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BIENTÔT, DJIBOUTI AUSSI DIRA "NON" AU NÉPOTISME DE L’ADMINISTRATION INDIRECTE DU PRÊTE-NOM.
"LA LIBERTÉ N'EST JAMAIS ACCORDÉE DE BON GRÉ PAR L’OPPRESSEUR ; ELLE DOIT ÊTRE EXIGÉE PAR L'OPPRIMÉ." -- MLK
DJIBOUTI : REFORMONS L'OPPOSITION AFIN DE POUVOIR UN JOUR REFORMER L'ÉTAT
NOUS CONVIONS CET ÉTÉ 2014, TOUTE L'OPPOSITION À DES ÉTATS GÉNÉRAUX

25 juillet 2014

Israël : l’inévitable chute du régime d’apartheid, par André Chamy - Sociologue et Avocat. Vice-président de Réseau Voltaire France.

Cette illustration ne fait pas partie du texte de l'auteur
Analyse de la structure géopolitique et géostratégie, rôle et implications des États-Unis au Moyen-Orient. Le mythe de la terre promise et caractère providentiel d'Israël, contrairement aux légendes urbaines, est une fabrication étasunienne légitimant leur projet de domination du monde. La création d'Israël comme aujourd'hui d’un califat islamique ne servent qu'à instrumentaliser cette aliénation à toujours justifier leur suprématie raciale imaginaire et donc la perpétuation du ségrégationnisme. - Bourhan Bey (Abou Amin)

Extraits : "" En 1912, envahissant le Mexique, le président états-unien William H. Taft déclarait : « Je dois protéger notre peuple et ses propriétés au Mexique jusqu’à ce que le gouvernement mexicain comprenne qu’il y a un Dieu en Israël et que c’est un devoir de lui obéir ». À cette époque l’État d’Israël n’existait pas encore, le président états-unien voulait rappeler le caractère providentiel du rôle de son pays, mais cette phrase annonçait déjà la nécessité d’un lieu saint ayant une portée symbolique pour les activités de son pays à travers le monde.(...)

La stratégie états-unienne vise depuis 60 ans à renforcer l’État hébreu, en le soutenant économiquement, politiquement et militairement. Le nombre de véto utilisés par les États-Unis pour s’opposer à des résolutions contre Israël est impressionnant. En même temps, les États-Unis n’ont jamais rien fait pour qu’Israël applique les résolutions des Nations unies, concernant les territoires occupés et le retour des réfugiés, notamment la résolution 194 de l’Assemblée générale qui prévoit expressément le retour des réfugiés palestiniens dans leurs territoires.

Les rapports dénonçant les exactions commises par l’armée israélienne finissent par être enterrés ou classés dans l’un des nombreux cartons des Nations Unies. Le dernier est celui dénommé Goldstone du nom du président Sud-Africain de cette commission onusienne. Il a fini certainement sur une étagère poussiéreuse, ruinant en même temps la réputation de ce juge particulièrement mise à mal depuis son fameux rapport imputant à Israël des crimes de guerre pendant la recrudescence de la guerre contre Gaza en 2009.

L’idée d’un État palestinien dans les territoires occupés est non seulement non viable, mais elle est surtout absurde. Comment faire relier deux morceaux de territoire séparés de territoires israéliens sans laisser place aux tensions ? Comment faire vivre un État qui ne peut même pas respirer sans passer par les Israéliens et sans compter sur l’étranger, car il est démuni de ressources, et puisque même son eau a été détournée pour irriguer l’agriculture israélienne.

Un seul État sur l’ensemble de la Palestine reste la seule idée juste, viable et raisonnable.

24 juillet 2014

Le 5 Août 2014 - Sommet Afrique-USA. De grâce déclinez l’invitation et épargnez nous cette énième humiliation.

En quoi  ce ballet du nanisme serait-il différent que les précédents ?

