Le même dénominateur commun qui tient soit de l’incompétence de nos législateurs, soit une intention délibérée de fausser les règles ou contourner des lois, qui serait trop contraignantes protégeant un peu trop les masses aux gouts du mercantilisme de l’élite coloniale. Les textes régulant les activités de ces institutions étatiques datent d’une autre époque dans plusieurs cas inadaptés, opaques, inefficaces, inefficients et déraisonnablement permissifs, au point ou les dépositaires élaborent leurs propres politiques d'application des lois.
La CNSS, établissement public créé en 2007, issue d’une fusion théorique de l'OPS et de la CNR sur demande du dirigeant de Djibouti avec un cahier de charges distinct sous le même arrêté 69 fricoté.
La question que nous posons ici est la suivante :
Cette dite institution est-elle une officine en connivence mafieuse avec les employeurs à Djibouti, dilapidant la sécurité sociale et les impôts des djiboutiens au seul bénéfice d’une élite ?
Nous allons tenter d’y répondre du mieux possible avec les éléments de preuve en notre possession.
Notre enquête commence avec cette lettre adressée le 5 déc 2013 au directeur de la CNSS par des cotisants à cette caisse, demande d’audience jamais honorée à ce jour. Pourquoi en serait-il autrement, lorsque l’élite se considère au-dessus des lois, au service et aux ordres de l’homme : État !!!
Ce siège éjectable à la direction de la CNSS, de l’OPS à la CNR, vu défiler ses directeurs, remerciés tous sur des affaires aussi obscures l’une que l’autre, sans pour autant qu’il y’eut enquête, comparution et sentence, dont entre autres le détournement que nous dénoncions en juin 2011 ou 200 millions de FDJ de l’épargne du peuple partaient en fumée sans qu’à ce jour soit jugé le/les coupables. Le directeur de l’époque Ahmed Keysé n’est plus en fonction certes mais loin d’être inquiété, peur sans doute de l’effet domino.