La Présidente de la Commission de l'Union Africaine, Mme Nkosazana Dlamini-Zuma :
"" - Nous avons nos propre cours de justice - Je pense que c'est comme ça que nous devons voir les choses - (...) - Donc je maintien que la CPI ne fait pas partie de nos statuts - Ni fait-elle partie des tribunaux auxquels nous avons tous adhérés - Par conséquent l'UA n'utilisera pas les services de la CPI""
Madame fait signer un document par tous les chefs d'états africains, rejetant toute coopération avec la CPI, que nous africains surnommons : la Cour Politique Inter-prédateurs, dont 3 des 5 membres détenteur du Veto de l’injustice et l’hégémonie, la Chine, la Russie et les USA, refusant de signer le traité fondateur, trouvent qu’elle n’est pas assez qualifiée pour eux, basé sur l'argumentaire fallacieux qu'un crime commis par une puissance militaire n'est pas forcement aussi répugnant que celui devant garantir les emplois des élites juges casés à la CPI.
Elle est partout, sur tous les dossiers ou la voix de l’Afrique compte, de la constitution d'un groupe de pression pour peser de tout son poids, en faveur de la libération du Président Laurent Gbagbode, à la déstabilisation programmée du Mali et sa condamnation du raid aérien sur l'usine militaire du Soudan accusant les responsables du crime, du viol du droit international et la souveraineté de ce pays.
L'avenir semble radieux avec la nouvelle dame de fer du continent, chose sûre, on est loin du temps de la chaise vide et l'insignifiance du gabonais J. Ping, branché sur cordon ombilical exogène.
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)
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