Catherine Austin Fitts, cette dame n'est pas n'importe qui et ne passe pas son temps sur du n'importe quoi, par des faits, des vérités crues et des solutions, rapporte et signe : LA GOUVERNANCE DES USA EST BÂTI SUR LE MENSONGE, LES MENACES, L’USAGE DE LA FORCE, LE CRIME ET UN MODÈLE ÉCONOMIQUE BASÉ SUR LA FRAUDE ET LE BLANCHIMENT D'ARGENT. (Écoutez là, pour comprendre et agir dans l'intérêt de notre Afrique)

Cet aveux, certes, ne peut que rassurer certains de nos dinosaures notoirement connus pour étant familier avec ces expertises, mais de là, acquiescer à un défilé de domestiques, d’une 30ène de dirigeants africains, parfaitement au courant des 4C de la politique étrangère américaine ; Corrompre -  Contraindre -  Condamner – Coup d’État....j'en perds le sommeil.

Redorer le blason d’un régime en perte de vitesse avec ses interventions destructrices tout azimut, consentir volontairement et en grande pompe à la soumission et la vassalisation de nos pays, c’est éventuellement, signer par anticipation, sa propre éviction brutale au moindre changement de géostratégie ou lors-qu’arrivera le temps de soigner les apparences par la promotion d’un autre prête-nom plus malléable.

Sans compter que tous ces déplacements inutiles, de Paris à Washington, passent aux frais de la misère des  pays respectif.

À chaque appel du pied accourent redorer le blason des bourreaux. S'ils pouvaient m'écouter, je leur conseillerai d'économiser ces dépenses inutiles pour une consultation chez un spécialiste soignant le syndrome de Stockholm.

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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin )

23 juillet 2014

Djibouti : L’insondable léthargie politique des Afars a un coût auquel nous avons déjà payé un lourd tribut

Les souffrances tout au long de ces derniers siècles sont palpables à tous les niveaux au sein de cette communauté et semblent toutefois vouloir se perpétuer à travers la même espèce. Décennie après l’autre, sans discerner le pourquoi du comment, nous avons failli à notre mission de la transmission de l’héritage, simplifiant l’immensité du royaume de Qadal en blocs de régions divisés en chefferies, de la promotion du seul folklore, indépendants sur papier mais foncièrement politisés à la dépendance coloniale.

Aujourd’hui la dernière pièce en jeu, menace jusqu’à l’identité et le sentiment d’appartenance, de tous et chacun, à cet espace géographique. Ceux ignorant qu’on défigure à ce jour, les statues des pharaons avant de les exposer dans les musés, leur niant toute négritude, ne pouvons constater ou concevoir que nous puissions être les suivants, ont soit sacrifiés leur propre humanité et dignité, soit ont la mémoire courte ou sélective, manquant de se rappeler les 71ans ou, entourés de barbelés, ils furent étiquetés : « Côte Française de la Somalie » jusqu’à 1967. Dans les 2 cas, la bête immonde compte essentiellement sur notre conformisme singulier les laissant agir à leur guise ; l’histoire est là confirmant ce diagnostic.

Jamais nous ne retrouverons la sortie de ce labyrinthe, à la seule boussole de tout escroc, carriériste, minimaliste et nombriliste confondus, ne sachant conjuguer la politique qu’à la 1ère personne du singulier.

Ce n’est pas parce qu’on n’a pas les réponses à nos questions, qu’elles n’existent pas. Cette léthargie résulte principalement de l’abandon d’un coefficient directeur pourtant reconnu par tout historien et scribe de passage sur les terres des Braves, pour être à la base de nos cultures ancestrales et la cohésion sociale, à savoir ce fameux dialogue à la recherche du juste milieu, vers le seul et unique consensus à la base de tout rapport de forces par la composition de nos forces. La disparition de cette sagesse millénaire a fait de nous, ce que nous sommes : la caution des traitres et charlatans de la politique.

22 juillet 2014

Le Boeing de Malaysia Airlines abattu en Ukraine. Les États-Unis en quête d’un « casus belli » ; Chronique de Richard Le Hir

L’utilité des statistiques et de l’algèbre pour décoder les situations
Les États n’ont aucun scrupule à sacrifier des vies civiles innocentes lorsque leurs intérêts sont en jeu.

Depuis quelques jours, toute l’attention est tournée sur le Boeing 777 de Malaysia Airlines abattu dans le ciel de l’Ukraine orientale, à courte de distance de la Russie.

