La représentante de l'UE pour les Affaires étrangères, Catherine Ashton, déclare dans un communiqué à faire rougir les Nazis de honte : "Je suis très préoccupée par le regain de violence entre Gaza et Israël. Je condamne le tir de roquettes et mortiers vers Israël et appelle les deux parties à la retenue afin de ne pas exacerber la situation."
"TRÈS PRÉOCCUPÉE" est le terme employé par la diplomatie de la complicité avec le crime et l'holocauste des palestiniens.
Comment peut-on oser flouer la planète entière en mettant sur le même pied d'égalité, une puissance nucléaire occupante pire que l'apartheid, financée à coups de milliards et armée jusqu'aux dents avec les dernières technologies militaires US, à la résistance d'un peuple dépossédé de sa terre en plus de 60 ans d’apartheid, entassé comme des animaux sur 2 territoires réduits en camps de concentrations, ou en toute impunité et, viols d'une longue liste de résolutions du Conseil de l'Insécurité de l'ONU :
- On massacre les civils avec des armes interdites,
- On bombarde des écoles, des hôpitaux, des résidences et des camps de déplacés, agressant la conscience dans ses derniers retranchements,
- On détruit les habitations à coup de bulldozers et on écrase sous ces mêmes engins, les activistes s'interposant à ces actes barbares,
- Des prisons à ciel ouvert sous embargos de tout produit de 1ère nécessité, ou même l'aide internationale y est interdite et les mères font la queue entre grillages et barbelés pour une consultation ou suppliant d'accoucher dans un hôpital digne de ce nom, chez les occupants ?
Pour la 2ème journée consécutive, Israel vient de provoquer la Syrie en tirant une série d'obus vers ce pays à partir du Golan ; lorsque c'est l'occupant qui provoque, Mme Ashton n'est pas "TRÈS PRÉOCCUPÉ", le silence est de rigueur.
Le Golan est rappelant le, un territoire occupé puis annexé arbitrairement le 14 décembre 1981, une annexion jamais reconnue par la communauté internationale et condamnée à l'unanimité dans la résolution 497 du Conseil de l'Insécurité des Nations unies le 17 Décembre de la même année dans ces termes : ""La décision prise par Israel d'imposer sa juridiction et son administration sur le territoire syrien occupé du Golan est nulle et non avenue et sans effet juridique sur le plan international""
Ceci n'empêchera guère Israel d'imposer sa seule volonté au reste du monde, pourtant à ce jour, cette politique d’apartheid est considérée VICTIME et les prisonniers des camps de concentrations comme les AGRESSEURS, par la seule volonté et l'entrave à la justice du droit de Veto d’un seul pays mais dont les conséquences peuvent se révéler catastrophiques pour la Paix et la Sécurité de l’humanité entière. Un monde à la dérive ou les valeurs humaines et ses Graines de Paix sont piétinées par la terreur, la justice recyclée aux génocides, l'éthique et la morale se prostituent chez le plus offrant ou soumises au plus fort.
"Personne ne fait une plus grosse erreur que celui qui ne fait rien car il ne pense pouvoir n’en faire que trop peu." — E. Burke
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Par le PRIDE : Parti Républicain pour l’Innovation Démocratique et l’Écologie (Djibouti)
– Le Sec Gen : Bourhan Bey (Abou Amin)
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La vaste opération militaire israélienne contre Gaza a poussé le président palestinien Mahmoud Abbas à rentrer plus tôt que prévu d'Europe, où il était en tournée afin de chercher des soutiens à sa démarche pour élever la représentation de la Palestine à l'ONU.
On ne peut que déplorer l'inconstance des pays occidentaux, prêts à déverser des milliards pour faire fonctionner l'Autorité palestinienne dans le cadre de l'occupation israélienne, pour mieux s'en désintéresser par la suite. C'est ce champ de ruines que masquera un temps le tumulte sanglant à Gaza. Un temps seulement.
La nouvelle escalade ne surprendra que les aveugles – ou les responsables disposés à l'être, qui plaidaient encore ces jours-ci, tel François Hollande à l'occasion de la visite à Paris du premier ministre, Benyamin Nétanyahou, le 31 octobre, pour la reprise sans conditions d'un chimérique dialogue israélo-palestinien.
La vérité est qu'il n'existe plus aucun processus de quoi que ce soit sur cette terre disputée, et que la question palestinienne est au bord d'un abîme masqué par un illusoire statu quo.
Entre la disparition progressive de la génération fondatrice du mouvement national palestinien, convertie au partage de la Palestine historique, et l'enracinement de la colonisation en Cisjordanie (12 000 nouveaux Israéliens s'y installent chaque année), c'est la solution des deux Etats qui est menacée. Ni plus ni moins.
http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/11/15/tragique-scenario-a-gaza_1791254_3232.html
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