""" - Premièrement, le 18 décembre 2011 a été décrété comme « JOURNEE NATIONALE DE TOUTES LES VICTIMES DJIBOUTIENNES » regroupant ainsi toutes les victimes de cette dictature quel soit les victimes de massacre d’Arhiba soit des victimes de tortures et de traitements inhumains soit les victimes d’assassinat ou des disparitions forcées des opposants et des leaders Djiboutiens depuis l’indépendance jusqu’à nos jours . Et tout le peuple djiboutien est appelé à enregistrer toutes leur victimes dans la liste des victimes de ce régime dictatorial et de participer massivement à ce jour mémorial de commémoration des toutes les victimes Djiboutiennes. """
- Au nom de quel droit et par qu’elle autorité ont-ils été investis pour proclamer une infamie de cette nature ?
- Ont-ils consulté les victimes et les proches des défunts et les disparus pour décréter cette PERVERSION JURIDIQUE, d’une « JOURNÉE NATIONALE » de la banalisation des crimes d’IOG ?
- Grace aux vassaux de l’UAD (MRD - ARD - UDJ), si on arrive un jour à présenter le Crétin IOG devant une cour de justice, comme par le passé, grâce à ces 3 partis, IOG aura une passe facile, ces victimes seront anonymes enfuis dans le panier à crabes de l’UAD.
En 35 ans de despotisme, force est de constater, les activités des vassaux de l’opposition n’ont faites qu’endormir le peuple par l’abstention, les tergiversations et leur incapacité à former un bloque uni et un projet commun, facilitant la fuite en avant des régimes, de l'oncle à son neveu.
Ils ont fait plus de mal que le mal lui-même en détruisant l’espoir et la solidarité de tout un peuple.
Durant cette période sombre de notre histoire, les crimes physiques n’ayant épargné aucune communauté du pays, chacune y ayant goutté à un moment ou un autre, ceux qui proclament aujourd’hui cette brouillamini juridique mettant des crimes de différents degrés dans le même panier, ne se sont jamais entendus en 35 ans, sur un sujet aussi sensible devant lequel nous sommes habituellement tous unis : LA MORT ET LA SOUFFRANCE et n’ont jamais eu par conséquent, pour chacun de ces crimes majeures, la volonté ou l’initiative de déposer des plaintes formelles, devant une quelconque juridiction.
Aujourd’hui, après qu’une jeune génération plus active et responsable eurent décidé de prendre leur destiné en main, défiant leur défaitisme, construisant le premier cimetière des martyres du 18 décembre 2011, demande justice et réparation en risquant leur vie lors de manifs sans précédent, et une commémoration qui n’a jamais été aussi digne que celles de ces dernières années, à Djibouti comme dans la diaspora…
C’est, ce moment propice que les vassaux de l’UAD choisissent pour se faire valoir, en fanfarons sans vergognes clament des absurdités banalisant un crime majeure, des plus ignobles que cette terre des braves n’est jamais connu, ou en l’espace d’une heure, tôt un matin de décembre 1991, un génocide fît 59 morts, plus de 300 blessés et des dizaines de disparus.
Cette coalition tribale utilise chaque parti dont elle est composée, afin de manipuler les communautés, ainsi voit-on ici et là, depuis le 18 décembre, ces titres bouffons et trompeur : COMMÉMORATION DU MASSACRE D’ARHIBA, Organisée par l’ARD !!!!!
Depuis quand l’ARD, organisent-elle cette commémoration, et qu'à t-elle fait pour s'approprier le travail de tous les patriotes et les proches des victimes ???
Des constantes remarquables dans ce parti ; l’opportunisme, les mauvaises habitudes et des prétentions qui se veulent, qu’ils soient les élus naturel de toute une communauté. Une chimère responsable de la confusion et le manque de confiance envers ces politiques en sein de cette même communauté, mais pour s’en apercevoir, il faudrait d’abord sortir la tête du sable, un courage dont ils n’ont fait guère montre à date.
POUR NOS COMPATRIOTES DE L'UAD, FAIRE DE LA POLITIQUE SE RÉSUME À REMPLACER UN POUVOIR "BY ANY MEANS NECESSARY", POINT BARRE !!!
S’APPROPRIER LA LUTTE ET LE TRAVAIL D'AUTRUI N'EST QU'UNE, DES DESCRIPTIONS DE TACHES DE CE GROUPE, AFIN DE COMBLER LEUR ABSENCE DE VISION.
Ces compatriotes n'ont rien appris du passé, ils se sont donc condamnés à le répéter.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie
– Le Secrétaire Général : Bourhan M. Ali (Abou Amin)
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