N’étant expert ni en aéronautique ni en armement, je me garderai bien d’entrer dans le bal des spéculations sur les circonstances matérielles de cette opération qui a fait 298 victimes civiles innocentes.

Il se trouve toutefois que mes expériences professionnelles m’ont amené à évoluer dans le domaine de l’assurance et à fréquenter des actuaires, ces professionnels chargés de l’évaluation des risques pour la tarification des primes facturées aux personnes désireuses d’assurer leurs biens. Or, un avion de ligne est un bien assurable.

Tout le travail des actuaires repose sur le calcul des probabilités qu’un risque survienne. Dans le cas d’un avion de ligne, le risque le plus important est celui d’une chute entraînant sa perte et celle des passagers qu’il transporte, les dommages pouvant s’élever à quelques centaines de millions de dollars, selon le type et la taille de l’appareil, et le nombre de passagers transportés.

Or, de tous les types de transports utilisés, c’est le transport aérien qui est de loin le plus sécuritaire, comme le démontrent les statistiques .

On doit donc comprendre en partant qu’un événement comme celui qui est survenu cette semaine est extrêmement rare, et si l’on se met à examiner tous les facteurs qui contribuent au caractère exceptionnel de son occurrence, on se retrouve presque en face d’une impossibilité statistique, à moins qu’il ne s’agisse d’une opération téléguidée.

En effet, c’est le deuxième Boeing 777 de Malaysia Airlines à disparaître en quelques mois dans des circonstances très particulières, un fait pourtant capital auquel les autorités politiques et les médias ne semblent accorder aucune importance. On a beau comprendre que la conjoncture internationale se prête bien à la récupération de cet événement à des fins de propagande, il n’en reste pas moins que toute analyse sérieuse devrait commencer par un examen approfondi de cette aberration statistique.

13 juillet 2014

Djibouti : Retour sur la situation des employés djiboutiens au Camp Lemonnier – 3ème partie, la CNSS & EAD - Les chiffres comme promis sur les détournements.du denier public par le régime et ses protégés.

Djibouti : Les chiffres comme promis sur les détournements.du denier public par le régime et ses protégés.
Bourhan Bey (Abou Amin)
Du PRIDE.

11 juillet 2014

Djibouti : Procédure de résiliation du contrat de concession du terminal à conteneurs de Doraleh détenu par DP World depuis 2003.

MOTIF : L'opérateur soupçonné d'avoir versé des pots-de-vin au Mafieux Abdourahman Boreh ( Ancien financier et ami d'IOG, aujourd'hui ambassadeur du machin USN : Qui se ressemble s'assemble, dit-on, en voici un spécimen vampire de la pire espèce, prêt à perpétuer ses crimes, cette fois avec la caution et la bannière des imposteurs de l'opposition ).

Résilier un contrat sur une question de corruption à cette échelle, dans le seul souci d’appliquer équitablement la loi est en soi honorable, mais serait par contre scandaleuse si cette procédure aboutit encore au même népotisme du Port de Djibouti ou - DPI mis à la porte - IOG remet la gestion et les rentrées colossales de ce port à ses 2 frères, l’un comme directeur général, l’autre directeur de la sécurité et tout porte à croire qu’on est à la phase finale du quadrillage du pouvoir par les proches avant la fin du dernier mandat en 2016.

La gangrène de ce népotisme s’approche à vitesse grand V de celle de la famille Ben Ali de la Tunisie, avec la fin dramatique connue de tous : Plus de 300 morts et 800 blessés en 3 semaines entre Déc 2010 et Janv 2011, le navire toujours à la dérive. Des tonnes d’ors et fortunes parties en fumée sans que la famille déchue ne puisse les récupérer ou même oser poser question d’où leur silence depuis, au risque de subir les affres d’une poursuite à la CPI ou un lynchage en règle fomenté par leurs amis « démocrates » d’hier.

La complaisance avec le crime n’est guère fortuite mais un piège tendu à dessein dont ils finissent tous par être otages et victimes. La sensation de contrôle et de sécurité s’estompe dès que le vent des intérêts des protecteurs tourne. Ainsi va la piraterie internationale et l’épilogue du pouvoir d’une élite saignant à mort les leurs.

