Tout y est, sauf que depuis la parution de ce rapport d’Amnesty International, le silence comme aveu de complicité est pire que ces crimes eux mêmes, de la part de ceux retenant en otage le Président élu du Peuple Laurent Gbagbo à La Haye, et celui des protecteurs du Préfet Outtara.
Tandis que la réaction de la préfecture ivoirienne à la parution de ce rapport, loin de contester le contenu, ont exprimé le regret de n'avoir pas eu la chance de le lire avant publication. Certes, l'argument est pertinent vu l'extrême gravité des crimes, Amnesty aurait dû leur donner le temps de faire quelques coups de fil pour étouffer l'affaire !!!
Amnesty International quant à elle sort de son mutisme et le silence indigne face au monstre créé dans ce pays au nom de ce droit d'ingérence ayant choisi de régler un contentieux électoral dans le sang et le coup d'État à la place et lieu d'un re-comptage des voix comme il se fait ailleurs, hors de ce continent où tout n'est pas permis.
Suite à la publication de ce communiqué d’Amnesty International une sénatrice française de la Loire, Cécile Cukierman met la pression sur le gouvernement Hollande, en écrivant au ministre Fabius, qui se doit de répondre dans les 30 jours.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)
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