un soupçon ou accusation d'ordre politique, afin d’exécuter un témoin gênant ou capital, d’un fléau qui terrorise tous et chacun et dont les confessions devant tout cour de justice pourrait prévenir ou éradiquer ce mal ?

- Et puis, tout accusé n'est-il pas innocent tant que sa culpabilité n’a pas été légalement démontrée devant les tribunaux, ou doit-on dorénavant condamner à la sinistre Guantanamo ou lyncher tout le monde - tel le Leadeur Kaddafi ainsi que d’autres - sur la seule médiatisation d’une accusation et d’un Rambo hollywoodien ?

Comme nous l'avions interprété sur la base de précédents irrécusables et par conséquent prédit ; la tragédie attribuée aux Shebabs à Nairobi, ne tenait rien d’un hasard, qui - avant toute enquête ou arrestations - dès les 1ères heures de l'assaut contre le centre commercial, avait tout du parfum du FALSE FLAG ayant justifié ailleurs ce type d'intervention au mépris du droit international.
Dorénavant, le monde devrait se résigner tout naturellement, à accepter la justification de l’horreur par une série d’horreurs, la barbarie "légalement" plus honorable, lorsqu’elle est conduite par les récidivistes notoires, n’ayant jamais soutenu une réelle démocratie si ce n’est des régimes de tyrans. ( 1  -  2  -  3 )

LIBYE : OU SONT PASSÉS LE MILLION DE TRAVAILLEURS AFRICAINS DU TEMPS DE KADHAFI ?

Les naufragés de la Lampedusa et ceux qui les ont précédés dans ces desseins funestes, dont plus de 12.000 sont  en Italie, entassés à ce jour dans des camps de rétention surpeuplés et insalubres, font parties du Million d’africains - de plusieurs nationalités et non juste somalienne et érythréenne selon la propagande diabolique contre toute résistance à l’invasion et l’ingérence étrangère - qui vivaient et travaillaient du temps de la Libye de Kaddafi, dans la paix et la prospérité.

Depuis la chute de la Jamahiriya et le chaos Made in OTAN, c’est la chasse au noir.
La ville de Tawargha vidée de toute sa population noire libyenne dont, des milliers ont été massacrées, d’autres parqués dans des camps de réfugiés, à tripoli et Benghazi en attente de la solution finale.
Une tragédie signée humanitaire internationale, élaborée dans le secret d’un salon feutré de l’OTAN et livrée par les bons soins des forces spéciales et leurs mercenaires, dans le seul but d’occuper les libyens loin du projet initial d’invasion de la Libye.
La méfiance, la division, la vengeance, la peur et la culture de la haine envers les noirs dépeint aux Libyens comme les favoris avec qui le Leadeur Kaddafi à vidé leur trésor public. Des foutaises faisant la part belle aux vrais pirates déguisés en sauveur.

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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)