Une chose est sûre, doucement et sans complexe aucun, la monarchie prend racine à Djibouti, suffit pour cela de fouiner dans le labyrinthe des alliances familiales. En voici un bref tableau, aux lecteurs de découvrir le reste :

9 juillet 2014

Djibouti : (AMU) Assurance Maladie Universelle après 37ans d’un règne sans partage.

** AMU : Un grand pas dans la bonne direction ou une autre ville lumière avec son pont sur la Mer Rouge ?

Quel que soit la réponse, au PRIDE, les évènements nous rassurent :
  • De la création d'une commission contre la corruption,
  • Au réajustement du loyer d’un camp militaire passant de 38 à 63 Millions US en moins d’un mois, entre le 5 Mai et 5 Juin 2014,
  • De l'annulation, des baisses salariales et licenciements des employés, de cette même base militaire, en 2013,
  • Au dysfonctionnement et détournements des fonds sociaux à la CNSS et j'en passe...
Le PRIDE participe et influence positivement les politiques, contribue à la marche du pays sans être à l'exécutif ou à la chambre des législateurs. Preuve indiscutable qu’on peut changer le monde sans en être Calife ni membre de sa cour. Un petit clin d’œil à nos dictateurs juniors, du machin USN qu’on doit croire sur parole qu’une fois au pouvoir, ils seront meilleurs.

La CNSS dont nous dénonçons la gestion depuis des années, semble elle, avoir été mise sous la tutelle du ministère du budget chargé d'assurer la régularité des paiements des cotisations sociales et programmer les paramètres du système de gestion de la paie en vue de prendre en compte les NOUVELLES cotisations de l'AMU.

Le système d'assurance maladie universelle (AMU) doté d'un montant de 1 Milliard FDJ, est supporté à moitié par le fonds de solidarité nationale administré ENCORE par l'expertise en détournement de fonds de la CNSS et pour l'autre moitié, un fond spécial du "SAUVEUR de la NATION". D'où viennent ses fonds, croyez-moi, pour une fois et en attendant mieux, je ne veux rien savoir, pour autant qu'ils servent à soigner et sauver des vies.

8 juillet 2014

Djibouti : Pourquoi faut-il une énième intégration économique lorsqu’on est déjà membre des mêmes institutions de la COMESA, de sa Zone de Libre-échange, ayant un Tarif Extérieur Commun (accord sur les taxes), une coopération monétaire et fiscale ?

Suffit qu'une officine de l'info sélective sonne l'alarme dans le dortoir des zombies, sur un plan d'intégration économique imaginé par Djibouti et l'Éthiopie, qui à terme nous dit-elle, nous mènerait vers une sorte d'unification politique des deux pays, l'aliénation coloniale crie au scandale.

Lisons entre les lignes…Si je reformule ce gros titre selon les préoccupations de la LOI et ses actionnaires, les nuages se dissipent et accouchent de ceci : La Maison Blanche de Djibouti, dirigées depuis 1977 à partir du bureau Afrique de l'Élysée comme toutes les autres 14 colonies, aura dorénavant sa succursale mère à Addis-Abeba.
L’innovation de l’oncle Sam a de quoi inquiéter la « douce et généreuse » France de la dépendance !!!
Une petite parenthèse, cette semaine, le dernier préfet de la liste fût le fiston héritier du Togo recevant sa mise en demeure signifiée par Robert Whitehead, l’ambassadeur des États-Unis au Togo, exprimant sa déception sur le manque de volonté du président Togolais à opérer des réformes politiques pour la marche du pays. Les américains pour la démocratie !!!
Une farce qui prêterait à rire, si ce n'était aussi tragique, mais, là est le mobile de ces gesticulations ; une guerre secrète entre l’Élysée et Washington sur le dos d’un continent hypnotisé par le petit écran... Bref, revenons à nos moutons.

Lorsqu'en 2010
, voila 4 ans, je m'opposais au 3ème mandat anticonstitutionnel lancé sous le slogan "J'AI UNE TÂCHE À ACCOMPLIR", en organisant avant le dit printemps Arabe de la Tunisie, une manifestation monstre pour Fév 2011 à Djibouti et que je prédisais cette TÂCHE comme étant l’étape rattachant définitivement - institutionnellement et géographiquement - Djibouti à l'Éthiopie comme région soi-disant autonome mais sous tutelle de cette dernière ; pour la dite opposition politique djiboutienne c’était un délire qu’il fallait ignorer. Inconsciemment ou à desseins d’aliénés - afin de plaire ou d’éviter de porter préjudices aux ambitions des Califes de la salle d’attente – tous préférèrent le silence à la réflexion et le consensus.

6 juillet 2014

Djibouti : « J'ai plus peur de nos propres erreurs que des plans de nos ennemis. » - Périclès, Homme politique grec

Confiner la critique au jugement des erreurs politiques commises par nos ainés, sans considération aucune à leurs volontés d’en tirer des leçons et corriger le tir, ce reflet difforme nous condamne à la récidive à l’instar de tous ceux qui - 40ans plus tard et malgré l’échec criant découlant des décisions passées - s’obstinent encore à les répéter.

Feu Ahmed Dini, que Dieu ait son âme, était certes un grand idéaliste qui, bien malgré lui, mal entouré sans doute politiquement et se voyant lui-même tel un pionnier, jamais ne s’est-il préoccupé du devoir de consulter ses paires et les masses, ou l’obligation de rassembler autour de ses idées, aussi nobles soient-elles à la base. Conséquences, son œuvre est jalonnée d’erreurs d’appréciations, de vision et stratégies politiques tronquées défiant ses propres objectifs déclarés et une cour de partisans sans envergure inaptes à pointer l’étroitesse du passage que l'homme comptait emprunter pour atteindre ses objectifs.

Mais c’était comme même un grand de son époque, pour tous ceux qui ont pris le temps de s’intéresser aux détails et non aux étiquettes de ceux qui jouissent à ce jour de ses erreurs.
Car et tout d’abord, par calcul politique l’homme osait défier, trait caractéristique des gens hors de l’ordinaire, et encore plus remarquable chez cet homme, c’est sa volonté - certes sans confession - à vouloir corriger du moins en apparence, ses propres erreurs. Le hic…. entre l’erreur et la correction le géant piétinait  tout sur son passage. Croyez-moi, je sais de quoi je parle, pour avoir été en 1995 une de sa cible et gouté à sa médecine (en ricochet pour régler ses comptes avec ceux qu’il baptisa très affectueusement les «QAGABAS »). Pris au dépourvu, terrassé à mort et à distance s’il vous plaît - du fond de sa loge parisienne de Président du FRUD-Armé et moi à Montréal comme Président d’une association de Djibouto-Canadiens…

3 juillet 2014

Côte d'Ivoire : Entretien avec M. François Mattei (Auteur du livre sur Gbagbo : “Pour la vérité et la justice“)

Extraits : "" Le gouvernement français depuis toujours, ou plutôt depuis ce qu’on appelle l’indépendance des pays francophones d’Afrique, qui est en fait une dépendance organisée, et ce depuis 1960, a été non pas un arbitre mais un acteur principal des crises.(...) Et depuis que Laurent Gbagbo est apparu sur la scène politique africaine, il n’a jamais été accepté à l’Elysée. Pourquoi ? Parce que l’Elysée avait ses favoris et notamment le successeur et héritier de Houphouët-Boigny. (...)

Cela est basé sur des piliers très précis. Après l’indépendance des années 1960, la Françafrique représentait la conservation de la dépendance de ces pays-là vis-à-vis de la France, y compris sur le plan militaire. Des accords de défense ont été conclus permettant à la France d’intervenir à tout moment sous la justification de défense des pays en question. D’autant plus et ce qu’il faut savoir c’est que dans ces accords, il y a également des clauses secrètes, qui garantissent à la France on va dire non pas la propriété du sous-sol mais l’accès prioritaire au sous-sol de tous ces pays. Que ce soit pour l’uranium, or, pétrole, tout ce qui s’y trouve. C’est le premier pilier. Le second étant le Franc CFA. Ce qui signifie que ces pays, 50 ans après leurs indépendances, n’ont pas de monnaie propre. Car la marque de la souveraineté d’un pays, ce n’est pas seulement un drapeau et un territoire, mais c’est également sa monnaie. Et ces pays n’ont pas de monnaie à eux. La monnaie des 14 pays ex-colonies françaises est fabriquée et imprimée en France, à Chamalières, ville d’origine de M. Giscard d’Estaing, mais en plus cette monnaie est garantie par ces pays-là, c’est-à-dire que sur toute leur exportation, que ce soit cacao, pétrole, or, uranium, etc…, on leur prenait 65% des devises qui entraient en Banque de France et aujourd’hui 50% des devises, qui pourtant devraient toutes leur revenir pour leur développement. Ces devises viennent donc en Banque de France et non pas dans leurs pays. Cela est inconnu de l’opinion publique en France aussi. Même chose pour l’or. Plusieurs pays africains étant très riches en or. Il y en a en Côte d’Ivoire mais il y en a encore plus au Mali. Donc pour garantir la monnaie, on prend l’or des pays africains qui se retrouve en Banque de France, à Paris, à quelques kilomètres de chez moi. S’ajoute à cela l’intervention dans les élections, comme on l’a déjà vu en 2010. On peut d’ailleurs prendre le cas assez caricatural du Gabon, qui est on peut dire la propriété privée de France dans le domaine du pétrole. On parle de démocratie en France, c’est très bien.

26 juin 2014

Djibouti : Retour sur la situation des employés djiboutiens au Camp Lemonnier – 2ème partie, la CNSS & EAD

Dans le cas des employés de l’agence EAD pour le Camp Lemonnier ainsi que les dockers des ports de Djibouti, comme soulignés dernièrement dans les colonnes du PRIDE, tous les chemins semblent mener vers la CNSS (Caisse Nationale de Sécurité Sociale).

Le même dénominateur commun qui tient soit de l’incompétence de nos législateurs, soit une intention délibérée de fausser les règles ou contourner des lois, qui serait trop contraignantes protégeant un peu trop les masses aux gouts du mercantilisme de l’élite coloniale. Les textes régulant les activités de ces institutions étatiques datent d’une autre époque dans plusieurs cas inadaptés, opaques, inefficaces, inefficients et déraisonnablement permissifs, au point ou les dépositaires élaborent leurs propres politiques d'application des lois.

La CNSS, établissement public créé en 2007, issue d’une fusion théorique de l'OPS et de la CNR sur demande du dirigeant de Djibouti avec un cahier de charges distinct sous le même arrêté 69 fricoté.
La question que nous posons ici est la suivante :
Cette dite institution est-elle une officine en connivence mafieuse avec les employeurs à Djibouti, dilapidant la sécurité sociale et les impôts des djiboutiens au seul bénéfice d’une élite ?
Nous allons tenter d’y répondre du mieux possible avec les éléments de preuve en notre possession.

Notre enquête commence avec cette lettre adressée le 5 déc 2013 au directeur de la CNSS par des cotisants à cette caisse, demande d’audience jamais honorée à ce jour. Pourquoi en serait-il autrement, lorsque l’élite se considère au-dessus des lois, au service et aux ordres de l’homme : État !!!

Ce siège éjectable à la direction de la CNSS, de l’OPS à la CNR, vu défiler ses directeurs, remerciés tous sur des affaires aussi obscures l’une que l’autre, sans pour autant qu’il y’eut enquête, comparution et sentence, dont entre autres le détournement que nous dénoncions en juin 2011 ou 200 millions de FDJ de l’épargne du peuple partaient en fumée sans qu’à ce jour soit jugé le/les coupables. Le directeur de l’époque Ahmed Keysé n’est plus en fonction certes mais loin d’être inquiété, peur sans doute de l’effet domino.

24 juin 2014

Djibouti : Que devrions-nous donc fêter un 27 juin ? – Dites le moi…

Le 27 Juin 1977, j’avais presque 14ans et malgré ce jeune âge, la conscience politique panafricaine assez lucide mais pleine d’espoir que cette dernière soit différente, ne se doutait point vivre le même méprisant scénario du paternalisme « foccardien » et ses indépendances de façade. Nous étions tous cocus sur ce terrain vague, entre Arhiba et la station Ali Goureye ou au rythme des tambours, les chants et danses sous les feux d’artifice, l’espoir et civisme naissants de cette foule en liesse étaient convaincus de sentir le sens profond de la 1ère levée des couleurs de cette nuit blanche.

Depuis, l’amertume reste là palpable, enfouie sous le poids de la déception et les rêves brisés.

Avec un peu de cohérence, que devrons-nous donc fêter un 27 juin ?
  • La condition d’otages ou d’exilés politiques ayant trouvé asile chez d’autres et dont le pays est gouverné par une élite du style colonial,
  • D’un peuple affamé et assoiffé par la piraterie, sous perfusion du PAM,
  • Le chômage endémique dépassant les 80 % et un dirigeant avouant publiquement à la RTD son incapacité à délivrer des certifications professionnelles après 37ans au pouvoir,
  • L’arbitraire et la torture élevés au rang de gestion d’État,
  • Le banditisme et les détournements des fonds publics,
  • La désintégration de l’éducation et un système de santé condamnant les malades aux seules prières et le secours Divin, alors que l’élite au pouvoir ainsi que leurs familles se soignent et s’éduquent hors frontières aux frais de l’État,
  • Fêtons notre plus haut taux de mortalité infantile d’Afrique, pendant qu’on y est,
  • Ou, le fait que nos dockers comme d’autres n’ont aucune couverture sociale après 37ans de Voyoucratie,
  • Enfin, devrions-nous sans doute fêter la dette astronomique ayant servie sous d’autres cieux mais que nous et nos enfants devrons rembourser les 50ans à venir,
Ensevelies sous la farine de la tromperie, nous devrions peut-être jeter l’éponge et nous soumettre. Suivre le courant des hypocrites et collabos d’un système inhumain.
Chantons, dansons, applaudissons et fêtons alors l’absurde en devenant tous complices par associations. Ainsi seulement, nous disent les fêtards, nous pourrions proclamer notre djiboutienneté.

Djibouti : IOG visite ses exilés, 2 Manifestations pour lui rendre la politesse

Gouverner ; l'art de prévoir le futur d'une Nation, ne rien prévoir c'est courir à sa perte.

« ABDOURAHMANE BACHIR ; JE L'AI FABRIQUÉ DE TOUTES PIÈCES EN CROYANT BIEN FAIRE. », Dixit IOG

« SI DIEU A ACCEPTÉ QU’IL Y AIT LE DIABLE, POURQUOI REFUSERAIS-JE QU’IL Y AIT UNE OPPOSITION » - IOG

Djibouti : L’opposition politique doit prendre acte de sa propre léthargie

DJIBOUTI : EN 37ANS, ONT RIEN NOTÉ DE GROSSIER - AMNÉSIE TOTALE - INVITENT UN 3ème ET REBELOTE

DJIBOUTI : LE RÉGIME DU PRÉFET IOG, TOURNERA ENCORE SON REGARD POUR SAUVER SA TÊTE

DJIBOUTI : UNE PAIX SANS JUSTICE EST ILLUSION, UN PARDON SANS JUSTICE EST UNE BOMBE À RETARDEMENT

DJIB : UN CIRQUE MÉDIA SANS QUE LE PROXY NE DISE MOT, SUR CE QUE LUI ET SES PARRAINS NOUS RÉSERVENT

DJIBOUTI : L'ESCROQUERIE DU MACHIN USN !!!

M. GUELLEH, ÇA COUTERAIT QUOI DE FINANCER L’AVENIR DE CES FUTURS CHAMPIONS DE LA RÉPUBLIQUE ?

DJIBOUTI : L'USN ET SES OPPORTUNISTES, EXIGENT DE NOUS, QU’ON ENTRETIENNE LA MÊME VOYOUCRATIE

PREMIÈRE D'UNE NOUVELLE CHRONIQUE PAR L'IMAGE, INTITULÉE : "" C'EST QUOI ÇA GUELLEH ??? ""

ASSEMBLÉE DE PAILLE FRUIT DE L’INSUFFISANCE & COMITÉS FANTÔMES, LE MACHIN USN SE VEUT DISTRAIRE

LE PRIDE N’EST PLUS SEUL À POSER DES QUESTIONS & REMETTRE EN CAUSE LA LÉGITIMITÉ DE LA DIRECTION USN

Ahmed Youssouf à l’USN -- JOUE LE MÊME RÔLE QUE -- Hassan Omar GAQANLO à l’UMP

SIGNIFIONS EXPRESSÉMENT LE REJET DE L’AGENDA USN, CONCOCTÉ ENTRE LES MÊMES MANIPULATEURS DE L'UAD

DJIBOUTI : UMP & USN, 2 FACES DE LA MÊME MÉDAILLE, AVEC LES MÊMES VICES, ÉGOS ET AMBITIONS

DJIBOUTI : VICTIMISATION, REFUS DE L’ENGAGEMENT ET UNE EXPRESSION SECTAIRE MANIPULATRICE DES JEUNES

UN PATRIOTE INVESTIT DANS SON PEUPLE, NON HORS FRONTIÈRES, IL EST TEMPS QU'ON EN EST UN, À DJIBOUTI

DJIBOUTI : NOUS CONVIONS CET ÉTÉ 2013, TOUTE L'OPPOSITION À DES ÉTATS GÉNÉRAUX

DJIBOUTI : CITOYENS POUR LE CONSENSUS NATIONAL (CCCN) POUR UN GOUVERNEMENT DE TRANSITION RESPONSABLE

Une Source Infinie de Vidéos sur La Corne.

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Djibouti : Le Déni de Justice et la Lutte contre un autre Pirate de la FrancAfrique

MALI : STRATÉGIE INNOVÉE : PROBLÈME - RÉACTION - SOLUTION - PAYEMENT DES COÛTS

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Actualités et Évènements dans le Monde

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Amender une Constitution afin de rester au Pouvoir et Refuser l’Alternance c’est de la Tyrannie..
OBAMA : "Make no mistake: History is on the side of these brave Africans, not with those who use coups or change constitutions to stay in power.......... Africa doesn’t need strongmen, it needs strong institutions."
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""Il y a un temps pour RÉFLÉCHIR, un temps pour SENSIBILISER, un temps pour ÉPILOGUER et un temps pour AGIR contre le RPP : RASSEMBLEMENT DES PILLARDS DU PEUPLE.""
Téléchargez sur SkyDrive le CONTRAT JURIDIQUE ET MORAL avec le peuple de DE DJIBOUTI, afin de rassurer la population sur les INITIATIVES qui seront mises de l'avant AU DÉPART D'IOG : FEUILLE DE ROUTE (PDF)

UNE OPPOSITION RESPONSABLE ET CRÉDIBLE.

Le parti PRIDE appelle l’opposition à assumer pleinement son rôle. Lançons l’organisation d’un Congrès qui unira nos efforts, nous donnera la crédibilité nécessaire et l’appui de la communauté internationale pour une transition exigeant non seulement le respect de la constitution mais aussi la reforme du scrutin électoral et les dispositions préalables pour en assurer la transparence avant les prochaines élections de 2011.


Le peuple veut voir une opposition responsable autour d’une table ronde ou chaque parti sera représenté par 5 membres de leur direction et d’observateurs Djiboutiens.


Chaque parti tout en gardant ses affiliations, contribuera à édifier un document fort, engageant et prometteur, ralliant la population Djiboutienne toute entière dans sa diversité, contre le ballon vide d’IOG, à la mode Ukrainienne. Le document final signé par les parties, sera soumit aux pays médiateurs choisis au Congrès et aux institutions internationales.


DE LA SAGESSE, UNE VISION ET DU COURAGE, EST-CE TROP DEMANDER?


Le rôle de ces observateurs Djiboutiens comme la préparation du congrès, sera confié à une agence spécialisée dans l’exercice de cette fonction et un comité ou une entité neutre assumera la coordination et la préparation des documents du Congrès, entre cette agence et les parties ayants exprimées leur volonté d’y participer.


Dans un souci de transparence et de tenir le peuple informé, à défaut d’être diffusés en direct sur l’internet, tous les travaux de ce congrès doivent être vidéo-enregistrés.


Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie : PLAN D’ACTION POUR UN FRONT COMMUN.

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CONSTITUTION DE LA RÉPUBLIQUE DE DJIBOUTI : EN FRANÇAIS ENGLISH

Présenté à toutes les Ambassades et Consulats de France dans le monde -- Memorandum du 28 Sept 2010.pdf.